Crescendo Sensuel Partie 04

Informations sur Récit
Céline et Raphael franchissent un cap.
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Récit n'a pas de balises

Partie 4 de la série de 9 pièces

Actualisé 06/14/2023
Créé 03/03/2023
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Chapitre 4 : Vacances Hongroises

Les jours passèrent puis les semaines. Ils avaient trouvé une sorte de rituel quasi immuable : le matin, elle le masturbait pendant qu'il malaxait ses seins avant de les baiser comme un forcené et le soir, elle lui administrait une fellation en toute quiétude jusqu'à ce qu'il se répande au fond de se bouche. Entre les deux, elle se laissait aller régulièrement à des plaisirs solitaires qui, à défaut de l'assouvir, lui permettaient de ne pas devoir faire appel à lui pour atteindre un orgasme quotidien pourtant bien nécessaire à son équilibre tant physique que mental.

Elle avait aussi appris supporter ses changements d'humeur et à détecter les signes de tension qui demandaient une relaxation sexuelle supplémentaire. Elle s'ingéniait alors à le distraire par un comportement provoquant qui se terminait immanquablement à genoux à branler ou sucer la bite de son seigneur et maître.

Ni l'un, ni l'autre n'avait pour le moment essayé d'aller plus loin, ce qui convenait très bien à Céline tiraillée entre l'envie de se faire tringler comme une actrice porno et le sentiment diffus de réserver la fin de sa virginité à un moment ou à un amant très spécial.

Lesserre était cependant trop obsédé par la rentabilité de son entreprise pour cantonner une femme intelligente à un rôle de femme de ménage avec à côtés. Progressivement, il lui avait appris le maniement des outils informatiques et délégué certaines tâches confidentielles.

Du coup, leur manière de s'adresser l'un à l'autre suivait aussi ses propres règles: le vouvoiement pour le business et le tutoiement lors de leurs intermèdes sexuels.

A la fin du mois, elle fut invitée/convoquée par Cynthia qui lui annonça tout à la fois la fin de sa période d'essai et la poursuite de son CDI. Cerise sur le gâteau, le total de ses primes s'élevait à près de 4.000 euros.

"Je ne sais pas comment tu fais mais il est devenu presqu'humain depuis ton arrivée. J'espère que ton rôle secret ne te pèse pas trop car nous avons vraiment besoin de toi pour garder le patron donc la boîte sur les rails."

"Je ne peux pas dire que cela m'amuse tous les jours, surtout que je l'encaisse AVANT d'avoir pu le soulager mais ce n'est pas aussi dégradant que je le craignais; au contraire, c'est même parfois amusant de le faire jouir comme un puceau"

"Et tu n'as pas encore réclamé ta prime de virginité" remarqua Cynthia.

"Il ne m'a encore rien demandé et pour le moment et j'hésite à le lui proposer. J'ai changé d'avis et je ne veux plus vendre ma virginité; je préfère que ce soit un souvenir romantique et pas lié à une poignée d'eurodollars !"

"Je comprends; J'étais follement amoureuse du garçon qui m'a dépucelée et c'est un moment que je n'ai jamais oublié. Je lui en reparle souvent puisqu'il est devenu on mari"

Céline rejoignit Mélanie dans le bureau voisin.

"Youpie ! Ca y est, ma période d'essai est terminée, je suis en CDI !" Je t'invite ce midi au resto !"

"Tu ne préfères pas un soir? Je pourrais demander une baby-sit ..;"

"Hélas non; le soir je dois "m'occuper du boss".

Mélanie se leva pour fermer la porte de son bureau.

"Tu es occupée tous les soirs avec le patron et d'après la rumeur, les weekends aussi. Qu'est-ce que tu caches? Tu couches avec lui?"

Céline regarda la porte fermée puis sa collègue qui était aussi sa seule amie.

"Pas tout-à-fait ... Je m'occupe de son bien-être, ce qui implique une certaine intimité mais on n'a jamais fait l'amour ... enfin je veux dire qu'on a jamais baisé"

"Ne me dis pas que vous jouez au scrabble?"

"Non, nous avons des rapports intimes mais un peu à la Bill Clinton/Monica Lewinsky ..."

"Et tu n'as jamais écarté les jambes pour lui?"

"Bien sur que si mais il ne m'a jamais pénétrée ... enfin pas avec sa bite pour être précise!"

