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Rainett
Rainett
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Beaucoup de maris partagent les émotions sexuelles de leurs femmes dans leurs activités extraconjugales. Mais je ne peux pas me confier à mon mari. Mes escapades indécentes sont trop méprisables, j'en suis honteuse, mais je ne peux pas réfréner mes pulsions choquantes. C'est peut-être pour cela que j'écris ici. Peut-être ai-je besoin de me confier et de partager ma vie secrète avec quelqu'un.

Tout cela a commencé très tôt, presqu'au début de notre vie conjugale. J'ai eu deux grossesses coup sur coup, mon travail ne payait pas assez pour rémunérer une nourrice, et mon mari a préféré que je reste à la maison pour m'occuper de nos enfants. Ensuite, pour avoir une vie meilleure, mon mari a accepté de changer de travail et de région. Nous avons déménagé, et je me suis retrouvée, à 25 ans, sans vie sociale ni amies.

Un jour, en emmenant les enfants à la crèche, je discutais avec une autre jeune maman de mon style de vie monotone, lorsqu'elle m'a invitée chez elle pour boire un café. Je l'ai suivie jusque chez elle accompagnée par deux autres jeunes mamans. Elles m'ont expliquées qu'elles ont résolu ce problème d'isolement en organisant une soirée entre filles une fois par semaine.

Et, si mon mari le permettait, j'étais la bienvenue pour les accompagner. J'ai expliqué à mon mari, en y mettant les formes, ce qu'elles m'avaient raconté, et en lui demandant ce qu'il en pensait. Il m'a dit que c'était une bonne idée, et il m'a encouragée à rejoindre le groupe. Ainsi, le jeudi soir suivant, j'ai eu ma première soirée entre filles.

Rapidement, j'ai réalisé que j'étais tombée sur un groupe de femmes plutôt sages, mais j'ai remarqué que certaines ne rentraient pas directement chez elles à la fin de la réunion. J'ai pensé que ce qu'elles faisaient quand je les quittais pour rentrer chez moi, ne me regardait pas. Un soir, une des filles fêtait son anniversaire, alors nous avons toutes bu un peu plus que d'habitude et, au moment de rentrer chez moi, j'étais un peu plus que pompette.

Quand les taxis sont arrivés, il y a eu une espèce de confusion, et je me suis retrouvée dans un taxi avec deux filles qui ne rentraient pas chez elles après la soirée entre filles. Elles allaient en boîte, et moi je voulais rentrer chez moi. Mais le taxi finissait son service, il ne voulait pas faire le détour, et elles ont insisté pour que je les accompagne. Finalement, après un moment d'hésitation, je me suis laissé convaincre de les accompagner à l'intérieur de la boîte.

Je pensais que c'était sans conséquences, juste boire un coup et puis rentrer chez nous, mais nous avons rapidement été rejointes par un groupe d'hommes qui semblaient très bien connaître mes copines. Pendant les deux heures suivantes, il y a eu beaucoup de danses et de boissons. Quand ce fut l'heure de la fermeture, ils discutaient sur le trottoir de la destination suivante, alors j'ai dit que je devais rentrer chez moi, mais personne ne m'a écoutée.

L'un des hommes habitait une maison avec un grand sous-sol qui convenait pour continuer la fête, et je pense que mon état éthylique a dû fausser mon jugement, parce que j'ai accepté de suivre le groupe, alors que ce n'était pas ce que je désirais. Une fois dans la maison, tout le monde s'est mis à l'aise, et les intentions de ces hommes m'ont rapidement parues très claires.

Ils ont mis de la musique, et je me suis retrouvée à me déhancher sur des danses langoureuses. Collée à un partenaire équipé de mains indiscrètes qui exploraient chaque recoin de mon anatomie, je ne parvenais pas à me libérer de son emprise. Bien au contraire, je sentais son érection se développer de plus en plus en même temps que j'essayais de lui résister. Bientôt, ses mains sur mes fesses plaquaient mon corps avec tant de force contre le sien que son sexe en érection était comme incrusté dans mon ventre.

Au bout d'un moment de ce traitement, il m'a conduite vers une banquette où il m'a installée sur ses genoux. J'ai jeté un rapide coup d'œil circulaire pour voir que les autres filles étaient en main tout autour de la pièce. L'une d'elle chevauchait les genoux d'un gars assis dans un fauteuil, sa jupe troussée haut sur ses cuisses, et ses fesses complètement découvertes montraient qu'elle n'avait plus sa culotte.

