Chroniques Du Cheptel - Ch. 05

BÊTA PUBLIQUE

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— « Tu as eu ce que tu voulais, donne-moi le cristal maintenant. » Demanda la favorite en croisant les bras sur sa poitrine.

— « En fait les gens ont raison, tu es complétement idiote. Je garde le cristal, soit sure qu'on se reverra bientôt poupée. Je pense que la prochaine fois je te baiserais, si j'en crois ta petite culotte, tu en crève d'envie sale pute! »

Estelle allait rétorquer quelque chose de cinglant quand un coup de poing dans l'estomac la plia en deux. Le sergent agrippa une poignée de ses cheveux pour lui redresser la tête. « Une dernière chose salope, ça c'est pour m'avoir repoussé la dernière fois qu'on s'est vue. Tu n'es qu'une esclave! Si je te demande de sucer une bite, tu suce! Si je te demande d'ouvrir les cuisses, tu le fais! C'est compris trainée? »

Grimaçant de douleur, Estelle fit oui de la tête. Satisfait, le sergent, la lâcha pour frotter le cristal arrêtant sa diffusion plongeant dans le noir le jardin.

— « A bientôt poupée. » Dit-il en partant dans la nuit sans un regard pour elle.

Estelle prise de vertiges se mit à sangloter, elle reprenait péniblement son souffle, seule la lune éclairait maintenant le petit jardin. Elle ouvrit péniblement la porte de sa roulotte. Alluma une lampe à huile et se regarda dans un miroir, son mascara avait coulé, elle avait une mine affreuse. Heureusement qu'elle avait sur place de quoi se refaire une beauté.

Une colère sourde s'était emparée de la favorite, personne ne s'était jamais permis de la frapper de cette façon. Elle s'en voulait aussi d'avoir été aussi faible, aussi lâche. Mais que pouvait-elle faire? Il avait dans les mains de quoi la faire chuter. Elle énuméra mentalement les options qu'elle avait.

Elle pouvait demander à son diablotin de retrouver ce sergent pour fouiller ses affaires et lui voler ce cristal. Mais curieux comme il était, il voudrait savoir pourquoi et s'il regardait ce que contenait le cristal, Sonny serait tôt ou tard au courant à cause du lien qui unissait le maître à sa créature.

Elle pouvait demander à quelqu'un d'autre de voler ce cristal pour elle. Le meilleur voleur qu'elle connaissait s'appelait Askyl. C'était un démon, mais comme pour son diablotin, s'il était curieux et qu'il regardait l'enregistrement, elle changerait de maître-chanteur et ce démon était notoirement connu pour ses préférences sexuelles scatophiles. A cette évocation, elle frissonna de dégoût et repoussa l'idée. Elle préférait le sergent.

Elle pouvait lui envoyer Horpheu pour lui casser la gueule et récupérer le cristal pour elle. Mais si la manœuvre échouait, elle serait dans la merdre et il y avait toujours le risque que le démon guerrier voit le cristal et la dénonce.

Il y avait Hynys, la demi-elfe gérante de la Cave-du-Fort avait les moyens et les ressources pour l'aider. Mais elle la soupçonnait toujours d'attendre un faux pas de sa part pour prendre sa place de favorite. D'ailleurs, elle attendait avec impatience le rapport de son diablotin sur Hynys.

Il restait Théodolinda, le cristal avait été fait en sa présence et la démone avait autorité sur le sergent. Estelle pouvait lui expliquer la situation délicate dans laquelle elle se trouvait. Même si la démone l'avait malmenée la dernière fois qu'elles s'était vues, Théo était sans doute sa meilleure option.

A cet instant, quelqu'un toqua à la porte, distrayant Estelle de sa réflexion. C'était Dickers qui venait la chercher, Estelle mit rapidement une dernière touche à son maquillage. Elle était à nouveau parfaite.

*****

Pendant ce temps-là Hynys avait convoqué Sélanor dans son bureau pour discuter. La demi-elfe occupait un luxueux bureau en chêne massif ouvragé. Elle portait une robe noire rehaussée d'un bustier en dentelle. Ses cheveux étaient tirés en arrière pour former un chignon qui dégageait ses oreilles pointues tout en lui donnant un air sévère. Sélanor occupait une chaise confortable en face du bureau.

— « Qu'est-ce qu'il se passe avec Estelle? » Demanda directement Hynys.

