Ecole Privée Ch. 05

- Qu'est-ce que tu aimerais boire, chipie?

- Un peu de jus d'orange.

- Vas en chercher salope! et un coca pour moi!

Ravalant sa colère d'être commandée chez elle, Anne se dirigea vers la cuisine. Quand elle revint avec une canette de coca et un verre de jus d'orange, MAURICE leva une main pour l'arrêter.

- Attends salope, fais ça correctement. Pose les boissons et fous toi à poil!

- Éric, tu ne peux pas demander ça?

Belinda semblait choquée mais le jeune garçon lui sourit :

- Pourquoi pas? Elle aime ça et elle fera tout ce que je dis. N'est-ce pas salope?

- Oui M. MAURICE. Répondit Anne en grinçant des dents.

- Et à partir de maintenant, tu feras aussi ce que te dit Belinda. Compris?

- Oui M. MAURICE.

Quelle autre réponse pouvait-elle faire?

- Tu vois chipie. Elle fera tout ce que nous dirons. Et elle adorera ça, nous sourira et nous remerciera. Maintenant à poil salope!

Anne ouvrit son chemisier et l'enleva lentement de ses épaules. Elle essaya de ne pas regarder le jeune couple assis confortablement sur son canapé, mais elle entendit Belinda avoir un cri de surprise quand elle révéla sa grosse poitrine. Puis elle laissa tomber son pantalon par terre et lui montra sa nudité complète. Elle reprit les boissons et se dirigea vers le canapé. Mais avant qu'elle n'y arrive et qu'elle place les boissons sur la table basse ; MAURICE la réprimanda :

- A genoux!

- Oui M. MAURICE. Murmura-t-elle.

Elle s'agenouilla et alla leur offrir les boissons.

- Tu vois quelle petite salope obéissante elle est, chipie. Vas-y, essaie, donne-lui des ordres.

Belinda avait l'air troublée et nerveuse, mais MAURICE continua à la pousser.

- Vas-y, elle fera tout ce que tu lui demandes.

La voix de Belinda fut si douce que Anne eut du mal à comprendre.

- Embrasse ma main.

L'enseignante se pencha en avant et prit la main de la jeune fille sur laquelle elle fit un doux baiser.

- Tu vois Chipie? Elle fera tout ce que nous dirons. C'est pas génial? Laisse moi te montrer d'autres choses qu'elle peut faire.

Il fit tourner Anne et lui demanda de se pencher, jambes écartées. La professeure entendit Belinda rire et murmure quelque chose au garçon à la vue de sa chatte ouverte.

- Oui Bien sûr, elle présente son sexe sans hésitation. Elle présente tout pour qu'on en profite. Se rappelant ses ordres, Anne tenta de se forcer à sourire.

- Elle peut faire mieux. Salope, mets tes doigts dans ton trou du cul!

A sa propre surprise, Anne obéit immédiatement. Avait-elle aussi honte maintenant qu'elle n'hésitait pas à faire une chose aussi humiliante? Le doigts pénétrant son anus étroit ne fit que renforcer le besoin de quelque chose dans sa chatte.

- Je veux la voir s'amuser.

Le murmure de Belinda fit sursauter le cœur de Anne.

- Tu as entendu la demoiselle, salope? Souviens toi de la remercier pour t'voir donné l'occasion de faire ce que tu aimes le plus.

Pressée de jouir, Anne rampa vers Belinda et embrassa ses pieds. Elle entendit MAURICE rire.

- Un simple merci aurait suffi, mais je suppose que tu aimes t'humilier. Joue avec ta chatte maintenant.

Anne ne prit même pas le temps de s'offusquer de l'insulte. Elle tendit la main entre ses jambes. Quand ses doigts touchèrent sa chatte, elle gémit sans honte. C'était tellement bon. Oh oui, si elle ne pouvait pas avoir une bite, elle aurait un orgasme de cette façon. Elle se masturba furieusement et plongea ses doigts dans son trou dégoulinant.

- Ça suffit salope! Après tout, nous ne sommes pas là pour regarder ton passe-temps favori.

Il se pencha et embrassa Belinda avidement. La rousse lui rendit le baiser avec ferveur. Mais lorsque la main de MAURICE se posa sur ses seins, elle le repoussa :

- Attends, nous ne pouvons pas faire ça avec Mme POISTOUT en train de regarder.

Le garçon sourit.

- Je me demande pourquoi. Elle ne verra rien de plus que ce qu'elle a déjà fait, mais comme tu veux. Salope, va dans le coin et fais face au mur. Tu sais ce qui va se passer si tu regardes.

Anne obéit, contente de ne pas avoir à se mettre à genoux entre les deux. Mais quand elle atteignit le coin, MAURICE la fit s'agenouiller de nouveau.

- Et garde tes mains dans ton dos, là où je peux les voir. Pas de masturbation!

- Oui M. MAURICE.

Bientôt Anne entendit des bruits de baisers et des gémissements derrière elle. Le jeune couple était en train de s'amuser dans son salon, alors qu'elle était au coin comme une gamine mal élevée. Les gémissements augmentèrent et elle entendit bientôt le froissement des vêtements que l'on enlève. Ils allaient baiser! Dans son dos, les gémissements devinrent de plus en plus fort et furent rejoints par un bruit rythmique de gifle. Elle reconnut immédiatement des hanches masculines claquant contre des fesses féminines. MAURICE baisait Belinda. Anne serra les poings dans son dos. Il lui fallut une grande maîtrise d'elle-même pour ne pas tourner la tête et regarder (et toucher sa chatte en même temps). Les mouvements avaient commencé lentement mais augmentèrent rapidement pour devenir presque frénétique. Elle entendit Belinda murmurer ce qui ressemblait à des encouragements pour son partenaire, qui ne répondit que par des grognements.

