Gazeran

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Ma jeunesse à Rambouillet

-1-

Je viens vous raconter ma vie de jeune-femme, encore jeune-fille.

1979, 19 ans le permis en poche, quelques économies sacrifiées auprès d'un grand oncle qui me « vend » sa vielle Austin Haley 3000!

Mes parents ont une maison de campagne vers Gazeran, et je laisse dormir la vieille voiture dans le grand garage sous la maison. Je suis en 2ème année dentaire, il faut travailler dixit papa.

Après bien des recherches, je pense avoir trouvé un garage de restauration pas trop cher et proche, grâce à un de mes professeurs. Me voici donc un samedi matin de Juin en petite robe blanche d'été, foulard au cou, main gantées (un air d'actrice des années 50!) et petites chaussures Todd aux pieds (plus pratique pour conduire) et mes escarpins rouges à côté au volant de ma Healey en train de chercher ce fichu garage.

Je crains de trop m'éloigner de la maison de peur de tomber en panne. Malheureusement, ce garage est un peu plus loin que je ne l'avais imaginé.

Les nuages s'amoncellent au-dessus de ma tête et je me hâte pour éviter la pluie. La capote est coincée et je risque de me retrouver détrempée...

Le ciel est maintenant très sombre. J'entre dans un brouillard épais qui humidifie mon pare-brise. Le brouillard se transforme en bruine et mes vêtements ne sont pas du tout adaptés.

Ma petite robe blanche est maintenant collée à ma peau.

Mais je vois enfin le garage. Il est éloigné de la petite route. Il faut prendre un chemin en terre pour l'atteindre. Mon cabriolet n'est pas très adapté pour rouler sur ce chemin devenu boueux. J'atteins tout de même le garage et je range mon véhicule à l'abri de la pluie en entrant dans le hall du garage.

Un homme est là, le garagiste sans doute. Il est vraiment moche... difforme même.

Il est petit, 1m50, avec un énorme ventre. Il est sale, ses doigts sont pleins de graisse. Je change de chaussures et descend de voiture. En me levant, je sens ma robe qui me colle à la peau.

Je me rends compte du spectacle que j'offre à ce gros cochon : Une belle bourgeoise distinguée, dans une robe devenue complètement transparente.

Je ne comprends pas pourquoi mais je sens des frissons dans tout mon corps et plus particulièrement dans mon ventre. Sans doute le froid...

Le gros cochon reste bouche bée, un mégot collé sur sa lèvre inférieure.

Au bout de quelques secondes, il se reprend et me demande : qu'est-ce qu'elle veut la petite dame?

- Bonjour monsieur, auriez-vous un endroit où je puisse me sécher? La pluie m'a détrempée et j'ai vraiment froid. Je suis venu ici pour avoir un devis pour restaurer ma voiture.

Il me regarde d'un œil interrogateur.

- Hm... D'accord, la petite dame... Suivez-moi, je vais vous montrer la salle de bain. Mais faut pas rester longtemps, hein!

Et je le suis avec une petite inquiétude mais j'ai trop froid et rien pour me changer...

Je remarque bien les caméras qui me filment dans ma robe qui ne cache rien de mon anatomie. Je suis le gros garagiste et je me sens épiée. Ce ne sont pas les caméras mais je sens autre chose. Je tourne la tête et je vois au fond du garage une silhouette qui bouge.

Il y a d'autres personnes dans cet endroit froid et inhospitalier. Le gros porc immonde et puant m'ouvre la porte de sa maison.

Celle-ci est attenante au garage. Je passe devant lui et je sens son regard qui scrute la moindre partie de mon corps. Maintenant que je suis devant lui, il a une parfaite vue de mon cul. Le string que je porte sous ma robe trempée, ne peut malheureusement pas cacher grand chose. Je suis à la fois écœurée de montrer mon joli petit cul à ce parfait inconnu qui de plus est moche et certainement débile, mais en même temps, le petit frisson que j'ai ressenti tout à l'heure dans mon ventre, se manifeste à nouveau.

J'entre dans un couloir sombre et je remarque encore une caméra au plafond. Je suis un peu inquiète. J'ai l'impression d'être tombée dans un guet-apens. Que le monstre difforme va se jeter sur moi et me violer. L'inquiétude se transforme en excitation et ma petite chatte commence à s'humidifier. Mais qu'est-ce qui m'arrive? Pourquoi ai-je des pensées aussi obscènes et pourquoi cela m'excite? Mais rien ne se passe... J'arrive l'autre bout du couloir sans qu'il ne ce soit rien passé. Je suis un peu déçue...