L'autre jeune femme était allongée sur un canapé, avec un homme entre ses cuisses écartées, et un autre qui tâtonnait dans son soutien-gorge, pendant qu'il l'embrassait à pleine bouche. Un gars était assis tout seul dans un fauteuil, à l'autre bout de la pièce, et il caressait son sexe qu'il avait sorti de son pantalon, tout en profitant du spectacle qui s'offrait à lui.

Mais je n'ai pas pu observer la scène bien longtemps, l'homme qui m'avait entraînée sur cette banquette avait des intentions bien précises. Tandis que mon attention était distraite par ce spectacle, le gars a saisi sa chance. Ma robe avait un col haut avec une fermeture éclair dans le dos, alors il m'a embrassée à pleine bouche, et sa main a pris le chemin le plus direct, sous ma robe, entre mes cuisses. Malgré mon ivresse, il ne m'a fallu qu'une seconde pour réaliser ce qui se passait, alors j'ai poussé un cri, et j'ai serré fermement mes cuisses l'une contre l'autre.

Immédiatement, tous les gars ont arrêté ce qu'ils faisaient, je suis devenue le centre du monde, car tous les regards ont convergé vers moi. Intimidée, je n'ai pu que balbutier : « Non, ne faites pas ça, je ne suis pas ce genre de fille. » Et j'ai éclaté en sanglot. C'est ce que j'ai toujours fait, depuis toute petite avec les adultes, et même depuis mon mariage avec mon mari. Quand je suis troublée, confuse, empêtrée, je pleure, et je compte sur les autres pour me sortir de ce mauvais pas.

Les filles sont venues vers moi pour me demander ce que j'avais. Elles ont voulu me consoler, en me disant que ce n'était qu'un instant de plaisir, et que je ne devais pas accepter de faire quelque chose que je ne voulais pas. Elles me cajolaient, en me disant que je risquais de gâcher une bonne soirée, et me faisaient culpabiliser. Je me sentais coupable de gâcher leur plaisir. J'ai essayé de me chercher des excuses, de leur dire que c'était mal de faire des choses sexuelles avec un inconnu devant d'autres personnes.

Voyant que je commençais à me calmer un peu, une des filles a suggéré à l'homme qui me tenait serrée contre lui de m'emmener dans un endroit tranquille et plus intime. Je me laisse prendre par la main et il me conduit à l'étage, jusqu'à l'une des chambres. Nous nous sommes assis côte à côte sur le bord du lit et là, il m'a enlacée pour me demander si j'étais bien. Je lui ai répondu que c'était mieux, alors il n'a pas perdu de temps pour reprendre ses effusions où il les avait laissées.

Aussitôt, ses mains sont partout sur moi et sa bouche explore mon cou, mon oreille, et ma joue jusqu'à la commissure de mes lèvres. Sa main se fixe sur ma poitrine et palpe mes seins l'un après l'autre. Je me raidie sous son contact, alors il me parle pour me détendre. Il me raconte que c'est juste pour ajouter quelques sensations à notre intimité, que ça me fera du bien, et que ce n'est pas tromper que d'accepter ses caresses. Que c'est comme un hommage à ma beauté, à la perfection de mes formes, et qu'il est très heureux de passer ce moment avec moi.

Il s'est rapproché et m'a embrassée sur les lèvres et, après une légère hésitation, je lui ai répondu. C'était tout l'encouragement dont il avait besoin car sa main prit immédiatement encore plus d'audace. Bientôt, ses attentions commencèrent à avoir l'effet escompté, ma respiration devint plus lourde et je lui rendis ses baisers plus passionnément. J'ai senti la fermeture éclair de ma robe, dans mon dos, glisser vers le bas.

Sa bouche toujours soudée à la mienne, ma robe glissait lentement de mes épaules, j'ai senti mon soutien-gorge se desserrer, et les bretelles de ma combinaison descendre le long de mes bras. Ce gars est un véritable prestidigitateur et rapidement, je me suis retrouvée nue jusqu'à la taille.