— « Pourquoi? » Répondit le plus innocemment possible Sélanor.

— « Elle a un comportement étrange en ce moment. Et comme vous êtes toutes les deux amies, je te pose la question. »

— « Pourquoi tu ne lui poses pas la question à elle? » Rétorqua Sélanor sans se démonter.

— « Je ne sais pas, peut-être parce qu'elle est sous influence. Sinon comment expliquer qu'elle se comporte comme une allumeuse avec les clients ou les rumeurs de coucherie avec les gardes. Peut-être que ça a un rapport avec ce mage que tu fréquentes, ce Victor Hastenpoulos... un hypnotiseur c'est ça? » Demanda Hynys en plissant des yeux.

— « Peut-être que tu devrais te mêler de tes affaires. » Répondit calmement Sélanor.

— « C'est mon boulot de vous protéger toutes. Si Estelle tombe ce sera Mestélys qui deviendra la nouvelle favorite. »

— « Et alors! Tu n'empêcheras pas Mestélys de prendre la place de favorite. Sonny c'est lassé d'Estelle, alors autant montrer à Mestélys que nous ne lui sommes pas hostiles! » Dit Sélanor en haussant le ton.

— « Mestélys est une intrigante, une arriviste doublé d'une suprématiste. Elle déteste les demi-elfes. Et dès qu'elle aura la place de favorite, elle fera le ménage dans le cheptel. Rien ne dit qu'elle ne te considérera pas comme une menace pauvre idiote. Au moins, avec Estelle c'est tranquille! »

— « On s'occupera de Mestélys après, si elle pose problème. » Répondit Sélanor.

— « Ah, et c'est qui ce, on? Toi et Clotilde? » Demanda Hynys sarcastique.

— « Alors oui, on s'est amusée avec Estelle et tu ne peux plus rien pour elle. Regarde le bon côté des choses, on manque de prostituées et avec Estelle on aura bientôt une pute de plus pour satisfaire les clients. » Rétorqua Sélanor d'un ton agacé.

— « C'est ce que t'as demandé Sonny, de faire d'elle une pute? »

— « Il ne l'a pas dit comme ça, tu le connais... » Commença Sélanor.

— « Quoi?! Attend, tu es en train de me dire que Sonny n'est pas au courant? » Dit Hynys atterrée par la nouvelle.

Sélanor se leva s'empara d'une bouteille et servi deux verres. Elle but le sien d'un trait avant de continuer.

— « Ok, je vais te raconter l'histoire depuis le début. Dès le premier jour, Sonny avait partagé Estelle avec Théodolinda. Coté sexe, la favorite était douée, mais pas assez. Théo et Sonny l'ont entrainée pour qu'elle devienne la meilleure baiseuse possible. C'est bon tu suis? »

— « Oui, je sais tout ça. » Répondit Hynys, à son tour agacée par le ton condescendant de Sélanor.

— « Sonny a commencé à se lassé d'elle, il y a environ deux ans quand Estelle avait piqué une crise lors de son 23ème anniversaire parce qu'il n'avait pas pu se libérer ce jour-là pour venir la voir. »

— « Oui, je me souviens, elle était hystérique, elle avait cassé un vase et balancé des trucs à travers la pièce ce jour-là. » Se remémora Hynys.

— « Ce que tu ne sais pas, c'est que à partir de ce jour-là, par petites touches, Sonny a utilisé ses pouvoirs sur sa favorite pour la punir. Pendant qu'il la valorisait, il l'a rendait plus malléable c'est pour ça que Victor n'a eu aucun mal à la conditionner. Faire d'elle une pute a toujours été l'objectif de Sonny. »

— « Mais pourquoi attendre deux ans s'il s'était lassé d'elle? » Demanda Hynys en resservant à boire.

— « Je ne sais pas, peut-être qu'il voulait prendre son temps, peut-être qu'il voulait attendre que sa popularité soit à son apogée avant de la faire dresser, peut-être qu'il voulait continuer à la baiser. Sans doute un mélange de tout ça. Ce qui a précipité la chute d'Estelle a été le bannissement d'Amandine. Le mois dernier Sonny a fait annuler les protections d'Estelle et il a financé secrètement sa rivale depuis toujours, Clotilde. »

— « Et pourquoi ne la dresse-t-il pas lui-même alors? » Demanda Hynys.

