Château Ragia Chapitre 29

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Sofia prépare Rose au retour de sa maitresse.
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Partie 29 de la série de 34 pièces

Actualisé 03/26/2024
Créé 09/03/2020
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Rose ouvrit les yeux alors que le soleil était déjà haut dans le ciel. Étrangement ni son collier ni l’une de ses tortionnaires ne l’avait réveillée. De ce fait elle avait dormi comme une masse d’un lourd sommeil sans rêves, mais réparateur autant pour son corps que son esprit.

Après l’épisode du massage la semaine avait été bien plus agréable. Gloria et Amelia avaient fait cesser le jeu de Sofia quand Amelia s’était rendu compte de la masse de leçons qu’elle n’avait pas encore pus donner à la soubrette. Ainsi l’humiliation de son observation avait cessé, mais pas les leçons interminables sur comment servir au mieux sa maîtresse de toute les maniéré possible.

Certaine journée Rose avait la tête qui finissait par lui faire mal tant le protocole qui lui était incombé de suivre était long et complexe. Il y avait des dizaines et des dizaines de règles à suivre qui changeaient selon les saisons et l’humeur de sa maîtresse tout comme de ses invitées. Et c’était sans parler des cours relatif au plaisir charnel où elle était forcée de s’exercer encore et encore à donner un maximum de plaisir à ces femmes.

Heureusement qu’elle avait toujours été une bonne élève. Car si le jeu avait disparu Amelia prenait son rôle de professeur avec très grande attention. Elle était soumise à un examen écrit et pratique tous les soirs et si elle n’atteignait pas les critères elle se savait bonne pour une nuit de punition impitoyable.
Ainsi elle avait bûché comme si elle passait un examen capital tous les soirs et était parvenue à éviter toutes les punitions. Même l’extrêmement humiliant cours de danse où elle devait apprendre à bouger son corps de la manière la plus érotique possible n’était pas parvenu à faire baisser suffisamment ses notes pour passer la barre de la punition.

Son échine frissonna légèrement quand son esprit lui rappela les souvenirs des soirs où ses notes étaient particulièrement bonnes.
Les trois femmes la portaient dans l’une des salles de massage et entreprenaient de masser son corps avec le plus doigté possible, la plongeant dans un paradis de plaisir délicat où elle se sentait fondre sous les caresses de ces femmes qu’elle détestait tant.

Elle avait beau tenter de résister à leurs caresses, à chaque fois il suffisait de quelques dizaines de minutes dans leurs mains pour qu’elle se transforme en une forme gémissante quémandant toujours et encore plus de plaisir. Son corps réclamant contre sa volonté qu’on le traite avec gentillesse pour une fois. À chaque fois elle finissait par sombrer dans une inconscience induite par les orgasmes et on la remontait dans sa chambre avant que le cycle ne se répète.

C’est ce qui s’était passé la nuit dernière. L’esprit de la jeune fille lui envoya quelque bribe de souvenir de l’orgie huileuse en laquelle avait fini son massage. Un océan de plaisir et de caresse où elle avait faiblement plongé jusqu’as l’inconscience. Rose pris quelque seconde pour se maudire d’avoir été aussi faible alors qu’elle s’étirait longuement.

La douche finit de laver les restes de fatigue qu’il restait sur son corps. Comme à chaque fois qu’elle en avait l’occasion elle y resta le plus longtemps possible. En l’absence de sa maîtresse a réveiller et l’étrange absence de ses tortionnaires qui avaient pourtant prise un malin plaisir à la réveiller le plus tôt possible durant toute la semaine elle n’allait pas se priver.
Une fois propre elle se dirigea en soupirant vers le placard a uniforme. Comme à chaque fois enfiler la tenue de soubrette était une torture qui lui rappelait inlassablement sa situation actuelle.
Elle voulut résister contre l’habitude de se regarder dans le miroir pour la photo du jour, mais son œil accrocha à l’image que renvoyait le miroir.

