Dans les Méandres de l'Ombre 01-05

BÊTA PUBLIQUE

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- Mange, petite pute, lui dis-je d'une voix neutre.

Elle obéit et s'agenouille sur le sol. Ses mouvements sont lents, presque mécaniques. Je l'observe manger, chaque bouchée un rappel de sa situation, de sa captivité sous mon contrôle. Debout à ses côtés, ma main passe sur son crâne rasé. Comme une chienne bien dressée, je la félicite de son obéissance. Djamila termine son repas frugal et j'ouvre mon pantalon. A la bonne hauteur, elle prend mon sexe dans sa bouche et me gratifie d'une douce fellation.

Pendant qu'elle me suce j'admire son corps d'ébène. Les reflets du néon sur sa peau magnifie les courbes de sa silhouette qui s'affine avec le traitement que je lui impose.

- Djamila, tu sais, ton obéissance ne pas passe inaperçue. Tu as été une bonne pute.

J'observe sa silhouette grande et élancée se redresser lentement, ses cheveux rasés lui donnant un air à la fois vulnérable et intrépide. Ses yeux me fixent, emplis d'une lueur mêlant résignation et un soupçon de curiosité.

- Qu'est-ce que ça veut dire, Maitre? Vous allez me laisser partir?

Sa voix est ferme, mais je perçois une légère vibration, une tension sous-jacente.

- Pas encore. Mais je pense que tu mérites une récompense pour ton bon comportement. Que dirais-tu de quelques vêtements plus confortables? Peut-être même quelques livres, ou un écran pour regarder des vidéos.

Je souris légèrement, savourant le moment. Djamila reste silencieuse, son regard scrutant le mien, cherchant à y déceler un piège.

- Pourquoi feriez-vous ça, Maitre? Qu'est-ce que vous attendez de moi en retour?

Sa méfiance est palpable, mais je peux voir une lueur d'espoir, presque imperceptible, dans ses yeux.

- Rien de plus que ce que tu fais déjà. Continuer à être obéissante, à suivre les règles et être ma pute. Tu vois, je peux être généreux avec ceux qui coopèrent.

Elle baisse la tête dévoilant son crâne lisse.

- D'ailleurs, j'ai envie de te sodomiser.

Djamila avance vers son lit métallique et, à quatre pattes, le dos creusé, elle m'offre docilement son cul. Putain! Les culs des blacks, c'est quelque chose. Ma queue humide par la bouche de cette pute entre dans l'anus entrainé. Bien sûr, la jeune femme se plaint un peu. Plus des gémissements de douleurs que de plaisir sonnent gentiment à mes oreilles. Petit à petit, l'oiseau fait son nid mais si le nid reste étroit, mon plaisir est décuplé. Je n'ai pas encore dressé cette chose à jouir mais je m'y attèlerai dès que ces connard de flics arrêteront de me tourner autour.

Je ne vais pas jouir en elle. Je me réserve... c'est fatiguant d'avoir autant de pièce dans sa collection. Je m'éloigne de sa cellule, la laissant digérer mes paroles. Djamila reste immobile, perdue dans ses pensées, la perspective d'un peu de confort dans son univers austère faisant naître en elle un conflit intérieur.

Après m'être occupé de la black, je me dirige vers la cellule de la rousse. Julie, la jeune fille de 20 ans, avec ses longs cheveux roux et ses yeux verts, est une vision de vulnérabilité. La barmaid porte toujours le short et le débardeur dans lesquels je l'ai capturée, maintenant froissés et tachés. Elle porte également le collier. Son visage exprime la peur et l'épuisement. Je lui donne également son maigre repas, un geste qui est devenu une routine dans mon univers souterrain. Julie accepte la nourriture avec une réticence visible, mais elle sait qu'elle n'a pas le choix. Elle doit manger pour survivre. Je reste un moment à la regarder, appréciant la manière dont elle se débat avec sa nouvelle réalité. Petit oiseau fragile, ses ailes sont brisées et elle devra abandonner ses espoirs de ciel illimité. Chaque victime réagit différemment, et observer ces réactions est pour moi une source d'étude fascinante.

- Julie, je dois dire que je suis satisfait pour l'instant. Tu assures vraiment avec tes exercices de musculation et de souplesse, deux fois par jour.

Je caresse son épaisse chevelure rousse, observant sa petite silhouette et ses yeux verts qui me fixent avec une lueur de détermination malgré son désespoir évident.

