Enlèvement 2/2

BÊTA PUBLIQUE

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Malgré sa force brute et son habileté, Quatrios commença progressivement à fléchir sous la pression coordonnée d'Ceintus et de Serena. Leur synergie en tant que Combator, leur compréhension mutuelle et leur engagement leur donnaient un avantage sur le mercenaire solitaire. Ceintus et Serena réussirent à désarmer les quatre bras de Quatrios, mettant fin au combat en lui coupant la tête.

Ceintus Priceint et Serena Rapo se précipitèrent vers la geôle où Lotus Vagina était détenue. En pénétrant dans la sombre cellule, Ceintus aperçut le corps nu de Lotus, affaiblie. Ses yeux s'illuminèrent d'espoir et de soulagement en voyant son sauveur.

- Lotus, nous sommes là pour vous libérer, dit Ceintus en s'approchant pour défaire ses liens.

Lotus, émue, leva les yeux vers lui et fut honteuse de dévoiler sa nudité au Maitre Combator.

- Ceintus... j'ai cru que je ne vous reverrais jamais, dit-elle d'une voix tremblante, mais empreinte de gratitude.

- Nous n'aurions jamais cessé de vous chercher, répondit Ceintus en prenant ses mains tremblantes pour la relever. La République a besoin de vous, et... nous aussi.

En se relevant, soutenue par Ceintus, Lotus posa un regard reconnaissant sur Serena.

- Merci, Serena.

Alors qu'ils quittaient la geôle, Lotus, soutenue par Ceintus et Serena, désirait plus que tout, cacher sa nudité. Mais pour l'instant, elle se sentait soulagée et en sécurité, entourée par ses alliés fidèles et courageux.

DE RETOUR SUR LE VAISSEAU des Combator, l'atmosphère était à la fois de soulagement et de préoccupation. Serena Rapo, avec une douceur et une attention particulière, s'occupait de soigner les blessures physiques de Lotus Vagina. Allongée sur une table, le corps toujours nue de la sénatrice était contusionné. Les délicats doigts bleus de la Mogruma étalaient un baume Combator sur les blessures de la Toulou. Elle pénétrait le remède d'abord sur les épaules puis dans le cou.

- Vous permettez? demanda la Combator alors qu'elle versait la pommade sur la poitrine.

Le sourire tendre et timide de Lotus charma Serena qui caressa doucement le dessous du sein pour étaler le baume. Puis, elle saisit toute la rondeur du globe pour le malaxer. La jeune Combator remarqua la satisfaction sur le visage de la sénatrice. Elle constata que les tétons durcissaient et, comme par un effet concomitant, ses propres montrals frémirent sur sa tête.

Tandis qu'elle appliquait délicatement le baume sur tout le corps, Serena percevait clairement le traumatisme plus profond que Lotus avait subi. La sénatrice affichait une force extérieure, mais ses yeux trahissaient les épreuves qu'elle venait de traverser. Connectée à le Fluide, Serena ressentit intuitivement les pensées et les émotions de Lotus. Avec une grande sensibilité, elle effleura l'esprit de la sénatrice, y découvrant des images et des sensations de son emprisonnement : l'sombreité oppressante de la geôle, le viol des autres prisonniers, la peur et l'incertitude face à l'avenir et la torture finale de Quatrios. Ces visions renforcèrent la compassion de Serena pour Lotus, ainsi que sa détermination à la dorloter.

- Vous êtes en sécurité maintenant, Sénatrice, murmura Serena avec une sincérité réconfortante. Nous sommes là pour vous.

Lotus, touchée par la sollicitude de Serena, comprit que la Combator avait sondé son esprit. Des larmes coulèrent sur ses joues.

- Merci, Serena. Votre présence ici... cela signifie beaucoup pour moi. Vos mains sur mon corps sont...

