Gavage d'une Oie Blanche

BÊTA PUBLIQUE

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Pendant que je suçais Moussa, son compère Ousmane ne perdait pas de temps, quand j'avais pivoté je m'étais un peu relevée, j'avais pris appui avec mon genou droit sur le canapé, je tendais donc mes fesses vers Ousmane. Je sentis ses mains caresser l'intérieur de mes cuisses, puis il fit claquer mes jarretelles, retroussa ma robe ; il rit :

- J'ai gagné Men, elle porte bien une culotte bleue, j'avais bien vu quand elle était penchée à côté de sa voiture.

- Décris la culotte.

- Dentelle bleue, avec des rubans vert clair, elle ne couvre que la moitié de son gros cul, oh mais attend, elle est fendue au niveau de sa moulasse. Men on est tombés sur une bonne pute.

- Plutôt une grosse bourge qui veut faire la pute, on va lui apprendre, hein salope t'es une grosse chienne qui a envie de te faire mettre par des nègres!!!

C'était l'évidence même mais je ne pus répondre, ma bouche étant pleine.

Je sentis un puis deux doigts s'insérer dans la fente de ma culotte puis dans mon vagin.

- Putain elle mouille à mort la grosse, j'ai même pas besoin de la lubrifier, sa grosse moule est trempée.

Soudain Moussa me tira brutalement par les cheveux, me forçant à me relever.

- Attends Ous, avant que tu la baise on va enlever sa robe histoire de voir comment elle est gaulée.

Ousmane fit coulisser la glissière éclair de ma robe, Moussa me la retira et la laissa tomber par terre.

- Yes, y a du monde au balcon, y a de la bonne viande blanche, touche voir ces mamelles Ous, tu vas aimer.

- Tu fais du combien? interrogea Ousmane tout en me pelotant.

- Du 90 C répondis-je.

Moussa me saisit de nouveau par les cheveux, me forçant à reprendre ma fellation, je sentis l'autre écarter ma culotte et me pénétrer d'un coup. Il fit d'abord de lents va et viens ; puis il son sexe, que je n'avais pas encore vu me semble plus gros que celui de son compagnon, mais tout aussi long. Je le sentais bien en moi, je n'avais jamais été prise par un membre aussi gros et aussi long mais il allait et venait en moi sans difficulté.

J'essayais de me concentrer sur la queue que j'avais en bouche, j'alternais de longs mouvements verticaux jusqu'à la sentir dans ma gorge avec des petits coups de langue sur son gland. Il me demanda lui lécher les testicules, je m'exécutai, la peau vierge de tout poil était très douce, il grogna de plaisir quand je pris un testicule entier en bouche, puis l'autre. Au bout d'un moment il dit, maintenant finis moi et s'adressant à Ousmane :

- Je vais venir et toi?

- Moi aussi.

Ils jouirent presque en même temps, si je connaissais l'éjaculation dans mon sexe, dans ma bouche c'était nouveau, pas désagréable du tout, j'avalai son sperme sans problème, il avait un gout très légèrement sucré. Il se retira et j'eus un deuxième jet dans le visage. Il m'ordonna de nettoyer son sexe avec ma langue mais de garder le sperme sur le visage.

Ousmane de son côté se retira et mit une main sous mon sexe, il m'ordonna de pousser.

Quand j'eus fini de laver le sexe de Moussa, Ousmane se plaça devant moi en tendant la main qui était pleine de son sperme.

- Maintenant bois mon jus et après tu nettoieras ma bite.

Je vis enfin son sexe, effectivement plus gros que celui de Moussa et toujours en érection. Après avoir lapé la main pleine de sperme je fis la toilette de sa queue, avec application.

J'étais toujours accroupie sur le canapé, en tournant la tête je vis que Moussa était passé derrière moi et inspectait mon sexe, il dit :

- Je vais baiser ta chatte tout à l'heure mais d'abord on va faire un tour à la salle de bain tous les trois. Ils me saisirent chacun par un bras et m'entrainèrent.

Arrivés dans la salle de bain il me demanda :

- Tu as un rasoir? on va te raser la chatte, je déteste les putes avec des poils.

Je lui indiquais le tiroir où se trouvait le rasoir ainsi que la crème, Ousmane me força à écarter mes cuisses. En un tour de main mon pubis fut nettoyé de ses poils, il rasa les quelques rares poils autour de mon vagin et remonta jusqu'à l'anus.