- Ce n'est pas comme si j'avais le choix...Maitre.

Sa voix trahit un mélange de résignation et de défi. Elle est assise sur le sol de ciment, vêtue de son short et de son débardeur, les signes de son ancienne vie de barmaid.

- Tu t'ennuies, n'est-ce pas?

Je souris légèrement, savourant la possibilité de jouer avec ses émotions.

- Oui, beaucoup. Il n'y a rien à faire ici, à part...

Son ton est amer, mais j'entends aussi un soupçon d'espoir dans sa voix.

- Eh bien, je pense que tu mérites une petite récompense pour ton assiduité.

Je lui tends un livre. Julie le regarde un instant, surprise, puis le saisit lentement, ses doigts effleurant brièvement les miens. "La Soumise" de Tara Sue Me.

- Merci... je suppose. Maitre.

Elle ouvre le livre, ses yeux verts parcourant les premières lignes. Malgré elle, un intérêt naît dans son regard. Je la regarde un moment, appréciant cette petite concession, ce minuscule fragment de normalité que je lui accorde dans cet univers de captivité.

- Maintenant, allonge-toi pour ton traitement.

Son regard se voile mais elle ne résiste pas. Elle baisse son short et sa culotte et s'étend sur le lit de fortune sans draps. Je n'ai plus besoin de l'attacher. Je n'ai jamais vu une femme sans penser qu'elle deviendrait une soumise, ni une chatte sans songer la posséder. Pour mon plaisir, je caresse son corps jeune et doux. Deux doigts s'introduisent dans son sexe. Elle est humide! Voilà, le traitement presque quotidien assure son office. Elle sait qu'elle va jouir et même si sa tête s'y refuse, son corps le réclame. Tourmentée dans sa lutte entre ses pulsions et sa résistance mentale : l'un pour l'irrépressible besoin de volupté et de jouissance dans sa captivité, l'autre de résister à l'inhumaine condition de sa vie, Julie, ma petite rousse, écarte plus encore ses cuisses et sert plus fort ses poings.

Je sors mon petit appareil et l'ajuste sur son clitoris. Mes doigts dans son intimité humide et mon jouet sur son bouton la font décoller rapidement.

- Maitre, je vais jouir...

- J'entends que tu es contente de ce que je te fais!

- arrrgggg... Maitre! Est-ce que je peux jouir?

Depuis quelques jours, je m'attache à lui faire comprendre que seul moi suis le maitre de ses orgasmes. Alors, je retire mes doigts et mon jouet, laissant la rousse transie de frustrations. Je me penche pour l'embrasser et sucer ses petits seins. L'étreinte éphémère de mes doigts et de l'appareil sont créer une proximité lointaine de ses orgasmes et lui impose ma volonté dans l'assouvissement de son besoin de jouir. Besoin que je vais rendre compulsif chez elle. Je sens que cette pute en a le potentiel. Je recommence le traitement et les vibrations autour de son clitoris déclenchent rapidement des gémissements de plaisirs. Douce musique.

Julie supplie à nouveau pour que je la libère mais trois ou quatre fois, je m'amuse à stopper sa montée. Finalement, je l'autorise à jouir et c'est avec une légère éjaculation vaginale, qu'elle explose dans un hurlement bestial.

Je ferme les portes des cellules derrière moi, laissant Djamila et Julie à leur solitude. Je remonte à la surface, satisfait de mes actions. Elles sont désormais des pièces de mon jeu, des actrices dans le scénario que j'ai écrit. Je suis le Poursuiveur, et chaque jour est une nouvelle page dans mon histoire.

***

Au sein du commissariat, l'atmosphère est devenue pesante, presque étouffante, suite aux récentes nouvelles de la mort du commissaire. Chrystel Louveton, son esprit en proie à une inquiétude grandissante, essaie frénétiquement de joindre Elias Tabi par téléphone. Chaque sonnerie non répondue accroît son sentiment d'urgence. "Pourquoi ne répond-il pas?" se demande-t-elle, son pouls battant à la cadence de ses pensées alarmées. Déterminée à agir, elle se précipite vers le parking souterrain du commissariat, ses talons résonnant sur le béton avec une urgence palpable. Chaque seconde compte et son instinct lui crie que quelque chose ne va pas.

