Chroniques Du Cheptel - Ch. 06

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Les dix-neuf prisonniers mâles étaient parqués dans un enclos à bétail du village. De grandes torches plantées dans le sol assuraient une bonne visibilité aux trois gardes qui les surveillaient. La plupart des villageois étaient assis dans la terre, certains étaient endormis a même le sol. Ils étaient de constitution robuste et feraient de bons esclaves sur le chantier naval de Sinistrevent ou, pour les plus indisciplinés, dans les mines de fer de Sonny. Naya pensa même avec gourmandise que certains d'entre eux étaient franchement beaux gosses. Mais ce n'était rien en comparaison de leurs femmes. D'habitude sur un village de cette taille, seule une ou deux filles sortait du lot et encore dans le meilleur des cas. En avoir une dizaine était tellement inespéré que ça en devenait étrange. Mais le plus surprenant était la grande complaisance presque servile de ce peuple. La majorité d'entre eux ne manifestaient aucun esprit de révolte et semblait accepter leur sort. Selon les critères de Naya c'était très inhabituel, mais elle ne connaissait rien de ce nouveau monde. Elle comptait sur les prisonniers pour en apprendre plus sur leur culture.

Naya pénétra dans l'enclos, elle avait tout de suite repéré un attroupement vers le fond dont Miriele était le centre. La succube préféra se diriger en premier vers le fiancé de celle-ci. Le jeune homme était allongé, emmailloté dans une couverture. Il était pris de crises épisodiques de tremblements et de gémissements, il avait l'air épuisé. Naya s'accroupit devant lui et lui saisit le poignet pour prendre son pouls. La main de l'homme était belle et jeune, son pouls était régulier quoique faible. Son visage s'était encore un peu plus ridé et il avait perdus quelques touffes de ses cheveux blanchis. Il bavait et avait le regard perdu dans le vague, dans la direction de l'attroupement. Là où, Miriele, sa fiancée, taillait des pipes à ses amis. Naya se rendit compte que l'homme murmurait faiblement quelque chose. La succube rapprocha son visage du sien. L'homme murmurait « chaalope... » en regardant sa fiancée « ché une chalope... »

Naya lui répondit doucement à l'oreille. « Oui ta fiancée n'est qu'une salope, qui aime sucer des bites... » avant de se redresser en souriant. Elle rajusta d'un geste sensuel une mèche de ses cheveux bleus azur qu'elle glissa derrière son oreille et reporta son attention vers l'attroupement. Miriele était à genou, entourée par six hommes. Elle avait une bite dans la bouche. Une autre bite près de son visage attendait son tour, impatiente. La jeune femme avait les mains occupées à branler en même temps deux autres bites turgescentes. Elle avait du sperme dans ses cheveux, sur son visage et sur ses seins. Sa longue jupe blanche était sale a force de trainer dans la terre de l'enclos.

Naya se concentra sur Miriele pour s'insinuer dans son esprit. Après que Torbelock l'ait copieusement violée, la démone avait dominé sexuellement la jeune femme. Intimidée, Miriele ne lui avait pas vraiment opposée de résistance et s'était soumise à sa volonté. Naya avait utilisé ses capacités de succube pour établir un lien mental avec sa victime. Ainsi pendant que Naya jouait avec le corps de la jeune femme en la faisait jouir encore et encore, elle violait en même temps son esprit. La succube lui parlait mentalement, lui susurrait qu'elle était faible, qu'elle n'était qu'une trainée, une esclave...

Une fois liée, la démone pouvait savoir à tout moment ce que Miriele pensait, elle pouvait même lui suggérer de faire certaines choses sans qu'elle ne s'en rende compte. L'esprit de la fille du chef était partiellement sous le contrôle de Naya et la pauvre fille n'en avait pas conscience.

