De vierge à décharge de sperme

BÊTA PUBLIQUE

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Cela libéra les vannes. Et tous les garçons, Paul y compris, saisirent mes seins, mon cul, et touchèrent ma chatte tout moment à leur guise.

Couchée dans les bras de Paul sur le canapé, il prit l'habitude de baisser le haut de ma nuisette ou soulever le bas, dévoilant ainsi mes seins, mon cul ou ma chatte à ses amis. Il m'ordonna de divertir ses copains. Hésitante, obéissante et humiliée par cette position de jouet sexuel pour une bande de jeunes hommes excités je ne résistai jamais. Ils jouèrent avec mes seins, mon cul et même ma chatte humide. Avec mes seins à l'air, je dus aller leur chercher des bières en étant récompensée à chaque fois par un « merci poupée » et un tripotage de ma poitrine exposée ou une claque sur mes fesses nues.

Une nuit, alors que Paul et moi sommes allés au lit, il laissa la porte de notre chambre grande ouverte. Quand il me déshabilla et commença à me monter dessus, je lui fis remarquer la porte ouverte. Mais il fit juste « chut ».

Bientôt, je vis les trois garçons à la porte regarder Paul me pénétrer. Je criai mais il me dit de les laisser.

Evidemment, comme ses amis le regardaient, Paul fut très excité et il commença à me pilonner durement. Puis il me retourna et me prit à quatre pattes. Ses copains ne loupèrent rien. Pour mon humiliation finale, il me demanda de le chevaucher. Les garçons s'approchèrent la bite à la main, se masturbant tout en regardant mes seins rebondirent tandis que je baisais Paul.

Après cet épisode, Paul me baisa à n'importe quel moment et partout dans la maison, même si ses amis étaient là. Et même plus quand ils étaient là. Il venait derrière moi, me poussait sur la table et me baisait quand les garçons regardaient la télé. Ou alors il me baisait sur le canapé quand ils jouaient aux jeux vidéo. Il pouvait me coucher sur le canapé de telle sorte que ma tête repose sur les jambes d'un garçon et ils les invitaient à jouer avec mes seins. Ou alors il me penchait à côté d'un garçon l'invitant à tirer sur mes seins pendant qu'il me pilonnait par derrière.

Bien que ces situations soient dégradantes et humiliantes, je dois admettre que je fus très excitée lorsque Paul suggéra à ses amis de sortir leurs engins. Je me retrouvai soudain avec trois belles bites à quelques centimètres de mon visage tandis que mon amant enfonce la sienne dans ma chatte.

Après que Paul eut joui, il laissa ses amis éjaculer sur moi. Ils jouirent sur mes seins, mes cuisses ou mes fesses. Je me sentis comme une vraie salope mais j'aimai être couverte du sperme de tous ces garçons.

Un samedi, Paul me dit qu'il avait quelque chose de très spécial de prévu pour moi ce soir-là. Je devais obéir à tous ses ordres sans questions. Je fus très nerveuse en me demandant ce qu'il avait pu prévoir mais de toute façon j'allais obéir.

Il me fit habiller dans une nuisette avec bustier qui tombait juste au raz de mes fesses. Puis il me fit servir des boissons à ses amis toute la nuit. Chacun d'eux me taquina quand je les approchais. J'eut droit à de gros baisers sur mes lèvres ou des tripotages de mes chairs exposés. Paul les encouragea en disant que j'aimais ce traitement. Puis il s'assit et commença à se masturber en regardant ses amis me peloter.

Etant moi aussi un petit peu ivre, j'obéis aux ordres de Paul en laissant chaque garçon me caresser les seins, tripoter mon cul ou frotter ma chatte avec leurs doigts. Au début, je fus honteuse et humiliée par ce traitement dégradant mais l'alcool supprima peu à peu ces sentiments. Si bien que bientôt j'encourageai leur comportement. Et j'eus hâte de voir de nouveau leurs bites raides gicler sur mon corps.

Encouragée par l'alcool et Paul, je dansai avec chacun d'eux. Ils soulevèrent ma nuisette pour montrer aux autres mon cul rebondi ou ma touffe tout en me serrant. Puis mes seins furent à nus et je les cramponnai tout en les malaxant devant leurs visages. Partageant des baisers langoureux, je me surpris à caresser leurs bites à travers leurs pantalons. Puis je leur dis que j'aimerai voir leurs queues pendant que je me masturbais.

