Changements de vie pour Jessica 07

BÊTA PUBLIQUE

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Après trois heures j'ai presque oublié la règle numéro 2. Avec quelques minutes de retard, je me rappelle que je dois faire une pause et jouer avec mon corps pendant cinq minutes. Cependant je ne peux pas le faire dans mon bureau. Les chances d'être prise en flagrant délit sont trop importantes. Alors je vais aux toilettes et je m'enferme dans une cabine. Je m'assieds sur le couvercle de la cuvette et j'ouvre un des boutons de ma veste grise. Tout en commençant à tripoter mes seins à travers mon chemisier et mon soutien-gorge blanc, je frotte mes cuisses l'une contre l'autre.

Mes tétons deviennent durs. Relevant ma jupe, je commence à caresser ma jupe à travers ma petite culotte en dentelle noire. Malgré, ou justement à cause de la situation, ma chatte est en train de mouiller. Je commence à ressentir des petites décharges électriques sur la peau et ma chatte réclame plus. Je vais jouir!

RIIIINNNGGGGG!

L'alarme de mon téléphone portable retentit pour m'indiquer que les cinq minutes sont écoulées. C'est une épreuve si vicieuse et dégradante. Pourtant, je ne veux pas m'arrêter. Mais je ne veux pas enfreindre une règle dès le premier jour. Alors, à contrecœur, je cesse de toucher mon corps. Bon sang, c'est décevant de ne pas avoir le droit de se masturber au travail.

« Mais que t'arrive-t-il ma fille? » Me suis honteusement demandée. Bien que je ne me touche plus l'excitation est restée et me distrait de mon travail. Je suis si nerveuse que je n'arrête pas de frotter mes cuisses l'une contre l'autre et que je n'arrive pas à travailler.

Une heure s'écoule encore avant que Daniel ne pénètre de nouveau dans mon bureau. Une fois de plus, il ne prend même pas la peine de frapper. Il entre simplement dans la pièce et croise les bras devant sa poitrine, d'une manière arrogante. Il ne dit pas un mot, attendant que je concentre mon attention sur lui.

- Pourquoi suis-je ici? Me demande-t-il quand je le regarde nerveusement.

Je ne bronche pas. Ce voyou macho semble absolument calme et avoir le contrôle. Pourtant il ne bouge pas. C'est évident ce qu'il va se passer n'est-ce pas? Il n'est pas nécessaire d'en dire plus. Pourquoi ne fait-il simplement pas les choses. Quoiqu'il veuille faire de moi, je veux seulement en finir. Cependant, je sais qu'il joue avec moi, pour me faire sentir sa domination et son pouvoir.

- Vous êtes ici pour donner à votre animal de compagnie une leçon sur le respect de vos règles Monsieur Daniel. Je suis désolé de vous avoir déçu l'autre jour Monsieur. Dis-je gentiment.

La façon dont je réponds me rend nauséeuse. j'agis de manière totalement soumise. Pourquoi j'offre si peu de résistance? Est-ce vraiment la peur pour ma carrière? Pourquoi je ne me rebiffe pas? Je suis fâché contre moi-même de mon comportement, portant je continue de me montrer soumise. Daniel hoche la tête et commence à m'expliquer ce qu'il a prévu pour moi.

- Ok, voilà ta tâche pour la journée. Dans quinze minutes tu m'apporteras une tasse de café Miss Pute de Bureau. Et avec ce café tu me donneras une note sur laquelle tu auras marqué un numéro. Ce numéro va m'indiquer combien de gifles tu vas te donner quand je reviendrai dans ton bureau. Compris petit animal de compagnie?

Chaque mot résonne à mes oreilles. Je commence à avoir des douleurs dans l'estomac. Je n'avais pas pensé à cela. Des gifles? Je ne peux guère imaginer quelque chose d'autre de plus terrible qui puisse démontrer clairement le pouvoir de Daniel sur moi. Je le regarde dans les yeux, mais je sens les derniers restes de confiance en moi disparaître. Il sourit quand il me voit trembler.

- Tu ferais mieux de choisir un nombre qui indique de façon convaincante que tu es désolée du tour que tu m'as joué. Sinon tu auras une autre punition, petite Pute de Bureau. Ajoute le latino sévèrement.