La soubrette qui apparus devant les yeux de Rose était une jeune fille au corps désormais musclé par les exercices impitoyables de Sofia sans pourtant être execif, ses seins naturels avaient légèrement grossis depuis l’épisode de la tété et remplissait parfaitement un corset noir et blanc liseré de frou-frou qui les faisait délicatement ressortir. Sa peau suite aux traitements huileux des massages était délicats a la vue comme au touché et ressortait parfaitement vis-à-vis du complexe porte-jarretelles qu’elle enfilait désormais avec facilité. Le réseau de sangle de tissus encadrait magnifiquement une intimité parfaitement rasée et propre. Elle aurait cru que son corps subirait des dégradations à force d’être soumis à tant de sévices, mais il semblait pourtant parfaitement intact et propre. Son tablier frottant doucement sur le haut de son entrejambe, le liseré de frou-frou cachant et grattant légèrement son clitoris alors que les bas blancs qu’elle portait qui remontait a mis cuisse la maintenait parfaitement au chaud.

La musculature de ses biceps était accompagnée de deux brassards bouffants ornés de petite décoration alors que son collier était maintenant accompagné d’une petite gaine de tissus liserés elle aussi de petit frou-frou blanc soulignant le symbole de soumission de l’objet.
Enfin la coiffe qu’elle détestait tant émergeait de sa chevelure noire comme un petit îlot de crème dans un océan de café, depuis qu’elle portait ces accoutrements Rose avait maudit plus d’une fois sa couleur de cheveux qui faisait a ce point ressortir sa coiffe de soubrette et le symbole de son humiliation.
Mais malgré sa détestation elle ne put une nouvelle fois chasser de son esprit qu’elle était incroyablement sexy dans cet uniforme.
-Tu vas t’enfuir, tu vas t’enfuir, tu vas t’enfuir.

Se répéta-t-elle a elle-même alors qu’elle détournait prestement son regard du miroir. Elle ne devait surtout pas commencer à trouver du plaisir dans sa condition.
Elle prit une bonne demi-heure pour se remémorer tout ce que Maria, Mathilde, Sofia et toutes les autres lui avaient fait subir. Jamais elle ne devait se laisser aller à oublier à quel point ces femmes étaient maléfiques.

Alors qu’elle se dirigeait vers la cuisine, le château lui sembla étrangement silencieux. Après une semaine entière à être peuplé de gémissement et des divers bruits des trois folles Rose repéra immédiatement ce manque de son.
La cuisine tout comme le selon principal ce révélèrent tout aussi vide que les chambres d’amie. C’était comme si les femmes s’étaient évaporées durant la nuit.
Sentant venir le piège Rose se méfiait avant de rentrer dans chaque pièce. Vérifiant autant que possible si l’une des femmes ne s’y cachait pas. Elle se sentait comme une cambrioleuse voulant éviter les systèmes de sécurité de sa cible.
Doucement elle poussa la porte de la chambre de Maria, c’était le dernier endroit qu’elle n’avait pas vérifié.

-Ah ! merci, ouvre-moi s’il te plaît.
Rose sursauta quand elle entendit la voix de Sofia derrière elle.
Dans un uniforme plus bouffant que le sien, toujours avec ses éternelles oreilles de chats dépassant de sa coiffe la soubrette tenait un grand tas de linge et diverses boîtes dans ses mains. Le tout semblait lourd même pour elle et sa force exceptionnelle.
-ah heu !
-Aller s’il te plaît c’est lourd tout ça.
Encore sous le coup de la surprise Rose obtempéra et la soubrette la dépassa avec sa lourde cargaison.

-Ah ! merci. Madame Ragia devrait ranger ça plus près de sa chambre quand même. Ça vas tu as bien dormis ?
Rose hocha la tête alors que la porte se refermait derrière elle.
-T’as déjà oublié tes leçons ? Donne-moi un coup de main.
Dis la soubrette en défaisant les draps de satin du lit.
En effet on lui avait bien appris à refaire les draps de sa maîtresse, mais au milieu de toute les tortures de plaisir qu’elle avait subit elle ne pensait pas qu’elle devait vraiment le faire.

-Ou elles sont passées ?
Demanda Rose alors que Sofia et elle mettaient en place une large couette d’un tissu doux qu’elle ne reconnut pas.
-Rentrer chez Madame Brooks. Ta maîtresse rentre plus tôt que prévu du coup elle on dus partir.
-Maria revient ?!
Cria-t-elle sans s’en rendre compte avant de se raviser. Pourquoi son esprit la faisait réagir ainsi ?!