La Mogrumal massait les cuisses de la sénatrice qui commença en sanglot par lui narrer le viol des prisonniers. Puis, non sans une grande difficulté, elle racontait comment Quatrios l'avait changé de geôle le lendemain.

Il était venu seul dans l'obscurité de sa prison. Lotus tremblait plus de froid que de peur. Le traumatisme du viol en bande avait gelé son esprit.

- Je vais t'aider à aller mieux sénatrice, avait déclaré le Bradian tandis que ses quatre membres s'agitaient.

Il se retrouva nu devant elle. Lotus s'effraya quand elle constata la longueur du sexe de son kidnappeur. Quand il approcha et prit ses épaules, elle ne résista pas. Comme une poupée légère, il la souleva du sol et ses deux autres mains commencèrent à palper ses seins. Il pinça légèrement les bouts. Sans pouvoir se contrôler, la prisonnière sentit son ventre papillonné. Elle refusa de gémir.

La longue langue de Quatrios força les lèvres de sa proie et s'enfonça dans sa gorge. Stupeur et tremblement, les yeux écarquillés de Lotus fixèrent ceux de son bourreau qui s'insinuer de plus en plus loin dans sa gorge sans qu'aucun réflexe de haut-le-cœur n'intervint. Dans le même temps, elle était suspendu au-dessus du sol, les bras écartés, les mains prisonnières des deux premières paluches du Bradian et, avec une dextérité perverse, ses deux dernières mains glissaient le long du corps nu, caressaient les hanches menues et migraient irrémédiablement vers le pubis poilu de Lotus.

Libérée de la langue envahissante, la sénatrice toussa et reprit son souffle au même moment que des doigts écartèrent ses lèvres vaginales et que d'autres s'immiscèrent à l'intérieur de son sexe. Ce mouvement concomitant surprit la Toulou qui lâcha un gémissement. Elle s'en voulut tout de suite.

Dans la cabine du vaisseau, Serena écoutait le récit de la sénatrice qui pleurait en se recroquevillant sur elle-même. Encore sur la table de soin, Lotus sanglotait tandis qu'elle évacuait ses traumatisme en les évoquant avec la Combator. La Mogruma avait posé sa main sur le genou nu de la victime qui continuait son histoire.

- Les doigts, ses doigts sont... entrés en moi. Vous savez juste en haut...

Serena caressa doucement la joue baignée de larmes.

- J'avais mal aux bras. Ca faisait un moment que j'étais suspendu en l'air. Sa langue a recommencé à s'enfoncer au fond de ma gorge et je ne pouvais plus respirer. Je sentais des doigts caresser mes petites lèvres et d'autres qui titillaient mon clitoris et d'autres qui s'enfonçaient dans mon vagin et qui me massaient de l'intérieur.

Lotus se réfugia dans les bras de la Combator qui la serra contre elle en enfonçant son visage dans la chevelure épaisse de la Toulou.

- Je...je ne respirais plus, continuait la sénatrice en pleurant. Mais le pire c'était ses doigts. Par réflexe je voulais respirer et je ne luttais plus contre ce qu'il me faisait en bas. Mon sexe coulait et les doigts à l'intérieur ont trouvé une zone qui m'a donné tout de suite du plaisir. Après c'est mon clitoris qui réagissait. De temps en temps j'en prenais conscience et je voulais refuser ce plaisir mais comme je ne respirais pas, ma volonté me manquait.

Lotus se redressa d'un coup et fixa la Mogruma dans les yeux.

- J'ai explosé de plaisir. Un orgasme immense que je sens encore là, aujourd'hui.

Serena sourit tendrement et caressa la joue de la Toulou.

- Il a libéré ma bouche et j'ai bu toute l'air que je pouvais et une immense honte est montée en moi. La honte d'avoir jouit aussi fort.

- Il ne vous a pas laissé le choix, sénatrice, rassura la jeune Combator qui caressait Lotus.