Regardant un trou dans le sol, je ne dis pas un mot. Je ressens le besoin de me rebiffer, mais je ne le fais pas. Je ne le supplie pas non plus de revoir sa punition. De toute façon ça ne serait pas bon pour moi.

Je sais que mon silence est autant un aveu de culpabilité qu'une acceptation de la peine. Mais il me reste assez de fierté en moi pour ne pas plaider en faveur de sa miséricorde. Je ne me soumettrai pas complètement à ce macho.

La façon détaillée dont Daniel présente son plan perfide n'est pas anodine. Je sais ce que je dois faire. Je sais ce qu'il attend de moi. Je sais ce qu'il va se passer. Et l'anticipation de ce plan mesquin et méchant augmente ma nervosité au-delà de mon imagination.

- Tu as des questions Miss Pute de Bureau? Me demande Daniel d'une voix dure.

Après un long silence, je secoue la tête. Je ne veux plus rien dire mais je sais ce qu'il attend de moi. Alors d'une voix que j'essaie de rendre ferme, je lui réponds :

- Non Monsieur Daniel. Je ferai ce que vous dites Monsieur.

J'ai à peine prononcé ma capitulation qu'il est déjà parti. Je ressens le besoin urgent de fuir bien loin. Mais quelque chose me retient, comme une paire de menottes invisible. A présent, je sais que c'est le pouvoir qu'il exerce sur moi, la manière assurée dont il me domine. Il prend ma soumission pour acquise. Et pour en être sûr, il veut que je me gifle sans que je me rebiffe. Une fois de plus, je suis étrangement fascinée par l'arrogance et la confiance en soi de ce jeune stagiaire envers une femme d'affaire mature comme moi.

J'ai quinze minutes pour sceller mon destin, mais je n'arrive pas à penser correctement. La pensée des photos de mes idioties dans ma cour me fait frissonner. Et je pense amèrement qu'il est temps de payer pour la suppression des photos sur le portable de Daniel.

Je prends plusieurs grandes inspirations pour essayer de me calmer, mais ça ne m'aide pas vraiment. Je suis complètement perdue. Toutefois le temps me manque. Il faut que je trouve un nombre approprié pour ma punition. Combien dois-je mettre? Combien puis-je supporter? Je n'en ai pas la moindre idée. Je trouve profondément dégradant de trouver le nombre de gifles que je dois me donner. Je trouve humiliant de participer activement à ma punition. Mais c'est exactement ce que veut sûrement ce voyou.

A quoi m'attendrais-je en tant que responsable de l'un de mes subordonnés? Je m'attendrais à une preuve qui montre qu'il est totalement impuissant et obéissant.

Mais quel nombre vais-je mettre? Je n'en ai aucune idée. Une gifle au visage est bien pire qu'une claque sur le derrière. Je ne pense pas pouvoir en supporter plus que cinq. Mais cinq ne me semble pas convaincant. Il risque d'avoir l'impression que je ne le prends pas au sérieux. Et dix? Puis-je supporter dix gifles? Puis-je me résoudre à me gifler dix fois.

Je frissonne à cette idée. Néanmoins, je prends un morceau de papier et j'écris un gros 10 avec un marqueur. Ensuite je plie le papier, et je me lève. Je descends les escaliers les genoux tremblants et j'entre dans la cuisine du bureau pour préparer deux cafés.

Une tasse de café dans chaque main, j'entre dans l'espace des stagiaires qui se trouve juste en face de la cuisine. J'espère que les autres stagiaires seront absents. Je vais avoir trop honte si quelqu'un me voit servir un café comme une bonniche au jeune stagiaire. Après tout je suis un des numéros deux de l'entreprise.

Cependant, je n'ai pas de chance. Il y a six postes de travail qui se font face dans la pièce des stagiaires. Chaque compartiment est séparé par une cloison à hauteur d'épaule qui cache les regards sur les écrans d'ordinateur. Et malheureusement, trois postes de travail sont occupés. Justin, vêtu d'un polo blanc de marque et Matt, vêtu d'une chemise noire avec les deux boutons du haut ouverts sont assis à gauche de la pièce, tandis que Daniel est assis dans le coin le plus à droite.