Ma situation était particulièrement humiliante, ces deux jeunes gens qui étaient si aimables tout à l'heure sur la route me traitaient maintenant comme un vulgaire morceau de viande. Ils n'avaient aucun égard pour mon intimité. Mais pour rien au monde je n'aurais voulu qu'il en soit autrement, être traitée comme une putain me plaisait. Je ne savais rien d'eux, redoutais ce qui allait suivre tout en espérant que ce serait, disons spécial, inattendu.

Depuis le début de ma vie sexuelle je n'avais jamais connu d'expérience sortant de l'ordinaire. En quelques minutes je venais de vivre plus de choses qu'en plus de trente années de mariage. Je venais de faire jouir deux hommes en même temps et nous allions recommencer. J'avais pris leur sperme dans ma bouche et avais avalé avec délice. Certes je n'avais pas eu le temps de jouir moi-même, mais je savais que ce n'était que partie remise.

Je sus à ce moment-là que ce ne serait pas juste une aventure d'un soir, qu'ils profiteraient encore souvent de mon corps.

Nous revînmes au salon, je ramassai ma robe et la posai sur un fauteuil, comme je me penchai Moussa me claqua brutalement les fesses :

- Tu n'as donc aucune pudeur à te balader devant nous cul nu, remets ta culotte grosse pute.

C'était plutôt culotté de sa part, enfin si je puis dire, eux se promenaient avec leur long engin à l'air. Mais j'obéis immédiatement, j'essayai de mettre le plus de sensibilité possible en la remettant, cambrant bien mes fesses. Puis je leur proposai d'ouvrir une nouvelle bouteille. Je n'en avais plus au frais dans le réfrigérateur, je dus en chercher une dans la cave ; en descendant je me souvins que j'avais une machine de linge en cours, je sortis les vêtements de mes deux amants et les mis dans le sèche-linge. Puis je remontai.

Quand je revins au salon, ils avaient débarrassé la table basse et posé les verres et les amuse-bouche sur un petit guéridon. Ils avaient posé sur la table basse deux coussins de fauteuil. Je leur servis une coupe puis, sans qu'ils aient à me le demander je montais sur la table et me mis à quatre pattes, j'écartais mes cuisses autant que la largeur de la table le permettait. Tous deux bandaient de nouveau.

Je portais toujours mes dessous et j'avais l'impression d'être une bête de foire ainsi exposée aux regards lubriques de ces deux hommes.

Et c'est bien ce que j'étais, une bête de foire, Moussa :

- Qu'est-ce t'en pense?

- Belle bête, un peu grassouillette peut-être, mais je ne déteste pas, elle a de bonnes poignées d'amour la pute.

- Ouais c'est vrai, les grosses sont confortables, de vrais matelas ; à propos tu as quel âge la pute?

- 56 ans répondis-je.

- Ok fit Moussa, je te voyais plus jeune, t'es plutôt bien conservée pour une vieille, Ous tu as déjà niqué une vieille?

- De cet âge pas encore, enfin si, tout à l'heure répondit-il en éclatant de rire, et je peux te dire que sa cramouille est confortable. Elle a pas dû se faire fourrer depuis longtemps ou en tout cas pas par une vraie bite, peut-être par une petite bitoune de blanc. Nouveau rire.

- C'est clair, c'est une frustrée du cul.

Puis s'adressant à moi :

- On va s'occuper de toi grosse pute, tu vas bien nous vider les couilles ce soir et cette nuit.

C'était exactement ce que je désirais. Ousmane reprit :

- Elle est plutôt excitante la grosse avec sa lingerie de pute, je t'avais dit que sa culotte était fendue? dit-il en insérant un doigt dans la fente de la culotte, puis il enfonça le doigt dans mon anus.

Je poussai un cri et me cabrai.

- Oh putain elle est vierge du cul la pute, putain putain on va se régaler dans ce petit trou.

Je protestai :

- Pas question, j'ai toujours refusé.

J'eus à peine le temps de terminer que Moussa me saisit brutalement par les cheveux et me gifla violemment.