J'arrive au salon et je découvre un bazar à l'image du garagiste.

Une vieille télévision est allumée et une fille difforme est en train de la regarder dans un vieux canapé défoncé. Au milieu du salon trône une table sur laquelle s'amoncelle des papiers divers, de la vaisselle sale, je vois même des magazines pornographiques!

Le garagiste appelle son petit boudin de jeune fille. Elle me regarde émerveillée.

- Elle n'a jamais vue de bourgeoise de la ville. Elle me trouve très belle. Elle m' envie, me jalouse. Elle est moche depuis toujours et n'a jamais rencontré d'homme qui voulait bien d'elle. A l'école, les autres filles se moquaient d'elle et les plus belles lui volaient les garçons dont elle tombait amoureuse mais n'osait pas leur montrer de peur d'être rejetée. C'est pourquoi finalement, elle voue une haine pour les jolies femmes. En plus, sa mère est magnifique... Tu vas amener la jolie dame à la salle de bain et tu vas lui prêter des vêtements le temps de faire sécher sa robe. Et attention, c'est une cliente alors tu prends bien soin d'elle. Compris? Pas de bêtises!

- Suivez-moi m'dame! Dit-elle en mâchouillant un chewing-gum.

Sur le chemin de la salle de bain, je passe devant une chambre où j'aperçois un garçon. Il est devant son ordinateur.

Sur l'écran s'affiche une vidéo qui m' intrigue. Je m'arrête pour regarder : une belle jeune femme brune est traînée à 4 pattes comme une chienne, complètement nue, avec une laisse reliée à un collier autour du cou. Elle arrive devant un petit homme ventru et vieux (on dirait le garagiste mais ce n'est pas possible) et elle avale son sexe.

Pendant qu'elle le suce, un jeune homme qui ressemble au vieil homme (son fils?) se place derrière la jeune femme et d'un seul coup enfonce son sexe dans le pauvre trou du cul de la belle qui semble pousser un cri. L'image bouge beaucoup, ça a l'air d'être une vidéo amateur.

Ce qui arrive à cette jeune femme m'excite beaucoup mais je ne comprend pas pourquoi. La fille me dit : c'est mon petit frère, un vrai obsédé du cul! Faut pas qu'il vous voit comme ça, sinon il va vous sauter dessus! Et elle rigole. Le jeune homme s'aperçoit qu'il est épié,

Il arrête la vidéo et se retourne.

- Qu'est-ce que vous voulez?

- Faites pas attention me dit la fille.

Et je continue dans la salle suivante qui est la salle de bain. La fille me dit de me déshabiller et de me doucher. Elle va chercher quelques vêtements pendant ce temps dans sa propre chambre.

Je suis toute émoustillée par tout ce que je viens de vivre. Je ferme le loquet de la porte et je me déshabille. Je n'ai pas encore remarqué la caméra collée dans un coin du plafond au-dessus d'un grand meuble.

J'ai gardé mes hauts talons et je m'admire dans le grand miroir posé sur le mur mitoyen avec la chambre du jeune obsédé sexuel. J'imagine qu'il m'observe à travers ce miroir sans tain. Je commence à caresser mes seins parfaitement dessinés puis je descends mes mains sur mon ventre, ma taille, mes hanches et enfin j'arrive à mon petit trésor convoité par beaucoup d'homme! Je titille le petit bouton qui fait monter d'un cran les fourmillement dans mon ventre et l'humidité de mon sexe.

Mon fantasme est en fait réel. Le miroir est effectivement sans tain et le jeune adolescent n'a rien raté de mon spectacle. D'ailleurs personne dans cette maison n'utilise cette salle de bain connaissant parfaitement ce secret. La fille du garagiste m' a amenée ici sachant très bien ce que son frère allait faire. Et puis cette salle de bain a une caméra...

Le jeune ado s'est branlé en imaginant qu'il me faisait la même chose qu'à cette pauvre conne sur la vidéo. Il imaginait me violer par mes 3 trous, moi la bourgeoise hautaine qui se croit supérieure à eux. La dernière petite conne, celle de la vidéo, il a juste eu le droit de la filmer pendant que son père, ses frères et sa sœur s'occupait d'elle. Lui, le plus jeune il a juste eu le droit de filmer... ce n'est pas juste. Papa a promis que je pourrai participer pour la prochaine! J'espère que ce sera cette pute de blonde. Et il éjacule sur le miroir.