Je dois passer près de Justin et Matt pour arriver à Daniel. Bien sûr, ils sont intéressés par ma présence. Par contre, Daniel ne me regarde pas. Ça me vexe même si je sais que ça fait partie de son jeu de pouvoir avec moi. Les regards attentifs des deux autres jeunes hommes augmentent ma nervosité et font trembler mes mains. Si bien que lorsque je pose la tasse de café sur le bureau de Daniel, un peu de liquide s'échappe. Le jeune voyou s'en aperçoit et me regarde.

- Apporte-moi une nouvelle tasse! Dit-il cyniquement.

Immédiatement ma figure tourne au rouge betterave. Il n'a pas parlé fort, mais je ne sais pas si les autres l'ont entendu ou non. Quoi qu'il en soit, ils ont sûrement remarqué la manière dominante avec laquelle il se comporte envers moi, sa supérieure hiérarchique. Je suis tellement gênée que je ressens le besoin de me rebiffer. Mais mon esprit me met en garde et m'invite à me calmer. C'est son jeu, ses règles. Il veut m'humilier et ça ne fera qu'empirer si je me révolte.

Je prends la tasse et retourne dans la salle de café pour en préparer un autre. En chemin je fais de mon mieux pour ne pas regarder les deux autres stagiaires. J'ai du mal à supporter leurs regards posés sur moi. Je reviens et je pose la tasse sur le bureau de Daniel, sans problème cette fois.

- Voilà! Commente-t-il ironiquement à voix basse.

Je prends le morceau de papier plié et je le pose à côté de sa tasse. Je reste debout à côté de son bureau et je le regarde prendre son temps pour déplier la note et la lire. Je sens les regards de Justin et Matt sur mes fesses et j'ai envie de m'enfuir de ce bureau. La honte me brûle les joues. Toutefois je reste debout et immobile jusqu'à ce que Daniel hoche la tête. En silence, je me retourne et je sors de la pièce. Pendant tout le trajet, je garde les yeux rivés au sol car je ne peux me résoudre à regarder les deux autres jeunes hommes en face.

En respirant lourdement, je m'assois devant mon bureau. Le macho peut arriver à tout moment. Je ne peux pas me concentrer sur autre chose que la punition imminente que va m'infliger ce voyou. Mais il ne vient pas tout de suite. A chaque fois que j'entends des pas dans le couloir, je remue d'appréhension sur ma chaise. Mais ce n'est pas lui. Maintes fois je regarde la porte et je prie pour que ce soit lui. Je veux en finir avec cette histoire. L'attente est presque aussi terrible que la punition. Daniel me laisse mijoter dans mon inquiétude jusqu'à une heure avant la fin du travail.

Finalement la porte s'ouvre et il entre dans mon bureau. Je suis presque soulagée qu'il soit là et que nous commencions. C'est stupide non? Mais l'attente m'a rendu folle.

- ORTEGA et O'BANNON ont quitté l'immeuble pour assister à une réunion à l'extérieur. Me dit Daniel.

Apparemment il attendait leur départ. Au moins, il ne veut pas que quiconque nous voit. Théoriquement, quelqu'un peut entrer à tout moment dans mon bureau et assister à la scène de punition que je redoute. Mais ORTEGA et O'BANNON étant à l'extérieur, il est peu probable qu'une autre personne se le permette. Par précaution, j'avais prévu sur mon agenda en ligne une réunion privée pour qu'aucun de mes subordonnés ne me dérange. Malgré tout, je me lève de ma chaise et je vais fermer la porte à clé.

Daniel attend simplement que je m'assoie de nouveau à mon bureau. Il tient le morceau de papier à la main.

Son sourire de macho arrogant et prétentieux me rappelle immédiatement les gifles qui m'attendent. Je suis totalement humiliée. Nous le savons tous les deux, il a mis tout cela en scène.

- Qu'est-ce qui va se passer maintenant mon petit animal de compagnie? Me demande-t-il sur avec un air narquois.

Il veut que je le dise moi-même. Il veut se délecter de mon humiliation.

- S'il vous plaît Monsieur Daniel, laissez-moi me gifler dix fois. Réponds-je faiblement.

Soudain le jeune latino se penche sur mon bureau et attrape mon menton. Il me fait mettre debout et me fait pencher sur le bureau jusqu'à ce que mon visage soit face au sien.

