Gavage d'une Oie Blanche

BÊTA PUBLIQUE

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Ma chérie, ça me changeait un peu de « pute, salope ou chienne »

- Ça te plait? ça ne fait pas trop...?

- Trop pute? ça fait carrément pute mais ça te va si bien, parce que tu as tellement envie de faire la pute, avoues.

- Oui mais j'ai peur que ça aille trop loin, j'aimerais que ça reste un jeu, pas vraiment me prostituer et j'ai peur qu'avec vous deux...

- Tu nous prends pour des voyous? tu crois que si on était des voyous tu serais là à discuter tranquillement avec moi? On t'aurait baisée puis attachée et vidé ta baraque. On est des libertins, tout simplement. Quand une occasion se présente on fonce, pour le plaisir, uniquement le plaisir. Je vais te dire, hier soir quand on s'est arrêtés au bord de la route, on avait aucune idée en tête, tu as été une opportunité, on ne cherchait pas particulièrement une nana à baiser. Au départ, en allant chez toi pour nous sécher Ousmane n'était pas très chaud, quand il t'avait vue il pensait que tu étais plus jeune, moi aussi d'ailleurs. On n'avait jamais baisé une femme de ton âge puis on s'est dit que ça pourrait

- Et vous vous êtes bien amusés avec la vieille?

- Pas que nous tu ne crois pas? c'est toi qui a pris l'initiative en me suçant, ne soit pas de mauvaise foi, tu as pris ton pied salope.

Je fus bien obligée de reconnaitre que ...

Je me lovai contre lui sur le canapé, très vite son sexe reprit de la vigueur, je le caressai tendrement, lui avait glissé une main dans ma culotte.

J'étais bien, j'avais envie que ce moment dure toujours, en tout cas le plus longtemps possible.

Il m'interrogea sur ma vie, ma vie intime s'entend ; je lui confiai ma longue misère sexuelle.

Je me livrai à cet homme que je ne connaissais pas quelques heures auparavant, mais bon, il m'avait prise par la bouche, le sexe et l'anus, en ce moment il avait deux doigts dans mon vagin et je caressais son sexe... L'heure n'était certainement pas aux cachotteries.

Je lui demandai d'une petite voix si nous nous reverrions lui et moi, sans son ami qui était trop brutal à mon gout.

Il me répondit assez sèchement :

- Ous est mon ami d'enfance, on t'a connu ensemble et c'est lui qui t'as, disons inaugurée, il a autant de droits sur toi que moi.

Autant de droits sur moi! D'accord, j'étais devenue leur propriété!

Il ajouta :

- On lui demandera à son réveil, s'il est d'accord c'est ok pour moi. Mais il faut bien que tu comprennes que tu m'appartiendras, totalement, j'exige une obéissance absolue. La semaine tu seras libre mais le weekend tu seras à moi. Du samedi matin au dimanche soir tu seras ma chose, je t'utiliserai comme il me plaira. Je te baiserai mais je te ferai aussi baiser par d'autres personnes, hommes, couple ou femmes ; tu accepteras tout ce qu'on te demandera, d'accord?

- Euh oui, répondis-je après quelques secondes d'hésitation.

- On en reparlera tout à l'heure, je veux l'avis de mon pote ; s'il n'est pas d'accord et que tu ne veux pas lui appartenir on en restera là. Je veux être réglo avec lui.

Il était trois heures du matin, nous allâmes enfin nous coucher, Ousmane dormait profondément, j'étais entre eux deux, je tournais le dos à Moussa, il me pénétra une nouvelle fois, nous fîmes l'amour tout doucement, sans bruit, avant de nous endormir.

Ce fut Ousmane qui me réveilla en me secouant, le jour était levé depuis un long moment déjà apparemment.

- Hey la pute, j'ai faim prépare nous un bon ptit-dej, grosse faignasse.

Je me levai, mon anus et mon fessier étaient douloureux et fonçai à la cuisine.

