Crescendo Sensuel Partie 04

Raphael émit un petit rire en sentant le liquide qui s'écoulait sur son bas-ventre;

"Je pense qu'une douche va s'imposer ma douce.

"Sans doute mais laisse-moi encore profiter un peu de ce moment... je ne me souviens pas m'être sentie aussi bien".

Elle bascula sur le côté de Raphael et posa sa tête sur son épaule tout en jouant avec les poils qui ornaient le torse masculin.

L'homme se raidit soudain "Bon sang, désolé mais je n'ai pas pensé à te demander si tu prenais la pilule"

Céline sourit "Lorsque j'ai passé la visite médicale, j'ai tout de suite demandé une prescription à ton docteur conseil. Je t'ai déjà dit que pour une fille de la ferme, tout ce qui touche à la reproduction de l'espèce n'est ni mystérieux ni tabou !"

Entretemps, ses doigts étaient descendus de poil en poil jusqu'à la zone désertique qui menait à son sexe.

"Hi hi , en effet, tu es trempé. je vais nettoyer cela"

"OK mais laisse-moi m'occuper de toi aussi !"

Elle s'installa au-dessus de lui et commença à laper les fluides qui stagnaient sur la peau de son amant tandis que celui-ci essayait de contenir les liquides qui s'écoulaient de sa fente. Insensiblement, sa verge recommença à durcir et il gémit lorsqu'elle commença à lui sucer la bite.

"Oh ma douce, pitié, j'ai besoin de récupérer un peu. Allons prendre cette douche et après on verra si je suis encore bon à quelque chose".

Tant bien que mal, ils sortirent du lit et se dirigèrent vers la salle de bain où ils firent en sorte de prendre une douche presque sage. A la sortie, Céline enroula ses cheveux dans une serviette puis s'empara de sa chemise non sans la humer avec délectation.

"Je ne sais pas ce que j'aime le plus : ton eau de toilette ou ton odeur corporelle"

Pour se venger, Raphael enfila subrepticement le slip de Céline qui regardait par la fenêtre. "Viens voir, c'est magnifique; tout le château est illuminé !"

Il s'approcha d'elle et l'enlaça par derrière mais sa verge, mal contenue dans le slip féminin, reprit une vie propre et se tendit entre les fesses de la jeune femme qui se trémoussa pour décupler leurs sensations à tous deux.

"Tu sais ce que j'aimerais mon Prince? Je voudrais que tu me prennes sur le balcon, face qu château. Et quand tu m'auras bien fait jouir, je serai vraiment la Belle au Bois dormant"

"Mais on va nous voir !"

"Pas si tu éteins tout dans la chambre. Nous sommes au dernier étage et notre balcon n'est pas visible depuis la route. Ne cherche pas d'excuse; baise-moi, culbute-moi."

La bite rebelle était à nouveau douloureusement tendue et il n'eut aucune peine à obtempérer. Céline s'appuya sur la rambarde, releva l'arrière de la chemise et il la pénétra avec un peu plus de difficultés tant le sexe de la jeune femme était gonflé après ses deux orgasmes. Il commença à lui faire l'amour avec lenteur et douceur mais les gémissement de son amante réveillèrent un désir plus sauvage et ses va-et- viens s'accélérèrent tandis que des gémissements de plus en plus prononcés s'échappaient de la gorge féminine. Il releva la chemise encore plus haut et commença à broyer ses seins, s'acharnant sur les mamelons qu'il pinçait au rythme de ses pénétrations.

"Raf ... les lumières ... partout ... oooh ... le château ... c'est toi ... mon château ... mon Prince ! oooh.... mon homme AAhh RAF ... Je jouis ... encore .... AAAHHHH"

De son côté, Raphael n'était pas prêt à jouir. Il ralentit son rythme pour la laisser profiter de son orgasme puis s'arrêta complètement, toujours profondément fiché en elle.