Enfin, ivre et trop fatiguée, je m'effondrai sur Paul et me couchai sur lui. Il chuchota dans mon oreille de faire semblant de dormir et de ne pas réagir à ce qui allait se passer. Il avait de grands projets pour moi ce soir.

Les yeux fermés, je sentis Paul lever ma nuisette pour dévoiler ma chatte, puis il écarta doucement mes jambes pour faire apparaitre mes petites lèvres humides. Il a ensuite repositionné ma tête sur ses genoux avant d'inviter ses amis à explorer mon corps à leur guise.

Au début, je fus heureuse de sentir des doigts explorer ma chatte, tripoter mes seins ou entrer dans ma bouche. Je sentis beaucoup de mains caresser mon corps et la sensation fut très agréable.

Mais ensuite, je fus étonnée de sentir le gland d'une bite frotter mes lèvres et essayer d'entrer dans ma bouche. J'entendis Paul dire :

- Allez-y. Faites ce que vous voulez. Elle est endormie et comme c'est ma petite amie, je vous offre son corps pour la nuit.

Je ne pus croire ce que j'entendais. J'avais voulu garder ma virginité jusqu'au mariage et il me l'avait prise. Maintenant il voulait me laisser à d'autres hommes. Oh mon dieu....

Je sentis qu'on écartait mes jambes et le poids d'un homme sur mon ventre. « S'il te plait Paul, non. Je veux être tienne et seulement tienne. S'il te plait, ne les laisse pas faire ça » Crièrent mes pensées dans ma tête. Mais mes lèvres restèrent serrées. Je ne voulais pas mais je devais rester obéissante et accepter tout ce qu'il exigeait de moi.

Couchée là, humiliée, honteuse, effrayée, je sentis une bite étrangère s'enfoncer profondément en moi.

Avant que je ne puisse réfléchir au fait que maintenant deux hommes m'avaient baisé, une autre queue se positionna contre mes lèvres et pénétra dans ma bouche, baisant mon visage sur les genoux de Paul. Celui-ci caressa doucement mes cheveux et je l'entendis dire :

- Bonne fille, il suffit juste de te laisser aller, de laisser les garçons te baiser.

Alors qu'il répéta ces mots, je sentis chaque nouvelle queue pénétrer et explorer mon vagin ou ma bouche. Je voulus mourir. Mon amant avait fait de moi une salope, une pute.

Essayant de me détendre et de reprendre mon souffle, je cherchai à réguler ma respiration. Etonnamment, je me trouvai bientôt plus détendue et j'acceptai plus facilement les bites qui entraient dans mon corps. Puis je commençai à profiter de l'expérience. Une bite dans la bouche et une dans la chatte, je savourai la double pénétration en imaginant les sexes des deux garçons.

Je restai immobile pendant que les queues se succédaient dans mon vagin et dans ma bouche. En me baisant la bouche, les hommes tripotaient mes seins. En baisant ma chatte, ils caressaient mes jambes. J'appréciai le sentiment d'être utilisée par deux hommes à la fois et dans mon ivresse, je souhaitai bientôt que ça dure éternellement.

Avant que j'atteigne l'orgasme, je sentis qu'un garçon éjaculait dans mon ventre. Instinctivement j'écartai encore plus les jambes. Un autre le remplaça et s'enfonça profondément. Puis un autre éjacula dans ma bouche.

J'avalai la décharge de sperme que je venais de recevoir puis je léchai mes lèvres pour les nettoyer. Je levai les yeux vers Paul et je lui dis innocemment :

- J'aime avaler ton sperme mon chéri.

Il me répondit en montrant entre mes jambes :

- Ce n'était pas mon sperme dans ta bouche salope. Et ce n'est pas ma bite dans ta chatte.

Je regardai entre mes jambes et vit son ami pilonner ma chatte humide. Je dis :

- Oh mon Dieu. Vos amis m'ont baisée.

- Parce que tu les as suppliés. Mentit Paul

- Ooooooooooooohhhhh.

- Oui petite salope, tu as trop bu et tu les as laissés tripoter tes seins et ton cul toute la nuit. Tu as caressé leurs bites en dansant. Puis tu es tombée sur mes genoux et tu as écarté le jambes pour commencer à caresser ta chatte humide. Et puis tu as demandé à tout le monde de te baiser.

