Ecole Privée Ch. 04

Informations sur Récit
Méthodes d’enseignement. Des bites.
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Partie 4 de la série de 13 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 03/13/2019
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Traduction d'un texte de « Anne ».

Avertissement : Ce récit raconte l'humiliation et la dégradation d'une jeune enseignante. Certains passages sont assez durs et peuvent choquer. Si vous avez l'âme sensible, fermez cette page. Tous les personnages de ce récit ont plus de dix-huit ans.

*********

9 -- Méthodes d'enseignement.

Anne passa un moment sans dormir et surtout frustrée. Elle ne pouvait s'empêcher de penser à ce qui se passait dans la chambre de Belinda en ce moment. Plus elle essayait de réprimer ces idées, plus les images de MAURICE au-dessus de la jolie rousse apparaissaient clairement, martelant sa chatte mouillée, la faisant haleter, gémir puis se mettre à hurler. Anne se força à retirer sa main de sa chatte dégoulinante.

Quand elle entendit des pas venir de la direction de l'aile des filles, près de deux heures s'étaient écoulées. Il avait dû la baiser plusieurs fois. C'était tellement humiliant. S'exciter en lui donnant une fessée et faire l'amour à cette fille. Anne fut surprise quand elle réalisa qu'elle était réellement furieuse que MAURICE ne l'ait pas baisée. Elle secoua la tête avec colère en essayant de dissiper cette pensée.

- Alors, as-tu été une gentille professeure?

MAURICE se tenait au-dessus d'elle en souriant. Elle était tellement perdue dans ses pensées qu'elle ne l'avait même pas entendu entrer.

- Moi je parie que tu as été une mauvaise fille. Montre-moi!

D'un coup sec, il retira les couvertures.

- Écarte les jambes salope!

A contrecœur, Anne ouvrit les jambes en sachant ce qu'il allait voir.

- C'est quoi cette grosse tâche humide sur le lit? Ta chatte dégouline. Tu n'as pas pu garder tes doigts en dehors de ta chatte n'est-ce pas?

- Non, non M. MAURICE, je ne l'ai pas fait. S'empressa-t-elle de nier.

Il attrapa sa main droite et la renifla, puis il la mit sous son nez.

- Ça pue toujours ta chatte, espèce de stupide salope. Tu t'es masturbée. Mais de la façon dont tes tétons sont encore bien dressés et bien durs, je suppose que tu n'as pas joui. N'est-ce pas salope?

- Non M. MAURICE, je n'ai pas joui. Lui assura rapidement Anne.

Mais elle ajouta :

- Puis-je jouir maintenant s'il vous plaît?

Bon sang, qu'est-ce qui lui avait fait dire ça? jusqu'à quel point pouvait-elle s'humilier en lui demandant la permission de se masturber pour jouir? Mais une autre voix en elle lui dit que peut-être que maintenant qu'il était satisfait d'avoir couché avec Belinda, il serait plus gentil avec elle. MAURICE baissa les yeux sur elle avec un sourire sardonique.

- Tu as joué avec ta chatte sans me demander la permission et maintenant tu veux jouir? je ne crois pas. Mais tu pourras le redemander quand tu seras plus obéissante. J'aime ce regard implorant dans tes yeux.

Anne était partagée entre frustration et soulagement de ne pas avoir à se masturber devant son bourreau.

- Mais je vois que je dois être un peu plus strict avec toi si je veux t'apprendre les bonnes manières. Désormais, plus de soutien-gorge et de culotte pour toi, ni ici, ni en classe. Compris?

Anne se mordit une énième fois les lèvres.

- Oui M. MAURICE.

-Et je pense que je dois m'assurer que tu gardes tes doigts en dehors de ton trou ce soir. Tourne-toi!

Il prit une écharpe bleue dans la petite armoire et lui attacha rapidement les mains et les pieds derrière le dos.

- C'est vilain de se masturber tu sais? Sourit-il en ouvrant la porte pour partir.

La position n'était pas trop inconfortable, mais l'assurance avec laquelle MAURICE faisait tout ce qu'il voulait avec elle était exaspérante. Anne finit par s'endormir en essayant en vain de serrer et desserrer les jambes pour se faire jouir.

Elle se réveilla en entendant quelqu'un fouiller dans ses affaires. Elle vit MAURICE fouiller dans la petite armoire de la chambre de service où elle gardait quelques affaires. Il jeta sur le lit une jupe courte et un haut noir. Puis il se tourna vers elle et la détacha.

