Changements de vie pour Jessica 04

BÊTA PUBLIQUE

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Rapidement je les enlève. Ce sale macho joue avec moi en repoussant mes limites et en me forçant à m'exhiber dans un lieu public. Dans ma tête, tout est confus. Mon humeur oscille entre la colère, la frustration, l'embarras et l'humiliation. L'obscénité de la situation me terrifie. Mais d'un autre côté je suis excitée par mon côté exhibitionniste. Amèrement je pense qu'il sait bien s'amuser de son jouet.

Daniel saisit mes bras et les tient fermement derrière moi. Puis, en appuyant une main sur mon dos, il me force à me pencher. La façon dont il me traite me force à lui obéir. Il n'hésite pas, il ne tolère aucune objection et il ne me laisse pas le choix. Ce macho arrogant a un contrôle total de la situation. Il me montre qu'il obtiendra tout ce qu'il voudra.

Je sens ma jupe serrée remonter. Je dois me pencher profondément pour atteindre le siège avec mon visage. La jupe monte de plus en plus haut. En jetant un coup d'œil derrière moi, je remarque que le haut de mes bas noirs est bien visible maintenant. Je ressens de nouveau un tiraillement d'humiliation me traverser. Je ressemble à une vraie salope. Et en plus, j'ai l'impression d'être un animal de compagnie impuissant dans cette position, les mains dans le dos.

Lorsque Daniel pousse mon visage à quelques centimètres au-dessus du siège en cuir, j'ouvre la bouche et je tire la langue. Je ne veux pas faire ça mais le comportement exigeant et sans compromis du jeune latino me pousse à obéir. D'une certaine manière je suis soumise volontairement.

- Oui c'est ça salope! Utilise ta langue, rends-toi enfin utile! Dit-il pour me ridiculiser tout en me lâchant les bras.

Bien qu'il ne me tienne plus, je garde ma position penchée et je commence à lécher. Des tonnes d'émotions conflictuelles tournent dans ma tête. J'ai honte d'être un jouet dans un lieu public. J'ai honte de céder aussi facilement, de lui laisser l'autorité sur mon corps. Mais par-dessus tout, j'ai honte d'être aussi excitée par le traitement du jeune homme.

Je me sens si vicieuse en léchant mon jus de chatte sur mon siège auto. Je me sens si vicieuse de garder volontairement cette position avec mes fesses à l'air et le visage sur le siège. Je me sens si vicieuse de savoir que ma jupe est remontée si haut que la courbe de mes fesses est bien visible.

Une brise froide souffle sur mon cul. Et, à ma grande consternation, le jus de ma chatte continue de couler le long de mes cuisses, même si l'œuf vibrant est arrêté. Ce n'est pas possible! Il faut que ça s'arrête! Je vais me réveiller. Ce comportement pervers est un rêve. Je refuse de croire que c'est réel.

Tout en étant plongée dans mes réflexions et luttes internes, consciencieusement, je fais le tout de la zone humide. J'ai l'impression que des heures entières passent avant que je finisse de tout enlever le liquide collant du siège. Une fois le travail terminé, je me redresse. En regardant tout autour de moi je ne vois personne sur le parking.n Mais je ne sais pas si quelqu'un est passé pendant que j'étais occupé. Daniel lève simplement les sourcils lorsque je le regarde d'un air interrogateur. De toute façon, il ne me dira rien, préférant me laisser dans l'incertitude. Mais ne pas savoir ne fait que m'exciter encore plus.

- Allons manger un morceau! Suggère finalement Daniel.

Le centre commercial n'est pas très attrayant pour aller dîner. Il y a plusieurs établissements de restauration rapide avec des tables et chaises placées devant les devantures. La plupart des gens sont assis à l'extérieur pour manger.

Toutefois, je ne peux rien faire d'autre que suivre Daniel vers un restaurant vendant des tacos. Debout derrière le comptoir, le vendeur a le regard braqué sur moi. Ses yeux suivent ma longue chevelure châtain qui coule le long de mes épaules jusqu'à mes seins bombés. Mes cheveux sont comme une flèche pointant vers ma poitrine sans soutien-gorge. Les yeux du vendeur se sont perdus dans mon décolleté profond.

