Enlèvement 2/2

Informations sur Récit
Un enlèvement dans la galaxie
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Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 03/06/2024
Créé 02/18/2024
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Chapitre 2

Résumé : Lotus Vagina a été enlevée et violée par l'équipage. Ashoka Rapo est devenue Maitre Combator après un rite orgiaque.

DANS LES BAS-FONDS SOMBRES ET DANGEREUX DE CORUS, un monde loin de la splendeur et de la lumière de ses niveaux supérieurs, se trouvait une planque sinistre où Lotus Vagina était retenue prisonnière. Ce lieu, un repaire caché dans les méandres d'un quartier oublié, était gardé par Quatrios, le mercenaire énigmatique responsable de son enlèvement. Quatrios, avec sa peau bleue distinctive et ses quatre bras musclés, imposait une présence intimidante. Son visage humanoïde, orné d'une très longue langue qui se rétractait et se déployait au gré de ses paroles, ajoutait à son allure étrange et menaçante. Il se déplaçait avec une agilité surprenante pour sa taille, ses yeux perçants surveillant constamment les alentours et sa captive.

Confinée dans cette cachette sombree, Lotus était l'antithèse de son ravisseur. Sa beauté élégante, sa posture droite, et son regard déterminé contrastaient fortement avec l'environnement brut et menaçant qui l'entourait. Elle ne portait plus sa tenue de diplomate et sa peau nue frissonnait régulièrement de froid. Ses cheveux, normalement coiffés avec soin, étaient ébouriffés, et une lueur de peur brillait dans ses yeux, bien que sa force intérieure restât visible. Lotus, malgré sa peur, gardait son esprit vif et sa volonté intacte. Elle cherchait constamment un moyen de s'échapper ou de communiquer avec l'extérieur. Cependant, la surveillance constante de Quatrios et de ses complices rendait toute tentative extrêmement risquée. Quelque part, dans les vastes étendues de la galaxie, elle savait que Ceintus et Serena étaient à sa recherche, prêts à braver tous les dangers pour la sauver.

Quatrios entra dans la cellule. Lentement, très lentement, le tortionnaire fit glisser ses 20 longs doigts en direction des seins de la reine. Elle frémit de honte lorsque les mains de Quatrios commencèrent à effleurer ses jolis seins, s'attardant à effleurer les pointes dressées de ses mamelons. Lotus ferma les yeux pour oublier... elle ne savait plus. Deux mains étaient maintenant complètement refermées sur sa poitrine. Le visage de Quatrios souriait. Il palpait, malaxait, tripotait doucement les seins menues de la reine. Sans retenue, il frottait sa queue toute bleue sur les fesses nues de la sénatrice.

- Magnifique!

L'humanoïde à quatre bras passa devant sa prisonnière. Bien involontairement, le regard de Lotus se fixa sur le pénis énorme.

- Quelle belle prise, se dit-il lorsqu'il fut en face de la reine. Comme tu es mignonne, petite salope, ajouta-t-il en faisant glisser une de ses quatre pattes sur la joue de la sénatrice. Avec ses airs de ne pas y toucher... jamais je n'aurais pensé que tu pouvais être si sexy, ma petite Lotus!

Ses autres doigts descendaient maintenant le long de son cou et de ses épaules délicates. Le regard du mercenaire qui était jusqu'alors accroché aux seins de la sénatrice, descendit vers son ventre plat, jusqu'au Mont de Vénus bien dessiné.

- Je te veux, petite salope, fit-il alors que sa longue langue fouettait devant sa bouche.

L'humanoïde à quatre bras s'approcha encore davantage de Lotus tout en basculant les hanches pour que son gland vienne s'appuyer contre sa cuisse nue. Puis, ses grosses pattes se refermèrent sur un des petits seins fermes de la reine. Il commença à lui tripoter la poitrine en lui disant :

- Petite pute d'aristo, si tu savais toutes les fois où je me suis branlé en pensant en toi. Si j'avais su que tu étais une pareille petite salope, je t'aurais violée bien avant!

Ses mains caressaient toujours les seins de Lotus tandis que les autres serraient la taille fine de la jeune femme apeurée.

- Comme j'ai envie de t'embrasser!, râla l'humanoïde à quatre bras alors que son visage s'approchait de celui de Lotus.

