Dans les Méandres de l'Ombre 01-05

Informations sur Récit
Un thriller policier noir et violent.
6.1k mots
4.85
2.5k
2
Récit n'a pas de balises

Partie 4 de la série de 11 pièces

Actualisé 04/18/2024
Créé 01/03/2024
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Chapitre 5

Le lundi matin, tandis que le soleil se fraye un chemin à travers les vitres du commissariat, Chrystel Louveton fait son entrée. Sa silhouette élancée se détache dans le tumulte matinal, ses cheveux bruns ondulant légèrement alors qu'elle avance. Ses yeux verts balayent la pièce, marquant une présence déterminée malgré son léger retard. Elias Tabi, déjà absorbé dans l'affaire, lève les yeux à son arrivée. Un sourire en coin se dessine sur son visage.

- Eh bien, on prend son temps ce matin, inspecteur Louveton? lance-t-il, une pointe d'humour dans la voix pour alléger l'atmosphère.

Chrystel esquisse un sourire, une lueur de gêne passant brièvement dans ses yeux.

- Il semblerait, réplique-t-elle avec un brin de légèreté.

Cependant, son esprit est déjà focalisé sur l'enquête.

- Le commissaire Durieux est-il arrivé? demande-t-elle, son ton redevenant sérieux, marquant le passage rapide de l'amabilité à la concentration professionnelle.

La brigadière de taille moyenne, avec un visage aux traits fins magnifiés par un maquillage subtil, s'approche de Chrystel et Elias. Sa présence, malgré son air professionnel, est accentuée par sa silhouette voluptueuse et surtout, par une poitrine énorme que même l'uniforme unisexe n'arrive pas à masquer.

- Le commissaire Durieux n'est pas là, et personne ne semble pouvoir le joindre, informe-t-elle, son inquiétude transparaissant légèrement.

Elias, fronçant les sourcils, sort son téléphone et compose le numéro de son supérieur. L'absence de réponse ajoute une note d'urgence à la situation. Se tournant vers la brigadière qui semblait être intéressée par lui, il lui demande, avec un sourire charmant et une touche légère sur l'épaule :

- Pouvez-vous, avec un autre brigadier, aller vérifier si tout va bien chez le commissaire?

La brigadière, visiblement touchée par son attention, acquiesce rapidement, un sourire naissant sur ses lèvres. Ses joues rosissent.

- Bien sûr, inspecteur Tabi, je m'en occupe tout de suite.

Chrystel, observant la scène, ne peut s'empêcher de taquiner Elias.

- On dirait que tu as un don pour convaincre les gens, dit-elle avec un sourire malicieux. Ou peut-être est-ce juste ton charme naturel? Elle t'aime bien...

Elias lui lance un regard amusé, reconnaissant l'humour dans sa voix.

- Peut-être un peu des deux, répond-il, avant de reprendre un air sérieux. Mais pour l'instant, concentrons-nous sur le commissaire. Sa disparition est préoccupante.

Chrystel hoche la tête, son sourire s'effaçant face à la gravité de la situation. Tous deux se retrouvent plongés dans leurs pensées, réfléchissant aux implications de l'absence inexpliquée de leur commissaire.

***

Samedi dans la nuit, le monde extérieur est plongé dans un silence profond, ignorant de mes desseins. J'approche de la maison de Sarah Magari, chaque mouvement calculé, chaque pas silencieux. La mère et la fille sont couchées depuis deux heures. Mon premier geste, méthodique et précis, est de couper les lignes téléphoniques et l'électricité. La maison sombre dans l'obscurité, un manteau de ténèbres qui sert mes intentions. Je pénètre à l'intérieur, mes sens en alerte, prêt à toute éventualité. La maison est silencieuse, ses occupants plongés dans un sommeil innocent. Je monte à l'étage, mes pas n'émettant aucun son sur les marches. Je trouve la chambre de Sarah, sa porte entrebâillée.

Doucement, je pousse la porte et entre. La pièce est plongée dans l'obscurité, mais mes yeux se sont adaptés à la nuit. Je m'approche du lit où Sarah dort paisiblement, ignorant le danger qui se tient juste à ses côtés. Je la réveille brusquement, et ses yeux s'ouvrent sur mon visage masqué. Sa réaction est immédiate : la peur, la surprise, le début de la panique. Avant qu'elle ne puisse crier, je la maîtrise avec une efficacité froide.