Naya l'avait cravachée pour le plaisir achevant de la briser. Sa cravache de dressage, fait d'un cuir rouge éclatant, avait visée son cul, ses seins, ses cuisses, sa chatte. En plus de la morsure cuisante du cuir, cette cravache envoyait de douloureuses décharges électriques. Miriele avait glapi sous les coups pendant que Naya se moquait d'elle, lui disant mentalement qu'elle le méritait. La jeune femme avait pleuré jusqu'à ce que ce soit elle qui s'avilisse en implorant la pitié de Naya, lui promettant sa soumission absolue, d'être une bonne esclave pour sa belle et magnifique maîtresse, avouant être une trainée. Quand Miriele lui proposa entre deux sanglots de lui lécher la chatte, la punition cessa et la jeune esclave passa le reste de l'après-midi à gouter au sexe au goût amer de sa maîtresse démoniaque. Torbelock qui avait repris des forces en avait profité pour enculer longuement le cul rougis de la jeune femme.

Naya était satisfaite de son travail, elle n'avait mis moins d'une après-midi pour briser le vernis d'arrogance de la fille du chef et faire d'elle une esclave sexuelle. Il lui restait quelques leçons d'obéissance à apprendre, mais le gros du travail était fait, elle apprendrait le reste à la dure. Miriele était faible, ce peuple était faible. Naya était toutefois satisfaite de la manière dont Miriele la regardait, un mélange de peur, de résignation et d'admiration, non plutôt de fascination pour sa beauté démoniaque. Sonny allait être content de sa nouvelle esclave.

Pour l'heure la succube ressentait la honte de Miriele, les genoux dans la terre de l'enclos, une bite dans sa bouche. La jeune femme redoubla d'ardeur sur la queue qu'elle pompait en voyant Naya et Scrat s'approcher d'elle. Sa bouche lui faisait un peu mal, mais elle ne voulait pas risquer de contrarier sa cruelle maîtresse en paraissant fainéante.

La fille du chef était venue une heure plus tôt dans l'enclos. Elle ne portait que sa jupe longue, son bustier était définitivement perdu et ses seins étaient offerts aux regards de tous. Son cul lui faisait encore mal de la correction que lui avait infligée plus tôt Naya. Elle avait emmené avec elle deux outres de vin que lui avait donné sa maîtresse pour les prisonniers. Le vin avait été plutôt bien accueilli par les hommes et les outres passèrent rapidement de mains en mains. Certains villageois lui avaient posé des questions sur les envahisseurs, certains ne pouvait s'empêcher de regarder ses seins. Miriele avait préféré rester évasive. Elle avait prodigué quelques soins à son fiancé, le voir dans cet état était difficilement supportable pour elle. La jeune femme comprit qu'elle ne s'attarderait pas aussi longtemps qu'elle l'avait souhaité auprès de son fiancé.

Miriele regardait du coin de l'œil qui était prisonnier dans l'enclos. Elle soupira de déception, aucun endroit pour obtenir un peu d'intimité. La jeune femme prit son courage à deux mains, donna un dernier baiser à son fiancé et se releva. Elle s'était dirigée vers un jeune chasseur de son village accoudé à la barrière de l'enclos. Pour se donner du courage, elle lui avait pris des mains l'outre de vin qu'il tenait et s'en était envoyée deux bonnes rasades avant de la lui rendre. C'était un vin rouge épicé, chargé en alcool, un peu lourd mais pas désagréable en bouche. Le jeune homme faisait manifestement des efforts pour ne pas lui mater les seins et ménager sa pudeur. Il but à son tour et passa l'outre presque vide à son voisin, un homme à la barbe noire, de bonne carrure.

Miriele se remémorait les mots de Naya. Tu n'es qu'une trainée, tu n'as qu'à agir comme telle. Cette phrase tournait en boucle dans sa tête depuis qu'elle avait pénétré dans l'enclos des prisonniers. Elle s'était collée contre le jeune chasseur en lui murmurant combien il avait été courageux pendant le combat et qu'il méritait une récompense. A la faveur de la nuit, elle espérait être discrète en commençant à lui masser le sexe à travers son pantalon de toile. Miriele avait ressentie une sorte de fierté en sentant grossir rapidement la verge du chasseur à travers l'étoffe. Elle libéra fébrilement le sexe de l'homme et continua à le masturber le plus discrètement possible tout en lui disant qu'il avait une belle queue et qu'elle voulait la sucer.

