Gazeran

BÊTA PUBLIQUE

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Et le vieux se dit qu'il a une meilleure idée, avec un petit sourire vicieux.

Il sent que je ne suis pas comme ces autres femelles qu'il a dompté par le passé...

Il a vu avec quelle facilité il me soumettait. Il a remarqué ma culotte trempée après toutes ces péripéties. Il devine mon goût pour le sexe immoral, bestial.

Depuis des années, son rêve était de trouver une bourgeoise comme moi : à la fois fine, belle, sophistiquée, hautaine, en apparence coincée du cul mais avec , à l'intérieur, le feu d'une fournaise torride... une véritable salope comme on n'en trouve malheureusement que rarement.

Il veut faire de moi SA soumise et pas une simple esclave.

S'il me laisse partir, il sait qu'il me reverra : c'est le début de mon éducation.

Il me demande alors :

- Z'avez quelqu'un chez qui dormir dans l'coin?

- Oui, mes parents habitent dans le coin...

- Paris c'est trop loin, mais dans le coin je pourrais peut être vous amener. Venez avec moi dans mon bureau. J'ai un cadeau pour vous. Je fais attention à mes clientes!

Je le suis intriguée, dans son bureau. Celui-ci est rempli de photos de femmes dénudées dans différentes positions, seules, avec des hommes, des femmes... En regardant bien, je reconnais le vieux et ses fils sur certaines photos. Mais il y a aussi d'autres hommes aussi laids que le garagiste. Les femmes sont systématiquement dans des situations humiliantes, ce qui attise le feu dans mon bas ventre.

Pendant ce temps, le vieux sort un collier clouté en cuir d'un tiroir et s'approche de mon oreille. Tout en l'ajustant autour de mon cou, il vous susurre :

- Voici votre cadeau madame. J'espère qu'il vous plaira!

Et il recule pour me défier droit dans les yeux, avec un sourire vicieux.

Je me laisse faire et ne le retire pas. L'humiliation de porter un collier de chienne me procure du plaisir.

Et il le sait... Toutes des chiennes en chaleur ces bourges!

- Allez, il faut partir maintenant. Pour votre voiture, j'aurai la pièce demain. Faudra d'abord aller voir le tailleur avec qui je travaille pour les sièges. Je passerai vous chercher pour vous y amener. Vous pourrez faire connaissance, il vous montrera son travail. Je reviendrai ensuite avec votre robe et votre voiture pour qu'il puisse la voir.

Je récupère ma veste dans le cabriolet. Mes parents ne peuvent pas me voir ainsi vêtue.

Il vous accompagne jusqu'à son pick-up. Les enfants se sont placés derrière moi pour voir mon cul nu lorsque je monte dans le pick-up côté passager... Un régal!

Le moteur démarre, ça y est, nous sommes partis seuls, tous les deux...

Sur le trajet, le garagiste passe plus de temps à regarder mes cuisses dénudées plutôt que la route. Au passage d'une vitesse, il en profite pour glisser sa main sur une de mes jambes.

Je regarde la route, en faisant semblant de n'avoir rien senti.

Cependant les frissons qui parcourent mon corps vous trahissent. Mais vous ne dites rien.

La garagiste se sent encouragé! Il commence à caresser mes fines cuisses avec sa main calleuse et ses doigts boudinés. Il a rarement eu l'occasion de caresser d'aussi belles et douces jambes dans sa vie. Il en profite bien le salaud! Je fais toujours semblant de ne rien sentir.

L'audace de garagiste augmente et il remonte sa main vers ma petite motte encore toute humide.

Il est arrivé à l'endroit le plus doux de mon anatomie : l'intérieur de mes cuisses, juste devant l'entrée de ma chatte. Cette fois, je suis gênée et je bouge comme pour me rasseoir correctement dans le siège. Le garagiste prend peur et retire sa main. Je suis déçue...

Quelques minutes plus tard, la main du garagiste glisse à nouveau sur mes cuisses et cette fois, il a l'air plus décidé. Il remonte doucement jusqu'à l'entrée de ma petite chatte et reprend ses caresses. Je ne bouge plus du tout. Ma respiration s'accélère au fur et à mesure de l'augmentation de mon excitation. Je sens ses gros doigts boudinés d'introduire dans mon intimité parfaitement lubrifiée. Mes mains et mes bras sont comme collés, je n'arrive pas à les déplacer (je n'en éprouve pas l'envie de toute façon). Sa main frotte mon clitoris pendant que ses doigts fouillent mon vagin. Je respire la bouche ouverte en fermant les yeux.