— « Tu connais Sonny! Il a créé toutes les conditions pour la chute de sa favorite. Il attend de moi que je lui organise un beau spectacle. Tous les moments forts de son dressage sont consignés sur des cristaux enregistreurs et dans un livre par Smordif. Quand Sonny reviendra, il pourra répudier sa favorite et il sera reconnaissant envers ceux qui lui auront offert le spectacle de la déchéance d'Estelle. A toi de voir si tu veux en être ou pas. » Sélanor posa son verre et se leva avant de rajouter. « Si Estelle t'énerve, baffe là et remet là à sa place, c'est tout ce qu'elle mérite. » Et Sélanor quitta le bureau.

Une fois l'elfette partie, un homme redevint visible à côté d'Hynys. Il était brun dans la quarantaine d'année, son apparence était soignée. Il portait une redingote noire dont le revers était orné d'un insigne pirate en argent.

— « Alors Eton, tu en penses quoi? » Demanda la belle demi-elfe.

Le dénommé Eton, fit le tour du bureau pour aller s'asseoir sur la confortable chaise qu'occupait Sélanor quelques instants plus tôt.

— « Tout cela n'est qu'un jeu pour Sélanor. Mais pour l'essentiel, elle dit la vérité. Elle pense être dans les bonnes grâces de Sonny. Elle veut retirer avantages et pouvoirs de la chute de la favorite de Sonny. Avec les conseils de Théodolinda, elle va commencer son dressage à la dure. Elle compte offrir les charmes d'Estelle aux gens et aux démons qui lui seront utiles par la suite. Victor a terminé le conditionnement hypnotique de la favorite, Estelle ne peut plus être sauvée.» Enonça-il.

— « D'accord et elle a menti sur quoi? » Demanda suspicieusement Hynys.

L'homme se racla la gorge pour se donner une contenance. « En sondant son esprit j'ai découvert qu'en satisfaisant les besoins pervers de Sonny, elle espérait être récompensée un jour et devenir la patronne de la Cave-du-Fort. Elle convoite ta place, cependant je n'ai trouvée aucune pensée malveillante à ton égard, elle n'est pas pressée. »

— « C'est bon à savoir, quoi d'autre. »

— « Quand elle a parlé d'Amandine, je suis tombé sur quelque-chose en scannant son esprit. C'est Sélanor qui a piégée Amandine le mois dernier avec l'aide de l'incube Razel. Elle a choisie Amandine parce que Victor la fréquentait. Elle savait qu'Estelle serait forcée de la punir sévèrement. Ce qui donnait un levier à Sélanor pour manipuler Victor et l'utiliser ensuite contre Estelle. »

Hynys pesait les conséquences de ce qu'elle venait d'apprendre si d'aventure Victor apprenait la vérité.

— « N'en parle à personne, ce qui est fait est fait. » Déclara Hynys en soupirant.

— « Tu sais que tu peux me faire confiance. » Répondit Eton avec un sourire avant d'ajouter. « Je dois dire que ça ne me déplait pas de voir Estelle bientôt réduite à l'était de pute. »

— « Ça ne m'étonnes pas. » Dit Hynys en toisant Eton de ses beaux yeux bleus.

La belle demi-elfe retira deux épingles de ses cheveux et secoua la tête pour défaire son chignon. Ses beaux cheveux noirs cascadèrent sur ses épaules masquant ses jolies oreilles pointues de demi-elfe. Elle chaloupa des hanches pour venir se poser à califourchon sur les genoux de l'homme. Joueuse, Hynys défit les boutons de la redingote d'Eton. Il l'embrassa brièvement sur la bouche mais Hynys la plaqua rapidement contre le dossier de sa chaise pour s'attaquer à la boucle de la ceinture de son pantalon.

Quelques instants plus tard, Eton besognait Hynys sur son bureau. Sa robe noire était simplement troussée autour de ses hanches. Les jambes de la belle étaient nouées autour du bassin de son amant.

— « Tu l'avais baisée toi Estelle... c'était quand déjà? » Demanda Hynys tout en restant concentrée sur ses sensations.

— « Oui... c'était il y a trois ans... après une fête... un anniversaire je crois. C'était juste avant que... Sonny ne fasse d'elle sa favorite... Je ne sais pas ce que le patron lui avait fait... elle était chaude comme la braise... » Révéla Eton entre deux grognements de plaisir.