Malheureusement pour elle, son manège n'était pas passé inaperçu du voisin barbu. Il avait fait signe à deux de ses amis villageois qui s'étaient rapprochés. Miriele ne se rendit compte de leur présence que quand elle se mit à genou devant le chasseur. Les deux nouveaux venus avaient l'air un peu ivre.

Tant pis pour la discrétion, Miriele ne pouvait pas se défiler, son fiancé en subirait les conséquences. Elle emboucha le sexe du jeune chasseur et commença à le pomper consciencieusement. Tu n'es qu'une trainée, tu n'as qu'à agir comme telle. Miriele vit à la lueur des torches que l'un des villageois sortait sa bite pour se branler en la regardant tailler sa pipe. Le barbu rameuta plus de villageois et un attroupement se forma rapidement auprès de la jeune femme. Les prisonniers étaient particulièrement émoustillés de voir la fille du chef se comporter comme une simple fille de joie.

Le jeune éjacula rapidement dans la bouche de la fille et son sexe fut remplacé par celui plus épais de l'homme à la barbe noire. L'homme était tanneur, c'était aussi le père de l'une de ses amies. Miriele entendait les commentaires vulgaires des hommes sur elle. La jolie blonde était morte de honte, elle accéléra la cadence, faisant courir sa langue sur le sexe épais du barbu, mettant plus de salive sur le pénis qu'elle avait en bouche. Puis elle se concentra sur le gland pour l'aspirer tout en jouant avec les couilles du tanneur. Pendant que ses joues se creusaient, Miriele se surpris à penser que ses couilles avaient l'air bien pleine. Etourdit par l'effort de succion de la jeune femme, le tanneur ne tarda pas à éjaculer à son tour dans la bouche de la fille du chef. Miriele en avala une partie mais la verge de l'homme quitta sa bouche pour asperger son menton et ses seins. La verge du barbu se balança un instant devant les yeux de la jolie blonde. Miriele s'essuya le menton d'un revers de la main et regarda autour d'elle. Cinq villageois l'entouraient, trois d'entre eux avaient sorti leur pénis. Un homme se rapprocha d'elle et lui fourra son sexe dans la bouche.

Tout cela n'était pas normal, le comportement des villageois n'était pas normal. Elle les connaissait tous, comment pouvaient-ils se comporter de la sorte avec elle. Pire, elle commençait elle-même à être excitée par la situation. Tu n'es qu'une trainée, tu n'as qu'à agir comme telle. Miriele attrapa fébrilement une verge qu'elle commença à masturber pendant qu'elle pompait un ami de son fiancé.

Quand elle aperçue Naya ramenant une nouvelle outre de vin, elle comprit. Le vin ! Naya avait dû droguer le vin qu'elle avait apporté aux prisonniers et elle en avait bu, elle aussi ! A cette pensée, la chaleur dans son bas ventre s'intensifia.

-- « Et bien, qu'avons-nous là? » Demanda Naya en repoussant un prisonnier pour se planter devant Miriele.

A genou devant les hommes de son village, la fille du chef offrait un spectacle pathétique. Du sperme dans les cheveux, les seins à l'air, sa jupe blanche salie par la terre de l'enclos légèrement boueuse par endroits.

Miriele entendit dans son esprit la voix cinglante de Naya. « Met plus d'ardeur au travail, petite trainée ! Confirme tout ce que je dis et avec le sourire, si tu ne veux pas tâter de ma cravache. » La jeune femme était déjà au maximum de ce qu'elle pouvait mais, à l'évocation de la cravache, elle redoubla d'efforts sur la verge qu'elle avait en bouche.

-- « Apparemment, sucer des bites sur la place du village a finalement suscité une vocation en elle. Qui aurait pu croire que la fille du chef du village était aussi salope? » Déclara à haute voix la succube d'un ton méprisant.

A ce moment l'un des hommes qu'elle branlait éjacula et toucha Miriele dans l'oreille, le sperme collant s'infiltra dans son conduit auditif, coula dans son cou. Les jets suivants maculèrent ses cheveux. Les hommes qui l'entouraient devenaient de plus en plus fiévreux et voulaient une part de la fille. Celui dans sa bouche, sur le point de jouir, enfonça sa queue au plus profond du gosier de la jolie blonde manquant de la faire s'étouffer. Il se libéra en de longues saccades au fond d'elle avant de céder sa place à un autre.