Alors qu'elle approche de sa voiture dans le parking sombre, un frisson d'appréhension lui parcourt l'échine. Elle est sur le point d'atteindre son véhicule quand soudain, un bruit sourd derrière elle brise le silence du parking. Avant même qu'elle puisse se retourner pour identifier la source du son, une obscurité soudaine l'envahit et elle s'évanouit, son corps s'effondrant sans défense sur le sol froid du parking. La dernière pensée consciente qui traverse son esprit est une crainte pour Elias et pour elle-même, un pressentiment que la situation est en train de dégénérer bien au-delà de ce qu'ils avaient imaginé.

***

Dimanche soir, je ressens le besoin de retourner voir Lila dans sa cellule. Il est important pour moi de voir comment mes nouvelles victimes s'adaptent à leur environnement. La beurette de 18 ans a eu sa séance d'orgasmes ce matin, maintenant j'ai envie de la rudoyer. Je descends dans mon sous-sol, où le silence est seulement rompu par les sons étouffés de la détresse. Lila est là, recroquevillée dans un coin de sa cellule. Ses longs cheveux noirs tombent en désordre autour d'elle, son hijab n'est plus qu'un souvenir. Ses yeux noirs et brillants, qui autrefois reflétaient une force intérieure, montrent maintenant de la peur et de la confusion. Quand elle me voit, elle se redresse légèrement, son regard s'accroche au mien.

- Pourquoi suis-je ici? demande-t-elle, sa voix tremblante. Où est ma mère?

Il y a une supplication dans ses mots, un espoir désespéré que tout cela ne soit qu'un cauchemar. Je lui offre un sourire rassurant, le mensonge coulant facilement de mes lèvres.

- Ne t'inquiète pas, tu retrouveras bientôt ta maman si tu obéis, lui dis-je.

C'est une fausse promesse, un leurre pour la garder calme. La vérité, c'est que je suis le seul à décider de son sort et que sa mère est morte. Elle me regarde, tentant de discerner la vérité dans mes paroles. Je peux voir la lutte dans ses yeux, le désir de croire qu'il y a encore de l'espoir. Mais au fond, elle sait. Elle sait que sa situation est désespérée, qu'elle est à ma merci.

- Viens-là petite chose, dis-je en ouvrant la porte de la cellule.

Pense-t-elle qu'elle va recevoir le traitement de ce matin où je l'ai forcé à jouir? En tout cas, elle me suit sans trop de méfiance. Nous arrivons dans le donjon et cette fois-ci, je ligote ses poignets et les suspends à un crochet situé sur le plafond. Je tire suffisamment pour qu'elle se retrouve en équilibre précaire sur la pointe des pieds. Tout son corps de jeune fille est étiré à la verticale.

- Ce matin je t'ai fais jouir. Et tu ne m'as pas remercié. Maintenant, je vais te faire souffrir et tu devras me remercier. Tu vas apprendre que je suis ton Maitre absolu et quoique je te fasse, tu dois m'être redevable.

Les yeux noirs de la pauvre expriment leur incompréhension. Mais quand le premier coup de martinet tombe sur son dos, un cri déchire le silence du donjon. Je recommence sans retenir mon coup. Les murs en béton résonnent de sa plainte. Encore sur ses fesses et ses cuisses, en alternant les côtés, je fouette Lila qui peut à peine bouger dans sa posture tendue. Les claquements du martinet rythment les cris de la beurette. Les lanières giflent maintenant ses seins. Je m'attarde sur eux et, rapidement, ils se strient de marques rouges.

Lila pleure. Elle bave de douleur. Mais, quand elle me voit reposer le martinet et saisir une cravache, elle devine que la douleur va s'intensifier et elle gueule. Je commence par ses globes fessiers déjà marqués par les lanières du martinet. Là : une rayure profonde. Puis, le bout de la cravache joue avec ses tétons les caressant pendant un moment puis les claquant ensuite.

Lila est folle. La douleur ne cesse pas un instant. Tout en la martyrisant, je ne cesse de lui débiter mon catéchisme. Elle ne sera qu'une pute, qu'un trou à bite et que le moindre confort qu'elle pourra obtenir ne sera qu'au prix d'une soumission totale.

Son corps entièrement rouge et quelques coulures de sang dégoulinant de ses fesses sur sa cuisse, je me positionne derrière elle, la queue tendue. Je l'encule violemment et la laboure sans ménagement.

- Quand je te ferai jouir, tu me remercieras?