- Vous savez Mme ADDAMS, ce ton ne me semble pas ferme et vrai. Lors de vos réunions, vous parlez comme une véritable femme d'affaire, une dirigeant d'entreprise. Alors dis-moi que tu es mon animal de compagnie. Essaie de me convaincre que tu es une pute de bureau! Grogne-t-il en face de mon visage.

Je déglutis. Je suis trop obsédée par la séance de gifles qui m'attend. Il veut tout d'abord bien m'humilier. Il veut que la fière femme d'affaire rampe devant lui. Il veut savourer son triomphe au maximum. Mes nerfs sont à vif. Je veux seulement que tout cela finisse. Malgré tout, j'ai du mal à lui accorder ces préliminaires dégradants. Je lui dit alors gentiment :

- Je suis ici pour apprendre une leçon sur le respect de vos règles Monsieur Daniel. S'il vous plaît Monsieur, laissez-moi me gifler dix fois pour vous montrer que j'apprends. S'il vous plaît, laissez-moi me claquer dix fois la figure pour que je me rappelle ma place.

Si cela ne suffit pas, je ne sais pas que dire d'autre. Je me suis humiliée plus que jamais dans ma vie. Mon visage est rouge de honte. Tout en restant penchée sur le bureau j'attends la réaction de mon tourmenteur. Il ne dit pas un mot, lève la main et la pose sur ma joue droite. Ce contact me fait trembler et je ferme les yeux. Mais je ne bouge pas mon visage. Il garde sa main sur ma joue pendant un moment, savourant le pouvoir qu'il a sur moi.

- Ouvre tes yeux! Et regarde-moi en te giflant salope bon marché!

Et il ajoute en enlevant sa main de ma joue :

- Compte chaque gifle!

J'ouvre les yeux et je fixe son regard noir et froid. J'ai du mal à rester à le regarder. Soumise j'ai envie de regarder le sol. L'heure a sonné. La punition débute.

Tout mon corps tremble quand je lève la main droite. Je n'arrive pas encore à réaliser que je vais me gifler pour l'amusement de ce voyou arrogant. C'est pire que s'il me giflait lui-même. C'est vraiment le signe de ma reddition.

La gifle tombe sur ma joue droite et je ressens une légère brûlure. Je l'ai vraiment fait! La femme d'affaires respectée que je suis est penchée sur son bureau et gifle son visage. Je me sens tellement pathétique dans mon tailleur strict. Habituellement c'est un signe de mon autorité, mais là, je ne ressemble plus à rien.

Donc voilà ce que j'ai ressenti. La gifle ne m'a pas faite hurler et je n'ai pas fermé les yeux sous l'impact. Le claquement a à peine été audible. Je ne me suis pas frappée très fort. Tout simplement, je n'ai pas été capable de le faire.

- Un! Merci Monsieur! Dis-je d'une voix ferme.

Je vois un léger signe de déception dans les yeux du latino. Je ne me suis pas frappée assez fort à son goût. Il n'est pas convaincu. Je dois me claquer plus fort sinon il me donnera une autre punition. Et je ne veux pas que ça se produise. Celle-ci est déjà assez méchante.

Je lève à nouveau la main et je frappe la même joue une seconde fois. Cette fois-ci, ma joue commence à me brûler.

- Deux! Merci Monsieur! Dis-je avec un petit gémissement.

L'expression dans les yeux de Daniel n'a pas changé. La gifle n'a pas encore été assez forte pour lui. Je dois y mettre plus d'entrain et de force. Je dois vraiment me punir.

Rapidement je me donne une troisième et quatrième gifle sur la joue gauche. Les claquements retentissent dans le bureau comme le signe humiliant de mon auto-dégradation. Ma joue gauche commence à me brûler alors que je reprends ma posture et que je continue à compter les gifles.

Finalement Daniel semble satisfait de la force que je mets dans ma main. C'est douloureux et ça me brûle mais ce n'est pas trop difficile encore. L'humiliation de cet acte est bien pire que la douleur elle-même.

Je continue en claquant rapidement la joue droite et la joue gauche deux fois avant de faire une pause. Chaque gifle me fait gémir entre mes dents. Debout, penchée sur mon bureau, je respire difficilement avec mon visage brûlant. Je sais que mes joues doivent être dans une teinte rouge vif très visible.

- Neuf! Merci monsieur! Dis-je en gémissant après avoir appliqué l'avant-dernière gifle sur ma joue droite.

- Dix! Merci MONSIEUR!

