De vierge à décharge de sperme

BÊTA PUBLIQUE

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Sinon je suis une femme au foyer même si j'ai eu quelques emplois dans le temps. Mais ils ne durèrent pas longtemps pour des raisons évidentes.

Je lui demandai de m'expliquer ce qu'elle fit.

Quand ils se sont installés dans notre ville, Paul a perdu tous ses amis. Angela lui dit qu'elle préférait être une femme au foyer respectable plutôt qu'une décharge de sperme. Elle ne voulait que l'affection de son mari et une vie détendue dans un quartier agréable.

Mais Paul avait d'autres idées. Il lui demanda se s'habiller un peu plus pute afin d'attirer l'attention des hommes, et même si elle ne devait pas les approcher directement, elle ne devait pas repousser leurs avances et toujours faire ce qu'ils voulaient. Et à la maison, elle devait toujours être en déshabillé sexy. Si quelqu'un frappait à la porte, elle devait lui demander d'entre dans la maison. Et elle devait tenter de les séduire par tous les moyens possibles.

Paul lui dit qu'il s'était fait des amis dans la ville et qu'il les lui enverrait en leur demandant de se faire passer pour des représentants. Ou alors ils s'approcheraient d'elle à l'épicerie ou ailleurs. Ensuite ils lui diraient comme elle s'est comportée, si elle avait obéi ou non.

Angela m'expliqua qu'elle eut honte mais qu'elle ne sut que faire. Elle continua de me raconter.

Alors je commençai à m'habiller comme il le voulait et je ne protestai pas quand les hommes me faisaient des clins d'œil ou me draguaient dans la rue ou dans les magasins. Bientôt, j'eus énormément d'admirateurs, du jeune homme fraichement sorti de l'université aux hommes plus âgés et mariés avec une famille.

Un jour, un homme se présenta à la porte. Il était grand, assez beau et d'âge moyen. Il me dit qu'il remplaçait les toitures à bon marché. Mais ses yeux me dirent qu'il était plus intéressé à regarder mes jambes nues et mon décolleté que de parler de toit. Je soupçonnai Paul de l'avoir envoyé. Alors je fus obéissante et j'invitai l'homme à entrer.

Je m'assis dans mon déshabillé à côté de lui sur le canapé et je lui demandai de m'en dire plus sur ce qu'il vendait. Tandis qu'il me montrait ses brochures, je croisai et décroisai mes jambes nues. Je fit tourner mes cheveux et je me plaignit que les bretelles de ma nuisette frottaient mon épaule. Alors qu'il bégayait en essayant de m'expliquer son travail, je fis tomber les bretelles et seul la fermeté de mes seins maintint le fin tissu de ma nuisette. Je souris et je dis :

- S'il vous plait, continuez Monsieur. Les bretelles me dérangeaient.

Il continua à bégayer. Je pressai mon corps contre le sien, en plaçant ma main sur le renflement de son pantalon puis je lui mordis l'oreille. Il ne put se retenir plus longtemps et immédiatement nos lèvres se soudèrent et sa main baissa ma nuisette. Il serra mes seins et les écrasa agressivement dans ses grandes mains. Pendant ce temps je travaillai sur la fermeture de sa braguette pour pouvoir saisir son érection.

Il me repoussa sur le canapé et souleva mon déshabillé pour exposer mon entrejambe. Il retira rapidement son pantalon et bientôt sa grosse queue se présenta à l'entrée de ma chatte. Je pensai au plaisir qu'il allait me donner en me baisant tout l'après-midi. Mais après quelques minutes de bourrage de mon sexe, il éjacula à l'intérieur de mon ventre. J'avais oublié ce que Paul m'avait dit : « Quand tu te donnes trop facilement à un homme, il n'a pas de respect pour toi et il ne te traitera que comme une décharge de sperme. » C'est ce que Paul voulait.

L'homme remit son pantalon et rassembla ses brochures puis il partit, penaud, me laissant insatisfaite.

Quand Paul revint le soir, je lui dit que j'avais été baisée par son ami qu'il avait envoyé. Il dit :

- Mais quel ami?

Je venais de baiser un vrai représentant. Je me sentis comme une vraie trainée. Mais cette nouvelle excita Paul qui me fit l'amour longuement en récompense. Ainsi j'acceptai mon nouveau statut. Je devins la cochonne du quartier.