- Je ne me souviens pas...

- Dommage salope. Il est trop tard. Maintenant que tu t'es offerte tu es obligée de respecter ton engagement.

- Je dois faire quoi? Demandai-je.

- Maintenant, tu dois leur dire que tu es une salope. Tu dois les supplier de te baiser. Tu dois leur demander de t'utiliser comme un sac à foutre. Ordonna Paul.

Même si je fus hésitante, je sus en moi-même qu'il me fallait plus même si je devais me conduire en pute. Alors je criai :

- Baisez-moi les garçons s'il vous plait. Utilisez votre salope. Remplissez votre sac à foutre avec vos bites et votre sperme.

A cette annonce, les festivités redoublèrent. Les garçons bandèrent de nouveau et bientôt du sperme frais coula de ma chatte, sur mon visage, sur mes cuisses et mes seins. Je priai et je gémis de plus en plus. Je demandai à avoir toujours une bite dans ma bouche et une bite dans ma chatte. Ma confession de salope et l'acceptation de mes désirs sexuels ont décuplé l'excitation de Paul. Il se masturbait furieusement en regardant ses copains abuser de moi. Il ne me baisa pas mais éjacula sur mon visage te mes seins tout en m'appelant sa petite salope vicieuse.

Chaque garçon réussit à jouir à plusieurs reprises et quand je partis me coucher avec Paul, mon corps était recouvert de sperme du visage au haut de mes cuisses. Il dégoulinait de mon vagin et ma bouche et mes lèvres étaient striées de semence séchée.

Le lendemain matin, au réveil, Paul me sauta rapidement et furieusement. Puis en me souriant, il me demanda si j'avais aimé être baisée par ses amis. J'admis que dans l'état d'ivresse où j'étais j'avais apprécié, mais que je ne voulais être qu'à lui. Paul dit alors :

- Mais ce que je veux que tu sois, ce que j'ai besoin que tu sois, ce qui m'excite comme un fou, c'est que tu sois utilisée comme une décharge de sperme, un sac à foutre.

Tandis qu'il continuait à enfoncer sa queue dans ma chatte brulante, je lui demandai de m'expliquer. Ce qu'il fit :

- Tout homme a besoin de vider son sperme dans la bouche ou dans la chatte d'une femme de temps en temps. Sans amour ou sentiments, il n'a pas besoin de se fatiguer à lui plaire. Tout homme cherche une femme prête à se faire baiser sans résister et sans rien attendre, une femme qui laissera sa bouche ou sa chatte utilisée par des hommes pour leur seul plaisir à eux. Ça m'excite comme un fou de voir d'autres hommes abuser de ma copine. Je veux offrir ma petite amie à d'autres comme une simple décharge de sperme. Tu ne feras pas l'amour, tu n'auras pas d'orgasme, tu seras juste une bouche et une chatte disponible pour les hommes qui veulent se vider rapidement.

Après cette explication, il continua à me ramoner avec violence.

J'aimai son sexe dans mon vagin et j'en avais besoin alors je dis :

- Oui, s'il te plait, baise-moi, baise ta salope. Je te promets que je serais ton obéissante décharge de sperme si tu me fais jouir. Je n'ai pas eu d'orgasme la nuit dernière, même avec tous ces hommes qui m'ont baisée. J'ai juste besoin d'être bien baisée maintenant pour jouir. Ensuite, tu pourras les laisser m'utiliser comme un « sac à foutre », cela m'excitera.

Il me baisa encore et encore toute la journée, excité de m'avoir vu abusée par ses amis. Je fus très satisfaite avec une chatte satisfaite. Donc je fus d'accord pour tenir les promesses que j'avais faites. Ses amis pourraient m'utiliser à leur guise. Ils pourraient se vider rapidement en moi. Et le soir, Paul me ferait l'amour pour que je jouisse.

Paul annonça à ses colocataires que je vivrais avec eux et que je deviendrais le dépôt de sperme officiel de la maison. Je leur dis que j'avais compris que des jeunes hommes ont besoin de se soulager rapidement dans une bouche ou dans une chatte. Par conséquent ils étaient libres d'abuser de moi à tout moment et en tout lieu.