Quand je revins avec un plateau déjeuner et après avoir revêtu une robe de chambre, Moussa était aussi réveillé, je les servis. Je leur annonçai que j'allais vite m'occuper de leurs vêtements. Je vidai le sèche- linge et passai un coup de fer à repasser sur leur tee shirt, je pliai soigneusement les pantalons et ramenai le tout dans la chambre.

Moussa dit :

- Ousmane est d'accord pour que tu sois ma propriété exclusive, mais il y a un prix à payer, il faut que tu rachètes ta liberté.

Ma gorge était nouée, je demandai :

- Quel est le prix?

- Il va te violer, par derrière, pendant l'heure qui vient tu seras totalement à lui, si tu es coopérative il te rendra ta liberté.

- Tu resteras avec moi?

- Non c'est une affaire entre lui et toi, je vais faire un tour, je reviens dans une heure.

Il sortit, me laissant seule face à Ousmane. Les larmes aux yeux j'attendais. Il dit :

- Tu vas t'habiller, mets une jupe courte, un chemisier sexy et un collant noir et des talons hauts ; moi je vais t'attendre au salon, tu as intérêt à te dépêcher grosse pute, je vais m'occuper de ton gros cul. Tu te souviendras longtemps de moi.

Je m'exécutai, j'enfilai une culotte blanche, mis un collant, une jupe courte noire, un soutien-gorge assorti à la culotte, un chemisier en voile rose et des escarpins noirs.

Je le rejoignis au salon, il semblait satisfait de ma tenue.

- T'es une belle salope, avec un bon maquillage tu feras vraiment vieille pute, mon pote va bien s'amuser avec toi mais en attendant c'est moi qui vais en profiter.

Il glissa une main sous ma jupe pour s'assurer que c'était bien un collant que je portais. Il me pelota sans vergogne, malaxa mes seins, mes fesses ; je laissai faire, j'étais totalement inerte, tétanisée à l'idée de ce qu'il allait me faire.

Il m'entraina dans la chambre. Un fois arrivés, il ouvrit brutalement mon chemisier, arrachant les boutons, fit jaillir mes seins du soutien-gorge et les mordilla, puis il me jeta sur le lit, me fit mettra à quatre pattes et retroussa ma jupe.

- Putain quel cul, avec le collant il fait encore plus gros, j'adore. Je vais t'exploser ton petit trou pouffiasse.

Ce disant il saisit le collant à pleines mains et tira, j'entendis un craquement, le collant avait cédé, ma culotte fut aussi arrachée ; j'étais maintenant à sa merci, non consentante mais incapable de résister, tendue, crispée, attendant de subir mon viol. Il se mit à me fesser copieusement, à chaque coup tout mon corps frémissait et je poussai un cri.

Il prit le tube de gel lubrifiant sur la table de chevet et me dit :

- Bon j'arrête de te faire peur, détends-toi, je ne vais pas te déchirer, je vais bien te préparer puis t'enculer en douceur, tu n'auras pas plus mal que hier soir, tu verras je ne suis pas une brute comme tu le crois.

J'étais un peu rassurée mais loin d'être détendue. Il fit de nouveau couler le gel dans ma raie et commença à me travailler l'anus. Comme quelques heures plus tôt il me pénétra progressivement avec ses doigts mais il prit plus de temps ; ça passait effectivement mieux que la première fois.

Ça dura longtemps, et à vrai dire ça ne fut pas désagréable, bien au contraire. Quand il estima que j'étais prête il me prit pour de bon, entrant lentement en moi. La douleur, même si elle était présente fut moins vive que je m'y attendais. Il me baisa longuement, il était particulièrement endurant ; je coopérai, cambrant mes fesses autant que je pouvais et haletant de plus en plus fort. Il finit par jouir, je sentis son jus tiède dans mes entrailles. Si de mon côté je n'étais pas parvenue à l'orgasme je sentais que je n'en étais pas loin ; lui aussi avait dû le sentir car tout en restant en moi, il me masturba jusqu'à ce que je jouisse.