Au début, je n'eus que quelques visites : je suçai le facteur, le livreur de l'épicerie, le plombier. Une fois, je m'offris à l'adolescent qui tondait ma pelouse. Une autre fois deux mormons essayèrent de me convertir. C'est moi qui les ai convertis. Tandis que j'en suçai un, l'autre me pris par derrière. Celui-ci me dit qu'il avait toujours voulu sodomiser une femme. Je lui donnai mon gel lubrifiant et il put expérimenter la sodomie pour la première fois.

A chaque fois que je laissai un homme abuser de mon corps, mon mari me récompensait le soir en me faisant l'amour passionnément.

Avec le temps, les visites d'étrangers augmentèrent régulièrement. De nouveau hommes venaient frapper à ma porte mais les anciens revenaient aussi ou parlaient de moi au centre commercial ou au boulot.

Alors, je m'assurai de m'habiller en pute, avec une mini-jupe très serrée qui accentuait les rondeurs de mon cul, un chemisier ouvert sur un soutien-gorge pigeonnant, des hauts talons, et un rouge à lèvres rouge vif. Les hommes s'approchèrent de moi dans les magasins et se présentèrent. Je leur souriais, leur serrant la main, leur disant mon plaisir de les rencontrer. Ensuite, ils me mettaient la main sur la taille ou sur les fesses. Je me rapprochais d'eux, caressant leur intimité et je leur demandais s'ils voulaient me rendre visite à la maison. Au bout d'un mois, j'avais plus de trois bites qui éjaculaient dans ma bouche, ma chatte ou mon cul. Mais comme ils baisaient tous rapidement, je n'avais pas d'orgasme mais j'étais tout le temps excitée et j'attendais le soir le retour de mon mari avec impatience.

La situation changea quand je fus acceptée pour un poste de réceptionniste dans une entreprise locale. Je fus heureuse d'avoir trouvé mon premier travail. Dans cet environnement de bureau, je m'habillai convenablement même si j'affichais mes courbes. Je fus bientôt le centre d'attention de tous les hommes de l'entreprise qui me donnèrent du travail. Ils ne purent pas résister à regarder mon chemisier ouvert sur ma poitrine de jeune femme, à mater mon cul moulé dans une jupe arrivant juste au-dessus des genoux, quand je me penchais pour ramasser quelque chose ou à essayer de regarder entre mes cuisses entrouvertes quand je tapais leurs mémos. Bien que les autres femmes de l'entreprise me lancèrent beaucoup de regards désagréables, j'aimai cette attention de tous ces hommes bien bâtis en costume.

Bien sûr, malgré ma bague de mariage, l'inévitable arriva. Un jeune homme agréable me demanda si je voulais prendre un verre avec lui après le travail. J'acceptai et bientôt nous fûmes dans son appartement, ses mains sur mes seins et sa bite dans ma bouche. Il jouit rapidement et j'avalai son sperme avec impatience. Ensuite il doigta ma chatte tout en jouant avec mes seins jusqu'au moment où il banda de nouveau. Et bientôt il remplit mon sexe avec sa semence. Il présenta ses excuses pour avoir éjaculé aussi vite mais je mentis en lui disant que je préférais. Une décharge de sperme bien formée insiste toujours sur le fait que l'homme doit se faire plaisir et l'utiliser comme un récipient pour son foutre. Je lui dis de se sentir libre de m'utiliser au bureau quand il voulait se vider. Par la suite, il me baisa quotidiennement, dans la loge du concierge, dans un escalier, dans une salle de réunion ou derrière le local à poubelle, éjaculant dans ma chatte ou dans mon cul.

Ses attentions et nos escapades dans l'entreprise ne passèrent pas inaperçus des autres hommes et je reçus bientôt des propositions par les plus audacieux. Certains me demandèrent d'aller prendre un verre avec eux ou de les rencontrer dans leur appartement. D'autres me demandèrent juste d'être le prochain dans la loge du concierge.

La plupart des hommes les plus âgés de l'entreprise avaient des bureaux privés avec des portes fermant à clé. Bientôt je me trouvai à satisfaire trois ou quatre hommes à la fois dans ces locaux. Avec une entreprise de plus de trente hommes, mon rendement au travail commença à souffrir car je n'étais jamais à mon bureau mais plutôt sous un ou penchée dessus. Afin de gagner du temps, je ne mis plus de culotte ou de soutien-gorge ce qui fit froncer les sourcils à beaucoup de femmes de la société. Elles se plaignirent au directeur général et je fus convoquée à son bureau pour un entretien sur mon rendement et ma tenue au travail.