- Ce sont tes vêtements pour aujourd'hui, salope! tu veux me supplier pour te masturber rapidement? Je pourrais peut-être te le permettre tu sais.

Il sourit avant d'ajouter :

- ou peut-être que non. Mais si tu ne supplies pas, tu ne le sauras jamais. Alors?

Avec effort, Anne secoua la tête.

- Non M. MAURICE. Se força-t-elle à dire.

Puis elle ajouta :

- Merci M. MAURICE.

- Comme tu veux salope. Je me demande combien de temps tu vas tenir. Et ce que tu seras prête à faire pour avoir un orgasme.

Il se retourna et partit. Anne essaya de sa calmer et s'habilla lentement. D'habitude, elle se levait un peu plus tôt et se dirigeait vers le vestiaire des professeurs dans le gymnase pour prendre une douche rapide. Mais elle n'avait pas le temps. Elle alla prendre son petit déjeuner puis partit pour son premier cours avec les premières années.

Au début, de savoir qu'elle était nue sous la jupe et le chemisier rendait sa concentration difficile. Maintes et maintes fois, elle dut se dire qu'à moins de s'asseoir à son bureau et d'écarter les jambes, les étudiants ne le sauraient pas. Mais à mesure que la matinée passa, elle s'habitua à cette sensation et oublia son état. Au cours du déjeuner avec le personnel, elle avait complètement oublié ses craintes et eut même une conversation animée avec Nicolas qui ressemblait à du flirt.

Lors de l'avant-dernier cours (un cours d'éducation physique), elle se rappela de sa situation quand certains élèves lorgnèrent ses seins qui rebondissaient sous son tee-shirt de sport pendant l'entraînement de basket-ball. Mais elle réussit à les ignorer. Se remettre dans ses vêtements de ville pour son dernier cours la retarda un peu. Les couloirs étaient déjà déserts quand elle se rendit du gymnase à sa classe principale. En sortant du vestiaire des professeurs, elle vit MAURICE appuyé sur le mur avec un grand sourire.

- Je vérifie juste que tu n'as pas oublié mes ordres, salope. Dit-il en désignant le sol devant lui.

- Vérifions si tes nichons sont libres comme ils devraient l'être.

Essayant de rester calme malgré le mélange de colère, de honte et d'excitation qui la traversait, Anne s'agenouilla et ouvrit son chemisier pour montrer ses seins nus. Il accrocha son doigt sous son menton pour la faire relever et il tendit la main pour remonter sa jupe et révéler sa chatte.

- Jusqu'ici tout va bien, salope. Mais il y a le problème que tu as porté un tee-shirt et un short pendant le cours de sport de tout à l'heure.

- Mais... mais M. MAURICE, je ne peux pas faire de cours de sport dans cette tenue. Haleta-t-elle.

- Tu aurais dû y penser avant et demander ma permission de te changer pour ce cours. La réprimanda-t-il.

Elle acquiesça. « Garde ton calme » se dit-elle silencieusement.

- Oui M. MAURICE, c'était une erreur. Puis-je porter un short et un tee-shirt pendant les cours de sport à l'avenir?

- Tu vois, ce n'est pas difficile n'est-ce pas? Demande simplement poliment. Oui tu peux. Après tout, je ne veux pas que tu sois arrêtée pour avoir été indécente. Si tu es renvoyée ou que tu vas en prison, je ne pourrais plus m'amuser avec toi. Alors je vais m'assurer que tu ne rencontres pas de problèmes.

- Oui Monsieur, merci Monsieur.

MAURICE sourit.

- Tu sais que ça sonne comme si tu le pensais vraiment. Et tu peux continuer à m'appeler simplement Monsieur, ça sonne bien. Je ne m'attends même pas à ce que tu demandes un châtiment. Mais tu devras te rattraper d'une manière ou une autre.

Il sortit un petit couteau de poche de son pantalon et, avant que Anne ne puisse dire quelque chose, il coupa les deux boutons du haut de son chemisier.

- Cela devrait aller. Maintenant viens, tu as un cours à donner.

Anne suivit automatiquement le garçon. Alors qu'ils se dirigeaient vers la salle, elle baissa la tête et eut le souffle coupé. Son chemisier était grand ouvert. C'est seulement si elle se tenait bien droite que ses tétons étaient recouverts par le tissu. Elle n'avait aucun moyen de cacher son décolleté. Tout mouvement brusque menaçait d'exposer complètement sa poitrine. Avant qu'elle ne puisse imaginer un moyen de sortir de cette situation, ils avaient atteint la salle de classe. MAURICE lui tint la porte galamment. Son cœur battait fort quand elle entra.