- Ta gueule grosse pute, c'est nous qui décidons quand, par qui et par quel trou tu te fais baiser, compris? Tu es notre pute à partir de maintenant, tu nous appartiens, capito la vieille?

Je fis oui de la tête en reniflant, je n'avais pas vraiment envisagé les choses comme ça. Le ton avait radicalement changé par rapport au début de la soirée, mes deux « gentils » garçons serviables ne l'étaient peut-être pas autant que je l'imaginais. Je m'étais mise dans une situation délicate. Etait-ce juste un jeu ou avais-je à faire à de vrais voyous? Le vin était tiré, il fallait le boire. Tu rêvais d'aventures, de sexe sans limites, maintenant il faut assumer ma vieille me dis-je.

Ils continuèrent pendant un long moment à me jauger, me pelotèrent, malaxèrent mes seins, mes fesses tout en buvant le champagne, l'alcool avait l'air de les émoustiller. A un moment donné, Moussa se leva, alla à la cuisine et revint avec une coupelle plate, il y versa un peu de champagne, la posa devant moi et je dus laper comme un chien.

Moussa se plaça derrière moi, en tournant la tête je vis qu'il trempait deux doigts dans sa coupe, puis il les enfonça dans mon sexe :

- T'es une pute de luxe toi, tu te fais lubrifier la moule au Champ.

Il entra d'un coup en moi, il me tenait fermement les fesses, enfonçant ses ongles dans ma chair ; il allait et venait furieusement, ses grosses boules claquaient contre mon fessier. Ousmane lui, avait sorti mes seins du soutien-gorge et s'amusait à pincer et étirer mes tétons tout en m'insultant.

Je sentais progressivement monter en moi une agréable chaleur sous les coups de boutoir de Moussa, tout mon bas ventre me semblait en feu. Je cambrai mes fesses au maximum et commençait à gémir puis à haleter de plus en plus fort, il y avait tellement longtemps que je n'avais pas ressenti ça.

- Putain elle va jouir avant moi cette grosse vache hurla Moussa.

Mais je ne pouvais plus me retenir, j'eus un orgasme, le plus violent que j'aie connu jusque-là, je criai. Je sentis tout me corps se contracter violemment puis se relâcher. Moussa redoubla ses coups de bassin et finit par se décharger au fond de moi, je sentis son jus tiède m'envahir. Il poussa juste un grognement de satisfaction, il n'était pas du genre très expansif. Il resta en moi, son bassin collé à mes fesses, je sentis une seconde giclée sans même qu'il ait bougé. Nous restâmes dans cette position un long moment encore, haletant tous les deux.

Puis il se retira, se positionna devant moi, la queue brandie :

- Toilette intima t'il.

Je léchai avec délice cette belle queue qui m'avait fait jouir, je commençais à adorer ça.

Quand j'eus bien nettoyé son sexe toujours dur il prit la coupelle, la plaça sous mon vagin baveux et recueillit son sperme.

Il la reposa devant moi :

- Bois tout, mon jus de coco est précieux il ne faut rien gâcher.

J'obéis avec plaisir et vidai la gamelle, j'avais vite appris à boire comme un animal et le mélange de champagne et de sperme avait un goût délicieux.

Content de lui il se rassit sur le canapé, tapa sur une cuisse d'Ousmane :

- Men, avec moi elle a joui, pas avec toi tout à l'heure.

- Attend ça viendra, tu verras comme elle jouira quand je lui inaugurerai le cul.

- Pourquoi toi? on n'a pas encore décidé qui serait le premier.

- Tu oublies qu'on avait parié sur la route quand la pute s'est penchée, c'est bien moi qui ai vu sa culotte.

- On avait pas dit ce qu'on pariait.

- Ben voilà on en parle, son cul.

- Ok c'est réglo, tu l'encules maintenant?

- Non beaucoup trop tôt, on a encore plein de choses à faire avec notre grosse pute, tu crois pas?

- Tout à fait.

J'étais toujours dans ma posture grotesque devant eux et ils parlaient de moi comme si je n'étais pas là. Humiliant mais terriblement excitant, je commençai à réaliser que j'aimais ça ; être malmenée, insultée, utilisée par ces hommes me plaisait. Il m'était arrivé d'en rêver quand je me masturbais avec mes godes mais je n'aurais jamais imaginé que ce serait la réalité un jour. Et là c'était en train d'arriver. Je savais que je devrai me soumettre à toutes leurs exigences, quelles qu'elles soient. Je n'échapperais pas à la sodomie qui pourtant m'inspirait depuis toujours le dégout.