Nerveusement je passe d'un pied sur l'autre. J'ai l'impression d'être seulement un morceau de viande inspecté par des acheteurs potentiels. Pendant ce temps, Daniel commande le repas. Mon Dieu! Ce voyou sait comment m'humilier. Étrangement, je suis impressionnée par la façon dont il a transformé ma tenue puritaine de femme d'affaire en tenue sexy. Les regards lubriques me brûlent et m'excitent tellement que ça en est insupportable.

Après avoir acheté le repas, Daniel continue à vouloir me mettre dans l'embarras. Il suggère que nous allions acheter des boissons au café situé à l'autre bout de l'espace restauration du centre. Cela veut dire qu'il va falloir que je défile dans ma tenue moulante devant tout le monde. Merde, il s'amuse de moi!

Involontairement je me voûte un peu et je me dirige vers le café tandis que Daniel me suit, le repas dans ses mains. L'allée est assez étroite et je dois passer près des gens assis devant les différents restaurants. Je n'ai aucun moyen de me cacher.

J'ai l'impression qu'un projecteur est braqué sur moi. Tous les hommes me regardent quand je passe. Je sens leurs yeux détailler mon corps et remonter sur mes jambes et mes bas. Cette impression ne fait que rendre mes tétons un peu plus durs. Ils poussent le tissu fin de mon chemisier rouge. Mes mamelons durcis crient à tout le monde que je ne porte pas de soutien-gorge.

Je suis comme une vraie salope qui fait un défilé dans un centre commercial minable. Chaque regard envoie des picotements sur ma peau. J'ai envie de toucher ma chatte. Je suis désespérée après avoir presque eu un orgasme fulgurant dans ma voiture. Toute cette attention me monte à la tête... ou plutôt à la chatte. Je suis en colère pour ça, mais aussi complètement impuissante.

A mi-chemin du trajet, je suis obligée soudainement de m'arrêter. Les vibrations recommencent. Daniel a de nouveau activé l'œuf vibrant. Je dois saisir une chaise pour rester stable et ne pas m'écrouler sur le sol. Malheureusement, la chaise est occupée. Je bascule sur un homme d'âge moyen avec une barbichette. Mes gros seins se pressent sur sa poitrine quand il m'attrape les épaules pour me stabiliser. Puis il me tient fermement, mes nichons ronds et souples contre lui.

Dans cette position, un peu écroulée, je sens ma jupe moulante remonter. Involontairement mon cul commence à trembler, alimenté par les vibrations vigoureuses de l'œuf. Au fond de moi, je désire que l'homme sur sa chaise me caresse les fesses. Mais je me ressaisis et je me dépêche de me redresser. Il faut que je garde un peu de décence.

- Je suis désolé Monsieur! C'est un accident, j'ai trébuché. M'excusé-je dans un souffle saccadé.

L'homme me réprimande en réponse :

- Regardez où vous allez! Trop écervelée pour marcher avec ces talons hein?

Ce reproche me fait sentir comme une gamine indisciplinée. Il faut que je me sorte de là. Mais je ne peux pas partir. Je suis là, au milieu, comme figée. Je n'arrive pas à faire un autre pas.

Au lieu de ça, mes jambes tremblent de façon incontrôlable. Je sens mes genoux faiblir. Maintenant, tout mon corps tremble. Involontairement, je serre les jambes et je pousse mon cul en arrière. Je dois vraiment avoir l'air d'une salope en frottant mes cuisses l'une contre l'autre et en exhibant mon cul dans des mouvements circulaires. Ça doit être un spectacle obscène, Augmenté par la tension de ma jupe qui montre chacune de mes courbes.

Tous les gens aux terrasses regardent chacun de mes mouvements. Ma respiration devient plus rapide alors que l'œuf continue à vibrer sans merci. Je lutte pour ne pas gémir. Je ne peux quand même pas jouir ici devant tous ces regards scrutateurs, ça serait trop embarrassant. Lentement j'avance un pied, puis l'autre, et je recommence...

Tout en suant de peur de tomber par terre, j'avance. Avec précaution, je reprends le trajet beaucoup plus lentement qu'auparavant. Mes hanches se balancent de façon exagérée et obscène d'un côté sur l'autre. Maintenant, je fais un vrai défilé de salope ridicule. A chaque pas j'ai l'impression que je vais tomber la figure en avant.