- AAAAhhhhhh Oui Maitre, hurle la beurette le cul perforé.

- Remercie-moi de t'avoir battue!

- MMERCIIIIII Maitre de m'avoir battue.

C'est là que j'ai éjaculé au fond de ses boyaux en serrant vicieusement ses seins dans mes mains puissantes.

Du donjon à sa cellule, c'est par les cheveux que je la tire. Elle est groguie par la douleur de la séance. Je quitte la cellule, la laissant seule avec ses pensées, ses peurs et sa souffrance. Chaque interaction avec mes victimes renforce mon sentiment de contrôle, mon pouvoir sur leurs vies. Je suis le Poursuiveur, et chaque moment de leur captivité est une toile que je tisse avec soin. Avant de refermer la porte, j'appuie sur l'interrupteur dans ma poche et la beurette autrefois voilée, tombe tétanisée par la douleur de la décharge électrique.

Lundi en fin de matinée. Mon cœur bat plus fort que d'habitude alors que je conduis ma camionnette dans le parking du commissariat. C'est une manœuvre risquée, un jeu dangereux auquel je me livre. Pour la première fois depuis longtemps, je sens l'angoisse monter en moi, une sensation presque étrangère. Je suis tendu, chaque sens aux aguets. J'ai planifié ce moment dans l'urgence après la découverte de ma camionnette sur la photo. Le risque est énorme. Je suis entouré de ceux qui me traquent, ceux qui cherchent à mettre fin à mon œuvre. C'est ironique, presque, de me retrouver ici, au cœur même de l'antre de mes ennemis. J'en ai déjà dégommé. Je continue.

Je reste dans ma camionnette, caché par les vitres teintées, observant les allées et venues des policiers. Chacun d'eux pourrait être celui qui m'arrêtera, qui mettra fin à mon règne. L'adrénaline de ce moment est différente ; elle est teintée de peur, une peur que je n'avais pas ressentie depuis longtemps. C'est un pari fou. Si je suis découvert ici, tout est fini. Ils vont finir par me pincer, je le sais. Mais c'est ce frisson, cette danse sur le fil du rasoir, qui me rend vivant. C'est une dépendance, une addiction à l'excitation et au danger. Je surveille attentivement, prêt à agir ou à m'échapper à la moindre alerte. Je suis le Poursuiveur, mais aujourd'hui, dans ce parking, je sens le poids de la chasse sur mes épaules. Chaque seconde ici est un risque, mais c'est un risque que je suis prêt à prendre. C'est le prix à payer pour rester un pas devant eux, pour continuer mon jeu tordu.

Là, dans le parking du commissariat, mon regard est capté par l'apparition d'une femme aux longs cheveux bruns. Mon cœur s'emballe. C'est elle. Chrystel Louveton, l'inspectrice, la chasseresse. Voir ma proie d'ici, dans la camionnette qui me sert à enlever mes choses, dans cet environnement, intensifie mon excitation. C'est un moment que je n'ai pas anticipé. Je vérifie rapidement les alentours. Le parking est désert, un terrain de chasse idéal.

Tout se passe si vite, mais chaque mouvement est précis, calculé. Je sors de ma camionnette, mon pistolet électrique en main, prêt à agir. Je m'approche d'elle, silencieux et déterminé. Elle ne m'a pas encore remarqué. L'élément de surprise est de mon côté. Mon doigt est sur la gâchette, mon corps tendu comme un arc. Puis, d'un geste rapide et assuré, je tire. Le projectile atteint Chrystel, le choc électrique la parcourt instantanément. Elle est tétanisée, prise au piège par la décharge. Elle s'effondre sur le sol en béton, incapable de bouger, de réagir. C'est un spectacle fascinant, voir une chasseresse si compétente ainsi réduite à l'impuissance.

Je m'approche d'elle, mon pouls battant dans mes tempes. L'excitation de la chasse, de la capture, est à son comble. Elle est là, vulnérable, à ma merci. Une vague de satisfaction me submerge. C'est une victoire, un trophée de plus à ma collection. Je la regarde, immobile sur le sol, son corps encore sous le choc de l'électricité. C'est le moment de décider de son sort, de planifier la suite. Je suis le Poursuiveur, et aujourd'hui, j'ai capturé l'un de mes plus grands défis.

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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 3 mois

Super histoire

AurailiensAurailiensil y a 4 mois

Intense... bon rythme... excellent

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