Elle tenta vainement de tourner la tête. Peine perdu... le tortionnaire la retenait fermement par le cou d'une grosse patte épaisse. Ses lèvres se soudèrent contre les siennes et sa langue longue, épaisse et râpeuse s'engagea bien au fond de la bouche de la reine. La langue démesurée glissa au fond et s'introduisit dans la gorge. La reine hoqueta et commença à tenter de se débattre mais les quatre bras bleus et musclés l'en empêchaient. La langue fouillait la bouche et la gorge de la jeune femme qui pleurait.

Une des mains bleues descendit sur le ventre plat, glissant sur la peau nue jusqu'à ce qu'il atteigne le renflement de son Mont de Vénus, refermant sa grosse patte sur le sexe de la prisonnière. Il pouvait parfaitement sentir le renflement des lèvres de sa vulve.

Lotus sentit le pénis se durcir contre sa cuisse nue. La chambre du repaire était vide. Elle était austère, à peine décorée. Au centre, se trouvait un lit dont les 4 montants étaient sculptés. Quatre rubans de coton blancs étaient attachés à chacun des montants. Il la coucha sur le lit. Les yeux de la Toulou étaient rivés au plafond. Elle était plongée dans un état second, ne réalisant pas pleinement ce qui lui arrivait. Il lui souleva les hanches et glissa un oreiller sous ses petites fesses rondes. Il avait le souffle court. Elle l'entendait haleter et râler d'excitation. Puis, les quatre mains attachèrent ses poignets et ses chevilles aux quatre coins du lit. Elle était maintenant nue, attachée, complètement à la merci de son ravisseur. Elle se voyait toujours dans un mauvais rêve et pensait s'éveiller d'une minute à l'autre.

- Tu sais maintenant ce que je vais te faire, n'est-ce pas ma petite Lotus? dit le pervers. Je vais te caresser, te toucher et te violer avec mes vingt doigts, ma jolie langue fouineuse et ma queue.

Sur le mur, face à elle, trônait un écran. Quatrios appuya sur la commande à distance. L'écran s'alluma... Lotus reconnut une silhouette sombre qui semblait observer la chambre. Le mercenaire, maintenant penché sur elle, lui malaxait, lui léchait et lui suçait les seins. Quatrios avaient presque atteint l'entrejambe de la reine, sa longue langue humide remontant le long de ses cuisses. Le mercenaire à la peau bleue poussa un râlement et enfouit son visage entre les jambes de la sénatrice reniflant l'odeur de son sexe comme un vieil animal en rut. Il ne pouvait attendre davantage. Lotus sursauta de honte et de surprise. Elle tenta de refermer les cuisses.

- C'est ça, résiste, petite pute. J'aime quand les salopes dans ton genre se débattent lorsque je leur touche la moule.

Bien rond et bombé, son Mont de Vénus était recouvert d'un léger duvet brun court et clairsemé. Mais ce sont les lèvres de la vulve de la sénatrice qui attiraient le regard du mercenaire bleu. Minces, repliées sur elles-mêmes, elles cachaient et séparaient une petite fente que l'humanoïde était pressé d'aller explorer. Quatrios continuait ses caresses avec ses autres mains, dessinant avec sa langue de longues arabesques humides sur le ventre plat de Lotus. Puis, sa bouche remonta jusqu'à ses seins.

- Magnifique, murmura-t-il alors qu'il enveloppait de ses mains les seins fermes de la sénatrice. Comme tu es bandante, petite salope.

Lotus résistait du mieux qu'elle le pouvait mais elle était solidement attachée. Elle le savait maintenant : ses efforts et ses plaintes pour se libérer de ses liens ne l'excitaient que davantage. Pourtant, elle ne pouvait se résoudre à se laisser prendre ainsi même si les signes de plaisir qui commençaient à émaner de son corps la trahissaient de plus en plus.

- Non, non, gémissait Lotus. Vous n'avez pas le droit... non, je ne veux pas...Des Combators vont venir vous chercher.

Sourd à ces protestations, le mercenaire savait trop bien ce qu'elle voulait, cette petite pute. Entre son pouce et son index, il entrouvrit les lèvres de sa vulve, découvrant ainsi son clitoris durci et la petite ouverture rosée de son vagin. Lentement, il enfonça en elle le majeur de sa main droite faisant lentement glisser son gros doigt entre les replis onctueux du sexe de la reine. Le corps de Lotus se raidit tout entier, réagissant vainement à cette invasion.