- Il ne s'est pas arrêté là. Ses doigts continuaient sur mon sexe mais il libéra l'intérieur. Il me posa sur le sol mais sans que je m'en aperçoive, son sexe était entré en moi. Et plus je relâchais mes bras si tendus, plus sa queue s'enfonçait. Longue... longue...

La Mogruma prit la taille de Lotus et l'attira contre elle pour lui apporter de la tendresse.

- Mais ses deux mains libérées se sont agitées sur mes fesses. Il les a d'abord caressée en les malaxant bien fort puis, il a écarté les deux globes pour faciliter le passage des doigts jusqu'à mon anus. Son sexe dans le mien bougeait d'une drôle de façon. Il gonflait et dégonflait en s'enfonçant de plus en plus. Il a atteint le fond de ma matrice.

La sénatrice nue sur la table de soin serra le corps de la Combator en racontant son histoire. Elle sentait la chaleur de Serena et sa douceur. Les mains de la Mogruma caressaient ses cheveux et son dos nu. C'était agréable.

- Quand son sexe accéléra, je ne pu pas non plus résister et je sentais un nouvel orgasme venir. Je luttais. Mais les doigts forcèrent mon anus et écartèrent mon orifice. La douleur et la honte me submergèrent et là encore, l'orgasme m'envahit. Comme un flot de vagues puissantes que rien ne pouvaient barrer. J'étais folle d'excitation et de honte. Il m'a prise dans... vous savez, derrière. Avec tous ses doigts sur mon sexe et son pénis dans mon anus, j'ai joui encore et encore et encore.

Lotus se blottit dans le cou de Serena.

- Je n'en pouvais plus et il n'arrêta pas. Il m'a demandé alors si je voulais qu'il continue à me faire jouir. La honte me corrodait les entrailles comme encore aujourd'hui. Je lui ai supplié d'arrêter. Alors il m'a demandé....

La Mogruma caressait les longs cheveux de la sénatrice qui s'était réfugiée contre sa poitrine. Elle sentait la peau douce et laiteuse de la Toulou. Elle ne força pas Lotus à continuer.

-.. enfin... il m'a demandé de le sucer si je voulais qu'il arrête. Alors il s'est reculé et a attendu. J'ai... je me suis agenouillée et j'ai mis sa queue dans ma bouche. Il a rapidement rempli ma bouche de son liquide.

Lotus pleurait toujours contre le corps de Serena.

ALORS QU'IL PILOTAIT LE VAISSEAU en direction de Corus, Ceintus Priceint capta la conversation entre Lotus et Serena. C'était la confession de Lotus, une émanation de ses peurs et de ses traumatismes subis durant sa captivité. Sa voix, empreinte d'émotion, révélait l'étendue de son calvaire, ses mots décrivant les conditions éprouvantes et la brutalité qu'elle avait endurée. Ceintus, écoutant avec un pincement au cœur, fut envahi par un sentiment de trouble et de tristesse. La réalité des épreuves de Lotus le frappait de plein fouet.

Le retour sur Corus marqua la fin d'une mission périlleuse et éprouvante. Lotus Vagina, saine et sauve grâce à l'intervention courageuse d'Ceintus Priceint et Serena Rapo, fut accueillie avec soulagement par les membres du Sénat et ses proches. Toutefois, au-delà des réjouissances, l'incident avait semé des graines de doute et d'inquiétude au sein de la République. Des questions demeuraient sans réponse sur la sécurité et la confiance : comment Lotus avait-elle pu être enlevée si facilement? Qui d'autre au sein du gouvernement pouvait être impliqué ou vulnérable? La tension palpable dans les couloirs du pouvoir reflétait un sentiment croissant de méfiance et la nécessité d'une vigilance accrue. L'enlèvement de Lotus n'était pas seulement un acte isolé de violence, mais un symptôme inquiétant des machinations et des menaces qui pesaient sur la République, rappelant à tous que la paix et la stabilité restaient des objectifs fragiles et constamment menacés.