Je pousse de petits gémissements sans même m'en rendre compte. Je suis entièrement concentrée sur le mouvement de sa main et de ses doigts.

Je sens que la voiture ralenti. Je panique tout à coup! Que va-t-il me faire?

J'ouvre les yeux et malgré la pénombre, je reconnait la maison de mes parents.

La garagiste connait bien le coin et avec l'adresse que je lui ai donnée, il s'est repéré immédiatement.

Il sort ses doigts de ma chatte détrempée et les porte à mes lèvres. Je crois comprendre qu'il veut que je les suce. Je commencer à les prendre en bouche mais il les retire :

- Pas comme ça! Tu les lèches comme une sucette!

Il veut m'humilier complètement. Je sors ma langue et je commence à lécher ses doigts. J'imagine que c'est sa grosse queue que je suis en train de lécher.

- c'est bien... tu lèches comme une bonne petite chienne.

Décidément, il me fera tout subir pour me rabaisser au rang d'un animal.

Une fois qu'il en a décidé, il me demande d'arrêter.

- Allez file! Je passe te prendre demain à 9h et je t'amène chez le tailleur. Et habille-toi mieux que ça, on dirait une pute! J'ai une réputation moi!

Et je rentre passer la nuit chez mes parents...

Mais mon père était à l'extérieur pour se balader au moment où j'arrivais avec le garagiste.􏰀Il m' a reconnu malgré la nuit qui tombait. Il a remarqué que quelque chose se tramait dans cette voiture. Il m'a vu jouir, il m'a vu sucer les doigts de ce monstre et il ne comprend pas.􏰀Il ne comprend pas comment une fille, sa fille, si belle, si distinguée, avec une éducation stricte, comment sa fille peut se donner ainsi comme une pute à un parfait inconnu, un porc.􏰀Mais une idée commence à germer dans son esprit encore très vif...􏰀􏰁

􏰁􏰁

Ca fait des années que je hante ses rêves. Ça a commencé à mon adolescence quand mon corps de fillette s'est transformé en corps de femme. Depuis il rêve de me baiser comme une pute... Il rêve de me faire 􏰀subir les plus outrageux sévices. Il sait que c'est mal, un père ne doit pas avoir de telle pensées sur sa fille. 􏰀Mais je suis trop bonne! Il n'a jamais raté une occasion pour m'espionner dans ma chambre ou sous la douche, pour me voir me caresser mon ventre, mess jambes, mes bras... en toute innocence.􏰀Quand j'ai commencé à fréquenter mon futur mari, il imaginait toutes les cochonneries que nous faisions ensemble. Mais en ce moment, il admire mes longues jambes dénudées qui sortent par la portière.

Il sait que ce soir, il a l'occasion de pouvoir réaliser son plus grand fantasme, un fantasme odieux mais tellement bon : baiser sa fille.􏰀Au moment où j'allais descendre, je vois mon père. J'essaie de cacher mes seins avec ma veste. Je le connais bien et j'ai déjà remarqué son manège pour se frotter constamment à moi, pour me caresser. J'ai honte, mais ça m'a toujours plu... et même excitée. J'écarte donc les jambes pour qu'il ait une belle vue sur ma chatte toute mouillée et ouverte par les doigts experts du garagiste. Je laisse même ma veste s'ouvrir largement pour qu'il puisse baver devant mes seins. Je me retourne ensuite en cambrant mon dos pour faire ressortir mon petit cul bien dessiné (dont il est le coauteur!) simplement recouvert d'une minuscule jupette.

Il s'approche et je lui explique ma petite mésaventure, en évitant certains passages... Je ne sais pas encore qu'il m'a surpris tout à l'heure!􏰀􏰁

- Monsieur le garagiste, je vous invite à prendre un verre avec nous ce soir pour vous remercier de votre gentillesse.

Il me prévient alors que ma mère n'est pas là cette semaine. Elle est partie rendre visite à une de ses sœurs. Je serai donc seule ce soir avec 2 mâles qui ne rêvent que d'une chose...􏰀J'entre donc dans cette maison, la maison de mon enfance accompagnée par ces 2 hommes.􏰀Ils me frôlent chacun leur tour et je sens des mains qui glissent sur mes fesses.

Dans la maison, le garagiste demande où sont les toilettes. Votre père me demande de le lui montrer pendant qu'il prépare un apéritif... Je l'accompagne donc jusqu'aux toilettes. Au moment de le laisser, il m'attrape par le bras :

- Tu viens avec moi pétasse.