- Hummm... tu es toute mouillée, petite pute. Ne viens pas me dire que tu n'aimes pas ça, croassa le mercenaire....

Ses doigts épais remplissaient complètement son petit sexe étroit. Elle les sentait en elle, fouillant l'intérieur de son vagin, violant sa féminité... Elle sentait ces doigts qui entraient et sortaient en elle... Malgré elle, elle mouillait de plus en plus... Bien involontairement, ses reins commencèrent à s'ajuster au va-et-vient du doigt de ce vieux porc qui l'abusait ainsi... Faisant ressortir de la petite fente de la reine ses majeurs couverts de sécrétions, il commença lentement à la masturber, frottant le bout rugueux de son doigt sur le clitoris bandé de la sénatrice.

Des frissons traversaient le corps de Lotus alors que le mercenaire lui léchait et suçait les mamelons. Elle ferma les yeux, ne sachant comment résister. Des ondes de plaisir inondaient ses reins et sa poitrine, remontant par vagues successives jusqu'à sa nuque, courant le long de ses jambes. Sa respiration s'accéléra. Elle ne maitrisait plus son corps. Non..... elle ne voulait pas lui offrir sa jouissance... Elle pensait à Bakin. Et pourtant.... Vaincue et soumise, le plaisir explosa en elle, la faisant se cambrer et se raidir sous la jouissance... Par vagues successives, son orgasme fut puissant. Son vagin se contractait, son clitoris s'allongeait, ses mamelons se durcissaient entre les lèvres de Quatrios. Le souffle court, désemparée et désorientée, Lotus chercha à reprendre ses esprits. Jamais, elle n'avait joui ainsi...

- La pute vient de nous offrir un bel orgasme, Maitre, souffla Quatrios qui s'était retourné vers l'écran.

- Je suis sur qu'elle en veut davantage cette salope, lança la voix profonde de la silhouette dans l'écran.

Quatrios s'étendit près du visage de la sénatrice et commença à frotter son gland durci de plaisir dans ses cheveux, sur ses joues, dans son cou, effleurant quelques fois les lèvres humides de la sénatrice. Avec son sexe long, il allait violer sa bouche.

Pendant ce temps, le mercenaire s'était penché entre les jambes de la sénatrice, s'apprêtant à lui bouffer la chatte. L'humanoïde à quatre bras, alors que sa langue glissait sur les lèvres de la vulve de la sénatrice pénétra sa queue dans la bouche violée.

- Nooooon..., cria Lotus.. Mais que pouvait-elle faire contre cette ignoble agression, comment résister à cette créature qui la violaient, nue, attachée sans défense.

En vain, elle tenta de se libérer de ses liens, de faire basculer son bassin pour éviter l'ignoble caresse du mercenaire dont la bouche était maintenant soudée à son sexe, goutant ses sécrétions, fouillant l'intérieur de son vagin avec sa longue langue épaisse. Il la pénétrait très en profondeur jusqu'à la matrice. Quatrios se délectait du sexe de la reine, sa langue explorant les replis rosés du vagin de la sénatrice. Pendant de longues minutes, il lui mangea la moule, lui lécha et suça le clitoris tout en l'enculant avec ses multiples doigts. En même temps, Quatrios continuait à frotter son gland sur le visage de la sénatrice. Puis, l'empoignant par les cheveux, il lui ordonna d'un ton sec :

- Suce-moi, sale pute. Prends mon gland dans ta bouche.

Soumise, vaincue, sachant qu'il n'y avait pas d'autres alternatives, Lotus ouvrit les lèvres et laissa Quatrios pénétrer sa bouche. Les lèvres de Lotus se refermèrent sur le gland. Contre sa volonté, Lotus se mit à le sucer. Elle se mit à sucer cette queue bleue et bandée qui violait sa bouche. La queue de Quatrios ne cessait de durcir et de s'allonger dans la bouche de la reine. Étendu près de son visage, la retenant toujours par la cheveux, lui palpant ses petits seins, il ne cessait de lui répéter :

- Suce, suce, tu vas me faire cracher.

