Ecole Privée Ch. 05

Informations sur Récit
Conséquences. Un après-midi de sexe.
5.1k mots
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2

Partie 5 de la série de 13 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 03/13/2019
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Traduction d'un texte de « Anne ».

Avertissement : Ce récit raconte l'humiliation et la dégradation d'une jeune enseignante. Certains passages sont assez durs et peuvent choquer. Si vous avez l'âme sensible, fermez cette page. Tous les personnages de ce récit ont plus de dix-huit ans.

*********

11 -- Conséquences.

- Qu'est ce que tu fous stupide salope?

Anne regarda MAURICE inquiète. Il avait fait irruption dans sa chambre une heure après qu'elle se soit couchée. Mais elle n'avait pas dormi, se demandant si les filles avaient vu le sperme dans ses cheveux, mais voulant aussi se masturber.

- Lève-toi et agenouille-toi quand je te parle, stupide chienne.

MAURICE avait vraiment l'air furieux. Les filles lui avaient-elles dit qu'elles l'avaient vue avec du sperme dans les cheveux? Anne se leva et s'agenouilla.

- Qu'est-ce que tu as fait dans les toilettes, salope?

Anne essaya de rassembler ses pensées.

- Je ... je me suis déshabillée et j'ai attendu, puis quelqu'un est entré et ... et il a mis sa queue à travers un trou dans la cloison. Et j'ai pensé ...

Sa voix s'éteignit.

- Tu as pensé? Qu'est-ce qui te fait penser que je veux que tu réfléchisses, salope? Qu'est-ce que tu as fait?

Anne blanchit, obligée de dire à voix haute :

-Je... je l'ai branlée.

MAURICE secoua la tête.

- Tu es trop stupide, même pour une pute. Le branler? Tous les mecs savent se branler. Quand il enfonce sa queue dans un trou dans une cloison, il s'attend à se faire sucer, salope. Mais il semble que tu es trop bête pour sucer une queue, c'est ça?

- Non M. MAURICE. Je veux dire... je...

- Oh tais-toi salope! Et ne pense même pas avoir droit à jouir. Pas avant d'avoir prouvé que tu peux sucer des bites. Est-ce clair?

- Oui Monsieur.

Anne baissa la tête, honteuse.

- Sur le lit!

Il la ligota une nouvelle fois et la laissa pour la nuit. Elle resta éveillée un long moment, horrifiée à l'idée d'avoir à sucer une bite, et la chatte dégoulinante.

Quand elle se réveilla, elle se sentir raide d'être restée dans la même position toute la nuit. Elle essaya de bouger mais découvrit qu'elle avait très peu de marge de manœuvre. Avec son bras attaché au-dessus de sa tête, elle ne pouvait voir sa montre. Mais à cause de la lumière qui brillait à l'intérieur de sa chambre, il devait déjà être assez tard dans la matinée. Avec un soupir de soulagement, elle se souvint qu'il était samedi et qu'elle n'avait pas de cours. Essayer d'expliquer le pourquoi de son retard au directeur aurait été très gênant. Cette pensée la fit même sourire.

Qu'est-ce que la journée d'aujourd'hui allait lui apporter? MAURICE avait clairement expliqué qu'il voulait qu'elle suce une bite. Elle l'avait déjà fait avec d'autres hommes auparavant, mais pas sur commande, et certainement pas pour des étrangers. Mais elle était sûre que MAURICE ne verrait pas cela comme un obstacle. Bizarrement cette pensée ne l'inquiétait plus beaucoup. Elle semblait avoir accepté d'être un jouet sexuel pour l'année. Cette idée commença à l'exciter. Ce qui lui fit prendre conscience qu'elle devait aller aux toilettes.

Au moment où la porte s'ouvrit et que MAURICE entra dans la pièce, elle avait vraiment envie d'uriner. Il se prépara à la délier. Mais voyant qu'elle était sur le point de parler, il l'interrompit :

- Tais-toi, et mets-toi à genoux.

Quand la dernière corde tomba, Anne se laissa tomber du lit pour se mettre à genoux. Elle écarquilla les yeux quand le garçon baissa sa braguette et sortit sa queue. Elle ouvrit automatiquement la bouche. Apparemment, le test de ses capacités orales allait commencer immédiatement. MAURICE commença à branler son membre semi-rigide.

- Ferme la bouche et reste dans cette position, salope. Grogna-t-il tout en en continuant de branler sa bite maintenant bien raide.