Serena Rapo, sensible aux courants du Fluide, ressentit un trouble émanant d'Ceintus Priceint. Ce sentiment était inhabituel et inquiétant, surtout venant d'un Combator aussi expérimenté et équilibré que Ceintus. Intriguée et préoccupée, elle l'aborda pour en parler. Elle frappa à la porte de sa chambre. Gêné, il la fit entrer.

- Maître Ceintus, je sens une perturbation en vous. Est-ce que tout va bien? demanda-t-elle doucement, son intuition de Combator en alerte.

Ceintus, habituellement si maître de ses émotions, soupira légèrement. Il s'assit sur son lit.

- Ces récents événements m'ont affecté plus profondément que je ne l'aurais cru, confessa-t-il. La captivité de Lotus, les menaces sur la République... cela m'a perturbé...

Serena, guidée par un mélange de besoin de réconfort et d'une affection naissante pour le Maitre Combator, se rapprocha d'Obi Wan qui était assis à ses côtés sur le bord du lit. Dans un geste presque timide, elle l'enlaça. Leurs lèvres se rencontrèrent dans un baiser.

La Troguta passa ses mains sous la tunique du Combator et goûta à sa peau chaude et aux abdominaux saillants. Obi Wan continuait de l'embrasser sans bouger comme un peu stupéfait. Assise sur le bord du lit, Serena se leva. Elle se pencha et ôta la tunique de son partenaire qui restait assis toujours en s'embrassant. Une pulsion de désir la submergea. Elle baissa son bas et passa sa brassière par-dessus la tête. Debout devant Obi Wan, Serena était en culotte. La Troguta détailla le corps musculeux de son partenaire.

Obi Wan ne bougeait pas. Il sentit son sexe doucement bander et il admira la silhouette svelte et fine de sa partenaire qui semblait très excitée. Elle se pencha vers lui et ils s'embrassèrent à nouveau. L'homme garda ses mains sur le lit et ne touchait pas le corps de la Troguta qui saisit sa verge au creux de sa main. Elle l'extirpa et le serra. Debout devant Obi Wan qui commençait à caresser ses petits seins en cône qui pointaient, Serena se penchait pour masturber la verge droite.

La sensation dans sa bouche quand elle introduisit la verge veinée entre ses lèvres fit frémir son ventre. Des secousses d'excitation électrisaient son ventre. C'est avec désir qu'elle pompa sans pudeur la queue d'Obi Wan qui gémissait. Profondément dans sa bouche, elle enfonçait le membre veinée et jouait avec lui du bout de sa langue. Puis, sans érotisme Serena retira sa culotte pour offrir sa nudité à son partenaire. Quand les mains puissantes d'Obi Wan la prirent par les fesses pour la rapprocher de lui, toujours assis sur le lit, elle ferma les yeux et fut emportée par le souffle chaud qui s'approchait de son pubis joliment fendu. Un petit orgasme la tétanisa dès que la langue de son partenaire s'enfonça dans ses chairs.

Impudique, ses jambes largement écartées, elle accueillit le corps d'Obi Wan entre ses cuisses maigres. La verge raide entra lentement mais virilement dans son ventre comme une délivrance. Après ce simple coït qui l'avait fait monter au bord d'un autre orgasme, les deux amants se retrouvèrent tête-bêche. Le visage de l'homme se plaça à l'intérieure des cuisses et sa langue dardait si bien les replis intimes que Serena avait du mal à maintenir une fellation adroite. Elle préféra le branler sagement pour profiter du cunnilingus d'Obi Wan. Serena proposa ensuite son arrière train à l'homme qui s'était redressé. Au bout du lit, la Troguta, se tenait à quatre pattes et attendait que son amant la prenne. Et il la prit avec fougue. Toujours bandé, Obi Wan le sexe trempé de sa partenaire. Il la prit avec virilité en s'accrochant aux menues hanches de la femme qui cria de plaisir.

THE END

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