Miriele était dans un état second quand Naya organisa une pause. Le vin, la drogue, toutes ses bites dressées autour d'elle, l'odeur du sperme lui faisait tourner la tête. Elle doutait de pouvoir marcher, aussi elle resta à genou. La fille du chef acquiesça sans réfléchir quand Naya lui demanda si elle aimait sucer des bites. La jeune femme avait largement atteint son quota d'une dizaine de pipes mais la démone n'en avait pas fini avec elle. Naya porta aux lèvres de la jeune femme l'outre qu'elle avait ramené et lui fit boire une longue rasade de vin épicé. La succube donna ensuite l'outre aux prisonniers qui passa rapidement de mains en mains.

Miriele remarqua à peine quand Scrat lui retira sa jupe sous le prétexte ne pas la tacher plus. Elle était maintenant totalement à genou nue devant les prisonniers. « Masturbe-toi devant tes amis, petite trainée ! »

Miriele obéi à l'injonction télépathique de sa maîtresse et elle porta une main sur son sexe, joua un bref moment avec sa toison fine avant d'introduire deux doigts dans sa chatte échauffée. Miriele gémit doucement alors que ses doigts jouaient avec sa chatte humide agaçant son clitoris. En face d'elle, trois prisonniers recommençaient à se masturber en face de son visage. « Demande-leur de te baiser ! »

Miriele jeta un regard incrédule et misérable à Naya et fit un petit non de la tête. « Maintenant, salope ! Et soit cochonne ! » La démone fit un geste discret en direction de la cravache de cuir rouge qui pendait accroché à sa ceinture. Un bref éclair de panique passa dans les yeux de Miriele.

-- « Baisez-moi... Baisez-moi... J'en ai envie... Remplissez-moi de foutre ! Baisez-moi comme une chienne ! Faites de moi votre esclave, je ne suis que ça, une petite salope et une esclave... » Déclara avec le plus de conviction possible la jeune femme, sa déclaration se termina dans un sanglot. Des larmes coulaient sur son beau visage mais personne n'en avait cure.

Sur un geste de Naya, Scrat chopa Miriele par les cheveux pour la trainer en face de son fiancé qui murmurait toujours des mots incohérents.

-- « Non s'il-vous plait, pas devant lui ! » pleurnicha faiblement la jeune femme.

Le démon-loup ignora ses suppliques et disposa la fille à quatre pattes devant son fiancé et lui claqua vicieusement les fesses avant de se reculer. Tous les prisonniers avaient les yeux braqués sur elle maintenant.

Miriele sentit une paire de mains l'agripper aux hanches et une verge se présenter contre sa chatte, glissant entre ses lèvres, elle la sentit s'enfoncer dans son vagin lubrifié. Sa bouche s'arrondit, le souffle coupée, cette verge était épaisse, bien plus que celle de son fiancé ou que celle de l'homme en noir qui l'avait violée dans l'après-midi.

-- « Encourage-le petite trainée, tu seras punie demain pour ton manque de conviction. Combien de fois dois-je te le dire. Encourage tous ceux qui te font l'honneur de te baiser, espèce d'idiote ! » Commanda mentalement Naya.

Miriele tenta de refouler ses larmes et bafouilla « ...vas-y baise moi plus fort... c'est bon... Oh oui... plus fort... plus fort... »

-- « Oui je vais te défoncer, salope ! Si je l'avais su plus tôt... » Répondit le prisonnier.