Il m'a repoussée et allongée sur le lit, puis il s'est couché contre moi. Déjà, ses doigts pincent et taquinent mes tétons très sensibles. Pendant un moment, il se contente de ma poitrine, puis sa main commence à explorer mon corps de haut en bas, depuis mon visage jusqu'à mon ventre. Il descend de plus en plus bas à chaque passage, sa bouche tète mon mamelon, et ses doigts s'insinuent dans ma culotte. Je gémis malgré moi. Ses doigts jouent dans mes poils pubiens, puis ils frottent là où seul mon mari a le droit d'aller.

Jusqu'à mon mariage, même avec mon mari, je ne laissais personne jouer avec mon intimité. Je me suis mariée vierge et même pendant notre voyage de noces, j'étais réticente à l'idée que cette partie de mon corps serve pour le plaisir. Mais mon corps m'a trahie et mes cuisses se sont écartées pour lui faciliter l'accès. J'ai réalisé qu'il chuchotait à mon oreille, me demandant d'enlever ma robe et ma combine, et, presque comme si c'était naturel, je l'ai aidé en soulevant mes hanches afin qu'il puisse faire glisser et ôter mes vêtements.

« Maintenant, ce serait dommage de garder tes collants et ta culotte ! » Même si, quelques heures auparavant, j'aurais giflé quelqu'un qui m'aurait demandé une telle chose, j'ai retiré docilement mes derniers vêtements. Je suis allongée sur le dos, au milieu du lit, il s'allonge sur moi, et ses genoux écartent résolument mes cuisses. Il ne demande pas, il exige et s'impose en maître. Il n'a pas enlevé ses vêtements et leur rugosité sur ma peau semble m'exciter encore plus.

Son sexe tendu, d'une dureté d'acier, me heurte entre les jambes, et ma voix devient rauque lorsque je lui demande d'utiliser une protection car je ne prends pas la pilule. Il me dit de ne pas m'inquiéter, ajoutant qu'il sait se retirer à temps, que tout va bien, et qu'il n'est pas un pervers. J'essaye d'argumenter, je commence à lui dire que je ne veux pas prendre de risque, mais avant de pouvoir finir ma phrase, il est trop tard car je le sens se glisser en moi. Soudain, tout a changé, et plus rien d'autre n'a d'importance, seule compte la sensation que me procure cette longue tige raide qui coulisse en moi, et qui me rend folle de désir.

Je m'accroche à lui, à sa mâle puissance, je le pousse à plus de vigueur en lui disant à quel point c'est bon ce qu'il me fait, et combien il me rend heureuse. Je sens un orgasme se développer au fond de moi, puis tout a explosé, et j'exulte en criant, secouée de tremblements. Tandis que je rassemble mes esprits, je suis consciente que sa frénésie s'accroît, je participe à son enthousiasme en soulevant mes hanches à sa rencontre, notre accouplement devient chaotique, et il jette toute sa production au fond de mon ventre. Il s'écarte de moi, un peu penaud, et nous restons allongés là, côte à côte, à bout de souffle. Puis il se tourne vers moi en disant :

« Désolé, j'aurais voulu me retirer, mais je n'ai pas pu, tu es trop bonne. Tu as aimé, n'est-ce pas? »

Cela ne servirait à rien de nier, après ce que je lui ai crié quand j'ai joui. Il a suggéré que nous devrions descendre rejoindre les autres. J'ai voulu ramasser mes sous-vêtements par terre, mais il m'a dit que je n'en aurais pas besoin, et m'a conseillé de mettre simplement ma combine pour descendre. Je suis gênée de me présenter devant les autres presque nue, mais au sous-sol, je me sens presque gênée d'être trop couverte.

À l'exception d'une des filles qui porte encore des bas maintenus par une ceinture et des jarretelles, tous les autres sont entièrement nus. Les deux filles sont venues vers moi pour me demander si tout allait bien, et je n'ai pu qu'acquiescer d'un air béat. J'ai remarqué que l'homme qui m'avait baisée à l'étage se débarrassait à présent de ses vêtements, donc il pensait visiblement que les réjouissances n'étaient pas encore terminées.

De nouveau, je suis devenue le centre de l'attention, du fait que j'étais la seule à être un peu vêtue, ce qui excitait l'intérêt des hommes présents. Ils m'ont entourée de leur sollicitude, et leurs mains sur mon corps ont exacerbées un dévergondage dont j'ignorais l'existence. L'un des hommes m'a poussée vers un fauteuil où il m'a installée, presque couchée sur l'assise, les fesses dépassant du bord. Il a soulevé ma combine, montrant toute mon intimité à l'assistance en levant mes jambes écartées.