"Pourquoi pas? C'est encore le plus simple ... Moi quand je me tape un mec, je fais le grand écart avant même qu'il ait le temps d'enfiler une capote !"

"Je te crois mais moi ... euh ... je suis toujours vierge"

"QUOI?! c'est une blague??? A ton âge et avec ton physique? Y a déjà au moins 20 collègues masculins qui m'ont demandé si tu étais libre. Si ils apprennent qu'en plus tu es vierge, je vais devoir les repousser à coups de machette. D'ailleurs, je ne te crois pas"

Céline ne put résister au défi

"Tu veux vérifier?"

"Et comment !"

Mélanie se leva, colla Céline contre le mur, releva sa jupe et fourra sa main dans sa culotte.

"Mais tu mouilles ma salope chérie ! ... Boudha en bicyclette !!! C'est vrai que tu es toujours vierge" s'exclama t'elle lorsque son doigt eut pénétré le vagin de son amie. Hi hi ... cela me rappelle le lycée quand on se comparait entre copines"

"Ooh Mel, arrête ..... si tu savais..."

"Je ne sais pas quoi ma petite cochonne? Que tu as follement envie de jouir?... Le boss ne te satisfait pas? Attends, je vais te montrer ce qu'une femme peut faire !"

"Mel .. ton doigt .. c'est ... aaah ... magique ... aaahh"

Mélanie n'hésita pas et l'embrassa, étouffant un long cri de jouissance de Céline tandis que cette dernière s'accrochait désespérément à son cou, les yeux révulsés, complètement perdue dans un orgasme ravageur.

Mélanie la laissa récupérer une bonne minute avant de recommencer à la caresser; Céline haletait et gémissait tout à la fois.

"Mel, qu'est-ce que humpf tu me fais ... ooh ... arrête ... non ... continue ... aah ... tes doigts ... si bon ... aah ..; ouiii... aime-moi ... !

A son tour, Céline embrassa sa compagne en collant et frottant sa poitrine contre les seins de son amie. Elle ondulait de tout son corps et finit par empaler sa fente inondée de cyprine sur les doigts de son amie qui réussit tout juste à éviter de perforer l'hymen de la jeune vierge. Mélanie sentit alors un flot de liquide inonder sa main.

"Yeeoooh ... Mel ... Mel ... MELLL ... JE VIENS ... "

Mélanie laissa son amie s'affaisser sur une chaise et s'empara d'une boîte de kleenex qui trônait sur son bureau et la tendit avec un grand sourire à son amie.

"Ton slip sera trempé mais essaye au moins de te sécher les jambes"

"Ouf Mel, je ne savais pas que tu étais euh .."

"Gouine? Lesbienne? Non pas vraiment. J'aime trop me faire prendre par un mâle que pour me consacrer exclusivement aux femmes mais j'aime aussi les femmes; il y en a même certaines que j'aime beaucoup" répondit-elle en caressant la joue de sa compagne.

"C'était fantastique en tout cas , bien meilleur que lorsque je le fais en solo ou lorsque Raf .. enfin tu vois ce que je veux dire."

"Ma chérie, depuis ton arrivée, j'espérais avoir une ouverture donc tu seras toujours la bienvenue surtout si tu veux me rendre la pareille !"

Céline lui déposa un chaste baiser sur les lèvres

"Dès que l'occasion se présentera, je paierai mes dettes. On se retrouve ce midi mais maintenant, je dois aller prendre les instructions du patron"

Elle retourna à l'appartement mais en fermant la porte, elle entendit la voix de Lesserre qui l'appelait.

"Où étiez-vous? Cela fait une demi-heure que je vous appelle !"

"Avec madame Berger; ma période d'essai est terminée"

"Je comprends mais vous auriez pu la voir en dehors de MES heures !" (ah bon, c'est quand tes heures?) "J'ai besoin de vous pour revoir cette présentation. Je ne suis pas satisfait mais je ne parviens pas à mettre le doigt sur ce qui cloche"

Céline s'approcha pour jeter un coup d'œil sur l'écran mais presque tout de suite, Lesserre renifla "Vous sentez le sexe !" et il passa une main sous sa jupe jusqu'au slip. "Vous êtes trempée ! Qu'avez-vous fait?"

Par instinct, elle préféra mentir : "Euh, après l'entretien avec Madame Berger, je me suis fait jouir dans les toilettes du personnel."