- Silence, murmure-je d'une voix sourde. Tu ne veux pas que ta fille se réveille.

Elle me regarde, tremblante, réalisant que son pire cauchemar est devenu réalité. Je la laisse ligotée sur son lit et me dirige ensuite vers la chambre de sa fille. J'entre sans bruit, me tenant debout dans l'obscurité, observant la jeune fille endormie. D'un geste rapide, je la réveille et l'informe de la situation. La terreur s'empare immédiatement de son visage lorsqu'elle voit un homme cagoulée dans sa chambre. Comme sa mère, elle est rapidement maîtrisée. Je les rassemble toutes les deux dans la chambre de Sarah, un face-à-face orchestré par moi. Leurs regards emplis de peur se croisent, un mélange de désespoir et d'incrédulité dans leurs yeux. Ils sont maintenant à ma merci, des pions dans mon jeu cruel. Je savoure ce moment de contrôle total, ce pouvoir absolu sur leur destin. La nuit n'est que le début, et ce qui les attend dépasse de loin leurs pires cauchemars.

- Comment tu t'appelles?

La fille aux longs cheveux noirs ne dit rien. Ses yeux sombres et brillants me menacent. Je gifle sa mère et commence à serrer mes doigts autour de son cou. Je l'étrangle et la quarantenaire hoquète. Je fixe la fille et repose lentement ma question.

- Je m'appelle Lila.

- Tu as quel âge, Lila? en desserrant un peu ma prise.

- 18. Laissez ma mère tranquille.

- Je fais ce que je veux et comme ta mère a reparlé aux flics, je vais la punir.

J'arrache le pyjama de Sarah et son corps un peu enveloppé apparait. Lila est tétanisée de voir la nudité de sa mère.

- Je vois que tu es toujours aussi grosse, sale pute!

Sarah sait que rien n'y fera. A l'époque, je l'avais violé pendant des heures, sans lui laisser de répit. Sa fille, ligotée sur la chaise en paille de la chambre tente de se débattre. Elle ne sait pas elle!

Je commence à caresser le corps nu de Sarah qui tremble et pleure en silence tandis que la petite hurle dans mon dos. Je me déshabille et ma longue queue est déjà dure.

- Tu en as déjà vu une comme ça? je demande à Lila qui se tait d'un coup lorsque j'approche d'elle.

Ma queue effleure son visage. Elle est mignonne cette petite. Toute mince, elle doit pratiquer le sport avec intensité.

- Non! Laissez ma fille. Faites ce que vous voulez de moi, lance Sarah dans un élan sacrificiel.

J'allonge la mère sur le dos. Je la prends directement. Entre ses grosses cuisses, je la baise bien. Je malaxe ses seins sans douceur et je la force à m'embrasser.

- Dis-moi que je te baise bien, salope. Sinon, je m'occupe de ta fille, je lui murmure à l'oreille.

Elle me regarde avec effroi.

- Vous me baisez bien, souffle-t-elle.

- Plus fort!

- Vous me baisez bien.

- Plus fort!

- VOUS ME BAISEZ BIEN

Je me tourne vers la jeune Lila qui pleure sur sa chaise. Ma queue sort du ventre de la mère et je lui ordonne de me sucer. Sarah obtempère et m'avale avec une sorte de timidité. Mais sa bouche est bonne.

- Regarde comme ta maman suce bien. Elle aime ça tu sais.

La fille sanglote. Je m'approche d'elle, la queue en avant. Mes doigts passent dans sa longue chevelure noire.

Derrière moi, Sarah me crie dessus mais je soulève la fille et la fout sur le ventre, sur le bord du lit. Je soulève la nuisette et admire le petit cul tout musclé qui m'attend. Elle se débat mollement mais je m'enfonce finalement dans son sexe.

- Ben! Tu n'es pas vierge?

Lila pleure plus fort. Je la baise tranquillement en goûtant à ses formes parfaite. Je m'amuse à commenter sa beauté devant sa mère qui est assez moche. Je m'enfonce toujours plus durement et la petite gémi de douleur à chaque percussion. Sarah nous regarde en sanglotant, les cuisses toujours écartées.

Finalement, j'attache les filles et je vais me désaltérer dans la cuisine pour reprendre des forces. En remontant, j'annonce à Sarah que je vais les tuer. La terreur dans ses yeux est un gouffre. Sa respiration en est coupée.