Ousmane ordonna :

- Vas laver ta moulasse grosse pute je vais te brouter.

J'allai dans la salle de bain et me lavait le vagin avec la douchette et j'allai le rejoindre. Il s'était allongé sur le canapé et je dus le monter tête bêche. J'eus du mal à prendre son gros membre en entier dans ma bouche, lui commença à lécher mon sexe, c'était la première fois qu'on me faisait ça. Ce fut une vraie découverte, il était vraiment très expérimenté et m'amena vite à l'orgasme. Par la suite je devins une ardente adepte de la minette, que ce soit un homme ou une femme qui me pratique ; mais cela est une autre histoire... pour un peu plus tard.

Je pompai Ousmane avec application jusqu'à ce qu'il se décharge dans ma bouche. J'avalai avec délice sa semence et comme pour Moussa je lui fis la toilette avec ma langue.

La nuit était tombée depuis un moment déjà, nous avions beaucoup bu, copulé comme des bêtes. Les hommes, pardon, Mes hommes voulurent manger. Heureusement il me restait du poulet froid au frigo. Ils mangèrent de bon appétit, contents d'eux, ils avaient à leur disposition une femelle docile, servile à souhait.

J'avais jeté tout amour propre aux orties, je savais qu'ils passeraient la nuit avec moi et que j'aurai à subir ce qui m'avait toujours fait horreur et qui était pour moi une pratique contre nature. Je n'avais plus le choix. En même temps je les avais sucés, m'étais laissé faire un cunnilingus et j'y avais pris du plaisir. Autant en prendre mon parti.

Nous nous rendîmes dans la salle de bain et prîmes une douche, ensemble ; je les savonnai, ils en firent de même pour moi, puis, une fois secs je les conduisis dans ma chambre à coucher. Ils inspectèrent mon armoire et ma commode, ils choisirent ma nuisette la plus coquine, en voile rose pâle et un string assorti. Je les revêtis.

Ousmane ouvrit le tiroir de ma table de chevet et s'exclama :

- Oh la pute, t'as vu Mouss? cette chienne a trois godes, elle fait la sainte nitouche mais se fourre des godes dans la chatte, y a même du gel, bon ça très bon pour lui bourrer le trou du cul.

- Y a des capotes?

- Non, mais on l'a niquée sans capote tout à l'heure, on est clean et elle n'a pas baisé depuis des années alors on va continuer.

C'était vrai, je n'y avais même pas pensé dans le feu de l'action et sous les effets de l'alcool.

Ils s'allongèrent sur le lit. Je leur faisais face et me mis à me trémousser maladroitement, j'essayais d'onduler du bassin pour les exciter, je devais être parfaitement ridicule mais cela leur fit de l'effet, leur sexe se raidit rapidement.

Moussa me fit signe de venir sur lui, je ne fis pas prier et l'enfourchai. Il arracha mon string et me pénétra d'un coup, mon sexe était humide il n'eut pas besoin de me lubrifier. J'ondulais sur son bas ventre, montais et descendais sur un rythme rapide, il arracha ma nuisette arachnéenne et entreprit de malaxer mes seins à pleines mains.

Pendant que son ami me besognait, Ousmane me caressait les fesses, je sentis un liquide froid couler dans ma raie, puis il se mit à titiller mon anus. Il m'intima l'ordre de ne plus bouger, c'est Moussa qui prit le relais en ondulant du bassin. Je sentis un doigt me pénétrer, il n'eut aucune difficulté pour entrer, il l'enfonçait puis le ressortait à moitié, ce n'était pas désagréable du tout, à ma grande surprise. Un deuxième doigt suivit, j'étais un peu moins à l'aise quand il fait des vas et viens, mais ça restait supportable. Moussa avait ralenti ses mouvements pour faciliter les manœuvres de son ami.

Quand il introduisit son troisième doigt j'eus mal et poussai un cri. Cela ne le perturba pas, il força le passage tout en faisant couler du gel dans ma raie. Pendant plusieurs minutes il fit aller et venir ses doigts dans mon fondement.

