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Cliquez iciMais l'homme dans la cabine d'à côté devait être surexcité. Cela faisait à peine quelques minutes qu'elle jouait avec sa bite, qu'elle entendit un gémissement étranglé de l'autre côté et des gros filaments de sperme giclèrent droit sur son visage. Elle voulait écarter la tête mais son esprit la maintint en place pendant qu'elle continuait à masturber l'homme. Du sperme jaillit jusqu'à ce que son visage soit presque entièrement couvert.
Quand l'homme cessa de gémir, il y eut un temps d'indécision, puis la queue se retira. Anne entendit que l'homme remontait son pantalon et sa fermeture éclair. Avant même qu'elle réagisse, il avait quitté la cabine et se dirigeait vers la sortie des toilettes. La porte claqua. Anne ne bougea pas, nue dans des toilettes, la figure couverte du sperme d'un inconnu. Elle respirait fort. Et maintenant? Devait-elle attendre? Elle s'était attendue que l'homme lui dise de se masturber ou de s'empaler sur sa queue. Tandis qu'elle réfléchissait, la porte s'ouvrit à nouveau et elle entendit le bruit de deux pas s'approcher rapidement. Les deux personnes se dirigèrent vers deux autres box et Anne les entendit uriner. Elle essaya de ne faire aucun bruit et espéra que les filles partent rapidement. Mais quand elles eurent fini et se soient lavés les mains, elle entendit Rose demander :
- Hé qui est dans cette cabine? C'est toi Belinda? Est-ce que ça va?
La panique frappa l'enseignante. Elles savaient que quelqu'un était à l'intérieur et si elle ne répondait pas, elles regarderaient par-dessus la cloison pour s'assurer que l'occupant va bien.
- C'est moi Rose, je vais bien. Dit-elle.
- Oh désolé Mme POISTOUT. Mais c'est bien que nous vous rencontrions. Nous voulions vous demander quelque chose au sujet du devoir que vous nous avez confié. Nous vous attendons.
Que pouvait-elle faire? Elle pouvait s'habiller rapidement mais elle ne pouvait pas laver le sperme, à moins que... Elle leva la main et commença avec hésitation à lécher le sperme de l'étranger. Le goût lui envoya un frisson à travers tout le corps. Et soudain, elle fut impatiente de récupérer le reste. Elle essuya son visage avec ses doigts mouillés encore et encore. Et elle suça chaque goutte de sperme. Lorsqu'elle ne sentit plus aucun résidu collant sur sa peau, elle sauta dans ses vêtements et ouvrit la cabine.
Rose et Lydie CAROUSEL étaient appuyées contre les lavabos.
- Désolé d'avoir appelé, mais c'était tellement calme que nous pensions que peut-être quelqu'un avait eu un malaise.
Rose semblait un peu contrite. Anne lui sourit en se lavant les mains. Elle aurait aimé se laver le visage mais cela aurait paru bizarre.
- Pas de problème. C'est bien que vous fassiez attention à ces choses là et que vous vous entraidiez. Sinon, qu'est-ce que vous vouliez me demander?
Elles sortirent des toilettes et allèrent dans la chambre de Lydie où il y avait sa colocataire, Katia ANNIEL. Celle-ci regarda la professeure avec surprise. Les autres filles expliquèrent à Anne le problème qu'elles n'arrivaient pas à résoudre. Anne essaya de les aider. Katia continuait de la regarder et reniflait. Anne essaya de partir sans paraître impolie. Elle dit au revoir et repartit dans sa chambre. Quand elle se regarda dans son miroir, elle vit un épais filet de sperme coincé dans ses cheveux.
A suivre...
Un glory hole. ..c est tellement excitant et ensuite discuter avec les filles mmmm
J'aime quand la prise de contrôle progresse lentement, qu'elle passe petit à petit de la vie intime à la vie publique que la salope se révèle avec réticence d'abord à son dominateur puis progressivement à son entourage que les principes moraux cèdent les uns près les autres
Vraiment ce MAURICE est diabolique et la "pauvre" Anne va aller très très loin, car finalement elle est demandeuse.