Les gens chuchotent entre eux. Ils parlent de moi pendant que je chancelle. Maintenant, je transpire si fort que mon chemisier devient collant, ce qui ne fait qu'ajouter à mon apparence de salope. Il me faut des siècles pour arriver au café.

Au moment où j'en franchis la porte, les vibrations cessent. Je m'arrête à la porte et je prends de grandes respirations avant d'aller passer commande. Le vendeur est plus que désireux de me servir deux cafés en regardant ma poitrine. Alors que je suis sur le point de le payer, il se penche sur le comptoir et murmure :

- Veux-tu savoir ce que je propose? Tu me montres tes gros seins et tu as les cafés gratuitement.

Il me faut quelques instants pour réaliser ce qu'il vient de m'offrir. Quand je comprends, je souhaite que le sol m'engloutisse. Il a vu mon accoutrement et me prend pour une femme facile. Son offre est plus dégradante pour moi que tous les regards lubriques que je viens de subir. J'hésite. Je veux quitter le café en courant mais je sais que Daniel aimerait que j'accepte la suggestion du vendeur. Cependant c'est trop pour moi, je ne peux pas faire ça.

- Vous devez vous tromper!

Je lui dis ces mots d'un air contrarié et je jette l'argent sur le comptoir avant de saisir à la hâte les boissons et de sortir précipitamment du magasin.

Bouillonnant de colère sur cette offre indécente, je rejoins Daniel qui m'attend dehors. Devant le café, se trouvent plusieurs tables avec des chaises hautes. Quand finalement j'arrive à m'asseoir sur une chaise à la table choisie par Daniel, je suis vidée comme si je venais de faire un marathon. Ce jeune salaud sait me faire souffrir. Mais, à mon grand désarroi, mon corps réagit à ce traitement, me faisant perdre tout contrôle.

- Tu sais vraiment te pavaner Mademoiselle Allumeuse! Dit le latino avec un petit rire.

Puis, pour ajouter à ma honte, il dit :

- Tous ces hommes n'en ont sûrement pas assez de regarder ton beau cul de vieille. Donne leur un beau spectacle. Écarte les jambes!

Soudain je comprends pourquoi il a choisi ce bar. C'est pour les chaises hautes. Nous sommes assis plus haut que toutes les autres personnes dans le centre commercial. Ceux-ci ont une vue parfaite sur ma jupe. Si j'écarte les jambes, ils pourront facilement voir ma chatte nue.

Je suis vraiment bouleversée par la façon dont il joue avec moi. Je suis tellement en colère que je ne peux trouver le moyen de l'arrêter. Je suis en colère de me sentir aussi impuissante. Toutefois, étant une personne réfléchie, je suis trop fière pour tout arrêter maintenant. Je n'avais pas réussi à gagner son jeu alors je dois en subir les conséquences. C'est le contrat non?

Le dos à la devanture du café, j'écarte lentement les jambes. Être exposée d'une façon aussi obscène me fait rougir. Mon visage doit être d'une couleur rouge betterave pendant que mon corps tremble.

Assise, les jambes ouvertes, je surveille les personnes tout autour de nous. Un homme assis en face du café jette un œil sur ma jupe et me sourit. Embarrassée, je ferme les yeux. Puis soudainement j'ouvre les yeux en grand et j'agrippe la table pour m'empêcher de basculer. Daniel a rallumé l'œuf vibrant. Et il l'a réglé au plus haut niveau. Les vibrations m'ont frappée avec une telle force que mes dents se sont entrechoquées.

Puis l'œuf s'arrête aussi soudainement qu'il a commencé. Je jette un regard perplexe sur le jeune latino. A quoi joue-t-il encore?

Tu as attrapé un regard, tu mérites une récompense. Déclare-t-il d'un ton neutre.

Je sens ma peau se recouvrir de chair de poule. A chaque fois que quelqu'un regarde mes jambes et ma jupe, Daniel allume l'œuf. Comment vais-je arriver à supporter cela? Je jette un regard suppliant au jeune macho mais son air reste sévère. Alors je reste assise sur la chaise haute, les jambes bien écartées. J'ai l'impression d'être transpercée par des aiguilles à chaque fois que quelqu'un me regarde.