- Veux-tu que je sauve ta fille car elle, elle n'a rien dit à la police?

- Oui... pitié, ouiiiii, supplie Sarah sanglotante.

J'ai attaché Lila sur la chaise, les cuisses bien écartées, les bras dans le dos, liées sur les barreaux. Tirée par les cheveux, Sarah est mise à quatre pattes devant sa fille.

- C'est simple, si tu lèches ta fille, je l'épargne. Et si tu es bonne, je t'épargne aussi.

- Nooonnnnn, pitié, s'il-vous-plaaiiiit! hurle la mère le visage dans ses mains, courbée devant Lila que j'ai bâillonnée.

Quelques secondes s'écoulent et Sarah qui connait bien son bourreau se retourne sur moi.

- Vous le jurez?

- Sarah, je fais ce que je dis, je dis ce que je fais.

La femme se redresse un peu et demande pardon à sa fille en posant ses mains sur les fines cuisses attachées et bien écartées. Sarah se penche lentement comme pour retarder l'inévitable. J'en profite pour caresser son gros cul et je regarde l'air terrifiée de Lila qui observe sa maman approcher son visage de son sexe.

Sarah, s'y résout. Timidement, elle embrasse l'intérieure des cuisses en posant ses mains sur les genoux écartés. Ma main passe dans la fente de la femme qui continue ses bisous.

- N'oublie pas. Je t'ai demandé de lécher ta fille... Si tu ne fais pas ce que je dis, je vous tue toute les deux.

Un frisson se répand sur toute la peau de Sarah qui approche de la vulve. Elle tire la langue et la pose sur les grandes lèvres. Derrière son bâillon, Lila hurle. Ses yeux sont exorbités par l'horreur de la scène : sa maman lèche sa chatte. J'observe Sarah et je me branle un peu pour regagner en érection. Je pose mon gland sur l'anus de la mère et je pousse. Elle gronde mais elle reste collée à la chatte de sa fille.

L'orifice cède et je m'enfonce dans le cul de la mère. Elle gueule de douleur mais je plaque son visage sur la vulve de sa fille. Lila pleure et gueule dans son bâillon. J'aime voir mes victimes souffrir de honte et d'humiliation. Je commence à bien baiser le cul de Sarah qui n'arrête pas son office sur le clitoris de sa fille. C'est si bon, cette perversité.

Au bout d'un moment, je sors ma queue du cul de la mère et je viens me branler sur le visage de Lila tandis que Sarah suçote le clitoris comme je le lui ai demandé. Les giclées de sperme maculent le joli visage de la jeune fille.

Quand je la jette dans ma camionnette blanche, endormie par une injection de somnifère, je lève mon regard vers l'étage de la maison où j'ai laissé Sarah sur le sol. L'image de sa langue bleue me reste dans l'esprit.

***

La nouvelle tombe comme un coup de tonnerre dans le calme relatif du commissariat en ce lundi midi. La brigadière partie en mission avec sa silhouette remarquable, réapparaît bouleversée lorsqu'elle appelle Chrystel pour lui transmettre les informations terrifiantes.

- La maison du commissaire Durieux a brûlé... et... et toute sa famille est décédée, dit-elle d'une voix tremblante, chargée d'émotion.

Chrystel Louveton reste figée un instant, le choc se peignant sur son visage. La mort du commissaire Durieux et de sa famille est un choc brutal, un événement inattendu qui secoue les fondements de leur réalité quotidienne. Mais rapidement, son esprit de détective reprend le dessus. Elle fait le lien avec la photo de la camionnette.

- Cela ne peut pas être une coïncidence, murmure-t-elle pour elle-même.

S'asseyant dans son fauteuil de bureau, Chrystel tente de mettre de l'ordre dans le tourbillon de ses pensées. La connexion entre la camionnette et l'incendie semble évidente, mais elle a besoin de plus de détails, de plus de preuves pour comprendre le motif derrière cette tragédie. Son téléphone sonne soudainement, la tirant de ses réflexions. C'est le commissariat de Strasbourg.

- Inspecteur Louveton, Sarah Marari a été retrouvée morte dans sa chambre et sa fille a disparue ce week-end, annonce la voix à l'autre bout du fil.

Chrystel sent son cœur s'accélérer. Les pièces du puzzle commencent à s'assembler, formant un tableau sombre et inquiétant. Le poursuiveur semble être passé à une nouvelle étape de son jeu macabre, ciblant non seulement les victimes de ses crimes passés, mais aussi ceux qui se rapprochent trop de la vérité. Dans le silence de son bureau, ce lundi midi, Chrystel sait qu'il est temps d'agir.