Je crie presque après la dernière claque sur ma joue gauche.

Il me semble que les dernières gifles étaient si fortes qu'elles devaient être clairement audibles depuis le couloir. Je me mords les lèvres pour ne pas trop gémir et des larmes coulent sur mes joues rougeoyantes. Ayant fini, je me redresse lentement. Daniel me caresse alors les joues, me faisant sentir combien elles sont chaudes et à quel point elles sont devenues sensibles.

- Alors Mme ADDAMS, pensez-vous que le nombre de gifle soit convaincant? Demande-t-il.

J'ai mal aux joues et je suis épuisée. Je me suis résignée à mon destin. Cependant, je vois une expression déçue dans ses yeux. Étrangement, je ressens un pincement d'orgueil blessé. Comme je l'ai déjà dit, je suis une personne fière et mes paroles sont toujours suivies de l'action adéquate. Et là, j'ai l'impression d'avoir échoué. Et je sais que Daniel va m'infliger une autre punition s'il n'est pas satisfait de celle-ci.

L'envie de limiter les dégâts me saisit. Mais est-ce vraiment la peur d'une punition supplémentaire ou seulement de la soumission? Je ne sais pas. Sans trop penser, je laisse échapper une suggestion qui me surprend moi-même.

- S'il vous plaît Monsieur Daniel, montrez-moi comment punir correctement un vilain animal de compagnie. Donnez-moi dix gifles pour m'apprendre comment on fait!

Au moment même où je formule cette proposition incroyable, je grimace intérieurement. Ai-je vraiment dit cela? Qu'est-ce qu'il m'arrive? Est-ce que je veux vraiment que ce voyou grossier m'utilise et me batte? Est-ce que je veux vraiment lui prouver que je peux être un bon animal de compagnie bien obéissant?

Le côté rationnel de mon esprit proteste, mais le côté émotionnel accepte. Peu importe combien je peux détester ce gars, je sais que le traitement qui m'est réservé est celui que je recherche depuis une semaine.

Daniel a un petit rire et il dit :

- J'admire ton initiative Miss Pute de Bureau! Mais ton visage est déjà assez brûlant. Je ne veux pas exagérer et blesser mon petit animal de compagnie. Je pense, qu'à la place, je vais rougir ton cul.

Mon ventre se noue en entendant ses paroles. Dans quelle histoire me suis-je mise? Je me sens vraiment idiote. Je viens de donner à mon tourmenteur de nouvelles idées. A cet instant j'ai vraiment l'impression d'être une simple bimbo sans cervelle.

- Je pense que dix est un bon chiffre... si je prends cette règle.

Daniel ne me laisse pas le temps de réagir. Il attrape ma règle en bois sur mon bureau et la présente devant mon visage. C'est là que je réalise que je ne peux plus rien faire. Dix coups de règles sur le cul vont vraiment me faire souffrir. Mais, étrangement, je pense aussi que c'est la bonne chose pour me punir de mes actions.

Je sais, ça doit paraître étrange. Mais, d'une certaine façon, je suis fascinée par la manière dont Daniel me domine sur mon lieu de travail. Son comportement sévère et autoritaire me pousse à l'obéissance.

- Enlève ta culotte, penche-toi sur le bureau et relève ta jupe Miss Pute de Bureau! Ordonne le latino.

J'obéis à son commandement sec avec des frissons dans le dos. Il est vraiment sérieux et c'est l'occasion pour moi de prouver à quel point je veux sauver ma carrière.

Sans hésitation, je quitte ma veste de tailleur et je passe ma main sous ma jupe grise pour retirer ma petite culotte noire. Je la laisse glisser le long de mes jambes. Après l'avoir jetée sur le côté je m'avance vers le bureau jusqu'à ce que mes cuisses le touchent. Je me penche jusqu'à ce que mes seins soient appuyés sur le dessus. Je sens ma jupe se resserrer sur la courbe de mes fesses. Je passe mes mains derrière moi et je remonte ma jupe jusqu'aux hanches, laissant à découvert mes bas noirs et mon porte-jarretelles. Enfin je saisis les bords de mon bureau.

Je suis prête pour la punition, tendant mon cul nul pour la règle en bois. Daniel s'approche de moi et inspecte mon cul. Je le sens qui passe sa main sur la courbe bien ronde de mes fesses.

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