"Raf, tu n'as pas joui?? Prends ton plaisir mon Prince, prends-moi encore, je suis ta chose .."

Son vagin se contracta rythmiquement autour de sa verge jusqu'à ce qu'il sente la sève monter de ses couilles. Il recommença alors à la pourfendre sans merci tandis que la jeune femme recommençait à gémir. Il finit par expulser quelques vagues gouttes de sperme en elle et s'effondra contre son dos, complètement vidé, essoré.

Comme elle ne réagissait pas, il la prit dans ses bras, la porta jusqu'au lit et se coucha à ses côtés, l'enlaçant au passage.

Il se réveilla aux premières lueurs de l'aube le lendemain matin, se maudissant de ne pas avoir fermé les rideaux avant de s'endormir. Non sans déplaisir, il s'aperçut qu'il affichait une érection matinale aussi grandiose que durant son adolescence. Il décida néanmoins de d'abord soulager sa vessie et de prendre une douche avant de monter à l'abordage de son assistante.

Avec son érection, il eut du mal à pisser et il ne fut qu'à moitié surpris de voir débouler Céline qui prit immédiatement sa place sur le lieu d'aisance puis le rejoignit sous la douche bien chaude.

"Hum" dit-elle en empoignant la bite roide. "Merci pour le compliment mais c'est plutôt pénible ce matin. J'ai du mal à fermer les jambes et à marcher mais j'ai d'autres possibilités de te soulager".

"Merci mais je préfère attendre que tu aies récupéré; j'ai trop aimé notre soirée d'hier pour en revenir tout de suite à nos habitudes du bureau quoique si tu continues à me balancer tes seins sous le nez, mes bonnes résolutions ne dureront pas"

"Tu as raison et moi aussi je préfère que tu me montes comme un vrai étalon ... On gardera ma bouche et mes seins pour mes semaines de menstruation!"

Ils déjeunèrent de bon appétit et achetèrent un pique-nique complet spécialité de l'hôtel puis reprirent la route. Comme la veille, Céline conduisait; Elle lui laisserait le volant après la collation de midi.

En chemin, il donna plus de détails à son assistante sur les objectifs de l'opération. Elle absorbait les informations comme une éponge et ne manquait pas de lui poser des questions pointues, surtout sur les aspects agricoles bien évidemment.

Tant et si bien qu'ils ne virent pas le temps passer et se retrouvèrent bien en avance sur leur horaire vers 13h lorsqu'ils décidèrent de s'arrêter à la première aire de repos pour affronter le panier de provisions.

S'étirant en sortant de la voiture, Céline aperçut tout de suite une table en retrait du parking qui était dissimulée à la vue des autres véhicules par un épais taillis. Elle y emmena le panier et commença à étaler les victuailles. Lorsque son compagnon la rejoignit, elle se suspendit à son cou et lui murmura "C'est aussi un bel endroit pour mes souvenirs ici". Elle fit descendre son pantalon de training et son slip et releva son polo. Immédiatement, les mains de l'homme s'emparèrent de ses seins, les extirpèrent brutalement du soutien-gorge et les téta l'un après l'autre avec avidité.

Il souleva sa compagne, l'assit sur la table et lui écarta les cuisses. Elle mouillait au moins comme la veille ! Il ouvrit sa braguette, sortit sa verge et pénétra le vagin grand ouvert qui s'offrait à lui puis se figea.

"Bon sang Céline, tu es une magicienne, j'ai tout le temps envie de toi. Même quand je te parle business, j'ai envie de toi. Quand tu me fais jouir, je pense déjà à la prochaine fois ...et quand ..."

Elle l'interrompit :

"Tais-toi un peu et baise-moi ! PLus fort, défonce-moi aah ... encore ... vas-y ... mon Prince ... baise-moi ... baise ta femelle ... ahh ... oui ... tu es fort ... ooh ravage aaah ... moi ... j'aime ... ... aah ... donne-moi ... aaah ... du plaisir ... plaisir ... plai ... OOOOH RAAAF ! JE VIENS !! ... PRENDS AAAAHHH MOI !!!!"