"Hum .. pourquoi n'es-tu pas revenue ici, j'aurais pu m'en occuper"

"Je ne voulais pas vous déranger"

"Dorénavant, viens tout de suite quand tu as une envie. Cela m'évitera de me sentir égoïste" dit-il en se levant et en défaisant son pantalon. Docile, la jeune femme s'accroupit et extirpa son membre d'une de ses culottes à elle et prit en bouche la verge qui grossissait à une vitesse record. Lesserre devait certainement l'imaginer en train de se masturber car il était visiblement très excité et commenta d'ailleurs son fantasme :

"Tu avais ouvert ton chemisier et tu te caressais les seins pendant que tu t'astiquais le bouton , ton clitoris? Ta chatte était humide quand tu as commencé et tu as fini par gicler dans ta culotte comme moi quand je la met. Aah Céline, j'adore ta bouche... tes doigts dans ta chatte ... ma bite dans ta bouche ... Tu as joui ... Je vais ... aaah ... tiens ... bois-moi ... avale-tout oooh !"

Après cet épisode éclair, Lesserre se reprit. "Je vous envoie la présentation dans votre boîte courriel et contactez aussi l'auberge Martha à Schangau. Réservez-nous une suite de samedi à dimanche et du vendredi suivant au dimanche"

"Nous? ... une chambre?"

"Oui mais c'est une suite, nous partons à Budapest ce week-end et y passerons la semaine. Nous allons finaliser l'achat d'un distributeur local. En plus, je veux étendre nos activités donc notre zone commerciale à l'Autriche et la Bavière. Cela prendra du temps d'établir le plan d'expansion"

"Pourquoi ne pas y aller en avion?"

"Je n'aime pas l'avion. En plus nous devons emmener un tas de documents et en ramènerons encore plus. Je ne veux pas risquer que les valises soient égarées."

"Mais pourquoi est-ce moi qui vais vous accompagner? Le directeur financier ..."

"Il sera sur place aujourd'hui et y restera deux mois au moins. Quant à vous, je voudrais vous remercier pour votre euh ... dévouement pendant ce premier mois et je vous offre cette semaine de dépaysement mais ne vous faites pas d'illusion, je vais utiliser à fond vos capacités d'assistante pendant ce séjour. Ce ne seront pas vraiment des vacances".

"Mais vous voulez que je dorme avec vous?"

"Oui mais là aussi, ne te fais pas d'illusions; 'ai bien l'intention de te rendre le plaisir que tu m'as donné jusqu'à présent donc nous n'aurons pas de très longues nuits ni très reposantes !"

"Moi qui n'ait jamais quitté le département ... je vais certainement apprécier le changement. Merci patron !"

"Surtout avec les quelques surprises que je te prépare" marmona t'il en souriant.

Le samedi matin à l'aube, ils descendirent avec armes et bagages dans le parking et se dirigèrent vers un gros SUV allemand dont l'intérieur sentait le cuir neuf.

"Une nouvelle voiture?" demanda Céline qui essayait en même temps de dissimuler la vieille valise élimée de ses parents sous les caisses de documents.

"Non, une location. Je n'ai pas de voiture personnelle. Je ne quitte presque jamais le bureau et quand j'ai un repas d'affaire, il vaut mieux que je prenne un taxi. En fin de compte, cela revient moins cher et j'ai toujours des voitures quasi neuves. Voici les clefs, vous conduirez jusqu'au Rhin et je prendrai pour la fin du trajet"

Etait-ce l'odeur du cuir ou cette voiture qu'elle n'avait jamais imaginé pouvoir conduire un jour, la jeune femme se sentait particuli!rement excitée et eut du mal à ne pas écraser le champignon dès la sortie de la ville.

Ils sortirent de l'autoroute pour un brunch sur une terrasse au bord du Rhin avant de reprendre la route. Céline était complètement perdue même si elle avait vaguement l'impression qu'ils ne prenaient pas la route la plus courte pour Budapest. Ils sortirent à nouveau de l'autoroute pour prendre des routes secondaires et finirent par s'arrêter en milieu d'après-midi devant un énorme chalet qui affichait fièrement "Gasthaus Martha".

