Château Ragia Chapitre 29

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

-Aller chercher des rafraîchissements Jane.
-Oui madame.
Rose sentit que quelqu’un quittait la pièce alors que ses yeux se ré habituait a la lumière de la pièce. Au travers des vitres elle pouvait voir le soleil doucement se coucher, nimbant le corps de Maria dans un halo presque divin.

La femme qui l’avait enlever ce tenait devant elle et la regardait e souriant doucement. Ses longs cheveux noirs ondulant doucement autour de son visage noble alors que sa taille parfaite était enserrée dans une chemise blanche simple, mais élégante. Rose ne put s’empêcher de rougir quand les images de sa maîtresse en petite tenue lui revinrent alors que Maria contemplait sa soubrette attachée et bâillonnée sur le lit couvert de pétale.
La bouche fine de Maria s’ouvrit doucement alors que sa voix douce résonnait une fois de plus aux oreilles de rose comme du satin.

-Alors comme ça on a été très vilaine avec ses amies ? mhhh mauvaise fille.
-Mphh ? hhhmp ?
Rose tenta de parler, mais le baillon l’empêchait de prononcer le moindre mots
Lentement Maria se rapprocha d’elle, tournant autour du lit tell un oiseau de proie. Rose ne pouvait s’empêcher de suivre la femme du regard alors que les doigts délicats de la femme à la peau d’albâtre se mettaient à doucement caresser son corps attaché.
-Mphhh ! mhhh !
Protesta-t-elle alors que le bout des doigts touchait un de ses tétons tendus et dressés. Elle aurait tué pour qu’on lui gratte le sein, que la sensation de l’huile parte.

-Sofia m’a laissé une note me disant que ma soubrette avait besoin d’un peu d’éducation.
-Mphon phh mphaitrephhhss
-pourtant vus l’état de la bibliothèque tes amies se sont dévoué a ton éducation non.
-Mphhhh !
-Et voilà que je retrouve ma soubrette tout attachée, prête à être punie.
Rose voyait impuissante la femme caresser le moindre recoin de sa peau huilée, savourant la position de soumission de la soubrette.

-Et même déjà toute trempée à l’idée de se retrouver à la merci de sa maîtresse.
Pouffa Maria alors que sa main passait doucement sur l’intimité détrempée de Rose qui ne put réprimé un petit gémissement alors que son corps devenu ultra sensible à cause de la privation régissait a toucher délicat de Maria.
-Ou alors.
Dit-elle en fixant la soubrette bâillonnée droit dans les yeux.
-peut-être que la soubrette en question s’est très bien comportée.
Soufflat elle en rapprochant son visage délicat de celui d’une Rose ne pouvant détourner son regard, comme hypnotisé par l’aspect noble et supérieur du visage de Maria.

-Peut-être que cette soubrette est une perverse qui aime se faire punir par sa maîtresse ?
Rose sentit le rouge lui monter aux joues alors que Maria lui chuchotait ses paroles à l’oreille. Non ! elle n’avait pas envié que Maria la touche, la caresse, elle ne voulait pas que la femme au corps parfait écrase ses seins contre les siens alors que ses doigts caresseraient doucement sa chatte humide. Se dit-elle alors que les images se projetaient dans sa tête la rendant encore plus humide. À quoi elle pensait ! c’était à cause des heures de privation et cette foutue huile. Elle ne pouvait pas avoir ces envies !

-ça expliquerait les pétales et ce joli dessin.
Susurra Maria alors que Rose tentait de chasser les images de sexe intense avec sa maîtresse de son esprit.
-Madame vos rafraîchissements.
-Ah merci.
-À votre service.
L’arrivée de l’inconnue fit reculer Maria qui se redressa pour attraper un des verres que transportait la dénommée Jane.
C’était une grande femme qui dépassait Maria d’une bonne tête. Blonde au cheveu ramené en un complexe chignon son visage rappelait à Rose ces vielles affiches américaines des années 50, elle portait de grandes lunettes rondes qui soulignait un air sympathique et gentil. Elle portait un uniforme de soubrette ressemblant à ce qu’elle avait vu dans des films sur l’ère victorienne avec une longue robe tombant jusqu’aux pieds.