Anne obéit et regarda la main s'agiter de plus en plus vite autour de la queue. Qu'est-ce qu'il préparait? S'il voulait tester sa bouche, pourquoi lui a-t-il dit de la fermer? MAURICE tira une dernière fois sur sa queue et soudain il se mit à gicler. Le sperme tapa le front de l'enseignante. Elle combattit l'envie de s'écarter et permit ainsi au garçon de crépir son visage. Quand il eut fini, le foutre coulait sur ses yeux. Il rangea sa bite avant de parler à nouveau.

- Maintenant écoute bien, stupide salope. Tu seras disponible dans la même cabine de 10 heures à 11 heures ce matin. Et cette fois, j'espère que tu sais ce que j'attends de toi. Et n'oublie personne. Ensuite tu rentres chez toi, je passerai plus tard dans la journée. Et quand je le ferai, je veux encore voir mon sperme où il est maintenant. Ne pense pas à le nettoyer. Compris suceuse de bites?

Anne avait mille objections, mais elle savait qu'il ne les entendrait pas de toute façon.

- Oui M. MAURICE.

Il se retourna et partit. Anne regarda sa montre : 9H07. Cela lui donnait une heure avant d'être prête. Au moins, le sperme aurait séché d'ici là et serait moins visible. Mais alors qu'elle essayait de se détendre, elle ressentit de nouveau le besoin d'aller aux toilettes. Elle pouvait s'habiller mais elle ne pouvait pas aller jusqu'au toilettes des filles avec ce sperme dégoulinant sur son visage. Elle s'habilla et essaya de penser à autre chose, mais l'envie de pisser resta. Elle croisa les jambes.

L'heure suivante fut un enfer, et plus d'une fois elle songea à faire pipi sur sa literie ou ses vêtements de rechange pour éponger. Le foutre fut lent à sécher, et le dernier quart d'heure, elle pria pour qu'il sèche plus rapidement. Quand la montre indiqua 10 heures, elle ouvrit sa porte avec précaution, et, ne voyant personne dans le couloir, elle se précipita vers l'aile des filles.

- Bonjour Mme POISTOUT.

Anne vit Katia revenir du petit-déjeuner et se diriger vers sa chambre. Avec un « bonjour » pressé, elle la dépassa et entra dans les toilettes. Sur le chemin de la cabine, elle remarque que celle d'à côté était occupée. Une fois à l'intérieur, elle la verrouilla, baissa son pantalon et s'apprêta à s'asseoir sur la cuvette lorsqu'une bite bien raide fut poussée à travers le trou dans la cloison. Elle avait espéré avoir quelques minutes pour se soulager, mais elle n'avait plus le choix.

Elle se pencha sur le côté et au même moment où ses lèvres touchèrent la queue, elle se mit à pisser. Cela ajouta à son humiliation. L'homme dans la cabine d'à côté devait l'entendre pisser. Sa libération soudaine lui fit l'effet d'un petit orgasme et la laissa excitée. Elle glissa sa langue le long du membre, puis engloutit le gland. Et, comme son premier copain lui avait enseigné, elle taquina le gland de sa langue. Elle fut récompensée par un gémissement à côté. Toujours en train de pisser, elle continu à le taquiner, tout en glissant la bite plus profondément dans sa bouche, jusqu'au moment ou elle ne put plus respirer. Alors elle recula la tête et recommença. Ceci dura bien cinq minutes avant d'entendre un grognement révélateur et de sentir la queue exploser dans sa bouche. Après avoir goûté ce foutre, elle ne put s'empêcher de toucher sa chatte. Elle eut presque un orgasme alors elle arrêta immédiatement. Elle s'appliqua alors à nettoyer la bite avec sa langue pour enlever le sperme restant. Elle fut presque déçue quand l'homme débanda et retira sa queue du trou.

Assise sur la cuvette des WC, la réalité de la situation la frappa. Elle était assise dans des toilettes et attendait que des inconnus passent leur bite dans un trou pour qu'elle puisse les sucer. Elle avait entendu parler de femmes qui faisaient ça, mais elle les avait toujours considérées comme des salopes perverses. Et maintenant, elle avait rejoint leurs rangs.

Elle entendit la porte s'ouvrir et des pas approcher. Un instant plus tard, une queue noire apparaît dans le trou. Ça devait être Charles ou Robert, les deux seuls garçons noirs de sa classe. Elle baissa la tête et essaya de mettre le plus possible du membre dans sa bouche. Le sperme eut un goût subtilement différent, mais, encore une fois, il lui fit frissonner tout le corps.

