De la Chimie des Corps Ch. 05

BÊTA PUBLIQUE

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« Ooh, Wally, c'était si bon! Tu veux bien encore me caresser? Et après, tu pourras me sodomiser. Tu vas enculer ta femme légitime pour la première fois mais pas pour la dernière! J'aime quand tu prends .. aah .. mon cul, mon Wally ... oui, caresse-moi ... aah .. suce l'autre sein ... après .. mon .. cul .. à fond .. suce .. caresse .. clito .. Wally .. WALLY! AAAHHHH! »

Il la laissa se reposer après ce deuxième orgasme consécutif et elle lui sourit.

« Merci mon amour. J'ai l'impression qu'une femme mariée jouit plus intensément qu'une célibataire! » mais soudain son visage se crispa et elle se tint le ventre.

« Wally, ... quelque chose ne tourne pas rond ... appelle mon gyneco ou Lucie ..! »

« Lucie est avec Soise. Je vais la chercher. Tien bon! »

Sans prendre le temps de s'habiller, il monta les escaliers quatre à quatre et fit irruption dans la chambre de Françoise sans frapper, faisant sursauter les deux femmes alors que Lucie passait une pommade sur la vulve de son amie.

« LUCIE, ..vite .. Niki! »

Lucie abandonna illico son amie et fonça à son tour dans l'escalier, suivie d'un Walter toujours nu et flamberge au vent puis d'une Françoise toute aussi nue qui marchait plus péniblement les jambes écartées.

Quand cette dernière les rejoignit dans la chambre nuptiale, Lucie avait déjà complètement ouvert la robe de mariée et, à défaut de stéthoscope, avait posé son oreille sur le ventre gonflé de la future maman tout en mesurant l'ouverture du col de l'utérus avec sa petite main.

« Bon dit Lucie, c'est une fausse alerte. Ce genre de pseudo-contraction peut se produire après une émotion forte ... comme un orgasme par exemple. Donc chers amis, désolée mais ce sera ceinture jusqu'à l'accouchement si vous ne voulez pas louer trois couveuses! Ce sera déjà assez miraculeux d'arriver au-delà de huit mois ; ne précipitons pas les choses!»

« Merci Lucie! heureusement que tu étais ici ; je n'ai pas paniqué trop longtemps! On fera comme tu as dit même si cela tombe mal pour mon Walter aujourd'hui. »

« En tant que ton médecin traitant, je veux bien prendre soin de ton mari aussi vu que ton infirmière personnelle est HS pour cause d'abus de Sawané! »

« Ca , ce serait très gentil ma chérie » dit Françoise, c'est vrai que je suis tout juste bonne à tenir la main de Niki. Pour ce qui est du sexe, j'ai mon compte pour une semaine! »

« On peut prendre ta chambre? Dans l'état où est ce pauvre Walt, je ne crois pas qu'il tienne très longtemps hi hi ... »

Elle fut la première étonnée ....

Cinq semaines plus tard, le quatuor se retrouvait au CHRU de Lille aux urgences gyneco-obstétriques. Walter tournait comme un ours en gage tandis que Lucie et Françoise assistaient à l'accouchement. Il aurait voulu être présent mais Lucie avait été ferme

« On va sans doute faire une césarienne donc tu ne peux pas rester. Et même si on passe par voie vaginale, je n'aurai pas le temps de te ramasser une fois le travail commencé. »

Il tournait donc en rond jusqu'à ce qu'il entende faiblement derrière la porte un premier cri, puis un deuxième ... silence ... et un troisième! Quelques minutes plus tard, une infirmière ouvrit la porte et l'invita à la suivre . Sa femme et ses maîtresses l'attendaient, chacune avec un bébé dans les bras. En bon cœur d'artichaut, il commença à brayer mais se reprit et vint embrasser passionnément son épouse puis, plus chastement, Lucie et Françoise.

Ce n'est qu'ensuite qu'il regarda les bébés. Deux filles et un garçon . (« La bonne proportion ») se dit-il mais ...

« Oui je sais » dit Lucie « Ils sont affreux mais c'est normal. Dans une semaine , cela ira déjà mieux . »

« Non, non, ils sont magnifiques . Et je m'attendais à ce qu'ils soient plus petits »

« Ils ne sont pas tellement prématurés mais c'est vrai que pour des triplés, ils sont plutôt dans la moyenne supérieure ».