La seule modification étant le large trou au niveau de la poitrine qui laissait parfaitement visible une poitrine volumineuse qui rappelait à Rose celle de madame Brooks, un soutien-gorge composer de lien de cuirs relié a des caches tétons noirs semblait sous le pont de craquer sous la pression.
Une fois Maria servie elle resta debout a coté d’elle en souriant comme attendant de nouvelles instructions.
-Je te présente Jane, un petit cadeau de la part de mon dernier client. Elle va s’occuper de tout ce qui est cuisine et ménage.
-Tu peux m’appeler Jenny.
Dit la femme avec une voit douce.
Encore rouge pivoine Rose ne tenta même pas d’appeler la femme à l’aide. Elle avait compris que les gens qu’elle croisait ici ne lui seraient d’aucune aide.

Elle avait tenté vainement de retirer de son esprit les images de sa maîtresse lui faisant l’amour, mais son cerveau rendu fou par la frustration et les huiles ne pouvait plus arrêter le flot de son imagination.
Le peu de résistance qu’elle avait parti en fumée quand Jane sous les ordres de sa maîtresse déshabilla Maria. Dévoilant le corps parfait de sa maîtresse enserré dans un ensemble de lingerie complexe rose et noir, un porte-jarretelle ornée de petit ruban encadrait une chatte rasée parfaitement propre alors que son soutien-gorge tombait au sol libérant la poitrine parfaitement proportionné de la femme.
Jenny posa une cravache dans les mains de Maria et celle-ci se retourna vers la soubrette attachée sur le lit.

Elle la dominait de toutes les fibres de son corps, Rose pouvait le sentir, de son regard au moindre aspect de son corps Maria écrasait la pièce de sa prestance. Rose ne put que frémir quand la cravache remonta doucement de son bas ventre vers son menton alors que le regard de sa maîtresse attirait ses yeux comme des aimants. Même si Rose ne rêvait pas d’autre chose que de s’enfuir elle ne pouvait pas nier qu’a cet instant Maria était sa maîtresse absolue.
-Alors ? on a envie de me dire quelque chose ma chérie ?
-Mph ah ! hhh.

Un petit coup sur le coeur de bâillon activa un mécanisme qui le détacha permettant à la jeune fille de respirer un grand coup alors qu’un flot de salive s’échappait de sa bouche pour rapidement couler entre ses seins huilés.
Rose voulait fuir le regard de Maria, mais quelque chose l’en empêchait. La sensation sur ses tétons et ses aisselles semblait augmenter à chaque seconde . Si quelqu’un ne lui retirait pas cette foutue sensation elle allait perdre la raison ! elle n’avait pas d’autre choix que de satisfaire les attentes de sa maîtresse se dit elle alors que son entrejambe humide et une partie de son être qu’elle tentait de réprimer semblaient bien plus volontaire que ce qu’elle aurait voulu.
-Si tu veux, je te détache et tu iras te reposer ma chérie.

Dit Maria alors que la cravache forçait rose a maintenir la tête lever.
-P, punissez-moi.
Les mots sortir de sa bouche comme un murmure. Pourquoi avait-elle dit ça ?! Maria venait de lui proposer de la libérer ! pourtant une partie d’elle avait pris le dessus, une partie qu’elle haïssait plus que tout désormais alors que Maria souriait de toutes ses dents.
-Qu’est ce que tu as dit ma chérie.
Rose prit une large inspiration alors que sa maîtresse savourait chaque instant et chaque image de la jeune soubrette attachée devant elle. Rose ferma les yeux un instant pour tenter de chasser l’image de Maria, mais avoir passer ce qui lui avait semblé une éternité à avoir son esprit abreuvé d’image du corps parfait de sa maîtresse ne s’effaçait pas aussi vite.

Le corps dont elle avait pus admiré chaque recoin était devant elle, une seule phrase et elle pourrait enfin en profiter, voir son corps libérer des sensations qui l’envahissait, elle voulait jouir ! et plus encore elle voulait que le corps de Maria la fasse jouir ! son esprit maudit un instant Sofia d’avoir provoqué cette situation
Elle rouvrit les yeux et doucement leva la tête pour faire face au regard de Maria.
-S’il vous plaît, punissez-moi maîtresse.
Dit-elle d’une voix parfaitement soumise avant d’embrasser la cravache de bout des lèvres.

12
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Quel plaisir de pouvoir suivre la suite

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Quel plaisir de retrouver cette histoire et les tourments de la pauvre Rose

OlivX

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

Lissane Saga Ch. 01: Meeting Mistress The #1 out of the Lissane Saga. Lissane meets her mistress.
The Stewardess Became My Toilet How the flight attendant became my personal toilet.
No Turning Back Conservative divorcee finds her true calling.
Plus d'histoires