Quatre autres bites passèrent par le trou de la cloison et furent bien vidés par Anne. Elle pensa avoir reconnu la dernière. Il s'agissait sûrement de celle qu'elle avait branlée la nuit dernière, mais elle n'en était pas sûre à 100 pour cent. Quand sa montre indiqua 11 heures, elle avait six décharges de sperme dans son ventre. Elle réalisa qu'elle avait satisfait plus d'hommes durant cette heure que dans sa vie entière. Lentement elle se leva et quitta la cabine. Elle se sentait comme une putain bon marché. Elle espéra seulement ne rencontrer personne en rentrant chez elle.

Quand elle quitta les toilettes, Katia sortit en même temps de sa chambre. Elle sourit quand Anne essaya de la dépasser avec un sourire désinvolte.

- Alors, A qui est tout ce sperme sur votre visage? Demanda la jeune fille gentiment.

Anne s'arrêta à mi-chemin et la regarda, abasourdie. Elle sentit le sang monter dans ses joues. Elle regarda nerveusement autour d'elle.

- Ne vous inquiétez pas, tous les autres sont allés à la piscine pour la journée. Et n'essayez pas de nier, je sais reconnaître du sperme sur un visage quand je le vois.

- Katia, je...

La jeune fille sourit.

- En fait c'est plutôt cool d'avoir une professeure qui laisse le sperme sur son visage et fait des pipes aux étudiants dans les toilettes. Pervers mais cool.

- Comment... Pourquoi... Bégaya Anne.

- Vous savez, les garçons disaient qu'ils avaient eu une bonne pipe quand ils se sont éloignés dans le couloir. Ma porte était entrouverte. Ils se demandaient quelle fille était aussi experte. Ils pariaient sur Belinda, car tout le monde sait à quel point elle aime le sexe, ou Lydie, car elle le fait avec toutes les personnes qui lui demandent. Mon dieu, ils seraient surpris de savoir que c'est leur professeure qui leur a fait une fellation.

Katia continua de parler. Anne n'avait aucune idée de ce qu'elle devait faire ou dire. Elle continua d'écouter Katia en espérant que les autres jeunes filles soient bien parties.

- Dite Mme POISTOUT, est-ce que vous sucez seulement des bites, ou est-ce que vous léchez aussi des chattes? Lydie a bien proposé de me lécher la mienne il y a quelque temps, et elle s'attendait que je lui fasse pareil, mais sa chatte est tellement poilue. J'avoue que je ne me suis jamais faite brouter, alors qu'est-ce que vous en dites?

Anne n'arrivait toujours pas à dire un mot, mais elle savait que si cette fille racontait ce qu'elle avait vu, sa carrière était foutue. Alors elle hocha simplement la tête.

- Merveilleux! Pourquoi seulement les garçons devraient-ils s'amuser? Alors comment voulez-vous que je sois? Demanda la jeune fille.

Sans attendre de réponse, Katia retourna dans sa chambre, laissa tomber ses vêtements en un seul mouvement, s'installa sur le lit et écarta les jambes. Lentement Anne la suivit. Elle prit son temps pour fermer la porte, essayant de trouver un moyen de se sortir de ce guêpier. Katia avait vu le sperme sur son visage, avait vu et entendu les garçons qu'elle avait sucé, et avait probablement vu le sperme frais dans ses cheveux la nuit dernière. Si elle bavardait, Anne serait encore plus horrifiée que si MAURICE publiait les photos. Elle était si enfoncée dans son problème qu'il n'y avait plus qu'un moyen... avancer. Prenant une profonde inspiration, elle traversa la pièce pour rejoindre le lit de Katia.

- Avez-vous déjà léché une chatte Mme POISTOUT? Je veux dire que vous avez l'air assez doué pour sucer des bites, mais ça ne veut pas dire que vous l'êtes pour lécher des chattes. Alors?

Katia la regarda, curieuse. Anne s'assit au bord du lit.

- Pas vraiment Katia.

Katia appuya son menton sur ses mains.

- Qu'est ce que ça veut dire? Soit vous l'avez fait, soit vous ne l'avez pas fait.

Anne se mordit la lèvre. Elle ne voulait certainement pas parler à Katia de la soirée au club.

- Eh bien, une fois c'était juste une blague, juste des taquineries.