Sofia sourit en voyant la gêne de la soubrette. Après tout sa maîtresse était censée ne revenir que dans une paire de jours
-oui elle nous a appelés ce matin elle devrait être là en fin d’après midi. Juste de quoi te préparer. Mets les oreillers en place je vais chercher les fleurs.
Rose ne fit pas attention au déplacement de Sofia, trop occupée qu’elle était à appréhender le retour de Maria. Est-ce que cela voulait dire que ses tortures avec les trois femmes prenaient fin ?

Et qu’est ce que Maria allait bien encore pouvoir lui faire ? Peut-être qu’une fois seule elle pourrait enfin trouver un moyen de s’enfuir.
Une fois les larges oreillers mit en place la phrase de Sofia lui revint.
-Je dois me préparer pour quoi ?
-Pour ça.
Un linge émettant une étrange odeur apparut devant son nez alors que Sofia la maintenait fermement de ses bras musclés.
Alors que l’inconscience la prenait, Rose se maudit elle-même. Elle n’avait toujours pas compris la leçon. Toujours se méfier de tout le monde.

-hhhh ah.
Les yeux de la jeune fille se rouvrirent doucement. Elle était encore dans le large lit de Maria, elle le sentait sous elle, les draps de soie et le matelas doux et délicat transmettaient à son corps un sentiment de confort incomparable.
Alors que ses yeux s’habituaient doucement à la lumière de la fin d’après-midi qui passait au travers des larges baies vitrées de la chambre une odeur vient chatouiller ses narines. Un mélange de senteurs de fleur qui s’enroulait doucement autour de sa tête donnait à l’air qu’elle respirait une senteur printanière, comme si elle était allongée au milieu d’un champ de fleur.

Une sensation sur le haut de son bas ventre finit de complètement la réveiller et le filtre ouateux qui englobait sa réalité se dissipa.
-Ne bouge pas je ne veux pas faire une erreur.
-Mphh ?
Bien évidement un bâillon avait été placé dans sa bouche, une boulle de caoutchouc rouge pleine qui au moins lui épargnait l’humiliation de se baver dessus. Un rapide check up de son corps lui apprit qu’elle était fermement attachée. Ses bras, ramené derrière sa tête et enserré dans des petites gaines de cuir étaient relié au sommier du lit, laissant ses aisselles et seins parfaitement exposer, bien qu’un large oreiller sous son dos lui permettait de profiter de cette position avec le plus de confort possible.

Devant elle, entre ses jambes maintenues largement écartées par un assemblage de lanière maintenant ses cuisse et tibia fermement fixés entre eux se trouvait une Sofia semblant particulièrement concentré sur son ouvrage.
-Mph-h-h
Pouffa Rose alors que les poils du pinceau voyageaient doucement sur le haut de son bas ventre.
-T-t-t pas bouger j’ai dit. C’est presque fini.
Soufflat Sofia alors qu’elle finissait doucement son tracé.

Enduit d’une encre rosâtre le pinceau dessinait doucement sur la peau de la jeune fille un symbole qu’elle avait déjà vu sur de nombreuses moulures du château ainsi que sur les documents qui peuplait le bureau de sa maîtresse. Un cœur stylisé recouvert d’étrange symbole avec un R en son centre.
-Voilà !
Fière de son ouvrage Sofia se releva. Elle portait son uniforme de soubrette habituel ce que Rose finissait par ne même plus remarquer.
-Plus que quelque petit détail et tu sera parfaite.
S’exclama la femme aux oreilles de chat en sautant du lit. Rose remarquat alors que celui-ci était recouvert de pétales de fleur. Elle reconnut des roses et d’autres fleurs, mais certaines avaient des formes et des senteurs qu’elle n’avait jamais approchées auparavant.