Grande ouverte à la vue de tous, il s'est penché sur moi, a posé mes jambes sur ses épaules, et il a placé son sexe sur le mien. Je n'ai rien fait pour l'arrêter, j'avais le souffle court en attendant qu'il me pénètre. Mais il a posé ses mains sur les bras du fauteuil, et m'a demandé de guider son pénis dans ma chatte. J'étais choquée et excitée par ce langage cru, mais je lui ai obéi, j'ai guidé son sexe en moi. Enroulée sous lui, je n'ai pas pu réprimer un gémissement lorsque sa queue m'a pénétrée.

Cette fois, je me fais baiser en public, et cela n'a plus aucune importance. Dans ma position, mon intimité exposée à la vue de tous, je sais qu'ils peuvent voir précisément ma chatte subir la pénétration, et s'accrocher à la bite qui se retire. Chacun peut apprécier exactement ce que je subis, et comment je me comporte. Ma moralité, ma vertu, mes craintes au sujet d'un rapport sexuel non protégé se sont évanouies. Tout est oublié, seul compte ce sexe qui me pénètre et me rend folle de désir. Mes hanches s'agitent, je supplie mon bourreau, je gémis en sentant mon orgasme enfler au fond de mes entrailles.

Tout mon corps convulse, spasme après spasme, puis mon partenaire a annoncé à haute voix qu'il allait jouir en moi, et j'ai accepté sa semence dans mon ventre fertile. Cette fois, aucune chance de reprendre mon souffle. Un gars m'a installée à quatre pattes sur le fauteuil et m'a montée en levrette. Un gars s'est positionné devant moi et m'a présenté sa bite. Je l'ai sucé en perdant la notion du temps et de l'espace. Ils se sont succédés sur moi, en moi, j'ai presque envie de dire qu'ils se sont acharnés sur moi.

J'ai été leur jouet une bonne partie de la nuit, soit à cause de ma réticence originelle, soit parce que j'étais la nouvelle fille à découvrir. Je ne suis jamais restée sans partenaire, et ils m'ont tous baisée à plusieurs reprises. Finalement, ils en ont eu assez, nous nous sommes rhabillés, et un gars m'a ramenée chez moi, parce que c'était sur sa route. Il s'est garé sous mes fenêtres et il a exigé une fellation. J'ai obéi et je l'ai sucé, sous mes fenêtres, éclairé comme en plein jour par le lampadaire, avec le risque que mon mari m'attende et me guette derrière les persiennes.

Heureusement, mon mari dormait profondément quand je me suis glissée sans bruit dans le lit conjugal, car il n'y avait aucun moyen de lui cacher les frasques de ma nuit. Tout le weekend, j'ai été dévorée par mes remords et j'ai été très gentille avec mon mari. Mais dès le lundi, je me suis retrouvée seule, et j'ai repensé à toutes ces sensations et ces émotions extraordinaires que j'avais ressenties. Je suis allée boire le café chez mes nouvelles copines, et nous avons beaucoup parlé des hommes et de la nuit que nous avons passée.

Après cela, je savais avec quelles filles je pouvais me dévergonder en fin de soirée. C'est toujours les mêmes qui savent où aller et qui rencontrer. C'est rapidement devenu la norme de me retrouver plus ou moins dénudée sur la banquette arrière d'une voiture, ou dans la chambre d'un inconnu, ou même au creux d'un buisson dans le fond d'un parc ou d'un square, mais toujours sans culotte. J'ai souvent insisté auprès des hommes pour qu'ils utilisent des préservatifs, parfois sans succès.

Mais il s'est avéré que cette précaution était trop tardive, la première fois avait été la bonne. Lequel de ceux qui m'ont baisée ce premier soir m'a mise enceinte, je ne sais pas, tellement ils m'avaient mis ce qu'il fallait. Mon mari ne s'est jamais douté que l'enfant à venir n'était pas le sien, tellement j'avais été tendre tout le weekend qui avait suivi ma première sortie. Même enceinte jusqu'aux yeux, je n'ai jamais cessé de sortir. Le plus curieux, c'est que je n'ai jamais manqué de volontaires pour m'envoyer en l'air, ce qui est heureux parce que ma grossesse a déréglé ma libido, et je suis devenue une véritable chienne lubrique.