Ne sachant trop comment satisfaire la curiosité de la jeune femme, elle s'abaissa entre ses cuisses et toucha son clitoris avec sa langue. Katia inspira brusquement, mais cela ne l'empêcha pas de poser des questions. Anne passa sa langue plusieurs fois sur le clito gonflé puis elle l'entoura. Elle sentit et goûta l'humidité de la jeune fille. C'était bizarre de lécher la chatte d'une autre femme, ce qu'elle n'avait jamais vraiment fait, mais elle imagina ce que ça pourrait être si on lui faisait. Elle tira la langue et lécha le monticule humide. Elle faillit avoir des haut-le-cœur quand elle sentit le goût de l'urine.

- Ohhhh, ça fait tellement du bien. Bien mieux que de se masturber. J'espère que j'ai bon goût. Dit Katia en gémissant.

- Oui oui. Lui assura Anne, en continuant son activité.

- Oups, je viens de me rappeler que je ne me suis pas lavée ce matin après avoir été faire pipi. Vous devez en avoir le goût.

Anne la lécha plus vite et ne s'interrompit que brièvement pour dire :

- c'est bon Katia, ça ne me dérange pas.

La jeune fille haleta :

- Ça ne vous dérange pas? Mais ça doit être tellement humiliant de lécher le pipi d'une autre personne. C'est l'une des raisons pour laquelle je ne veux pas lécher Lydie. Je trouve déjà ça assez humiliant de me baisser pour lécher une chatte. Mais le goût du pipi, c'est dégoûtant. Seule une vraie salope peut faire ça.

Anne retint un commentaire et plongea sa langue profondément dans l'ouverture humide. Le goût de l'urine avait disparu et était remplacé par un arôme plus frais, légèrement salé et acidulé de chatte excitée. Elle lécha sans s'arrêter. Quand elle leva les yeux, elle vit Katia jouer avec ses seins. Katia la regarda et passa sa langue sur ses lèvres.

- Ohhhh oui, continuez comme ça. Enfoncez votre langue profondément et laissez votre nez frotter mon clitoris.

Anne lui obéit, les halètements de la fille devinrent plus forts et plus longs. Alors qu'elle travaillait sur la jeune femme, elle réalisa que ça ne la gênait pas, mais qu'elle aimait beaucoup la faire se tortiller de plaisir. Elle poussa sa langue encore plus profondément et appuya son nez sur le petit bouton sensible. Katia émit un long gémissement et Anne sentit sa chatte se contracter autour de sa langue. Elle lécha plus doucement jusqu'à ce que les contractions diminuent. La bouche d'Anne était pleine du jus de Katia, alors elle déglutit. Quand elle leva la tête, Katia la regardait.

- C'était merveilleux Mme POISTOUT. Merci. Je me demandais ce que ça serait, mais maintenant je sais que j'aime me faire lécher. C'est bien mieux que mes doigts. J'aimerai, que pour nous les filles il existe une sorte de glory-hole où nous pourrions nous faire lécher la chatte. Ou alors je pourrais le dire à mes copines. Et vous pourriez passer pour toutes nous lécher.

- Non, S'il te plaît, ne fais pas ça Katia.

La fille fit la moue.

- Mais c'était tellement bon. Les garçons ne me font jamais jouir aussi bien. Et je n'aime pas me doigter.

- Tu pourras venir me voir et je te lécherai encore Katia. Mais, s'il te plaît, ne le dis pas aux autres.

Le visage de l'étudiante s'éclaira.

- Génial. Maintenant, je vais pouvoir me faire lécher la chatte au lieu de me faire plaisir toute seule. Je suis désolé de vous avoir pratiquement traitée de salope tout à l'heure.

Anne sourit :

- Ce n'est pas grave Katia. Nous disons toutes des choses pas réfléchies quand nous sommes excitées. Maintenant je dois y aller.

Katia sourit aussi.

- Oh oui, j'étais bien excitée. Mais quand même. Vous avez léché mon urine sur ma chatte. Et ça vous a excité. Regardez vos tétons. Vous devez aimer ce goût.

Anne savait très bien qu'elle était plus excitée qu'elle ne l'avait jamais été. Elle avait désespérément besoin de jouir, mais elle ne pouvait pas le dire à Katia. Celle-ci plongea dans ses pensées et dit :

- Woaaawww, ma professeure est une salope qui suce des bites dans les toilettes, qui aime le sperme sur son visage et qui adore lécher des chattes sales. J'aimerai le dire à tout le monde. Mais bien sûr, je ne le ferai pas, je veux que ma chatte soit léchée de temps en temps.