Sur le regard dégoûté d'une femme, l'œuf recommence à vibrer et mon excitation atteint son apogée. Je dois gémir à haute voix. J'ai besoin d'exprimer mon envie. Mais je ne peux pas faire ça, pas au milieu de l'espace restauration du centre commercial. Je serre désespérément les lèvres pour étouffer tout son qui pourrait sortit. Mais mon corps brûle comme si on y versait dessus de la lave.

Daniel grignote ses tacos pendant que je gigote nerveusement sur la chaise. J'ai droit encore à dix regards, des regards dégoûtés de femme et des regards lubriques d'hommes. A chacun des regards, l'œuf vibrant redémarre et à chaque fois, ça dure un peu plus longtemps.

La quatrième fois, je n'arrive pas à rester immobile. Lorsque les vibrations commencent, mes hanches commencent à bouger toutes seules. Je remue sur la chaise, soulevant légèrement mon cul pour sautiller en l'air. Je ne peux pas contrôler mes mouvements. Mon corps obéit à mon état d'excitation.

- Hhhhmmmmmm!

La sixième fois, des gémissements étouffés commencent à franchir mes lèvres. La sueur s'accumule sur mon front. L'œuf met le feu à ma chatte. Je ne suis pas loin de l'orgasme. Je suis sur le point de jouir en public! En plein milieu d'un centre commercial miteux avec des dizaines de personnes aux alentours! Je suis vraiment humiliée! Mais toutes ces émotions ne font qu'alimenter mes envies.

A présent, le couple assis à côté de nous a pris conscience de mon comportement bizarre. Ils commencent à chuchoter tout en fronçant les sourcils devant mes mouvements ridicules. Je peux les voir rapprocher leur tête pour murmurer de la salope lubrique.

Ils savent! Ils savent ce qu'il se passe! J'ai tellement honte que je ne peux pas les regarder. Toutefois, je n'arrive pas à rester immobile sur ma chaise. Je suis à bout. Je voudrais désespérément toucher mon clitoris et le titiller. Mais je n'ose pas. Je garde mes mains sur la table. Je suis sur le point de jouir simplement à cause d'un œuf vibrant. Je suis vraiment une vraie salope.

- Hhhmmmm! Hmmmm... HMMMMM!

Finalement, la douzième fois j'explose. En me tortillant sur la chaise, je laisse l'orgasme se produire. Vague après vague, l'extase parcoure ma colonne vertébrale. Je fais de mon mieux pour ne pas gémir et crier. J'oublie complètement le couple à côté. Je ne peux pas dire combien de temps dure ma jouissance, mais quand j'ouvre les yeux, le couple est parti.

Le visage souriant de Daniel me regarde. Visiblement il a apprécié mon show de salope débridée. Cependant j'ai encore beaucoup de mal à croire que c'est arrivé. Je viens de jouir au milieu d'un centre commercial. Avec lassitude je regarde autour de moi et je vois plusieurs hommes qui me fixent. Mon orgasme public n'est pas passé inaperçu. Encore une fois, mon visage prend des nuances de rouge très profondes. J'ai l'impression que le rouge de ma honte ne disparaîtra plus.

Et pendant que je jouissais sous les yeux d'un public, Daniel a fini ses tacos et son café. Il est prêt à partir et je suis plus que ravie de m'éloigner des tous ces hommes.

- N'as-tu pas oublié quelque chose Miss Allumeuse? Me dit Daniel quand nous arrivons à ma voiture.

Au début, je ne comprends pas ce qu'il veut. Mais je réalise vite. L'objectif des « soirées après travail » de Daniel est de le faire jouir. Et il ne l'a pas encore fait.

- S'il vous plaît Monsieur Daniel, puis-je vous sucer? Demandé-je automatiquement sur le parking.

Woah, j'ai même pas réfléchi. J'ai parlé comme une vraie pute. Comment puis-je être aussi stupide? Mais ça ne semble pas être un problème pour lui. J'ai agi comme une vraie salope.

- Ces lèvres étaient déjà enroulées autour de ma bite hier. Dit-il pour rejeter mon offre.

Sa réponse me laisse là comme une idiote. Je viens de lui offrir mes services de la manière la plus vulgaire que je puisse imaginer. Et il l'a repoussé de manière arrogante et stupéfiante.

- Il est temps que je sente tes gros nichons. Dit-il.