Je me dirige vers la douche mais j'entends quelqu'un qui toc à la porte.

C'est la jeune boudin qui m' apporte des vêtements. J'entrouvre la porte pour qu'elle me glisse les vêtements mais elle pousse la porte et se retrouve à l'intérieur. Je me cache mais elle dit :

- Allez, je suis une femme moi aussi!! C'est ridicule. Allez vous doucher! J'obéis à son ton autoritaire mais sans comprendre pourquoi!

Pendant que je me douche, elle m'examine de haut en bas. Elle admire votre corps. `Je me dis: si elle veut du spectacle, elle va en avoir.

Et je recommence mon petit manège mais cette fois sous la douche et avec du savon. Je caresse à nouveau mes seins, et tout mon corps. Cette fois, je ne vais pas jusqu'à ma jolie chatte.

Une fois séchée, j'examine les vêtements qu'elle m'a apportés: une petite jupette d'écolière plissée et un t-shirt a moitié transparent! Je n'ai pas trop le choix alors je les mets. Bizarrement, ils me vont assez bien. J'ai pris soin de garder mon string ainsi que mes escarpins qui n'étaient pas mouillés.

La jeune fille me raccompagne maintenant jusqu'au salon...

Pendant ce temps, le vieux cochon n'a pas raté une miette du spectacle, assis confortablement dans son bureau au garage grâce à la caméra.

Il s'est branlé devant son ce corps parfait en imaginant toutes les perversions qu'il allait lui faire subir. Et puis il a promis au petit une femelle avec laquelle il pourrait s'amuser. Sa décision est prise: CE SERA MA NOUVELLE CHIENNE.

Il est parti saboter la voiture pour que la belle se retrouve coincée.

J'ai vraiment l'air d'une vulgaire putain dans cet accoutrement : jupette écossaise plissée, t-shirt transparent, et mes escarpins à haut talons. Je n'ai gardé que mon slip transparent Eres mauve, le soutien gorge étant finalement trop humide. Mes petits tétons pointent à travers le tissu. Quand je me suis vue dans le miroir de la salle de bain, j'ai remarqué à quel point je pouvais être belle. Je sais l'effet que je fais sur les hommes, mais évidemment dans cette tenue... Cette situation m'excite finalement. Et ce garagiste a l'air si inoffensif... Décidément, mon petit minou n'est pas prêt de s'assécher aujourd'hui!

La jeune fille a choisi sciemment ces vêtements : c'est la tenue que son père et ses frères préfèrent utiliser avec leurs captives. Elle sait exactement ce que je vais subir dans quelques heures. Elle va même y participer. C'est elle la plus perverse de la famille. A cause de sa laideur, elle hait les belles femmes comme moi... et comme sa mère!

J'entre dans le salon et là... toute la famille de gogols est réunie pour m'accueillir : le père, vieux cochon ventru, un sourire vicieux aux lèvres, le cadet que j'ai croisé tout à l'heure et qui semble très excité, 2 jeunes adultes mâles que je n'avais pas encore vu. Pourtant l'un des 2 me dit quelque chose... La jeune boudin derrière moi termine la fratrie. Il manque pourtant la mère...􏰀Sans doute occupée! Ils me dévisagent tous avec des regards lubriques. En fait, ils ne font pas que me dévisager, ils inspectent avec minutie chaque centimètre carré de mon anatomie, s'attardant qui sur mes seins, qui sur mon ventre, qui sur mes jambes, qui sur mes pieds en fonction des goûts et des fantasmes de chacun.

Malgré ce déguisement de catin et ces regards perçants, je garde ma dignité de bourgeoise.􏰀Je toise ces campagnards avec dédain. L'atmosphère est cependant pesante. On entend simplement le tic tac de la vieille horloge. Je romps le silence en disant avec mon air hautain que je veux récupérer mon sac à main que j'ai oublié dans la voiture.􏰀Le vieux m'accompagne, suivi par toute la famille.

Arrivée à la voiture ma Healey, je vois le sac sur le siège passager, là où je l'avais laissé.􏰀Je suis tellement pressée de le récupérer que je me penche directement par dessus la portière, découvrant mon joli petit cul, mon slip ne couvrant pas grand chose. L'excitation des mâles et de la petite femelle monte d'un cran. Ils sont à bout mais n'osent pas encore intervenir. C'est le mâle dominant, le vieux père qui déclenchera la furie et tous le savent. Je comprends l'effet que je leur ai fait involontairement. Ca me plait et j'ai une idée un peu perverse mais ça me plait de jouer avec cette famille de dégénérés. Et puis à côté de ma voiture, je me sens un peu plus en sécurité.