Bientôt je passai mes journées à satisfaire Paul et ses amis. Ils me prenaient sous la douche ou en regardant la télévision. Endormis, je sentais une queue appuyer sur ma bouche et y entrer ou des mains soulevaient mon cul pour mieux me pénétrer. Ils me prenaient couchée sur les genoux de Paul sur le canapé. Ou alors, ils me sautaient quand j'essayais de téléphoner ou de faire mes devoirs. Ils venaient même dans la nuit quand je dormais dans les bras de Paul. Celui-ci se masturbait en regardant sa petite amie être pilonnée par ses amis.

Satisfaire ces quatre hommes fut long et épuisant, chacun ayant besoin d'éjaculer en moi plusieurs fois par jour. Etre baisée rapidement me laissa excitée et insatisfaite. Si bien que moi-même je cherchai à être baisée. Je les rejoignais quand ils se reposaient. J'offrais de les sucer quand ils jouaient aux jeux vidéo. J'ai même demandé à un de leurs amis de passage de me prendre sur la table.

J'aimais avoir deux bites en moi car à ces moments, j'approchais l'orgasme. Mais ils éjaculaient toujours dans ma bouche et ma chatte avant que je jouisse.

Ces brèves saillies laissaient ma chatte brulante et chaque soir, j'attendais Paul pour qu'il me fasse l'amour jusqu'à l'orgasme.

Le temps passa et Paul décida de me partager avec plus de personnes. De nouveaux colocataires remplacèrent les anciens. Et ils eurent droit comme leurs prédécesseurs de vider leur sperme dans la salope de la maison. Les anciens colocataires restèrent libres de revenir et m'utiliser comme ils le souhaitaient.

Paul organisa des parties de poker où ma bouche et ma chatte étaient offertes aux vainqueurs.

D'autres fois des amis de Paul vinrent le voir. Il fut toujours courtois en leur laissant le privilège d'un accès privilégié à la décharge de sperme de la maison.

Un soir, nous fûmes à une fête dans la maison d'un de ses amis. Les parents de celui-ci étaient partis en vacances. Avec Paul ils décidèrent d'un jeu. Paul m'emmena à l'étage dans la chambre parentale et me plaça sur le lit. Il utilisa des cravates trouvées dans le placard pour me bander les yeux et il lia mes mains sur mes chevilles. Il sortit de la chambre et un moment plus tard il revint. Il me dit qu'il allait profiter de ma bouche et de ma chatte encore et encore tandis que tout le monde était en bas pour la fête. Je me doutai de ce qu'il allait se passer quand j'entendis d'autres voix chuchoter et rire dans la chambre. Paul me dit d'ouvrir la bouche et je sentis une queue glisser sur ma langue. Paul me dit de lui sucer sa bite, mais je sus bientôt que ce n'était pas la sienne. Elle était plus fine et avait une forme différente de celle de mon amant. Pas dégoutée, je fus excitée et même un peu gênée que mon vagin commence à s'humidifier. Si mon copain voulait me faire sucer et baiser tous les hommes de la fête et si ça l'excitait, alors soit, je serais leur « sac à foutre ».

Je profitai de la douceur de la peau lisse de la queue entre mes lèvres mais je fus déçue quand le garçon la sortit de ma bouche. Puis je sentis quelqu'un grimper sur le lit derrière moi et mettre ses mains sur mes hanches. J'entendis la voix de Paul dire derrière moi, mais pas vraiment derrière :

- Je vais t'enfiler maintenant salope.

Une bite se présenta à l'entrée de mon vagin. Ma chatte était tellement mouillée que la queue n'eut aucune difficulté à pénétrer. Après quelques coups rapides, je compris pourquoi le garçon s'était retiré de ma bouche. Il éjacula dans mon ventre. J'étais vraiment une décharge de sperme. Un homme se retire de ma bouche seulement pour pénétrer ma chatte et gicler sa semence en moi. J'entendis Paul dire qu'il bandait de nouveau. Bientôt, une nouvelle bite était dans ma bouche. J'appréciai et lorsqu'il se retira pour pénétrer ma chatte, je me retrouvai à en vouloir une troisième. Ce ne fut pas long à venir, chaque garçon étant pressé de me baiser pour la première fois. Le troisième resta un peu plus longtemps mais tout juste. Avec trois décharges de sperme dans mon vagin, j'en désirai encore plus :

- Encore Paul, j'en veux encore.