Le temps du check in, leurs bagages avaient été montés dans leur suite qui, à la surprise de la jeune femme, comptait deux chambres et deux salles de bains distinctes. Lesserre l'emmena vers une porte-fenêtre qui s'ouvrait sur un très grand balcon avec une vue à couper le souffle sur le village et au sommet de la colline/montagne qui le surplombait , un énorme château qui lui paraissait familier.

"C'est magnifique et en même temps, c'est impossible mais j'ai l'impression de déjà avoir vu ce château"

"Cela ne m'étonne pas; le Schloss Neuschwanstein a servi de modèle à Walt Disney pour le château de la Belle au Bois Dormant ..."

"C'est cela ... Tu es déjà venu ici? "

"Oui, avec mes parents et mon frère aîné il y a 20 ans. J'avais juste le bon âge pour que le château me fasse rêver."

"Waaoow, vraiment impressionnant; quelle vue splendide. On ne s'en lasserait pas"

"J'espère bien que si" lui dit-il en la prenant par les épaules pour l'embrasser dans le cou. "je t'ai amenée ici pour te faire une proposition malhonnête : nous nous reposons , prenons une douche et soit faisons la java au restaurant sans parler travail, soit ... euh ..."

"Soit?"

Nous mangeons léger et modérément alcoolisé ensuite nous revenons dans la chambre pour faire l'amour pour la première fois et nous dormirons ensemble.

Céline n'hésita pas ; elle se colla contre Raphael et l'embrassa à pleine bouche.

"Cela te suffit comme réponse ou tu veux la version longue?"

"Je crois que cela me suffit" répondit-il en riant. Maintenant, choisis ta salle de bain; je prendrai l'autre et chacun reste dans une chambre jusqu'au souper sinon je risque de te sauter dessus avant d'avoir repris des forces"

Céline opta pour la plus petite des chambres et deux heures plus tard, il se retrouvèrent dans la pièce principale. Lesserre ne put réprimer un sifflement. Ne sachant pas trop ce qui les attendait à Budapest, la jeune femme avait acheté en catastrophe une robe du soir rouge particulièrement moulante et fendue sur le côté, du haut de la cuisse jusqu'à son pied.

Lesserre avait quant à lui amené un costume trois pièces limite smoking. Il lui offrit son bras et ils descendirent jusqu'à la monumentale salle de restaurant. Sans surprise, ils étaient les premiers et se virent offrir un verre de vin blanc local pour les faire patienter jusqu'à l'ouverture de la cuisine. La carte était en allemand et en anglais et il aida son invitée en traduisant les noms des plats. Pour confirmer implicitement son accord sur la suite de la soirée, elle essaya de trouver un plat léger, évita la kartoffelsalat, les schnitzels et finalement porta son choix sur une salade verte avec des saucisses fumées.

Lesserre préféra le jambonneau aux légumes mais refusa également la salade de pommes de terre et il commanda une bouteille de vin blanc.

"Juste assez pour être joyeux; pas assez pour s'endormir tout de suite" glissa t'il d'un ton malicieux.

"En tout cas, c'est somptueux. Si j'osais, je prendrais des photos de tout l'établissement pour me souvenir de cette journée."

"Il y a toute une galerie d'images intérieur/extérieur sur leur site. Mais si tu veux je te prendrai en photo sur le balcon avec le château en fond"

Puis il se fit plus sérieux.

"Céline, je ne peux m'empêcher de penser que je t'ai tendu un piège et c'est sans doute un peu vrai donc je tiens à te le répéter : si tu n'as pas envie de perdre ta virginité avec moi, je comprendrai très bien. Après tout, tu n'es pas amoureuse de moi et je ne suis pas non plus le plus expérimenté des mâles pour ta première expérience."

"Raf, je ne fais pas une fixation sur ma virginité; au contraire, cela me pèse. Au plus vite j'en serai débarrassée, au plus vite je pourrai profiter de mon corps. Et si tu n'es pas très expérimenté, tant mieux, nous ne pourrons que faire des progrès ensemble , toi le mâle dominant et moi la femelle alpha !"