Quelques heures plus tard, Walter et Niki eurent encore à subir l'assaut du Club des Lesbiennes qui débarqua en rangs serrés mais lorsqu'il fut expulsé de la chambre de Niki, elle dormait à poings fermés, de même que les triplés dans une chambre annexe sous la surveillance de Françoise.

Il passa lui dire bonsoir. Elle lui sourit

« Ne t'en fais pas Walter, ils sont sous bonne garde. Et mon instinct maternel va se développer encore plus dans les mois à venir! »

« Heu? »

« Je suis enceinte Walt . Ne me demande pas de qui ; je n'en sais rien et je m'en fiche. Si je remonte l'horloge, cela peut être toi, Loïc ou Toussaint et même un ou deux autres. C'est un accident mais ce bébé , je vais le faire toute seule ; il n'aura que des oncles ... et beaucoup de tantes je crois! »

Il rentra dans sa grande maison vide, un peu déboussolé de n'y trouver personne et se coucha dans son lit, seul pour la première dois depuis presqu'un an mais il s'endormit presqu'aussitôt avec un sentiment de plénitude. Walter Lévèque était un homme heureux.

Trois jours plus tard, il était nettement moins heureux . Il était même fichtrement nerveux en parcourant l'article qui illustrait la manchette de 'La Voix de Lille' : « Ballets Roses à l'Hotel Clonart »

Aucun nom n'était cité mais un groupe de notables du département avait été surpris par des 'forces de l'ordre' en pleine partouze avec des jeunes gens majeurs mais 'dépourvus de libre arbitre' comme le disait le journal. Un des 'organisateurs' avait fait un malaise cardiaque et la Sécurité de l'hôtel avait appelé la police en découvrant la scène.

Il n'avait pas besoin de plus de précisions pour comprendre que ses produits étaient en cause . Quels idiots! Organiser une partie fine avec des subjugués dans un lieu public! Pourquoi ne pas envoyer des cartons d'invitation rue des Marquillies tant qu'ils y étaient! Et ils allaient certainement le dénoncer dans un effort désespéré pour obtenir une réduction de peine voire une suspension du prononcé.

Niki, les bébés! Ils n'avaient même pas encore de prénom! Comment allait-il les tenir à l'écart du scandale. Elle venait à peine de rentrer de la Maternité avec Françoise ..

Tout prendre sur lui. Rédiger des aveux. Se suicider? Non, il n'en n'avait ni l'envie ni le courage. Un avocat. Combien d'années de tôle risquait-il?

Il était en train de sombrer dans une crise de désespoir lorsqu'on sonna à la porte d'entrée. (« Eux? Déjà? ») Avec des pieds de plomb, il se dirigea vers la porte d'entrée mais il poussa un soupir de soulagement en reconnaissant la silhouette à travers la vitre translucide de la porte d'entrée ; ce ne pouvait être que Toussaint .Il ouvrit la porte ; c'était bien lui!

« Bonjour Monsieur Lévèque, est-ce que nous pouvons vous parler? »

« Bonjour Toussaint , qui ça nous? »

« Moi et l'Adjudant » dit Sawané en s'effaçant pour révéler la présence d'un homme de taille moyenne aux chevaux gris fer coupés courts.

(« Un militaire! »)

« Désolé Monsieur Lévèque mais Toussaint ne me connaît que sous mon avatar de l'armée . Dans un autre service, je suis le colonel Perrin . François Perrin évidemment! J'ai fait appel à Toussaint que je connais depuis quelques années pour faciliter le contact car je dois vous parler de toute urgence. En fait, je n'ai qu'une heure pour vous convaincre avant que vous ne soyez arrêté»

Une boule commença à grossir dans l'estomac de Walter . il avait envie de vomir. Incapable de parler, il leur fit signe d'entrer et de s'assoir au salon.

« Ne perdons pas de temps voulez-vous Monsieur Lévèque? Nous savons que vous êtes l'inventeur d' « Irrésistible » dans ses différentes versions et que vous êtes derrière tout le trafic avec votre très respectable épouse . Nous pouvons faire bloquer vos comptes à Jersey en un quart d'heure et emprisonner tout votre petit harem dans la foulée ... à Nouméa! Sans parler de la Protection Maternelle et Infantile pour vos enfants ... Etes-vous prêt à m'écouter? »

Walter avait l'impression que la bile allait lui sortir par le nez ...

