Enfiévrée

Ce sont des africains. Ils discutent dans leur langue en riant. Ils me regardent et ils font des commentaires que je ne comprends pas. Le chauffeur de taxi me dit que ce sont ses cousins qui sont venus pour me baiser. Ils ne me demandent pas si je suis d'accord, ils ouvrent ma porte et me traînent dehors. Avant que je puisse résister ou dire quoi que ce soit, les hommes m'entraînent sur un chantier. Là, ils me déshabillent et me baisent tous en même temps, en changeant d'orifice par moment.

Je ne fais aucune tentative pour les arrêter parce que j'ai trop peur. En fait, ils sont impressionnants mais pas méchants, et au bout d'un moment, je finis par trouver cela agréable. En tout, j'ai été baisée par trois hommes de couleur cette nuit-là, ils ont tous jutés en moi. Quand je suis rentrée à la maison, j'étais vraiment un désordre puant, ma chatte et mes seins étaient rouges et enflés, et j'avais beaucoup de stigmates d'amour sur tout le corps. Je n'ai aucun regret parce que j'ai trouvé l'expérience vraiment excitante.

J'avais le numéro de téléphone du chauffeur de taxi, Joseph, et le lendemain matin, dès que mon mari est parti travailler, je l'ai appelé. Nous avons convenu d'un rendez-vous, et j'ai téléphoné à la nourrice pour lui demander de garder les enfants pendant quelques heures de plus. Quand je suis arrivée au bureau des taxis où travaille Joseph, j'ai été emmenée dans l'arrière-boutique par son patron, un gros et vieux malabar de couleur qui a une forte odeur corporelle.

Peu de temps après, plusieurs africains sont arrivés en même temps que Joseph. Je lui ai demandé qu'est-ce qui se passe, et il m'a dit que tous ses frères étaient venus baiser la pute blanche. Et il a précisé qu'il leur avait dit que j'étais formidable, la plus salope des putes blanches, et de ne pas le décevoir, sinon j'aurais droit aux coups de ceinture. J'ai regardé la ceinture, elle était cloutée, alors j'ai été formidable. Je ne pouvais pas être en colère contre lui, j'ai été bien baisée, et j'étais venue pour ça.

Joseph m'a demandé de quitter mon mari et mes enfants, et de travailler pour lui. Il possède une petite camionnette qui me permettrait de faire le tour des chantiers de la région. Beaucoup de travailleurs étrangers, africains, roumains, maghrébins, sont à la recherche d'une pute blanche pas chère, et je pourrais lui rapporter gros. Je ne sais pas où tout cela va finir, mais je suis très tentée d'accepter son offre. Je suis complètement accro au sexe, et ce serait une vie de rêve pour moi.