Elle croisa les jambes derrière les reins de l'homme et, dans un ultime effort, l'enfonça au plus profond de son intimité. Tout à sa jouissance, elle lui mordit l'épaule et frotta ses seins de haut en bas sur le torse de son amant. Cette soudaine attaque fit se cabrer Raphael qui eut l'impression que son gland explosait dans le vagin contracté.

"YEEEOOOH" cria t'il sans savoir si 'était de douleur, de plaisir ou les deux mêlés. Il souleva Céline par les fesses et la pénétra encore une demi-douzaine de fois pour évacuer tout son sperme dans le vagin rutilant. Lorsqu'il redéposa la jeune femme sur la table, il était vidé comme une huître.

Elle se dépêcha de remettre son slip, sentant leurs sécrétions prêtes à s'échapper de son vagin et lui sourit. "Je te prépare un slip pour ce soir; il sera bien imbibé. Tu vas bander comme un ado !"

"Céline !"

"Mangeons boss puis on reprend le route. Plus vite on sera à l'hôtel, plus vite tu pourras me baiser encore une fois"

"Mais tu es insatiable !? Quel monstre ai-je réveillé?"

"Il n'y avait que toi pour éveiller ma sensualité Raf. Maintenant tu dois en payer le prix !"

De retour dans la voiture, Lesserre repassa en mode chef d'entreprise et continua ses explications sur l'opération en cours. Céline eut plus de mal à se concentrer, bercée par une douce euphorie et la chaleur qui émanait de son bas-ventre.

L'aparthôtel de Budapest était de facture plus classique mais, comme beaucoup d'hôtels dans la capitale hongroise, disposait de sa propre piscine ainsi que d'un spa plus que complet. "Budapest est bâti sur une énorme source d'eau chaude" lui avait expliqué Lesserre."

Cette fois, il décida qu'ils ne partageraient pas la même chambre "Je dois relire une tonne de documents avant les réunions de cette semaine et je ne veux pas t'empêcher de dormir mais j'ai réservé deux heures de spa privatif; un dernier moment de détente avant la bataille"

Ce n'est que dans le vestiaire privé qu'il sembla se souvenir que Céline portait toujours le slip copieusement imbibé de leurs sécrétions. Il la regarda d'un oeil torve "j'avais dit un moment de détente ..."

La chaleur du sauna les découragea cependant de toute tentative libidineuse et les 30° de l'eau de la piscine ne leur rendit aucun courage même si le maillot moulant de Céline attira le regard et pas seulement celui de Raphael.

"C'est la première fois que je m'affiche dans un lieu public en compagnie d'une jolie femme" lui confia t'il lorsqu'ils sortirent de la piscine pour retourner au sauna.

"Pareil pour moi" répondit-elle. "Quand j'étais en CFA, je galopais après les cours pour revenir travailler à la ferme; je n'ai jamais eu l'occasion de fréquenter des cafés, restaurants, cinémas etc. en galante compagnie"

Elle avait cependant pensé à emporter un rasoir et ils profitèrent de leur transpiration pour se raser à nouveau mutuellement leurs poils pubiens, terminant cette session dans un état d'excitation indescriptible. Il l'entraîna dans le vestiaire, étendit une serviette de bain et leurs deux peignoirs sur le sol et la prit en levrette, les mains accrochées à ses hanches, la labourant de toute sa vigueur et de toute la longueur de sa verge. Céline miaulait de plaisir en subissant ses assauts.

"Raf ... Rafffiiie ... Je t'attends ... donne aah ... donne moi .... ton .. fou ... tre. Viens ... Je t'attends ... Raffiie ... Main ... te ... nant AAAHH ... OUIII ...RAAFFFIIIE"

Ils prirent une douche ensemble et Raphael enlaça sa compagne "J'adore quand tu cries mon nom pendant que nous faisons l'amour" lui murmura t'il . Elle n'était pas sure d'avoir bien entendu mais si son ouïe ne l'avait pas trompé, c'était la première fois qu'il prononçait le mot "amour" à propos de leur relation.