Elle se lève, insère son chargeur dans son arme à feu, déterminée, prête à affronter les horreurs qui les attendent. La traque du poursuiveur entre dans une phase critique, et elle doit être prête à tout pour arrêter cette spirale de violence.

***

Dimanche. Le jour se lève à peine lorsque je commence mon périple de retour. Lila Magari, la fille de Sarah, repose à l'arrière de ma camionnette. Je lui ai posé le collier de soumission pouvant ainsi l'immobiliser d'un simple bouton dans ma poche. Elle est endormie, plongée dans un sommeil artificiel que j'ai orchestré. Ses longs cheveux noirs s'étalent autour d'elle,. Sa jeunesse et sa vitalité contrastent fortement avec le sombre dessein que j'ai en tête. J'apprécie sa nudité. Son corps est aussi jolie que celui de Lula, la fille du commissaire Durieux. D'ailleurs la proximité en Lula et Lila m'amuse. Par contre, l'une blonde et l'autre brune, voilà qui va me plaire dans mes futurs jeux. Je conduis avec une précision mécanique, mes pensées se focalisant sur la suite de mon plan. L'adrénaline de l'enlèvement commence à s'estomper, laissant place à une anticipation froide pour ce qui va suivre. Lila Magari, jeune, grande, athlétique, est une addition intéressante à ma collection. J'ai maintenant quatre putains à ma disposition. Djamila, Julie la barmaid, Lula la petite blonde et maintenant cette Lila beurette. Faudra que je pense à une asiatique pour compléter ma collection.

Arrivé dans mon immeuble, je me gare dans le parking souterrain, loin des regards indiscrets. Ici, j'ai installé une porte secrète, une entrée discrète qui mène directement à mon sous-sol. C'est ma passerelle vers un autre monde, un monde où je suis le seul maître. Je sors Lila de la camionnette avec précaution. Son corps inerte est un poids mort entre mes bras, mais je gère la situation avec aisance. J'ouvre la porte secrète et pénètre dans le sous-sol, un lieu qui est à la fois mon sanctuaire et ma salle de jeux. Une fois dans le sous-sol, je transporte Lila jusqu'à une des cellules vides. Je l'installe délicatement, la liant pour éviter toute tentative d'évasion lorsqu'elle se réveillera. Là, dans la pénombre de la cellule, elle semble si vulnérable, si désemparée. C'est une vision qui me remplit d'un sentiment de pouvoir absolu.

Je m'attarde un moment, observant Lila dans son sommeil forcé. Je m'active avec mon appareillage d'épilation à faire disparaitre toute présence de poils. J'en profite pour doigter son cul. Chaque nouvelle victime est un chapitre inédit dans mon récit personnel, une histoire que je tisse avec mes propres mains. Et Lila Magari, avec son histoire et son lien avec Sarah, est un fil complexe et intrigant à ajouter à ma toile. Je referme la porte de la cellule derrière moi, la laissant à l'obscurité et à ses pensées. La journée commence à peine, et déjà, elle porte la marque de mon influence. Je suis le Poursuiveur, et mon œuvre continue de s'étendre, invisible et implacable.

En fin de matinée, après avoir profité de Julie qui m'a sucé avec dévotion dans sa cellule, je reviens voir ma petite beurette. Je l'amène dans le donjon où tout mon équipement attend. Sans m'occuper de ses protestations et de ses pleurs, je lui explique qu'elle doit obéir si elle ne veut pas souffrir. Pieds nus sur le sol en ciment, elle reste debout, les poignées fixés à un des murs en béton par des anneaux.

- Tout d'abord, tu me parleras avec respect en ponctuant tes phrases de 'Maitre'.

- Salaud... vous avez tué ma mère.

Sa tête vrille d'un coup lorsque ma gifle l'atteint. Une seconde la remet droite.

- As-tu compris?

- Oui... oui Maitre.

J'appuie sur le bouton et tout son corps se tend et se désarticule sous la décharge électrique. Elle se pisse dessus. Je m'approche d'elle.

- Embrasse-moi!