La jeune fille tenta de se défaire de ses liens pendant un instant, mais tout ce qu’elle réussit fut d’agiter ses seins et provoquer l’hilarité de Sofia.
-Attention hein. Je me suis débrouillé pour que soit toute jolie ne viens pas tout gâcher hein.
La mort dans l’âme et ce rendant compte de sa totale impossibilité a bougé Rose se résigna a laisser la soubrette finir sa mise en place.
Sofia colla autour de ses tétons de petit cœur de mousseline rose en forme de cœur qui soulignait la couleur de ses tétons sur sa peau sombre, puis elle entreprit d’attache autour de sa taille un petit tablier blanc et noir orné d’un trou en son centre qui laissait voir la peinture rose qui ornait maintenant son bas ventre tout en étant suffisamment court pour laisser sa chatte parfaitement exposée.

La jeune fille se sentait marquée comme un animal alors que l’encre, sans doute encore une des horreurs de sa maîtresse la grattait terriblement. Elle sentait les moindres détails des armoiries de Maria sur sa peau !
Doucement Sofia fit couler sur son corps une petite quantité d’huile, suffisant pour rendre son corps luisant, mais pas assez pour marquer ses habits ni les draps.
-Mphh !
Tenta de protester la jeune fille en secouant doucement la tête, mais Sofia la sermonna doucement.
-Cesse de faire la difficile, je te fais toute belle pour ta maîtresse. Voiiiila.
-Mp !

Le serre-tête de déposa sur le haut de son crâne, ornant celui-ci de la coiffe de soubrette qu’elle détestait tant, blanche et orné de petit frisotté de satin qui encadrait désormais son crâne elle soulignait parfaitement la soumission de la soubrette désormais parfaite aux yeux de Sofia.
-Regarde comme tu es belle !
Dit-elle en approchant le large miroir du lit.

Rose hoqueta d’horreur, elle était placée comme une offrande au milieu du lit, son corps luisant de l’huile et décoré de ses atours de soubrette lui semblait étrange, ses seins parfaitement proportionnés et massifs sur son corps musclé se soulevaient doucement a chaque respiration alors que le tablier laissait voir une chatte déjà doucement luisante et huilé. La coiffe de soubrette et le bâillon orné d’un petit cœur noir qu’elle n’avait pas pus voir ornaient un visage qui ne put s’empêcher de rougir face au spectacle qu’elle offrait.
-Mphhhh !
Elle secoua la tête en refusant de trouver cette vision d’elle-même attirante ou sexy. C’était ces femmes qui avaient transformé son corps en cette vision, elle n’allait quand même pas approuver cette nouvelle vision d’elle-même !
Comme lisant dans son esprit Sofia repoussa le miroir et s’approcha d’elle.

-Je sais tu es terriblement sexy petite soubrette. Ta maîtresse va adorer ça.
-Mphon !
-Elle m’a dit qu’elle arriverait en début de soirée, mais ma maîtresse à moi veut que je rentre. Du coup je t’ai préparé ça pour patienter.
-Mphh ? Mphon !
-Voilà.
Doucement elle fit glisser devant les yeux de la soubrette un épais masque de cuir, cachant totalement son champ de vision. Puis c’est son ouïe qui lui fut retirée quand de petits cache-oreilles ornés de frou-frou se posèrent sur ses oreilles, coupant tout son pour la jeune fille.
-Mph-h-h-h-h-h phofia ! phop phitié !
Gémis la jeune fille en tressautant alors qu’elle sentait le pinceau de la soubrette recouvrir ses aisselles et ses tétons d’une nouvelle couche d’huile.
-Ghh ? g-h-h-h-h-h hhhhhhhh !!!

Rapidement ses pires craintes se confirmèrent quand la sensation de gratouille se répandit depuis les endroits recouverts, il s’agissait de la même substance qui avait tracé les armoiries de sa maîtresse sur son bas ventre !
Un de ses cache-oreilles se retira un instant et la voix de Sofia envahit son esprit.
-ça ce se retire que par contact physique ma chérie. Je crois que tu vas devoir demander à ta maîtresse de te chatouiller si tu veux que la sensation parte.
Elle termina sa tirade par un petit pouffement de rire alors que Rose tentait de bouger comme si l’air pouvait la gratter.

-Maintenant je veux ma récompense.
Chuchota Sofia alors que Rose la maudissait.
-Je vais te retirer ton baillon et si tu ne veux pas que je recouvre ta chatte de la même chose tu vas m’embrasser.
-Mphh ? ghhh.
La sensation de gratouille était terrible, surtout accentué par sa vision masquée, mais elle ne put réprimer un sursaut de surprise. Embrasser Sofia ? Elle préférerait lui arracher la tête oui ! Puis la sensation sur ses dessous de bras s’accentua et elle imagina si sa chatte avait à subir le même traitement. Elle deviendrait folle en quelques minutes !