Il me présenta ses doigts humides et me fit les lécher.

- Déguste ton jus, c'est bon, moi je t'ai déjà goutée.

Je léchai. Quand il sortit enfin de moi nous nous allongeâmes l'un contre l'autre, son ventre contre mon dos. Il me demanda de serrer mes fesses pour garder son sperme en moi le plus longtemps possible.

Il me caressait doucement, m'embrassa dans la nuque. Il pouvait se montrer beaucoup plus tendre que je le pensais.

Je lui dis que je regrettai de l'avoir jugé un peu hâtivement, j'avais eu tort de le prendre pour une brute, il me répondit que ce n'était pas grave et que je lui avais donné du plaisir, qu'il avait apprécié d'avoir été le premier que j'accueillais dans mon cul.

- Et je suis sûr de ne pas être le dernier, tu vas y prendre gout, tu verras.

En quoi il ne se trompait pas, vraiment pas du tout.

Au bout de quelques minutes je ne pus plus me retenir et je sentis son sperme couler de mon anus, souillant les draps. Nous restâmes encore quelques minutes enlacées puis nous allâmes prendre une douche.

Après la douche nous nous rhabillâmes, je remis des bas noirs, la robe que je portais la veille, je ne mis pas de culotte, deux culottes, un chemisier et un collant avaient déjà été déchirés alors je préférai arrêter les frais là... Pour l'instant du moins.

Quand nous retournâmes au salon, Moussa nous attendait, assis sur le canapé, il m'attira à lui, mit ses mains sous ma robe. Il demanda à Ousmane :

- Ça s'est bien passé?

- Nickel mon pote, elle est à toi maintenant, je confirme qu'elle a des dispositions coté trou de balle. Je t'ai bien préparé le terrain. Elle est bonne pour le service ta Denise l'enculée...

- Denise l'enculée c'est ton nom à partir de maintenant me dit Moussa en rigolant.

Ousmane dit qu'il était temps qu'ils s'en aillent, il était presque midi et il avait un rendez-vous. Je les embrassai tendrement et les raccompagnai à leur voiture. Arrivés dans la cour, Moussa dit.

- Tu vas encore nous faire une petite gâterie, ils ouvrirent leur braguette et me présentèrent tous deux leur queue.

- Je ne me fis pas prier et m'agenouillai sur le gravier, je les branlai simultanément, puis quand ils bandèrent bien je les suçais alternativement, passant goulument de l'un à l'autre, ils ne furent pas longs à jouir. Ils giclèrent tous deux sur mon visage et m'aidèrent à me relever.

Mes genoux étaient éraflés par le gravier et les bas déchirés mais j'étais fière de moi, je les avais sucés dehors et même si ma maison était isolée, si une voiture était passée à ce moment-là on aurait pu me voir ; ça avait peut-être été le cas mais j'étais trop absorbée pour m'en rendre compte et ça m'était égal.

Avant de monter en voiture Moussa me dit :

- Dès que je serai rentré je t'envoie un mail avec mes ordres, en attendant tu vas rester comme tu es, tu n'essuye pas ton visage et tu ne te change pas, comme ça tu garderas un souvenir de nous.

Il ajouta :

- Et tu mets une culotte salope.

Ils partirent, je rentrai dans la maison. En passant devant un miroir je vis ce que j'étais devenue, une putain. Leur sperme avait fait couler mon maquillage, je passai une main sur le visage pour bien répartir leur semence, ainsi que sur mes seins puis mon sexe.

J'obéirai à mon Moussa, je garderai toute la journée leur « souvenir » sur moi...

Le mail arriva en début d'après-midi avec ses exigences.

C'est ma réponse qui fit basculer ma vie, mais ceci est une autre histoire ; pour une autre fois...

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