Ses étudiants furent ébahis mais aucune remarque ne fut faite. A sa grande surprise, le cours se passa bien. Il est sûr qu'elle avait l'attention de tous ses élèves, bien que leurs regards rencontraient rarement le sien, mais étaient dirigés plus bas. Même l'élève timide et en légère surcharge pondérale Thomas VIEILLE participa au cours. Les filles semblaient la regarder avec un mélange d'envie et de crainte. Elle remarqua que Belinda MACALPINE lui sourit à quelques reprises. Est-ce que MAURICE lui avait parlé de leur secret?

Vers la fin du cours, elle demanda à ses élèves de travailler par eux-mêmes, et elle se promena dans les rangs pour les aider. MAURICE leva la main, et quand elle s'approcha, montra un passage de son manuel et lui demanda d'expliquer. Quand elle se pencha pour lire le texte, elle entendit MAURICE murmurer à son oreille :

- Reste un instant comme ça, j'aime voir tes gros lolos pendre.

Anna regarda nerveusement autour d'elle, mais personne ne sembla s'être rendu compte de quelque chose. Elle fit semblant de lire le passage et de l'expliquer à MAURICE, tout en sachant que ses yeux étaient fixés sur ses seins nus. Elle soupira de soulagement quand il la laissa partir.

Plus tard, elle aidait Rose VATET, quand elle vit les yeux de la fille dériver. La jeune fille remarqua son air de désapprobation et son visage rougit.

- Je suis désolé Mme POISTOUT. Dit-elle avant d'ajouter :

- J'aimerai juste avoir d'aussi beaux seins. Et le courage de les montrer.

Anne se contenta d'acquiescer et retourna à son bureau, confuse. Les étudiants avaient semblé apprécier sa tenue sans être choqués. Et pour être honnête, elle avait aimé le compliment de Rose. Cependant, quand la sonnerie de fin des cours retentit, Anne était pressée de rentrer chez elle où personne ne regarderait ses seins. Elle s'attarda pour ranger ses papiers, en espérant qu'à son départ, les couloirs seraient vides.

- Vous êtes vraiment cool Madame.

Levant les yeux, elle vit Thomas VIEILLE debout devant elle. Elle rougit. Le jeune garçon se détourna rapidement, mais Anne put apercevoir l'énorme renflement dans son pantalon.

- Tu as fait une super impression à Thomas.

MAURICE avait laissé les autres partir. Il continua en souriant :

- Il va sûrement se branler en pensant à tes gros nichons. Tu les as bien montrés. Je suppose que ma méthode d'enseignement fonctionne pour une chienne comme toi. As-tu remarqué à quel point tout le monde a fait attention aujourd'hui. Peut-être que la prochaine fois, si tu as un cours très important, tu pourrais montrer ton cul. Tu pourrais même inventer une nouvelle méthode d'enseignement : la pédagogie des salopes.

Anne retint tous commentaires désagréables et suivit l'élève jusqu'à la porte puis elle rentra chez elle. Heureusement elle ne rencontra personne dans les couloirs. Mais en approchant de son chalet, elle vit Albert, le concierge, en train de couper des buissons. Elle essaya de se faufiler derrière lui, mais il leva les yeux et fixa ouvertement ses seins jusqu'à ce qu'elle l'ait dépassé. Du coin de l'œil, elle le vit faire un signe facile à comprendre : je te baiserai bien.

10 -- Des bites.

Après cet épisode, MAURICE la laissa tranquille pendant quelques jours, même si Anne se doutait que ce n'était pas fini. Elle rangea sa garde-robe, poussa ses sous-vêtements, culottes et soutien-gorges, tout au fond et choisit des vêtements qu'elle pourrait porter sans trop exposer de sa chair nue. Si MAURICE l'avait remarqué, il n'avait rien dit.

Quelques fois, quand ils se rencontraient dans une salle de classe vide ou dans des couloirs déserts, l'étudiant vérifiait ses seins et sa chatte. C'était superficiel et Anne commença à l'accepter comme si c'était normal. Elle remarqua qu'il s'abstenait de toute remarque quand des personnes étaient proches. Et même s'ils étaient ensemble, mais qu'il y avait un danger que quelqu'un approche. Cela rassura Anne d'une certaine façon et elle commença à lui faire confiance. Il ne se passa rien les deux semaines suivantes jusqu'au jour où elle dut prendre son service au dortoir.