Puis il ajoute :

- Allez petite chatte, sors tes gros melons bien mûrs et utilise-les à bon escient!

Involontairement, je souris à sa suggestion. Il ne me rejette pas, il veut simplement varier les plaisirs. Je ne regarde même pas autour de moi dans le parking. Je défais les boutons de mon chemisier rouge. Immédiatement mes gros seins jaillissent, libérés de leur prison. Mon Dieu, ce macho arrive à me faire faire n'importe quoi en un temps record.

Pendant ce temps, Daniel ouvre la porte conducteur et s'assoit sur le siège, les jambes hors de la voiture. Je me mets à genoux et je me penche entre ses jambes écartées. Je sens le béton du parking déchirer mes beaux bas noirs. Je prends en coupe mes seins moelleux et je les soulève comme si je présentais de la marchandise à un acheteur. Puis je frotte mes seins l'un contre l'autre pour faire bouger mes chairs.

J'allume le jeune latino comme si j'étais une de ses petites copines. C'est dégoûtant mais je suis bien trop excitée pour m'arrêter.

- Fais ça bien, mouille les, salope! Ordonne Daniel d'un ton rugueux.

J'hésite. Son ordre est si vicieux et la situation bien trop obscène. Je regarde autour de moi. Nous sommes seuls mais ça ne m'aide pas à me sentir moins salope.

Mais Daniel trouve que mon hésitation dure beaucoup trop. Alors il saisit mes longs cheveux châtains et me baisse ta tête. Une fois de plus son comportement dominant et rude me pousse à me soumettre. Je me comporte comme une bonne chienne et je crache. Je frémis quand je sens mon crachat se poser sur l'intérieur de mon sein droit. Puis je continue à frotter ma poitrine avec ma salive.

- Crache encore sale pute! Utilise tes doigts pour te faire saliver! Demande le macho.

Il est vulgaire et pourtant si imposant. Je ne peux pas résister. Quelle honte, je suis comme du mastic dans ses mains. Et bien que je me maudisse pour cet aveu d'impuissance, je ne peux rien faire contre. A cet instant, je suis vraiment sa poupée obéissante.

Ouvrant la bouche, je mets trois doigts entre mes lèvres. Je continue à la pousser à l'intérieur jusqu'à ce que je m'étouffe. Faire entrer et sortir mes doigts de ma bouche me fait étouffer à plusieurs reprises. Je me baise la bouche avec trois doigts à genoux sur le sol crasseux d'un parking public. Je suis furieuse que ce connard m'utilise, de la façon dont je lui obéi et de la façon dont il me fait frémir.

Finalement je retire les doigts de ma bouche. Ils sont complètement recouverts de bave blanche et mousseuse. Une toile de salive s'est formée et relie mes doigts. Quand j'examine de près ma main, je suis dégoûtée. Mais en regardant Daniel, je vois à quel point mes actions le fascinent. Bon sang, sa réaction m'excite. J'essuie ma main sur mes gros nichons. Ils sont mouillés et brillent. Ils sont prêts à être utilisés.

Une nouvelle fois, je soulève mes deux seins en coupe et je les pousse sur la bite dressée du latino. Il ne bouge pas, s'attendant avec arrogance que je fasse tout le travail. En pressant mes deux globes, je forme un profond canyon pour sa bite. Puis je commence à faire glisser ma douce poitrine de haut en bas de son sexe. Je prends de la vitesse comme si je voulais poncer sa queue.

Après avoir été témoin de tous mes comportements indécents, ce macho est trop excité pour tenir bien longtemps. Il me faut que quelques minutes pour pomper sa queue avec mes deux gros globes de chair avant que je ne sente le latino se raidir.

Cependant, avant de cracher sa semence, Daniel saisit son membre de chair avec sa main droite tout en saisissant mes longs cheveux châtains avec sa main gauche. Il tire dessus pour pencher ma tête en arrière, juste à temps avant que le premier jet jaillisse de sa bite. Oh merde, c'est une salve qui ne semble pas vouloir s'arrêter. Le latino guide son jet sur mon visage qu'il repeint avec une pâte blanche épaisse. Il me semble qu'il n'y a eu qu'un seul long jet de sperme visqueux. Il a dessiné sur ma bouche quelque chose qui ressemble à une moustache en forme de U qui s'étend d'une joue à l'autre.

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