Je me suis assise en face de lui, attendant d'être immédiatement licenciée. C'était un vieil homme qui avait surement plus de 60 ans, avec la photo de sa femme et de ses enfants adultes sur son bureau. Il me regarda de haut en bas et me demanda de lui expliquer pourquoi je n'arrivais pas à faire mon travail. Saisissant ma chance, je levai les bras derrière ma tête et me penchai en arrière dans le fauteuil tout en écartant les jambes :

- Je suis désolée Monsieur, j'ai eu une énorme pression ces derniers temps. Je suis épuisée.

Je savais que ma chatte était complétement exposée quand je parlais. Abaissant mes bras, je le vis fixer mon entrejambe. Il ne leva pas les yeux. J'écartai encore plus mes jambes afin d'avoir tout son attention et je plaidai :

- Je vous promets de faire mieux Monsieur. Pouvez-vous me donner une autre chance. Je ferai tout pour vous prouver ma valeur.

Avec ses mots, je me levai et je l'approchai. Puis je déboutonnai mon chemisier pour lui montrer ma poitrine :

- Je ferai vraiment tout ce que vous voudrez pour être une meilleure employée.

En bougeant mes seins devant son visage j'ajoutai :

- Et j'accepterai toute punition que vous jugerez utile.

Je pris sa main pour la mettre sur un sein, tout en avançant mon mamelon vers sa bouche. Je continuai :

- Comme par exemple en serrant mes seins pour me punir ou mordre mon mamelon.

A ces mots d'encouragement, je sentis sa langue lécher mon téton tandis que sa grosse main serrait mon sein.

- Vous pouvez me former à la discipline et l'obéissance en me faisant mettre à quatre pattes sous votre bureau pour vous lécher, sucer et avaler tout ce que vous voulez.

Mon mamelon est entré dans sa bouche et il le suça durement. Puis en me regardant il le mordit.

- Oh mon Dieu oui! Oui Monsieur, punissez-moi. Votre petite fille vous supplie de la punir. Fessez son cul pour la faire obéir.

Tout en disant cela, je remontai ma jupe sur mes hanches et je me penchai sur son bureau, bombant mon cul devant sa figure :

- Fessez-moi, fessez votre salope en punition de vous avoir déçu. Laissez-moi l'occasion de vous prouver que je ne suis qu'une employée qui cherche à vous plaire.

Il se leva de sa chaise et se plaça derrière moi, et claqua doucement mes fesses.

- Oh oui, Punissez-moi plus fort. Criai-je.

Il alla à la porte de son bureau pour la verrouiller puis il revint et me trouva assise sur son meuble de travail, les jambes écartées. Je le regardai dans les yeux et lui dit :

- Ma chatte a besoin d'être punie tous les jours Monsieur.

Il défit sa ceinture et laissa tomber son pantalon. Je rajoutai :

- Baisez la chatte de votre petite employée. Punissez-moi et humiliez moi tous les jours en m'utilisant comme une salope sans valeur.

Bientôt sa queue fut dans mon vagin et peu de temps après il éjacula et se retira. Je me laissai tomber sur le sol et lui nettoyai sa bite. Ensuite, je baissai ma jupe, reboutonnai mon chemisier, l'aidai à remettre son pantalon, l'embrassai sur la joue et quittai le bureau. Ce jour-là il embaucha une femme plus âgée pour faire mon travail. Je venais d'avoir ma première promotion, j'étais devenue la vide-couille de l'entreprise.

Maintenant, je travaillai tard tous les soirs et un grand nombre d'hommes étaient volontaires pour eux aussi travailler tard et m'aider. Bien que je continuais dans l'après-midi à sucer des bites, le plus gros de mon travail débutait quand les femmes de l'entreprise étaient rentrées chez elle. J'étais déshabillée et baisée au milieu des bureaux. Jeunes, vieux, grands, petits, gros, maigres, célibataires ou mariés, les hommes restaient pour que je les satisfasse avec ma bouche, ma chatte ou mon cul.

Bien que chaque relation soit brève, le volume de bites à sucer et satisfaire m'apporta un plaisir intense et j'eus des orgasmes au bureau. De retour à la maison complétement épuisée, couverte de sperme et de sueur, mon mari se montrait ravi par mes aventures de la journée que je lui racontais. Et il était toujours prêt à me sauter.

Mais plutôt que de continuer à faire l'amour avec moi longuement, il commença à se servir de moi comme une simple décharge de sperme, ne m'apportant plus aucun orgasme. J'en suis vite venue à compter davantage sur les relations sexuelles au bureau plutôt qu'avec Paul pour avoir un peu de plaisir.