"Si tu ne veux pas de dessert, je propose que nous nous éclipsions dans la suite; je porte particulièrement bien mon nom ce soir; je bande comme le Cerf ! Et je ne porte même pas une de tes petites culottes"

"Sois mon dessert, Lesserre-le-Cerf" dit Céline en se levant dans une grande envolée du bas de sa robe, dévoilant sa jambe jusqu'à son intimité. Et pour info, je ne porte pas non plus ma petite culotte"

Ils se précipitèrent dans l'ascenseur mais sans attendre que les portes ne se referment, il fourrageait déjà sous sa robe pour trouver la grotte aussi béante qu'humide tandis qu'elle baissait sa braguette pour caresser la verge boursouflée qui tendait son boxer. Au moment où elle ouvrait la porte, un couple sortit d'une chambre voisine et il; n'eut que le temps de plaquer son bas-ventre contre les fesses de sa compagne pour masquer le corps du délit.

Elle lui prit la main pour l'entraîner vers la grande chambre où ils parvinrent à garder le minimum de sang-froid pour déposer convenablement leurs vêtements sur des chaises avant de sauter l'un sur l'autre . Céline n'avait plus qu'un soutien-gorge sans bretelle qui masquait à peine ses mamelons turgescents et Raf son boxer qui jouait à la tente.

Elle poussa l'homme sur le lit king size et s'abattit sur lui.

"C'est mon grand soir Raf, c'est moi qui conduit le bal"

Elle arracha le boxer et le rabattit sur ses pieds avant de se jucher à califourchon sur son bras ventre; la longue bite de Raphael venant glisser le long ses grandes lèvres détrempées.

"Tu sens comme je mouille pour toi mon Prince? Attention, le grand moment arrive"

Elle plaça le gland à l'orée de son vagin sans aucune appréhension. Mel lui avait expliqué qu'elle n'avait quasi rien senti lorsqu'elle avait été déflorée.

"Si tu es bien excitée, c'est à peine si tu sens la bite - ou le gode - te pénétrer. Par contre, une fois que tu es prise ... waaoouu.... quelles sensations !"

Sans hésiter, elle se laissa tomber sur le mandrin de chair et tout explosa dans son ventre.

"RAAAAAAAFFFF" !

"CELINE !"

Elle sentit vaguement une série de jets qui s'écrasaient au fond de sa grotte tandis qu'elle était tout entière agitée de soubresauts qui l'enfonçaient encore plus avant sur le membre en fusion.

Malgré son orgasme, l'érection de Raphael ne faiblissait pas. Au contraire, il brûlait d'envie de défoncer le vagin de sa compagne à grands coups de bite. Il n'avait jamais ressenti cela avec les quelques escortes avec lesquelles il avait fini au lit.

Céline était heureusement parfaitement au diapason et commença à se mouvoir sur lui; engoncée comme elle l'était sur l'interminable verge de Raf, son clitoris frottait le bas-ventre presqu'imberbe de l'homme. Comme elle ne l'avait pas rasé depuis une bonne semaine, les poils en train de repousser faisaient comme une râpe sur son clito en furie.

"RAF ... c'est si bon ... jamais cru que ... aaah ... trop bon ... mon ventre ... rempli ... clito en feu ...baise-moi ... plus fort ..."

Ses doigts se plantèrent dans le torse de son amant et ses ongles le griffèrent au sang . Se servant de cette prise, elle accentua encore les mouvements de son bassin vissé sur son membre.

"Aargh ... pour moi aussi ... fanta ... stique ... tu es brûlante... brûler ma bite ... humf ... je te veux ... "

"Non ...Humpf ...JE te veux ...humpf... JE te prends ... aaah ... ouiii ... Comça ... je vais ... aaah .... jouir ... jouir ... ta grosse ... queue..."

Son vagin tout neuf enserrait de plus en plus fort la verge prisonnière des chairs en ébullition. Raphael avait de plus en plus de mal à maîtriser le feu qui lui embrasait les couilles, remontait le long de sa bite et engorgeait son gland prêt à exploser. A bout de désir, il empoigna les hanches de la jeune femme et l'attira vers le bas au moment où il propulsait son propre bassin vers le haut.

Céline eut l'impression que sa chatte était perforée jusqu'à la matrice puis ce fut le trou noir ... rouge ... noir ...

Elle reprit connaissance sur la poitrine de Raphael qui essayait de récupérer son souffle après avoir connu un orgasme encore plus ravageur que le premier. Apercevant quelques gouttes de sang sur le torse de son amant, elle les lécha avec application sans vraiment comprendre que ses ongles en étaient la cause. Elle sentit la dure barre se ramollir et glisser tout doucement vers la sortie.

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