Son coeur battit un peu plus vite mais elle se reprit aussitôt "ce n'est qu'une expression" se dit-elle "il est de bonne humeur sinon il aurait dit "quand je te baise".

Mutine, elle remit son slip avant une dernière séance dans le sauna. Raphael la regarda "Tu ne comptes quand même pas me faire porter cette petite culotte? Elle doit être dans un état ..."

"Justement, tu as droit à la totale : sperme séché et frais, ma mouille séchée et fraiche et en plus ma transpiration la plus intime. Tu n'auras plus jamais un tel cocktail sur ta petite bite !"

"Tu trouves que j'ai un petit pénis?"

"Mais non gros bêta ! Je l'adore comme elle est et d'après mes videos, elle est d'une taille supérieure à la moyenne ... sauf maintenant . Hihi ..." Elle ne put s'empêcher de rire intérieurement en comprenant que le grand chef d'entreprise était aussi sensible à la taille de sa verge. "Ah les garçons" ...

Lorsqu'ils se rhabillèrent, Céline prit bien soin de montrer à son compagnon qu'elle ne portait rien sous son training, ni petite culotte, ni soutien tandis qu'elle lui tendait le slip rendu informe par les différents liquides qui l'imbibaient.

Raphael voulait remonter dans leur appartement pour se changer "Tes seins et ta chatte collent au tissu; tout le monde peut les voir " mais Céline ne voulut rien entendre " C'est plus une cantine qu'un restaurant et j'ai vu que des gens qui y mangeaient en peignoir de bain !" Ils s'essayèrent au goulasch qu'ils engloutirent avec appétit même si Raphael prétendit connaître une meilleure adresse à découvrir dans les prochains jours.

De retour dans la chambre, il voulut se mettre au travail mais Céline se rebella encore une fois. "Non, tu vas d'abord me faire l'amour comme un brave missionnaire. Ensuite, on va dormir ensemble jusqu'à 5h du matin; je te réveillerai et nous préparerons la première réunion ensemble avec petit déjeuner en chambre".

Elle avait à peine terminé son laïus qu'elle fit un vol plané sur le lit suivie de peu par son amant qui atterit sur elle. "laisse-moi au moins le temps de me déshabiller" lui dit-elle en riant mais intérieurement ravie par cette nouvelle démonstration de désir sauvage.

Cinq minutes plus tard, elle se retrouvait à nouveau écartelée sous lui tandis qu'il essayait maladroitement de la pénétrer et elle dut prendre les choses en main.

"Hum, ce n'est pas la position la plus facile mais pour le moment, c'est ma préférée" lui glissa t'elle à l'oreille. J'aime être couverte, possédée par mon mâle; je sens bien ta bite qui me pénètre; tu me prends, je suis ta chose et je ..; aargh !"

Raf venait de lui glisser une boule de tissu entre les dents et maintint ses bras écartés tandis qu'il commençait à la labourer vigoureusement.

"Silence femelle ! J'ai envie de te baiser, pas de t'écouter !"

Céline essaya de protester mais seuls des grognements passaient l'obstacle de tissu; elle finit par reconnaître les goûts et les odeurs de sa petite culotte. "Aa ... uuulll " l'injuria t'elle mais en même temps, elle relevait les jambes pour faciliter ses coups de boutoir au plus profond de son intimité. Elle aurait voulu l'enlacer mais elle était captive de ses bras puissants et ne pouvait que subir son étreinte. Bien qu'excité par cette triple première dans leurs ébats, Raf parvint à se contenir et la fit jouir deux fois avant de se répandre en elle. Il roula ensuite sur le côté, la prit dans ses bras et ils s'endormirent pelotonnés l'un contre l'autre.