— « Oui... c'est à la suite de ça que Sonny l'avait punie en lui faisant faire un strip-tease pour les orcs... c'est bon continu comme ça... » Dit Hynys en resserrant la pression de ses jambes sur le bassin de son amant.

— « Oui... c'est ça! » Répondit Eton en accélérant la cadence, il sentait qu'il n'allait pas tarder à jouir.

— « Et tu préfères la baiser, elle ou moi? » Demanda la demi-elfe.

— « Toi, ce sera toujours toi... » Répondit Eton en éjaculant dans un grognement.

— « Menteur... » Rétorqua Hynys d'une voix tremblante de plaisir.

Le couple resta imbriqué l'un dans l'autre pendant quelques instants profitant des dernières sensations agréables avant de se séparer.

— « Tu vas faire quoi pour Estelle? » Demanda Eton après avoir repris son souffle.

— « Rien. » Répondit simplement Hynys en rajustant sa tenue et sa coiffure.

*****

Plus tard dans la nuit, Estelle dormait sur le flanc dans son grand lit confortable. Sa chambre n'était éclairée que par les rayons de la lune qui passaient entre les volets de sa fenêtre restés entrouverts. On devinait plus qu'on ne voyait sa présence dans le lit. Sa respiration lente et régulière indiquait qu'elle dormait paisiblement. Elle bougea sans se réveiller quand quelqu'un retira les draps qui la recouvraient. La belle endormie portait une nuisette de soie rouge. Elle ne se réveilla pas non plus quand le bois de son lit craqua indiquant que quelque chose de lourd se déplaçait lentement près d'elle. Des mains puissantes se posèrent sur ses hanches la retournant avec précaution pour la mettre à plat dans le lit. Les gestes de l'intrus étaient précis comme si l'obscurité ne le dérangeait pas. Une main remonta la nuisette de la favorite sur son ventre dénudant son pubis et lui écarta les cuisses. La silhouette imposante la contempla un instant écoutant sa respiration calme. De grandes mains caleuses caressaient ses cuisses pour finir par les relever. La respiration d'Estelle changeât de rythme quand un pouce large vint lui masser le clitoris.

— « Hum... Sonny... » Murmura-t-elle dans un demi-sommeil.

Quelque chose de dur se pressa contre sa vulve repoussant ses grandes lèvres pour essayer de s'introduire en elle. La chose était énorme et son vagin mal préparé, sa respiration changea encore de rythme. La jeune femme se réveilla brusquement, en alerte.

— « ... Mais que... Non pas ça... » Une large main se plaqua durement sur son visage écrasant sa bouche étouffant ses protestations. La chose qui tentait de la pénétrer força le passage s'enfonçant de quelques centimètres dans son vagin. Les yeux d'Estelle s'écarquillèrent pendant que son hurlement était étouffé. La douleur était atroce, le chibre hors norme de son agresseur la coupait en deux. Les bras de la jeune femme s'agitèrent dans une tentative futile pour repousser son violeur. Le chibre progressa encore, centimètres après centimètres creusant son intimité. Soudain, elle le sentit reculer, elle se crispa et retint son souffle anticipant la suite. Il prenait de l'élan pour mieux la défoncer, l'ouvrir. Elle hoqueta sous la main qui la plaquait dans son lit, quand l'énorme chibre revint à la charge, il s'enfonça plus profond en elle et plus profond encore la fois suivante, finalement il heurta son col de l'utérus.

Le démon, ce ne pouvait être qu'un démon repris ses vas et viens dans sa chatte dévastée. Estelle n'avait jamais pris une bite aussi grosse. Les vas et viens étaient lents mais puissants, la douleur était toujours terrible, impuissante, la favorite sentait que le chibre démoniaque coulissait plus facilement dans son vagin lubrifié par un liquide visqueux, sans doute du sang pensa-t-elle au bord de l'évanouissement. Le lit grinçait à chaque mouvement sous le poids du démon. On devinait la puissante silhouette du démon sur le lit, ses épines dorsales dressées, frétillaient et rougeoyaient d'excitation.