- Oui, plus fort, fais-moi jouir.

Belinda semblait avoir perdu toutes inhibitions et encourageait Éric.

- Oui, baise-moi fort, oh ouiiiiii, OOOHHHH OUUIIIIIIIIIIIIIIII

Anne se mordit les lèvres. Elle voulait jouir elle aussi, elle en avait tant envie. Mais elle resta immobile, tandis que les mouvements derrière elle ainsi que les gémissements se calmaient.

- Ici salope!

La voix de MAURICE était encore un peu faible à cause de son orgasme. Elle se retourna avec obéissance et était sur le point de se lever quand il l'interrompit :

- A quatre pattes comme la chienne que tu es.

Mordillant de nouveau ses lèvres, elle rampa vers le couple allongé sur son canapé. L'odeur de sexe devint plus forte alors qu'elle s'approchait. Belinda ferma les jambes, mais ne fit aucun effort pour se couvrir.

- As-tu vu sa chatte chipie? La chienne dégouline. Regarde la bave qui coule le long de ses jambes.

Anne n'avait pas besoin de baisser les yeux pour savoir que MAURICE avait raison. Elle dégoulinait. Elle était complètement excitée. Elle avait besoin d'une bite et d'une bonne baise comme celle qu'il avait donnée à Belinda. Un instant, elle détesta la jeune fille.

- Je dois me nettoyer Éric. Tu sais à quel point je déteste dégouliner. En plus je vais salir le canapé.

Le garçon rigola.

- Mettre un peu de ton jus sur le canapé n'est pas un problème. Excitée comme elle est, il sera bientôt complétement sale avec son jus. Mais je sais que tu n'aimes pas aussi humide. Mais pourquoi irais-tu à la salle de bain. On a une petite chienne ici. Et les petites chiennes adorent lécher n'est-ce pas?

- Mais Éric, je ne peux pas...

- Pourquoi pas? Si je ne t'avais pas promis de ne pas la toucher avec ma bite, je la laisserai d'abord me nettoyer.

Belinda le regarda, troublée.

- Tu veux dire qu'elle voudrait... Je veux voir ça.

MAURICE sourit et dit :

- Dans ce cas... Viens salope! Commence par mes couilles.

Il n'était plus question d'obéir ou non. Alors qu'elle rampait entre les jambes du garçon, les sentiments d'Anne étaient partagés. Lécher le mélange de sperme et de jus de chatte sur la bite d'un homme était dégradant, mais en même temps, sa chatte était en feu et l'image de MAURICE la baisant avec rudesse traversa son esprit. La queue du garçon était molle et collante contre sa joue pendant que sa langue sortait et léchait les couilles. Elles n'avaient pas le goût de sexe mais seulement de la sueur. Elle les lécha tendrement et les prit dans sa bouche pour les laver à fond. Quand elle sentit la bite remuer, elle redoubla d'efforts.

- Tu vois à quel point elle aime lécher des couilles, Chipie. Dit MAURICE avec désinvolture.

Puis il ajouta :

- Assez maintenant! Nettoie ma bite!

Elle avança avidement et lécha la hampe. Elle put goûter au sperme, mais aussi à autre chose un peu piquant qui devait être le jus de Belinda. Elle lécha toute la longueur du membre, puis engloutit le gland et aspira les dernières gouttes de sperme. La queue devint raide dans sa bouche.

- je la veux entre mes jambes maintenant.

La voix de Belinda était enrouée d'excitation. Immédiatement, MAURICE écarta la tête de l'enseignante et la dirigea vers la jeune fille.

- Sers la demoiselle, salope!

Déçue, mais aussi étrangement excitée, Anne se déplaça et fut accueillie par une chatte béante dégoulinante de sperme. Elle plongea son visage dans le buisson roux et retrouva le foutre de MAURICE et le jus de Belinda. La jeune fille commença à gémir presque immédiatement. Anne enfonça sa langue profondément dans l'ouverture pour essayer d'obtenir la dernière goutte du mélange. Quand elle sentit qu'elle avait bien nettoyé la chatte, elle se leva légèrement et se concentra sur son clitoris. Elle sentit l'étudiante agripper sa tête alors que son corps tremblait.

- Oh ouiiiii, c'est tellement bon. Gémit Belinda.

Anne prit un plaisir pervers à essayer de faire jouir la jeune fille. Sa langue passa encore et encore sur le clitoris et elle sentit que la jouissance approchait. Les mains qui retenaient sa tête la repoussèrent brutalement.

- Viens Éric, j'ai besoin de ta grosse bite, Baise-moi tout de suite.

MAURICE bouscula sa professeure et plongea son sexe dans Belinda. Anne se retrouva par terre, regardant la bite agir comme un piston dans la chatte de la jeune fille. Les deux jeunes l'ignorèrent complètement. Ils gémissaient, s'encourageaient et grognaient de concert. Ils semblaient avoir oublié Anne. Éric dura longtemps et Belinda eut au moins deux orgasmes avant qu'il ne se cabre et se vide en elle. Le couple resta allongé sur le canapé, essoufflé, les corps brillants de sueur. Finalement MAURICE se redressa et s'assit tout en embrassant la rousse. Ses yeux fixèrent Anne et il ordonna :

- Nettoie salope!

Des larmes de frustration coulèrent sur la figure d'Anne tandis que sa langue goûtait à nouveau la chatte de Belinda.

A suivre...