Mais cette situation ne pouvait pas durer. Je fus licenciée, surement sous la pression de femmes jalouses se demandant où leurs maris étaient.

Maintenant, mon problème est que, sans les baises au bureau et mon mari qui ne m'utilise que comme une vide-couille, je ne jouis plus. Je baise régulièrement chez moi avec tous les hommes qui vont et viennent dans la journée. Mais comme il y a toujours un temps entre deux hommes, je n'ai pas la satisfaction d'avoir un orgasme. Comme avec votre fils, sa bite dans mon cul, une douzaine de va-et-vient, et voilà, bien remplie je reste excitée et inassouvie.

Elle termine son histoire en me disant :

- Je suis désolée de m'être déchargé sur vous mais je suis tellement frustrée ces derniers temps que je ne sais plus que faire.

Je m'approche d'elle sur le canapé et je lui dis :

- Je crois que j'ai peut-être la solution pauvre petite fille.

Puis je lui plante un baiser sur les lèvres et je glisse ma langue dans sa bouche. Choquée, elle recule et me demande ce que je fais. Je lui réponds :

- Seule une femme peut vraiment satisfaire une autre femme, l'amener à l'orgasme et s'assurer qu'elle est pleinement contente.

Angela ne refuse pas mon prochain baiser. Bientôt, nous sommes nues toutes les deux sur mon lit et mes lèvres se posent sur sa chatte. Je la doigte, je la lèche, je la titille. Je pénètre sa chatte humide avec ma langue jusqu'à ce qu'elle crie de plaisir, qu'elle convulse sous l'effet de la jouissance. Couchée sur le dos à côté d'elle je lui demande de faire la même chose avec moi. Elle n'a jamais fait l'amour avec une autre femme alors je lui enseigne comment me faire plaisir.

Nous passons le reste de la journée à explorer nos corps. Nous nous baisons avec des godes et nous nous caressons le clitoris. Nous enchainons les orgasmes.

Quand l'heure du diner approche, elle doit rentrer chez elle. Sur le pas de la porte, je lui donne un dernier baiser :

- Tu es une jolie décharge à sperme Angela. Mais tu as besoin de jouir aussi. Alors, chaque fois que tu veux, tu viens me rendre visite et je te promets que tu repartiras avec un sourire sur ton visage.

Nous échangeons un profond baiser. Depuis elle ne m'a jamais quitté déçu. Elle continue à être la décharge de sperme de la ville, le nombre d'adeptes ayant augmenté.

A l'église, je remarque que quand elle rejoint son siège, beaucoup d'hommes la regardent et lui sourient, la plupart ayant leurs femmes à leurs côtés. Même le prêtre fait un sourire vicieux quand elle va communier.

Et chaque dimanche, après avoir excité ces hommes dans l'église, elle passe le reste de la journée sur le dos à laisser ces hommes vider le contenu de leurs reins dans ses trois trous. Et chaque dimanche soir, après que j'ai renvoyé ma famille pendant quelques heures, elle me rend visite. Nous nous douchons ensemble et je lave son corps de tout le sperme. Ensuite nous nous câlinons sur le lit.

Je lui demande combien d'hommes elle a satisfait dans la semaine ainsi que leurs noms. En général, elle baise 40 à 50 hommes, mon fils et ses amis compris. Le dimanche, elle prend bien 15 bites en elle.

Enfin, j'essaie de lui fournir le plaisir qu'elle n'a pu avoir de la semaine. Je joue avec sa chatte jusqu'à ce qu'elle explose avec passion. J'aime la regarder convulser, ma langue dans sa chatte.

Nous sommes devenues les meilleures amies et on nous voit souvent marcher ensemble dans la rue ou dans les magasins. Beaucoup d'hommes nous sourient et elle me dit :

- Lui, il est marié, trois enfants. Il aime m'insulter et frapper mes seins pendant qu'il me sodomise.

Ou d'autres particularités sur chaque homme que l'on rencontre. Mais, à plusieurs reprises je peux compléter sa description de la pratique sexuelle de l'homme avec trois mots simples :

- Oui je sais.

Nous nous sourions et nous nous faisons un clin d'œil.

FIN

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Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 2 ans

Disponible si elle divorce !

AnonymousAnonymeil y a plus de 6 ans
Génial

Cette jeune prude qui finalement se découvre .... nymphomane !

Rudy

AnonymousAnonymeil y a plus de 6 ans
Génial

Cette jeune prude qui finalement se découvre .... nymphomane !

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