Lotus était couché sur le dos, complètement nue, sans défense, les poignets et les chevilles attachées. Le mercenaire violait son sexe avec sa longue langue. Egalement, il la retenait par les cheveux pour mieux violer sa bouche.

Du mieux qu'elle put, elle lutta pour ne pas laisser monter en elle ce deuxième orgasme qu'elle sentait poindre au creux de ses reins. Elle tenta de résister au plaisir qui l'envahissait peu à peu. Elle essaya de neutraliser ces ondes de jouissance qui explosaient en elle alors que le mercenaire faisait rouler entre ses lèvres son clitoris durci, un de ses gros doigts bien enfoncé au fond de son anus. Elle dut toute fois s'avouer vaincue et de nouveau, malgré elle, elle se mit à jouir. Ses cuisses se durcirent et se refermèrent sur le visage du mercenaire, ses hanches se cambrèrent permettant à sa vulve de se souder encore davantage à la langue du tortionnaire. Honteusement, elle se mit à trembler de plaisir devant le mercenaire et l'écran. Il n'en fallait pas davantage à Quatrios pour connaitre aussi l'orgasme. De voir cette reine à poil venir une deuxième fois alors qu'elle se faisait violer le conduisit lui aussi à la jouissance. Retenant toujours fermement la sénatrice par les cheveux, il se mit à éjaculer dans sa bouche en râlant de plaisir.

Un premier jet abondant remplit la bouche de Lotus d'une semence bleuâtre et chaude au goût sucrée. En vain, elle tenta de se dégager n'ayant d'autre choix que d'avaler le sperme qui continuait à couler dans sa bouche. Le tortionnaire gémissait de plaisir alors qu'il se soulageait dans la bouche de la sénatrice.

L'humanoïde à quatre bras s'étendit ensuite sur Lotus nue et attachée en laissant une longue trainée de sperme bleue sur sa joue. En râlant de plaisir, en la traitant de petite pute et de petite salope, le tortionnaire appuya son gros gland violacé contre la vulve de la sénatrice. Lentement, la queue courte et épaisse s'engagea entre les replis moelleux du sexe humide de la reine. La muqueuse veloutée et étroite du vagin de la sénatrice enveloppait son gros gland qui regonflait. Sa queue s'ajustait à un vagin bien étroit à l'intérieur duquel le mercenaire allait se vautrer.

Lotus tentait vainement de refermer les cuisses, de resserrer les muscles de son sexe pour empêcher cette ignoble pénétration. Pourtant, elle n'y pouvait rien. L'humanoïde la violait, savourant chaque centimètre gagné. Le gros gland violacé du mercenaire était déjà maintenant disparu à l'intérieur de ce vagin. Puis, d'un dernier coup de rein, il s'enfonça complètement en elle en poussant un long râlement de plaisir. Jamais il n'avait connu un sexe aussi étroit, aux parois aussi lisses et veloutées, aussi bien lubrifié. La Toulou pouvait résister autant qu'elle le voulait, il savait maintenant qu'elle savourait sa queue bandée. De ses quatre mains rugueuses, il commença à lui palper les seins, sa bouche cherchant à se souder à celle de la sénatrice, léchant au passage la trainée de semence laissée sur la joue.

Dans l'écran, la silhouette regardait le viol. Chaque coup de rein du mercenaire faisant entrer la queue encore plus profondément dans le sexe de cette petite pute. La sombre silhouette regardait le mercenaire avec ses grosses couilles bleues, remplies de sperme pendre son plaisir dans la chatte.

Lotus avait cessé de résister. La langue du mercenaire était dans sa bouche, ses mains enveloppaient ses seins, son ventre et ses cuisses en même temps et sa queue remplissait son sexe. A chaque pénétration, le pubis de l'humanoïde se frottait contre son clitoris. Les premiers spasmes de son vagin furent bien involontaires. Elle cherchait à résister à son violeur mais n'en avait plus le Fluide et la volonté. Son corps ne lui obéissait plus. Le mercenaire sentait les contractions du vagin contre son pénis en érection. Il allait jouir en elle.

- Prends-la bien. Ça t'excite le viol, hein, petite chienne. Ça t'excite de te faire prendre contre ta volonté, sale aristo. Ah.. oui, ma petite Lotus, je vais te remplir de sperme.... ah.... oui.... ah... Ouuuuiiiiiiiiiiiiii.