Doucement elle hocha la tête et sans qu’elle ne puisse la voir s’affairer Sofia fit tomber le bâillon et écrasa doucement ses lèvres contre celles de Rose. Délicatement la langue de la soubrette aux oreilles de chats se fraya un chemin dans la bouche de la jeune fille. Inconsciemment la langue de rose se mit à suivre le mouvement de l’intruse et s’enroula doucement autour de celle de Sofia alors que la salive accumulée dans sa bouche coulait doucement entre leurs lévres. Rose se sentait rougir alors que les mains de la soubrette maintenaient doucement sa tête pour rendre leur baiser plus profond.

Sofia se mit à doucement gémir alors que Rose sentait son corps se chauffer sous l’effet de l’embrassade. Elle ne sut combien de temps le baiser dura, mais au bout d’un temps qui lui sembla une éternité Sofia rompit doucement le baiser en aspirant doucement la langue de Rose vers l’extérieur.
-Ah.
Gémis Sofia alors que leurs lèvres se séparaient.
Embrumées par le manque de vision et de son Rose resta la bouche ouverte et la langue tendue pendant quelque seconde. S’en rendant compte elle tenta de fermer la bouche, mais un doigt se posa sur sa langue tendue.
-T-t-t reste comme ça. Hhhh.
Rose obtempéra par peur de la punition alors que Sofia gémissait doucement.

-Haannnn.
Gémis la jeune fille alors que deux doigts déposaient sur sa langue tendue un liquide au goût capiteux et légèrement sucré.
-haaamphhhh.
C’est seulement quand le bâillon reprit sa place qu’elle se rendit compte que Sofia venait de déposer sur sa langue les fluides de sa chatte excités de son baiser avec la jeune fille attaché. Laissant dans la bouche de Rose le goût des fluides de Sofia s’infuser doucement.
-On se revoit bientôt ma chérie.
Lui susurra elle a l’oreille avant de remettre en place le cache-oreilles et replonger Rose dans le monde ou seule la sensation présente sur ses téton et dessous de bras existait.

Quelques minutes après que Sofia ait quitté le château pour retourner dans les bras de sa maîtresse au pavillon de chasse le masque s’éclaira devant les yeux de la jeune fille.
-Mphh ? mphon ! mphhhhh !!!
Elle protesta dans le silence du château alors que devant ses yeux défilaient photo et petite vidéo de sa maîtresse, parfois nue, parfois arborant des tenues sexy et parfois de complexe ensemble de lingerie alors que des cache-oreilles de petit bruit de contentement et de gémissement se diffusait dans son crâne.

Rose ne sut pas combien de temps avait passé. Privé de toute sensation son esprit perdit la notion du temps alors que son esprit se remplissait des centaines d’images de sa maîtresse. Les bruits de gémissement se diffusant dans son esprit l’empêchaient de penser à autre chose qu’au corps qui défilait devant elle.

Seules les sensations que lui renvoyait son corps attaché lui rappelaient sa position, la salive s’accumulant dans sa bouche ballonnée, la sensation des armoiries sur son bassin et bien sur l’ignoble sensation qui enflammait ses aisselles. Elle avait vainement tenter de se libérer, tenter n’importe quoi pour pouvoir se débarrasser de la sensation ! pouvoir se gratter était avec les images de sa maîtresse la seule chose qui occupait son esprit. À tel point qu’elle n’avait même pas remarqué que son entrejambe était détrempé tant, les images mêlées au gémissement l’excitaient.

Elle resta ainsi pendante prêt de deux heures qui lui parurent le triple du fait de sa privation sensorielle.
Quand le bandeau se retira, elle crut que ses yeux allaient brûler.
-ymhhhh !!!
Protesta-t-elle en sursautant violemment alors que le monde reprenait enfin des couleurs en face d’elle.

-doucement, doucement.
Entendit-elle alors que ses cache-oreilles lui étaient retirés. Elle reconnut immédiatement la voix douce de Maria.

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