« Mon service voudrait devenir votre client exclusif. Pas aux prix actuel bien sûr . A 10% de votre prix pour les privés pour être exact. Et nous ne sommes intéressés que par 'Irrésistible' . La production du 'Pot Lillois' s'arrête aujourd'hui bien entendu. Nous n'avons pas envie d'enterrer d'autres victimes. En échange, toute l'affaire du 'Clonart' disparaît, votre femme se voit confirmée à la Présidence de l'Institut et vous prenez la tête d'un laboratoire , disons discret, où nous financerons vos futures recherches. Vous pourrez disposer des sommes déposées à Jersey -- mais pas plus! Et amnistie totale pour votre petit groupe signée de la main de qui vous savez! »

La bile redescendait et la boule commençait à se dissoudre.

« Voulez-vous quelques minutes pour réfléchir? »

Water se tourna vers Toussaint

« Il est de parole? «

« Il m'a sauvé la vie et celle de ma sœur. S'il prend la peine de vous parler plutôt que d'obtenir tout gratuitement en envoyant Madame Nicole à Nouméa, c'est qu'il est de parole, non? »

« OK Colonel ... quel que soit votre nom! Je veux le document d'amnistie pour Nicole et les autres plus la confirmation de sa nomination. Et je vous remets illico les formules et ma totale collaboration sans condition! »

« Vous ne voulez rien pour vous? »

« Du moment que Nik .. Nicole reste en dehors de tout ceci, j'ai ce qu'il me faut. »

« Bien, voici les documents signés » dit-il en sortant une chemise de sous son imper

« Vous n'aviez aucun doute Colonel? »

« Moi oui ; c'est mon métier! Mais Toussaint savait que vous voudriez protéger votre femme par-dessus tout .. »

Il prit son mobile, pressa un bouton et dit « Annulez » puis s'adressant à Walter

« Vous avez dix minutes pour dire au revoir à votre femme et lui expliquer que vous serez absent pour la journée. Nous commencerons par votre labo actuel avant de vous accueillir dans nos locaux mais vous avez ma parole, dans au plus tard 24 heures, vous serez de retour. Provisoirement. »

Il inventa une histoire de client potentiel à convaincre pour ne pas inquiéter Niki et Françoise et embrassa longuement son épouse avant de la quitter d'un air qui se voulait insouciant.

Une demi-heure plus tard, aidé par Toussaint et deux 'gorilles' du Colonel, il vidait sa précieuse armoire métallique . ils abandonnèrent le grand Franco-Malien devant l'Institut et reprirent la route. Avant la sortie de Lille, les gorilles cagoulèrent Walter qui ne put qu'essayer de deviner combien de temps ils roulèrent mais sans avoir la moindre idée de la direction.

Ils empruntèrent pendant une bonne heure sur autoroute avant de prendre une nationale ou une bonne départementale. Ils traversèrent un gros village ou une ville puis reprirent une départementale et enfin une espèce de sentier de terre. La route s'améliora de nouveau mais descendit d'abord en pente raide avant de se stabiliser. Le véhicule s'arrêta. Le Colonel donna l'ordre à ses hommes de lui enlever la cagoule et de le faire descendre.

Ils se trouvaient dans un énorme hangar éclairé uniquement par de la lumière artificielle. Le Colonel le mena jusqu'à une porte qui ressemblait à une porte de sas de sous-marin et menait à un long couloir sans fenêtre. Ils prirent une succession de couloirs toujours éclairés par la seule lumière artificielle avant d'entrer dans une grande pièce complètement obscure dans sa plus grande partie mais dont le mur du fond était éclairé.

A y regarder par deux fois, ce n'était pas un mur mais une gigantesque vitre qui permettait de voir la pièce attenante. C'était une espèce de cellule dotée de deux lits vides, d'une table et de quatre chaises dont deux étaient occupées par deux hommes de taille moyenne, impassibles, immobiles dont Walter se demanda d'abord s'ils n'étaient pas des statues de cire.