L'homme la baisait méthodiquement en ahanant. Le con de Miriele s'adaptait douloureusement à l'intrusion et bientôt chaque coulissement de sa bite dans son vagin lui provoquait des sensations agréables se mélangeant à la douleur. Quelques coups de reins plus tard, cette verge lui arrachait malgré elle des gémissements de plaisir, la jeune femme sentait monter en elle, les prémices de son orgasme. Elle ne voulait pas jouir, pas comme ça, pas devant son fiancé. Pourtant la jeune femme dit. « ...Oooh... ooh... c'est trop bon... ah...continu... oui... ooui... je vais jouir ! »

La fille du chef se tortilla un peu pour voir qui la baisait avec autant de vigueur. C'était le tanneur barbu qu'elle avait pompé tout à l'heure, En réalisant que c'était le père de l'une de ses amies qui la baisait, Miriele sentit monter en elle une implacable vague de plaisir, elle se mordit la lèvre pour tenter de la contenir, sans succès. Elle lâcha une longue plainte de jouissance, sa voix se cassa alors qu'un puissant orgasme la dévastait. Sa chatte palpitait de manière incontrôlée, envoyant des sensations de plaisir au barbu qui grogna, jouissant à son tour. Il resta fiché profondément en elle, savourant les derniers instants de son plaisir puis il se retira laissant la vulve de la jolie blonde ouverte comme une invitation pour les autres. Son sperme s'écoulait du sexe entrebâillé de la fille. Un autre homme prenait déjà sa place, plaçait sa bite devant la vulve offerte de la jeune femme et poussa...

-- « Tu continues comme ça avec tous ceux qui voudront te baiser. On se voit demain pour ta punition. Si tu as compris, hoche la tête, trainée. » Miriele reprenait à peine son souffle, alors que son nouvel amant commençait à la pistonner. Elle hocha positivement la tête à la commande mentale de la succube.

-- « Oooh, oui... Prend-moi comme ça ! ou... oui... baise moi... » Commença Miriele. Elle voulait résister, y mettre moins de conviction, mais à cause du vin drogué, son corps réclamait malgré elle du plaisir. Elle était chaude et ça empirait. Les prisonniers étaient dans le même état qu'elle. Un homme se mit à genou devant elle pour lui fourrer sa queue dans la bouche. Miriele l'avala sans réfléchir.

-- « Bien... Laissons nos amis villageois s'amuser pour cette nuit avec cette petite salope. Dans cet état, ils ne chercheront pas à s'enfuir. » Déclara à haute voix Naya en faisant un clin d'œil à Scrat, puis elle rajouta. « Viens, nous avons affaire ailleurs... »

*****

Naya avait entrainé Scrat dans une jolie maison. Il avait découvert une fille enchainée dans la salle principale, elle était dans une position inconfortable. Des chaines étaient reliées à un anneau grossièrement planté dans le plafond, lui étirant les bras vers le haut. Pied nu, ses orteils touchaient à peine le sol. Elle portait une jupe longue marron et un bustier de cuir assorti. Sa taille était fine, elle avait l'air jolie. Ses yeux étaient bandés avec une lanière de cuir épais.

Deux molosses sataniques veillaient sur elle. Le premier, couché aux pieds de la fille, se leva pour venir se frotter affectueusement contre Naya. L'imposant chien démoniaque était content de voir sa maîtresse. Scrat lui gratta distraitement l'échine lui ébouriffant le poil. Le second restait assis immobile à côté de la fille enchainée, reniflant ses cuisses. La fille se tortilla un peu, essayant sans doute de deviner qui venait d'entrer. Aussitôt le molosse à côté d'elle grogna sourdement et la fille cessa de gigoter.

D'après ce que voyait Scrat, le père de la fille devait être tanneur. Il y avait dans un angle de la maison, une sorte d'atelier avec de nombreuses pièces de cuir et de tissus dont certaines étaient assemblées. La fille devait être couturière pensa le démon.

Naya enleva le bandeau de la jeune femme. Elle cligna des yeux plusieurs fois avant que sa vue s'adapte à la lumière.

Scrat faisait lentement le tour de la prisonnière, elle était châtain, les yeux clairs. Une tresse partait de ses tempes pour faire le tour de sa tête. A chaque croisement de sa tresse, une mèche de cheveux retombaient en cascade ondulée sur ses épaules. L'effet était saisissant, cette tresse en cascade était magnifique.

-- « Elle est pas mal, elle a l'air d'avoir un joli petit cul. J'aime bien les cheveux aussi. » Lâcha Scrat sur un ton froid.

Naya posa la lanière de sa cravache de cuir rouge sous le menton de la jeune femme. Au loin les cris d'une femme en train de jouir montaient crescendo.

123456...8