Il lui murmura à l'oreille. « Maintenant que tu es ouverte, tu vas être bien gentille et me donner du plaisir comme une bonne chienne sans inhibitions. » Ouverte, c'était le terme qu'utilisaient les démons quand l'un d'eux baisait une fille pour la première fois. Cela signifiait que d'autres suivraient. Elle venait de se faire ouvrir, l'odeur du démon serait sur elle. La grosse main qui lui écrasait la bouche se retira, Estelle prit une goulée d'air salvatrice. L'esprit de la favorite était submergé par la douleur, sous l'influence du mot de commande hypnotique, elle ne cherchait plus à résister.

Une lumière vacillante apparut sur le côté droit de la chambre, Smordif venait de gratter une allumette pour allumer une bougie sur sa commode. Le diablotin à l'instar des autres démons possédait une vision nocturne performante, il n'avait pas besoin de lumière pour voir la nuit. Par contre il avait besoin de lumière pour le cristal enregistreur posé sur la commode. Braqué en direction du lit de la favorite, il immortalisait la scène qu'il regardait pour la postérité. Il alluma rapidement trois bougies de plus et s'arrêta pour contempler la scène.

Pizarda était dans le solide lit en bois ouvragé de la favorite, la frêle silhouette d'Estelle sous lui. Il la tenait de ses mains puissantes par les hanches. Il la baisait avec de longs coups de reins amples emprunts d'une lascivité bestiale. Le cuir de sa peau foncée contrastait avec la peau claire d'Estelle. Ses épines dorsales rougeoyantes se dressaient et se courbaient accompagnant chacun de ses coups de reins. Le démon grognait de plaisir en défonçant méthodiquement la jeune femme qui s'agrippait désespérément aux draps de son lit. Estelle avait les cuisses largement ouvertes pour mieux accompagner et encaisser les vas et viens du chibre démoniaque. Le bois du lit n'arrêtait pas de grincer, du sang s'était répandu sous ses fesses, il s'étendait sur les draps en une flaque toujours plus large. Des larmes coulaient du beau visage de la favorite et sa bouche était ouverte dans un cri silencieux mélange de souffrances et d'extases.

La scène était terriblement érotique et Smordif se tapait tranquillement une sègue assis sur la commode. Après de longues minutes de ce traitement, les grognements et les mouvements de Pizarda s'accélérèrent, enfin il releva la tête en grognant. Ses piquants dorsaux se tendirent et devinrent plus lumineux pendant un bref moment, inondant le plafond puis la chambre d'une lumière d'un rouge profond. Un long jet de foutre suivit de deux autres plus petits, remplirent alors le vagin dévasté de la favorite. La lumière émise par ses piquants baissa rapidement d'intensité alors qu'ils reprenaient leur place le long du dos musclé du démon. Sexuellement satisfait, Pizarda se retira, le démon descendit du lit et admira un instant son œuvre.

Le sexe d'Estelle était béant, un mélange de foutre, de sang et de cyprine s'en échappait. Les draps allaient être dur à ravoir pensa avec amusement Smordif. Estelle était inerte, allongée dans son lit, sa respiration était rapide. Pizarda se rapprocha à nouveau du lit.

La favorite cria de surprise quand la main griffue du démon empoigna fermement ses cheveux pour la redresser et la jeter à genou sur le lit. La jeune femme se retrouva en face du chibre démoniaque qui venait de la baiser. De couleur sombre, il devait mesurer dans les 35 centimètres de long pour 8 de diamètre. Il était recouvert de fluides corporels, mais Estelle pouvait quand même voir les détails de son anatomie. Sa hampe était parcouru de veines proéminentes, son gland était couvert de picots de chair de différentes tailles ce qui lui donnait une forme étrange. De lourdes couilles bien poilues complétaient le tableau, elles devaient être deux fois plus grosses que des couilles d'homme pensa-t-elle.

Pizarda bifla Estelle à plusieurs reprises, laissant des traces de sperme et de sang sur son visage. La jeune femme essaya de le prendre en bouche, mais la verge se dérobait sans cesse pour venir frapper ses joues, son nez, son menton, ses yeux. Enfin Pizarda ne se déroba plus et il présenta son chibre devant les lèvres ouvertes de la favorite. Il plaça l'une de ses mains derrière la tête de la jeune femme pour exercer une pression sur celle-ci et s'enfoncer dans sa bouche. Docile, Estelle entrepris de nettoyer, avec sa langue, la verge des divers fluides corporels présents sur celle-ci.