Elle se met à geindre et à sangloter en me suppliant de la laisser tranquille. Je pince ses deux tétons et je sers très fort. Lila hurle mais je continue en vrillant les petits bouts de ses seins. Des larmes coulent sur ses joues. Que c'est excitant sa douleur! J'adore ce moment du dressage. Ça va durer pendant une ou deux semaines avant qu'elle se soumette au moindre de mes ordres. Je prends une cravache arrachée à un mur et je fouette d'abord ses jolies cuisses puis ses hanches. Les gueulements sont immondes. La petite fille à sa maman n'a jamais souffert. Maintenant, ta vie sera une souffrance acceptée. J'appuie à nouveau sur l'interrupteur et la beurette bave comme une bête en trépignant sur place.

- Embrasse-moi!

La beurette se penche comme elle peut et m'offre un baiser assez timide. Pour aujourd'hui ça ira. Mais il faudra que la prochaine fois, elle y mette du cœur. Pour clôturer cette première séance de dressage, je fixe des anneaux à ses chevilles. J'y fixe des chaînes et, une fois l'installation opérationnelle, j'active un bouton et un petit moteur démarre et relève les jambes de la jeune femme jusqu'au niveau de ses épaules.

J'adore les mettre dans cette position. Suspendue contre le mur, les bras et les jambes accrochés en l'air, le cul de ma proie est bien relevé et j'ai un accès privilégié à son sexe et à ses fesses. Évidemment, ce n'est pas très confortable pour elle.

Je vois dans ses yeux de l'appréhension quand elle constate que je sors des ustensiles d'un tiroir. Deux tubes de crème et un petit sex-toy que j'affectionne particulièrement. J'étale la première crème sur ses aréoles, sur son anus et sur ses petites lèvres. Je prends mon temps. Je suis méticuleux. Ses chairs sont bien maculées de cette substance qui va doucement diffuser une chaleur et surtout exciter ces zones érogènes. Le second tube est un lubrifiant et je tapisse son vagin.

Sa respiration est haletante car la position est vraiment inconfortable. La peur de ne pas savoir ce qui va arriver doit également la terroriser. Je pénètre deux doigts dans son sexe et commence à masser la face antérieure de son vagin. Juste où il faut. Soudain, son regard me fixe.

- Ton corps m'appartient. Tes orgasmes m'appartiennent. Tu jouiras quand je veux. Tu comprends?

- Mmmm oui..

- Oui qui? dis-je en pinçant douloureusement un téton.

- Oui Maitre.

Je continue mon doigtage interne sur sa zone G et j'active mon petit appareil, une sorte de mini aspirateur qui vibre. L'embout au trou dans lequel je place le clitoris de Lila. La vibration et la légère aspiration sont des stimuli qui ne tardent pas à déstabiliser la gamine. Elle gémit en me regardant avec supplication.

- Tu dois me demander pour jouir. Tu comprends?

- Je ne veux pas jouir... Maitre.

- Pourquoi, je demande en activant vivement mes doigts dans sa chatte.

- aaarrrrggg parc... parce que c'est un viol.

- Tu es ma chose maintenant. C'est normal que tu jouisses quand je te l'ordonne.

Je monte d'un cran le sex-toy et mes doigts reprennent leur lent massage interne. Je constate que les tétons de la beurette se dressent. Sur sa peau halée, des frissons par vagues parcourent son corps. Sa chatte devient humide. Je pense que la crème sur ses tétons, son anus et ses lèvres active son plaisir.

- Maintenant, tu vas jouir.

Le froncement de ses sourcils m'informe qu'elle est rétive mais son corps ne répond pas à sa volonté et un puissant orgasme éclate. Elle crie comme une folle et tout son corps se tend. Elle est belle! Moi, je continue mon traitement. Elle se calme et pleure. Je sais, j'ai l'habitude des femmes qui pleurent après les avoir forcée à jouir. Sa mère m'avait fait le même coup. Pendant une heure, je multiplie ses orgasmes puis je la relâche.

Le dimanche se poursuit, et il est temps de m'occuper de ma jeune black. Je descends dans mon sous-sol, portant avec moi un plateau de nourriture. Djamila, grande et athlétique, avec ses cheveux rasés, est assise dans sa cellule, son regard trahissant un mélange de résignation et de défi. Elle me fixe, ses yeux suivant chacun de mes mouvements. Je dépose le plateau. La nourriture est simple, suffisante pour la maintenir en vie et en bonne santé, mais pas assez pour lui permettre de se sentir forte ou satisfaite.

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