« Monsieur Lévèque, vous êtes ici dans une base secrète du Service Européen de Contremesures Scientifiques. Base mise par la France à la disposition de notre organisation internationale chargée entre autres de la lutte contre les terroristes. » Et il désigna les deux personnages de l'autre côté de la vitre.

« Je ne vous donnerai pas de nom mais sachez que ce sont là deux des membres dirigeants du Commandement Opérationnel de l'Internationale Terroriste. Cela fait des semaines que nous essayons de les faire parler par tous les moyens y compris les moins plaisants mais leur fanatisme leur donne une capacité de résistance hors du commun. Nous espérons que votre 'Irrésistible' va les faire craquer mais nous avons besoin de votre expertise car vos versions actuelles ne sont probablement pas assez puissantes pour venir à bout de leur volonté. »

« Cela dépend Colonel. Si ce que j'ai lu est exact ; ils sont passablement conservateurs non? Et ils ont l'homosexualité en horreur. Je suggère de les influencer d'abord avec le 'M' et de les exciter pendant quelques heures avec une présence féminine pour faire monter la pression et surtout les faire transpirer. Grâce à leur transpiration, je pourrai concocter deux doses de la version 'G' et nous verrons comment ils supportent leur attraction mutuelle ... »

Le colonel le regarda avec un certain respect tout neuf

« J'étais pourtant certain que vous n'aviez jamais travaillé pour les Services auparavant! Excellente idée mais ne perdons pas de temps. Gardes! Attachez les prisonniers au mur et faites venir Hauptmann Ulla Votsörr . »

Le colonel expliqua le plan de Walter à son adjointe, une grande blonde à la poitrine imposante, qui eut un sourire carnassier avant de disparaître et de réapparaître derrière la grande baie vitrée où les deux hommes avaient été soigneusement attachés au mur. Elle leur envoya une dose de diffuseur sur chaque joue puis s'assit en face deux et attendit.

« Le grand avantage de la version 'M' , c'est que l'élément féminin est interchangeable, n'est-ce pas? »

« Oui mais je n'y suis pour rien ; c'est la physiologie masculine qui est non sélective! »

« J'ai pris la liberté d'ajouter un petit plus à votre plan : j'ai fait pousser le chauffage à 30°! »

La Capitaine Votsörr commençait d'ailleurs à ressentir les effets de l'augmentation de température car elle retira sa cravate et sa chemise. En dessous, elle portait un bustier sport qu'elle enleva aussi, massant ses superbes seins dès qu'ils furent libérés de leur prison de tissu.

« Une grande professionnelle, très dévouée » commenta le colonel avec un infime soupir.

Les deux terroristes transpiraient déjà abondamment du front et le colonel dit à sa montre « commencez les prélèvements Hauptmann »

Walter ajouta « Surtout sous les aisselles et dans le pli de l'aine »

Le Colonel transmis le message à sa subordonnée qui avait entrepris de passer des cotons tiges sur le front du premier homme . Elle releva son T-Shirt et en passa ensuite d'autres sous les aisselles du prisonnier avant de baisser son pantalon orange et un caleçon douteux. La verge du terroriste était déjà en érection mais elle se garda bien d'y toucher pour passer de nouveaux coton tiges là où Walter l'avait indiqué.

Avant de passer à l'autre homme, elle noua une espèce de garrot à la base du pénis du captif. Elle enferma les coton tiges dans deux boîtes hermétiques et les remit à un des gardes.

Elle prit une des chaises et la disposa face aux deux hommes . Elle ôta ensuite ses bottillons puis son pantalon. Elle se tourna alors vers les deux prisonniers, les mains sur les hanches, les seins en bataille, vêtue uniquement de son slip. Les deux hommes tremblaient d'excitation et leurs verges palpitaient de désir.

Elle s'assit sur la chaise et leva les jambes pour faire glisser son slip, très, très lentement. Quand ce fut fait, elle écarta les cuisses, montrant sa chatte en gros plans aux mâles du mur.

Walter, qui ne voyait que son dos, regretta un peu de ne pas être du côté des prisonniers ; le spectacle devait être grandiose! Il jeta un coup d'œil au colonel. Une fine trace de transpiration perlait à l'emplacement de sa moustache et sur son front.