Je m'entendis pleurer à plusieurs reprises. Il est évident que les garçons croyaient à l'histoire que seulement Paul me baisait. Une nouvelle bite fraiche entra dans ma bouche. Je la suçai vigoureusement. Mes cris durent attirer l'attention des personnes en bas à la fête, car j'entendis encore plus de chuchotements d'hommes dans la chambre ainsi que des gloussements étouffés de femmes.

Pendant que je continuai à réclamer des sexes, les filles regardèrent les garçons me prendre à tout de rôle et éjaculer aussi bien dans ma chatte que dans ma bouche. Je suis sûr que beaucoup sont revenus une deuxième fois éjaculer en moi. Et bien que ma chatte criai de plaisir dans mon cerveau, je ne pus jouir car chaque pénétration ne fut pas assez longue.

Plus tard dans la nuit, les heures s'étant écoulées, j'eus le sentiment que les garçons et les filles avaient quittés la salle. Paul ferma la porte de la chambre et vint m'enlever mon bandeau et mes liens. Immédiatement je sautai sur lui et le suppliai de me baiser encore. Un flot de sperme jaillit de ma chatte pour s'écouler le long de mes jambes dans le lit. Innocemment Paul dit :

- Comment pourrais-je te baiser à nouveau? J'ai déjà beaucoup jouis en toi.

- Je sais que tu as laissé tous les garçons de la fête me sauter. Et je sais que tu as aimé les regarder. Ça ne me dérange pas. Mais là je suis tellement excitée que je veux être baisée à nouveau mais longuement.

- Donc tu savais que c'était des étrangers qui te pénétraient et tu as aimé? Demanda Paul.

- Oui, je ne te tromperai jamais mais si tu veux offrir mon corps à d'autres hommes, j'en profiterai. Répondis-je.

- Donc tu les laisserais tous te baiser à nouveau?

- Bien sûr.

- Et si je t'ordonne de baiser un étranger tu le feras?

- Oui. Fut tout ce que je pus dire.

Après l'accouplement amoureux que Paul me donna, je dérivai vers le sommeil. Je remerciai Paul d'avoir fait ressortir mon côté vicieux et d'avoir fait de moi une salope à sperme. Tandis que je m'endormais, je l'entendis dire :

- Et encore ma chérie, ce n'est que le début de ce que j'ai prévu pour toi.

Ce fut tellement vrai.

Au cours de toutes les années d'université, Paul me fit baiser par des centaines et des centaines de bites. J'aimai.

Un jour ou je fus ivre, Paul me convainquit de le laisser pénétrer mon trou du cul. Et, en peu de temps, j'appris à aimer être sodomisée. Si bien, que les hommes avaient maintenant trois trous à remplir de sperme quand ils voulaient abuser de la salope. Je dus sucer le propriétaire pour payer plusieurs fois le loyer. Je dus sucer les plombiers et les électriciens pour que les réparations soient gratuites. Les fêtes et les parties de poker m'occupèrent toute la nuit alors que la journée, je m'occupai des colocataires et de leurs amis.

Chaque soir, je me couchai avec Paul, attendant la baise qui finalement me donnerai un orgasme que j'avais espéré toute la journée.

Souvent j'étais complétement couverte du sperme d'autres hommes et Paul ne me laissait me laver que le matin. Alors que j'étais allongée sur le lit, Paul promenait ses doigts sur le sperme de mon visage, de mes seins, de mon ventre, de mes jambes et de ma chatte. Il le ramassait avec ses doigts et me les donnait à sucer. Avide je léchais tout et j'avalais. Il me disait que j'étais la meilleure décharge de sperme et que j'avais réalisé ses fantasmes. Je lui avouais que j'avais aimé le faire pour lui.

Puis, nous nous sommes mariés Paul et moi et il a trouvé un travail dans votre ville. Nous nous sommes installés dans votre paroisse et Paul a connu votre fils.

Matt m'a gagné lors d'une partie de poker et je devais lui laisse utiliser chacun de mes trous. Je lui fit une fellation pendant la partie de poker et il m'a sauté un peu plus tard dans la nuit. Aujourd'hui, je finissais de payer ma dette en me faisant sodomiser.

Je dois signaler à Paul tout ce que je subis. Il tient un registre et il aime se masturber quand je lui raconte avec tous les détails.

trouchard
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