J'explique alors au garagiste la restauration que j'avais envisagé. J'aimerais un devis. J'ouvre le capot, demande d'inspecter le moteur avec lui, pour ne pas avoir de surprises...􏰀Nous nous penchons tous 2 de chaque côté du véhicule. J'ai pris soin de me placer dos aux enfants. Ils ont à nouveau une magnifique vue sur mon petit cul. Je m'amuse à le remuer,􏰁􏰀à écarter mes jambes... De l'autre côté, le garagiste a droit à un autre spectacle dont il ne perd pas une miette

Je me penche pour ouvrir au maximum le col bien large de mon t-shirt. Le garagiste peut maintenant admirer mes jolies mamelles de bourgeoise. Je remue le buste pour les faire s'agiter. L'effet est immédiat, il bande comme un âne et n'arrive plus à parler.

Mon sexe et mes seins gonflent également. Je suis surprise et électrisée par mon audace, par la scène... Ma chatte suinte... j'ai envie de me caresser... de me toucher...􏰀Mon esprit est embrumé, je n'arrive plus à raisonner, je n'arrive plus à ME raisonner. Mon cerveau primaire est en train de prendre le dessus sur mon cortex!

Et le désir monte... monte... mooooonte!!! Je ne réagis plus que par réflexes...􏰀Toute mon éducation, mes bonnes manière bourgeoises sont en train de s'envoler et ça m'affole. J'aimerais que ces monstres me prennent là, tout de suite sur le capot de la voiture􏰀 comme une vulgaire pute de l'est démontée par un routier dans son camion.

L'aboiement des 2 mâtins de Naples me sort de ma torpeur. Je me reprends, je me ressaisis et finalement je me relève. ça y est, mon éducation reprend le dessus. Je suis à nouveau en territoire connu : Ouf! Ce n'est pas passé très loin! Je reprends mon air hautain.􏰀Et je demande au garagiste :

- Pourriez-vous me faire un devis et me dire quand vous pourriez prendre en charge mon véhicule? J'ai d'ailleurs peur qu'il ne tombe en panne, je préférerais que vous veniez l'enlever directement dans mon parking. C'est possible?􏰀Voici mon numéro de téléphone (avec un frémissement dans le dos, non en plein ventre), appelez-moi dès que vous pouvez.

Dehors, la pluie s'est arrêtée et il est temps de rentrer. Le nuit commence à tomber.􏰀Mon mari n'est pas là pour la semaine, je suis donc tranquille ce soir mais je préfère quitter ce lieu qui me donne la chaire de poule. J'ai ressenti trop d'émotions pour aujourd'hui. Vous m'apporterez ma robe la prochaine fois et je vous rendrai les vôtres! Merci pour tout! (et surtout au revoir et à jamais!).

Je remonte dans mon Hailey, met la clé de contact. J'essaye de démarrer mais rien! NON, pas maintenant, pas ici!!!􏰀Le garagiste accourt et me dit avec sa grosse voix, un sourire en coin:􏰀􏰁

􏰂􏰁Vous z'inquiétez pas ma p'tite dame. Z'êtes dans un garage ici, on va vous réparer ça!

Il appelle son ainé pour l'aider, celui qui me disait quelque chose tout à l'heure. Il s'approche et

maintenant je le reconnais... MON DIEU, LA VIDEO!!!

Je reconnais maintenant le garçon. C'est celui qui défonçait brutalement le trou du cul de cette jeune beauté brune aux cheveux longs. Le père et le fils s'affairent sur le moteur comme ils le faisaient sur la malheureuse, chacun d'un côté. Je suis effrayée. Je me sens prise au piège. Je ne sais plus quoi faire. Je suis seule dans ce trou perdu. Personne pour me venir en aide. Même mon mari est loin! Je ne veux pas leur montrer ma peur. Vite une idée, viiite!