Moussa donna un grand coup de bassin, m'expulsant, Ousmane me saisit par les hanches me forçant à lui présenter mon fessier et me pénétrant immédiatement, prenant la place de son ami, il me baisa et se remit à me travailler l'anus avec deux doigts. Moussa avait croisé ses bras derrière mon dos, plaquant mes seins sur sa poitrine, je ne pouvais plus bouger.

Soudain Ousmane sortit de mon sexe et me prit par l'anus, je hurlai de douleur quand son gros gland força l'entrée. Il s'immobilisa, laissant le temps à mes sphincters de se relâcher un peu. Mais la douleur avait été si vive que je me crispai et étais prise de panique.

Je suppliai :

- Pitié laissez moi j'ai trop mal, ça ne passera jamais je suis trop étroite.

- Ta gueule grosse pute, ça passe toujours, laisse-toi faire.

- Laisse-le faire, me souffla Moussa à l'oreille, détends-toi, la douleur va passer et après tu aimeras ça.

Il m'embrassa tendrement, me caressant le dos, c'était le premier moment de tendresse depuis que j'étais à leur merci, tendresse toute relative mais qui me permit néanmoins de me relâcher un peu.

Ousmane dut sentir que je me détendais, il s'enfonça doucement dans mon fondement. La douleur était moins vive maintenant. Pendant de longues minutes il me lima, entrant progressivement de plus en plus loin ; je sentis ses gros testicules buter contre mes fesses. Jamais je n'aurais cru que je pourrai absorber totalement sa grosse queue, et pourtant elle était bien en moi, dans sa totalité.

Il finit par jouir, je sentis son jet au plus profond de moi, c'était tiède.

Quand il se retira il dit :

- Profite en Mouss, son trou est bien ouvert, ça rentrera comme dans du beurre.

Puis s'adressant à moi :

- Mon pote va te féconder à son tour, tu garderas notre jus dans ton gros cul, moi je vais me nettoyer la bite.

Il quitta la chambre pour la salle de bain. Moussa me repoussa, se mit derrière moi et me prit d'un coup, j'étais encore lubrifiée par le sperme de son ami. Son sexe plus fin n'eut aucun mal pour entrer dans sa totalité. J'avais moins mal que lors de la première pénétration et sentis venir petit à petit une certaine excitation, mais la douleur persistante, même moins intense m'empêcha d'aller jusqu'à l'orgasme. Quand mon amant eut joui, il resta en moi, son bassin plaqué contre moi, il bandait toujours, il me fit allonger sur le coté et nous restâmes comme cela, lui en moi, immobiles. Je sentis au bout d'un moment qu'il débandait, la pression dans mon ventre diminuait, il me caressa doucement les seins, le ventre, le pubis. J'étais désormais totalement détendue, mon amant comblé soudé à moi.

Ousmane revint et grogna :

- T'es encore dans la pute? Elle aime ça la grosse vache, bon moi je vais roupiller, embrasse ma bite grosse chienne, j'te niquerai de nouveau au réveil.

Il s'allongea et nous tourna le dos. Moussa se leva, me prit par la main et m'entraina dans la salle de bain. Nous prîmes notre douche ensemble, nous frictionnant mutuellement. Il m'embrassa fougueusement puis, toujours sous le jet tiède de la douche il se plaqua derrière moi et me caressa de nouveau. Ses doigts courraient sur mon corps, me titillèrent le bout des seins, descendirent sur mon ventre, mon sexe, mes cuisses, mes fesses. C'était délicieusement doux après les pénétrations brutales que j'avais subies. Nous sortîmes de la douche. Après que nous nous fûmes séchés je lui avouai que je n'avais pas vraiment sommeil, il répondit que lui non plus. Je lui proposai un café, il accepta et nous retournâmes au salon. Il me demanda de remettre une culotte et un soutien gorge.

Je filai à la cuisine mettre le café en route puis dans la chambre à coucher, je choisis un soutien-gorge rouge à dentelle noire, sa culotte assortie très minimaliste, la culotte ne couvrait que la moitié de mes fesses. J'enfilai des bas noirs à couture et mis un mignon porte-jarretelles blanc.

Quand je revins au salon ainsi attifée et lui servis le café il émit un petit sifflement.

- Bravo pour les bas, tu marques un point ma chérie.