- Bonjour Mme POISTOUT! Salua Thomas alors qu'elle entrait dans le couloir de l'aile des garçons.

Elle lui rendit son salut, mais remarqua que les yeux du garçon glissèrent le long de son corps et qu'un renflement se formait dans son pantalon. Depuis le jour où elle avait un grand décolleté dans sa classe, il était extrêmement sympathique, mais aussi visiblement excitée.

Elle parcourut les chambres pour annoncer sa présence et échangea quelques plaisanteries amicales avec les pensionnaires. Elle était toujours curieuse de savoir comment ils acceptaient la manière dont elle était habillée (ou plutôt déshabillée) l'autre jour.

Quand elle atteignit sa chambre, elle laissa tomber ses affaires et s'assit avec une certaine appréhension. Si MAURICE devait faire quelque chose, ce serait maintenant. Et malgré sa honte et sa résolution du contraire, elle envisageait de lui demander la permission de se masturber.

Quand il arriva une demi-heure plus tard, il entra sans frapper. Il ferma la porte derrière lui et attendit. Elle s'empressa de se lever de son bureau.

- Bonsoir M. MAURICE.

- Regarde ce qu'un peu d'entraînement peut faire faire à une chienne. Baisse ton pantalon et voyons ta chatte et ton cul. Dit-il sèchement.

D'après son ton, Anne sut que ça ne serait pas seulement une inspection. Immédiatement, elle laissa tomber son pantalon pour se trouver nue de la taille aux pieds. MAURICE sourit et s'assit. Il lui fit signe de se tourner lentement. Il la regarda jusqu'à ce qu'il soit rassasié, puis il lui ordonna d'enlever également son haut. Complètement nue, elle dut se tourner à nouveau.

- Excitée, salope? Demanda-t-il avec désinvolture.

Anne se battit avec le petit démon dans sa tête avant de répondre :

- Non M. MAURICE.

- Non? Étonnant! Je pensais que les salopes comme toi étaient constamment excitées, surtout après ne pas avoir été baisées depuis des semaines. Viens ici!

Il tapota ses genoux. Un élan d'excitation qu'elle réprima rapidement traversa le corps de Anne. Il voulait la baiser! Lentement elle se dirigea vers lui et s'assit sur ses genoux avec précaution. Sachant qu'il voudrait voir sa chatte, elle écarta les jambes.

- Waou, tu ne peux même pas garder les jambes serrées, n'est-ce pas salope? Je me demande comment tu as pu rester sans bites pendant des semaines avant de venir ici alors que tu écartes les jambes à chaque fois que tu as l'occasion. Ou alors tu m'as menti et tu t'es faite baiser?

- Non Monsieur.

Anna prit une profonde inspiration quand elle sentit sa main entre ses jambes. Elle alla droit vers sa chatte et frotta son clitoris rapidement. Elle haleta quand il enfonça son majeur au fond d'elle. Il ne montra aucune réaction, mais commença à la baiser avec son doigt. Elle fut mouillée en quelques secondes.

- Bon salope, je vais répéter ma question. Es-tu excitée?

Sa voix était toujours calme et désinvolte.

- Oui, oh oui Monsieur! Parvint-elle à dire entre les vagues de plaisir qui traversaient son corps.

Tout honte oubliée, elle ajouta :

- S'il vous plaît Monsieur, puis-je jouir?

Le doigt s'arrêta immédiatement. Il haussa les sourcils.

-- Tu veux jouir salope? Tu crois que tu mérites déjà de jouir?

Il sembla réfléchir.

- Eh bien, étant donné que je me prépare à passer une nouvelle bonne session de baise avec Belinda, je me demande pourquoi elle et moi devrions être les seuls à jouir hein?

Le cœur d'Anne fit un bond. Il allait la laisser jouir.

- Alors je vais te donner la chance de gagner un orgasme. Veux-tu travailler pour cela?

Quand Anne hésita, le doigt se remit à remuer dans sa chatte et il titilla son clitoris.

- Oui, oui Monsieur, je veux travailler pour ça. Cria-t-elle presque.

Il répondit en souriant :

- Bonne chienne. Ouvre ma braguette et sors ma queue!

L'enseignante le regarda. Il avait dit qu'il allait baiser Belinda et maintenant il la voulait elle? Elle était presque fière. A la hâte, elle baissa sa braguette et, en faisant attention de ne pas le blesser, elle sortit sa queue à moitié dressée. Elle attendit sans savoir si elle devait monter sur lui tout de suite.