Il se mit à gicler, à se vider en elle. Attachée, vaincue, abusée, violée... ne pouvait plus contrôler son corps, Lotus, pour la troisième fois, se mit à jouir, livrée aux perversités de Quatrios. Ses hanches se soulevèrent alors que ses mamelons et son clitoris s'allongeaient et que son sexe se contractait sur la queue veinée du mercenaire qui giclait en elle. La bouche entrouverte, elle poussa un long gémissement de plaisir.

DE RETOUR SUR CORUS, le vaisseau d'Ceintus et de Serena, glissant silencieusement à travers l'atmosphère urbaine dense, atterrit dans un secteur discret de la planète. Avec D-4QP à bord, anxieux mais prêt à aider, ils étaient déterminés à suivre la piste de Lotus jusqu'aux bas-fonds de la cité-planète. Les bas-fonds de Corus étaient un labyrinthe de ruelles sombres, de marchés clandestins et de repaires louches. C'était un monde où régnait le chaos, loin de l'ordre et de la propreté des niveaux supérieurs. Ici, les informations se négociaient au même titre que les biens illégaux, et chaque coin de rue pouvait abriter un danger.

Ceintus, avec son expérience et sa connaissance des aspects les plus sombres de Corus, menait l'enquête. Il savait comment naviguer dans cet univers complexe, comment parler aux bonnes personnes et comment rester discret. Serena, quant à elle, utilisait ses sens affinés de Combator pour détecter des indices qui échapperaient à la plupart. Ensemble, ils interrogeaient des informateurs, fouillaient des repaires suspects et décryptaient des messages codés. D-4QP, mal à l'aise dans cet environnement hostile, tentait de se rendre utile en traduisant des langues exotiques ou en fournissant des analyses logistiques.

- Maître Priceint, je ne suis pas certain que ma programmation soit adaptée à ces... environnements, commentait-il nerveusement, tout en suivant fidèlement ses compagnons.

Tandis qu'ils progressaient à travers les bas-fonds, Ceintus et Serena sentaient qu'ils se rapprochaient de la vérité. Dans les profondeurs labyrinthiques des bas-fonds de Corus, Ceintus Priceint et Serena Rapo se dirigèrent vers un bar connu pour être un carrefour d'informations pour ceux qui savaient poser les bonnes questions. L'endroit, plongé dans une semi-sombreité, était empli de bruits de conversations étouffées, de rires gras et de la musique rythmée qui émanait d'un groupe jouant dans un coin. Le bar était fréquenté par une faune hétéroclite : des contrebandiers, des chasseurs de primes, et d'autres figures louches de la pègre galactique. Des danseuses presque dénudées se déhanchaient au rythme de la musique, ajoutant à l'atmosphère chargée et sulfureuse du lieu.

Ceintus, gardant un air calme et maîtrisé malgré l'agitation environnante, et Serena, attentive à chaque mouvement suspect, cherchèrent des visages familiers parmi la foule. Ils repérèrent bientôt un informateur connu d'Ceintus, un individu au visage marqué par la vie et aux yeux rusés. S'approchant avec prudence, Ceintus engagea la conversation.

- Nous cherchons des informations sur une sénatrice récemment enlevée, dit-il, sa voix suffisamment basse pour se fondre dans le brouhaha ambiant.

L'informateur, après un regard prudent autour de lui, inclina la tête.

- Il se murmure des choses... mais l'information a un prix, Combator, répondit-il d'une voix rauque.

Ceintus, habitué à ces transactions, acquiesça et glissa discrètement quelques crédits. L'informateur, satisfait, se rapprocha et murmura, en reluquant la silhouette d'Ashoka.

- Le mercenaire que vous cherchez, on l'a vu traîner dans un secteur isolé. Il travaille pour quelqu'un de haut placé... mais qui, ça, c'est la grande question. Allez dans le bar : « Tatoïte Pub »

Armés de cette nouvelle information et conscients que chaque minute comptait, Ceintus et Serena quittèrent rapidement le bar, déterminés à suivre cette piste qui, ils l'espéraient, les mènerait à Lotus. Dans les ombres des bas-fonds de Corus, la vérité se cachait, prête à être dévoilée par ceux qui avaient le courage de la chercher.

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