Hauptmann Votsörr se saisit les seins et les malaxa de ses grandes mains de soldate avant de les envoyer entre ses jambes. Walter supposa qu'elle se branlait car ses gestes y faisaient immanquablement penser, même vus de dos.

Les deux hommes étaient déjà au bord de la crise de nerfs ; leurs verges étaient presque violettes et étaient agitées de convulsions mais visiblement, à cause des garrots, aucun soulagement n'était possible . Attachés comme ils l'étaient, ils n'avaient aucune chance de pouvoir assouvir l'énorme tension sexuelle qui les prenait à la gorge.

« Ulla va bientôt jouir » dit le colonel. « Dommage que nous soyons mal placés, c'est grandiose »

Il devait bien connaître son sujet car un instant plus tard, le corps de l'officier se tordit sur la chaise? De leur côté de la vitre, ils n'entendirent pas de son mais un des prisonniers craqua et se mit visiblement à l'insulter.

« Normalement ils sont plutôt soumis » remarqua Walter « C'est la première fois que je vois un sujet réagir de la sorte »

« Ils ont une toute autre psychologie » répondit le Colonel qui se massait le pubis.

Ulla fit signe aux gardes de s'approcher et se mit à quatre pattes perpendiculairement aux prisonniers. Le premier des gardes s''accroupit derrière elle, ouvrit sa braguette et en sortit une arme de chair d'un calibre respectable avant de la fourrer dans le vagin de son supérieur hiérarchique. Un des autres gardes s'accroupit devant son visage et exhiba une bite tout aussi respectable que l'Hauptmann commença illico à sucer.

« Ulla a une excellente équipe n'est-ce pas? Veuillez , m'excuser un instant Lévèque. »

Le colonel prit un téléphone devant lui et aboya. « Faites venir le sergent Matthew et le caporal Gomez, immédiatement »

Deux femmes en uniformes surgirent d'une porte latérale et sur un signe du Colonel s'approchèrent dans la pénombre. « Nous avons besoin de pouvoir nous concentrer sur les prisonniers » leur dit-il et elles s'accroupirent devant le militaire et l'homme de science, ouvrirent leurs pantalons et se mirent à leur prodiguer une fellation qui, toute militaire qu'elle était, leur apporta un soulagement indicible.

(« Pardon Niki mais c'est trop bon! » gémit Walter intérieurement )

Il n'avait même pas vu le visage de sa fellatrice avant qu'elle ne se mette au travail!

Derrière la vitre, le corps d'Ulla Votsörr ondulait comme une liane entre les verges qui la prenaient d'assaut. Les prisonniers , eux, hurlaient tous les deux et le dernier garde s'approcha pour leur fourrer une boule de tissu dans la bouche? Leurs yeux étaient exorbités et leurs membres violacés faisaient peine à voir tant ils étaient boursouflés par le besoin de jouir, besoin qui n'avait aucune chance de s'assouvir.

Les gardes d'Ulla de leur côté n'avaient aucun problème et ils se vidèrent dans les antres de félicité de la pulpeuse blonde. Elle s'affaissa un peu le temps de savourer son propre orgasme puis s'approcha à quatre pattes des prisonniers, telle une louve en chasse.

Mais si les hommes espéraient une quelconque aide de sa part, ils furent bien vite déçus, la louve caressa leurs testicules mais resta soigneusement à l'écart de leurs membres désespérément tendus vers elle.

Elle s'étendit ensuite sur le dos à leurs pieds, écarta les jambes puis, de ses mains, écarta les grandes lèvres de sa vulve et appela le dernier garde qui se précipita entre ses cuisses, baissa son pantalon et , lui saisissant les cuisses, hissa sa supérieure sur ses bras musclés pour l'attirer sur sa verge. Ulla nous ses jambes dans le dos de son homme et empoigna ses seins, triturant les mamelons et les tétons. Son bassin ondulait comme un frêle esquif dans une tempête océanique tandis que le soldat la besognait sans répit.

Walter n'en pouvait plus. La sous-off qui le suçait -- sans doute la caporale Gomez si la hiérarchie était respectée -- faisait preuve d'une habileté diabolique. Il se vida avec un gémissement de soulagement dans la bouche hospitalière. A son côté , le colonel tenait toujours bon et dit