Il m'embarque donc dans les toilettes et referme la porte. Il m'attrape par la gorge et me plaque contre le mur :

- Ta gueule! Alors t'aime te faire caresser petite pute. T'aime ca hein!􏰀

Je n'ose pas bouger ni crier. Je suis comme l'antilope attrapée par le lion : je fais la morte pour essayer de décourager le dominant devant moi.􏰀Il exerce une pression sur mon cou pour m'obliger à m'agenouiller. Puis il continue à baisser ma tête pour me mettre à 4 pattes, mais avec la tête dans la cuvette des toilettes (pas dans l'eau!), le cou reposant au bord. Il veut m'humilier, me rabaisser au niveau d'une ordure... d'une merde...􏰀Il admire son œuvre pendant de longues secondes. Cette position humiliante me procure beaucoup de plaisir. Il soulève ma jupette et regarde mon cul. Puis il prend mes fesses entre ses mains et les écartes pour apprécier mon trou du cul :

- T'as une belle petite rondelle tu sais. J'm'amuserais bien avec elle tu sais...􏰀􏰁

Ce commentaire, dans cette position, me donne des frissons dans tout le corps.􏰀􏰁

- Bon là, on n'a pas le temps. Relève-toi, ton père nous attend.􏰀􏰁

Je m'apprête à partir mais il me retient :

- T'as rien compris! Je suis venu pisser et ton père t'a demandé de m'aider... Tu sors ma queue et tu m'aide à pisser.􏰀􏰁

Je suis horrifiée par ces mots. Je ne bouge plus.􏰀􏰁

- Tu comprends rien. Tu sors ma queue et tu vises les chiottes! Je vais t'aider.􏰀􏰁

Il ouvre donc sa braguette, me prend la main et la glisse dans son sale slip.􏰀Je sens sa vieille queue toute flasque dans mes longs doigts fins manucurés, au milieu de ses poils.􏰀Une odeur d'urine flotte maintenant autour de moi.􏰀􏰁

- Bon, y faut tout t'expliquer à toi. TU LA SORS!􏰀􏰁

J'extirpe donc cette grosse queue dans ma belle main de bourgeoise et il se met à pisser.􏰀􏰁 - Vise bien pétasse! Sinon tu vas devoir tout nettoyer.􏰀􏰁

Et une fois qu'il a fini de se vider :

- Secoue-moi la queue. Allez!􏰀􏰁

Je m'exécute mais au fur et à mesure, je sens sa queue grossir... grossir... grossir...􏰀Mais elle ne va jamais s'arrêter de grossir! Elle est devenue énorme, bien large et bien longue.􏰀Je n'en ai jamais vue d'aussi grosse.􏰀􏰁

- Sale pute, t'es contente de toi! Maintenant que tu m'as excité tu dois me branler jusqu'au bout! Pendant que je lui tiens la queue, il me fait asseoir sur la cuvette. Je suis maintenant face à lui, sa queue devant mon visage et je le branle...

- Tu sais pas t'y prendre salope. Laisse-moi faire et regarde!􏰀􏰁

Il prend sa grosse bite et se branle d'une main en me tenant à la gorge de l'autre.􏰀􏰁

- Regarde-moi dans les yeux putain!􏰀􏰁

Je vois son excitation qui monte. La pupille de ses yeux se dilate. Ses mouvements sont de plus en plus rapides. Il serre de plus en plus fort la main sur mon cou. Et tout à coup, ça y est, il vient. Il lâche une première giclée de sa semence sur mon visage d'ange. Celui-ci est maintenant zébré du menton jusqu'au nez par cette première giclée. Mais la seconde arrive aussitôt et recouvre mon front jusqu'au cheveux.􏰀Puis une troisième, une quatrième... ça ne s'arrêtera donc jamais!􏰀Mais la fin arrive. Ses grosses couilles sont maintenant vidées. Le sperme glisse lentement sur mon visage mais je reste parfaitement soumise. J'attends ses ordres pour bouger. Un "morceau" de sperme 􏰀dégouline doucement sous mon menton. Et le vieux me regarde avec son regard de dominateur qui me montre qui je suis réellement. Il attrape ce sperme qui pend lamentablement au bout de mon menton et me l'introduit de force dans la bouche.

- Avale salope!