- Maintenant, descends de mes genoux et branle moi avec tes gros pis, lentement et doucement.

Elle se pencha sur lui, le cul en l'air et appuya ses seins contre sa queue. Elle essaya maladroitement de les serrer l'un contre l'autre et commença à bouger sa poitrine contre sa queue. Elle le sentit durcir immédiatement et remarqua de l'humidité sur sa peau. Comme il avait ordonné, elle déplaça lentement ses seins sur son membre. Ce mouvement provoqua le frottement de sa peau sur le tissu du jean. Elle eut la même sensation que quand elle jouait avec ses seins. Sa queue était très dure maintenant et elle remarqua que son souffle s'accélérait. À tout moment, il lui ordonnerait de monter sur lui, ou alors il la repousserait et se coucherait sur elle. Elle se fichait de ce qu'il ferait, elle ne pouvait que penser à son gros membre entrant dans sa chatte bien humide. Mais il dit :

- Ok, ça suffit. Maintenant, lâche-moi. Belinda va profiter d'une baise bien dure ce soir.

Il la repoussa sans ménagement. Elle finit agenouillée sur le sol. Elle le regarda incrédule.

- Mais M. MAURICE...

Sa voix s'éteignit. Le garçon sourit.

- Tu ne pensais pas qu'en réalité je laisserai la délicieuse petite chatte de Belinda pour baiser ton trou gluant n'est-ce pas? Mais tu vas encore avoir une chance de gagner un orgasme.

Il replaça sa bite dure dans son pantalon et se dirigea vers la porte. Mais avant de sortir il dit :

- Habille-toi et vas dans les toilettes des filles. Entre dans la deuxième cabine et déshabille-toi. Le reste sera évident pour toi, j'en suis sûr.

Il ferma la porte derrière lui. Un instant, Anne réfléchit sur ce qu'elle devait faire, mais elle était maintenant tellement excitée qu'elle ne pouvait pas résister. Elle enfila ses vêtements et quitta sa chambre. Dans le couloir, elle rencontra quelques étudiants, mais elle leur fit seulement un signe discret de la main. Quand elle atteignit les toilettes des filles, elle se précipita dans la cabine indiquée et verrouilla la porte. C'est seulement à ce moment-là qu'elle prit une profonde inspiration pour se vider l'esprit. Que voulait exactement MAURICE? elle se rendit compte qu'elle n'avait même pas vérifié si les autres cabines étaient inoccupées. Elle se faufila pour s'en assurer. Heureusement elle était seule. Se rappelant les ordres de son élève, elle se déshabilla. C'était humiliant d'être debout, nue dans des toilettes publiques pas très propres. Ne sachant que faire d'autre et se demandant pourquoi il voulait qu'elle soit là, elle s'assit sur la cuvette. Allait-il venir et vérifier? Ou envoyer Belinda?

Elle entendit la porte s'ouvrir. Des pas lents et hésitants s'approchèrent. Son cœur s'arrêta presque de battre quand la personne entra dans la cabine voisine de la sienne. Elle essaya de respirer le plus silencieusement possible. Le son d'une fermeture éclair ainsi que le son d'un pantalon tombant lui sembla très forts. Elle resta assise silencieusement et attendit. Il y eut du mouvement et ses yeux suivirent le son. Elle remarqua alors un trou dans la cloison. Non, ça ne peut pas être...

Juste au moment où elle a l'idée, une bite apparaît dans le trou et est lentement poussée à travers. Anne commença à paniquer, mais se força à se calmer. C'était évident maintenant ce que MAURICE avait voulu dire avec « Le reste sera évident pour toi, j'en suis sûr ». Elle ne resta indécise que quelques secondes, elle avait tellement envie de jouir. Ses yeux montèrent au plafond. Il y avait quelques trous et tâches, elle se dit qu'il pouvait y avoir une caméra cachée. Lentement, mais avec un nœud dans l'estomac, elle attrapa la queue. Lorsqu'elle la toucha, elle entendit un souffle de l'autre côté de la cloison. Instantanément la bite gonfla dans sa main. Après deux ou trois caresses, elle se tint devant elle, dure et fière. Lentement, elle l'entoura avec sa main et commença à la branler. Les gémissements dans l'autre cabine augmentèrent et elle sentit la queue être encore plus avancée. Elle prit un rythme régulier, branlant doucement le membre pour exciter l'homme d'à côté et ainsi gagner son propre orgasme.

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