Anne lui répondit avec résignation :

- Oui Katia, je le ferai... quand tu veux...

12 -- Un après-midi de sexe.

Quand Anne arriva chez elle, elle prit une douche froide. Elle n'arrivait pas se rappeler combien elle en avait pris ces dernières semaines. Mais l'eau glacée n'arrivait pas à stopper les fourmillements constants dans sa chatte. Et le fait qu'elle devait faire constamment attention à ne pas nettoyer le foutre de son visage la maintenait dans cet état. Elle était devenue l'esclave sexuelle de MAURICE, et maintenant de Katia aussi. Et après avoir fait toutes ces pipes, elle ne se faisait plus d'illusion sur le fait qu'elle devrait satisfaire tous ces garçons tôt ou tard. Elle espérait seulement que personne d'autre ne découvrirait son secret.

Après la douche elle s'habilla et essaya de lire pour se changer les idées. Mes son esprit revenait sans cesse sur les derniers évènements. Elle n'arrivait pas à savoir ce qui était le plus dégradant : Le cynisme de MAURICE ou l'utilisation d'elle par Katia. Où alors était-ce son acceptation de la situation? Si on lui avait dit ça deux mois plus tôt, elle aurait été choquée et furieuse, ou du moins complètement dévastée par son avenir. Mais si elle était honnête avec elle-même, malgré le sentiment de honte et d'humiliation, elle avait toujours eu des fourmillements entre les jambes. Quelques semaines sans orgasme l'avaient-elles vraiment transformée en salope comme l'avait dit Katia? Elle se leva subitement, refusant de s'engager dans cette voie, même en pensées. L'introspection ne la mènerait nulle part, décida-t-elle. Elle devait suivre le mouvement. Elle se prépara un déjeuner, puis se pelotonna sur le canapé avec un livre qu'elle avait l'intention de lire depuis des siècles.

Elle se réveilla en sursaut quand on frappa fort à la porte. Elle regarda l'horloge murale qui indiquait 15 heures. Elle avait fait une sieste de deux heures environ. Un autre coup, encore plus fort, la fit glisser du canapé. Quand elle vit MAURICE devant la porte de son chalet, elle se souvint qu'il lui avait dit d'attendre sa visite. A la hâte elle essaya de se débarrasser de sa somnolence et de se concentre. Peu importe ce qu'il faut pour qu'il soit heureux, se rappela-t-elle.

- Bon après-midi M. MAURICE.

- Pourquoi tu as mis si longtemps à ouvrir, salope? Je veux que tu sois plus rapide. Grogna-t-il.

- Je suis désolé M. MAURICE. Je me suis endormie sur le canapé Monsieur.

- Et tu n'étais pas en train de jouer avec ta chatte, salope?

- Non M. MAURICE. Vous ne m'avez pas donné la permission de me toucher Monsieur, alors je ne l'ai pas fait.

- Je n'arrive pas à le croire. Déclara une voix féminine.

Anne pâlit lorsque Belinda MACALPINE s'encadra dans la porte.

- Il faut qu'elle te demande la permission de se masturber Éric?

- Ouais, je te l'ai dit chipie. Notre Mme POISTOUT aime ça. Elle aime être contrôlée et qu'on lui dise que faire. N'est-ce pas salope?

Anne était sur le point de nier, mais elle se tut. Si elle n'acceptait pas ça, elle devrait expliquer le chantage et admette qu'elle s'était amusée avec ses amies au milieu de la piste de danse d'un club devant des centaines de personnes. Ce serait encore plus honteux.

- Oui M. MAURICE. Mentit-elle.

- Tu ne nous laisses pas entrer salope? Nous sommes venus te donner un peu de ce dont tu as besoin.

« Ce dont j'ai besoin maintenant, c'est ta bite dans ma chatte » fut la pensée qui vint à l'esprit d'Anne. Mais elle a rapidement fait fuir l'idée et s'est écartée de la porte. MAURICE et la jolie rousse entrèrent. Belinda détailla le salon. De toute évidence elle n'était jamais venue ici. MAURICE n'aurait pas du non plus, mais il semblait bien connaître les lieux. Avait-il vraiment installé des caméras chez elle? MAURICE se dirigea vers le canapé en tirant Belinda derrière lui.

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