Perdue dans mes pensées, je ne remarque pas que la jeune fille s'éloigne. Elle sait exactement quoi faire. C'est son père qui le lui a enseigne avec les autres... Elle aime ce moment de pure perversion... Elle est partie détacher les 2 gros chiens qui fondent sur ma voiture, comme l'éclair. Ils posent leurs pattes sur ma portière et me reniflent. Ils sont aussi gros et laids que leur maîtres Ils me font peur, je n'ose plus bouger. Le piège se referme petit à petit. Maintenant je sais que je ne leur échapperais plus... Les mains sur le volant, je me rappelle la scène de la vidéo. Cette pauvre innocente avilie,souillée par les sexes de ces monstres. Mon esprit vagabonde. Qu'ont ils pu lui faire subir d'autre a cette malheureuse. Elle a du être aussi gourde pour se laisser piéger ainsi. Mais peut-être aimait-elle cela! Peut être était elle consentante! Ça me glace le dos car en fin de compte c'est ce que j'ai ressenti : je l'ai enviée d'être ainsi utilisée comme un bout de viande, humiliée, dépravée! Je m'imagine a sa place, les 2 monstres m'enfilant des 2 côtés. Je ne comprends plus rien. Pourquoi mon corps réagit-il ainsi?

Les 2 molosses me sortent a nouveau de mes rêveries. Je remarque qu'ils semblent anormalement excités. Ils essaient de me lécher. Ils me dégoûtent... mais ils m'excitent également!!! Je ne comprends pas. Je suis écœurée d'être excitée par des animaux.

Le garagiste et le jeune monstre relèvent la tête :

- Ca va être compliqué à réparer! J'ai pas la pièce ici. Y a pas beaucoup de voitures comme ça ici! Va falloir la commander.􏰀􏰁

􏰂􏰁Mais mais mais je ne peux pas rester ici... Il faut que je rentre chez moi à Paris.􏰀􏰁

Le garagiste répond sur un ton très autoritaire :

- Non c'est pas possible! Vous resterez ICI cette nuit! J'vous ramènerai demain matin en ville pour prendre un taxi ou le train.

- Mais non mais non, je vais appeler un taxi.􏰀􏰁

- NON! Le téléphone marche plus depuis l'orage d'hier. Vous allez dormir dans la chambre au sous-sol. Sortez, j'va vous montrer.

Je suis à la fois apeurée et excitée par sa voix et surtout son ton tyrannique.􏰀Les chiens sont toujours la à tenter de me renifler, de me lécher. J'ouvre la portière doucement et les chiens en profitent pour se jeter sur mon entre-jambe. La petite jupette et ma culotte transparente n'ont pas permis de cacher l'odeur de ma cyprine. Les chiens ont été dresses pour être attires par cette délectable fragrance. Ils sont tous 2 extrêmement excités par l'odeur de ma chatte béante tellement elle est excitée. Ma culotte est détrempée par tout ce que je viens de vivre. J'essaie de sortir et ai le malheur d'écarter mes jambes. Un chien s'engouffre dans la brèche et enfonce sa gueule entre mes douces cuisses. Son excitation se voit maintenant. Sa langue râpeuse s'est posée sur ma chatte et commence à me ravager le clitoris. Il donne des coups de tête, me lèche... Je crie au secours mais personne ne semble presse de venir m'aider. Je ressens une profonde honte d'être traitée comme une chienne et en plus d'être vue mais l'excitation l'emporte sur la honte. J'y prends du plaisir. Le garagiste voit mon visage complètement retourné par le plaisir.􏰀Il décide d'arrêter ce trop délectable supplice. C'est lui qui contrôle votre jouissance, pas moi... plus moi...

Il attrape les 2 chiens par le collier :

- Assez joui comme ça!

Il me rabaisse, m'humilie en me montrant qu'il a bien vu que j'y prenais du plaisir. C'est la première fois que j'ai ce genre d'expérience : je sens le dominant dans ce mâle bourru et très moche, mais ça me procure un plaisir que je n'ai encore jamais atteint. Inconsciemment, Je me soumets à ce mâle.

Je peux maintenant sortir, ma chatte est liquéfiée, la culotte Eres à moitié arrachée par la langue râpeuse du chien. Je suis mon futur bourreau. Mon cerveau est en quête de ce plaisir que je viens de vivre... que je vis depuis mon arrivée dans ce garage. Mes bonnes manières et mon éducation s'enfuient petit a petit... mais de plus en plus vite. Je sais que si je suis ce monstre, je vais subir les pire outrages qu'on peut faire a une femme. Mais j'en ai envie. Je le veux. Pendant toutes ces années la putain soumise qui est en moi était endormie. Et ce lieu, ces gens sont en train de la réveiller...