Une salope affamée de sexe, capable de baiser avec n'importe qui, jeune ou vieux, petit ou grand, mince ou gros, élégant ou crasseux, du moment que j'avais une bite pour m'envoyer en l'air. Une nuit, dans une ruelle sombre, accompagnée par trois clochards qui m'avaient prise en tournante, j'ai pensé pour la première fois à la santé de mon futur enfant, et j'ai décidé de me calmer. Malheureusement, mes bonnes résolutions n'ont pas tenu longtemps, et la semaine suivante j'ai fait pire.

Après la naissance de l'enfant, et après avoir attendu un délai raisonnable, j'ai demandé à mon gynécologue de pouvoir prendre la pilule. Mais ce moyen de contraception ne me rendait pas heureuse, car il réduisait ma libido. J'aurais dû rester comme ça, et cesser de sortir. Redevenir une épouse fidèle. Une femme sérieuse. Mais j'ai le feu au derrière. Il n'y a pas d'autre explication possible. J'ai échangé la pilule contre le stérilet, et j'ai continué à me comporter comme une chatte en chaleur.

Une nuit, en rentrant chez moi en taxi après une virée nocturne décevante, j'ai remarqué le regard du chauffeur sur mes jambes, par l'intermédiaire de son rétroviseur. Le chauffeur était d'un beau noir bien sombre, et la légende prétend que les africains sont bien équipés. L'air de rien, négligemment, tout en regardant ostensiblement dehors, sans faire attention, je me suis grattée la cuisse en troussant un peu ma robe, et en écartant mes jambes, pour lui montrer que j'avais oublié de mettre une culotte.

Généralement, ce genre de gars ne perd pas de temps à tourner autour du pot, et celui-là ne fait pas exception à la règle. Il me demande si je suis mariée, heureuse en ménage, et fidèle. J'ai été franche, alors il me demande si je suis pressée de rentrer, ou si j'aimerais qu'il se gare quelque part dans un endroit discret. Je lui dis que je n'ai pas besoin d'un endroit discret, et ça a l'air de lui plaire. Je n'ai jamais eu de rapport avec un africain, et j'ai hâte d'essayer.

Je pense que l'homme a flairé mon excitation car son attitude a brusquement changé, il est devenu très macho et même vulgaire. Il me dit que je suis une grosse chienne, et que je dois immédiatement me doigter la chatte pour me préparer, parce qu'il va garer la voiture et me foutre sa main. Cette conversation n'a pas de sens, mais il m'excite, alors je fais ce qu'il me demande, et je me branle en l'attendant.

Il arrête la voiture dans une ruelle sombre et me rejoint sur la banquette arrière. D'abord, il sort mes seins des bonnets de mon soutien-gorge, et il me complimente en me pinçant les tétons. Puis il me demande si j'aime être fistée. Je ne sais pas ce que ça veut dire, je lui dis, il m'explique, j'ai failli m'évanouir en voyant la grosseur de ses doigts et de ses mains. Mais il est déterminé.

Je regarde avec incrédulité ses doigts, puis ses jointures et enfin sa main glisser avec une perversion gênante dans ma chatte. Je n'ai ressenti aucune douleur, juste une formidable pression, puis une honte infinie quand il m'a traitée de grosse pute, et m'a assurée que même le train pouvait me passer dessus. Ses insultes, son mépris, et sa main qui s'agite dans ma chatte, un fabuleux orgasme a traversé tout mon être. L'instant suivant, il se couche sur moi et me baise, longtemps et durement. Je l'ai senti accélérer son rythme puis tirer son sperme directement en moi, et j'ai encore eu un orgasme.

Pendant que je reprenais mes esprits, je l'ai entendu parler dans sa langue maternelle sur son téléphone. Quelques minutes plus tard, j'ai vu des phares de voiture apparaître et s'arrêter à une courte distance devant nous, puis les phares se sont éteints. J'ai alors distingué les silhouettes de deux hommes marchant vers nous, alors j'ai essayé de me couvrir pour avoir l'air présentable. Le chauffeur de taxi s'est marré et il a baissé sa vitre pour apostropher les hommes qui s'approchaient.

Rainett
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