Puis il étale le reste sur votre visage, me refaisant un maquillage... naturel.􏰀Il me relève, me plaque contre le mur et me claque le cul pour bien terminer cette session.

- Bon va te laver maintenant, t'es qu'une grosse dégueulasse.

Et il part rejoindre mon père..

J'ai encore le goût du sperme mélangé à son urine dans la bouche. Je suis dégoûtée par ce qu'il m'a fait subir. Le garagiste s'est ravisé. Il a une meilleure idée. Il attrape le papier toilettes et m'essuie lui- même le visage. Il laisse bien en évidence sa semence dans mes cheveux.

- Tu viens comme ça! Ça va exciter ton vieux. J'ai remarqué qu'il te matait et qu'il se frottait à toi. Tu vas lui donner un beau spectacle ce soir... Un spectacle inoubliable.􏰀A chaque fois que je ferais tomber un truc par terre, tu te lèveras pour le ramasser.􏰀Mais tu n'as pas le droit de plier tes jambes! Tu les garderas tendues et tu tourneras ton cul vers ton père.

Il m'attrape par les cheveux et les tire tout en ramenant mon visage prêt du sien. - Compris salope?

- Oui, j'ai compris...

Et il ajoute :

- Tu t'assiéras les jambes écartées, devant ton père pour qu'il puisse voir ta belle chatte toute rasée.

Je reviens dans le salon avec le garagiste. Mon père remarque des traces blanchâtres dans mes cheveux mais il est obnubilé par mes jambes et mes seins qui pointent à travers le t-shirt transparent. Je m'assois comme la garagiste me l'a demandé. Dans le fauteuil en face de mon père mais je n'ose pas ouvrir mes jambes. Le garagiste assis juste à côté de vous glisse une main sur mes cuisses et exerce une pression pour m'obliger à écarter mes cuisses. Je cède!

Mon père qui reluquait déjà mes jambes ne comprend pas pourquoi je me laisse faire par cet inconnu mais voit immédiatement ma petite grotte. Il rougit d'excitation et des perles de sueur glissent sur ses tempes...􏰀Voyant l'effet provoqué sur mon père, le garagiste écarte encore plus mes cuisses et se met à les caresser. Impressionnée par la volonté de ces 2 dominants, je me laisse faire comme dans la voiture. Mes bras le long du corps, je n'ose pas bouger.

Mon père et le garagiste commencent à discuter voitures pendant que le garagiste continue à caresser mes jambes devant l'œil hagard de mon père. Toutes ces années à me mater à fantasmer sur moi et je suis là à m'exhiber devant lui, pendant qu'un inconnu me caresse l'intérieur des cuisses. Le garagiste remonte ses mains toujours plus haut, remontant complètement ma jupe et dévoilant toute mon intimité.

Le garagiste toujours plus vicieux profite de ce moment pour laisser tomber son verre vide sur le tapis du salon.

- Ramasse!

Je me lève hypnotisée par son ordre. Je l'exécute dans les moindres détails, comme il me l'a demandé. Je tourne le dos à mon père, faisant face au garagiste, et je baisse mon torse sans plier les jambes. Je me retrouve le cul à l'air devant mon père qui peut reluquer mes petits trous. Sa queue est raide. La bosse sur son pantalon le prouve. Le garagiste est aux anges, il m'empêche de me relever en tenant ma tête. Cette exhibition incestueuse me rend folle d'excitation. Je ne sais plus ce que je fais...

Le garagiste voit mon état d'excitation ainsi que celui de mon père. Il sait que c'est le moment de porter le coup de grâce. Il dit alors :

- Votre fille a fait une grosse bêtise tout à l'heure dans les toilettes. Elle mérite une punition mais vous êtes le mieux placé pour la lui donner!􏰀􏰁

Je le regarde interloquée. Mais que va-t-il dire? Ne m'a-t-il pas déjà assez humiliée comme ça. Qu'il s'en aille! Et le garagiste reprend : Elle a tout d'abord voulu entrer avec moi dans sa tenue de pute. Elle m'a dit qu'elle voulait voir ma bite car celle de son copain ne la satisfait apparemment pas. J'ai du sortir ma queue. Quand elle l'a vu, elle est devenue folle.

Mon père n'en croit pas ses oreilles. Il est excité, il est dure... Et le garagiste continue :

- Elle m'a pris la bite et m'a dit de pisser. Elle m'a dit qu'elle n'avait jamais vu d'aussi grosse bite. Une fois fini, elle a commence à me la secouer. Je ne suis qu'un homme et ça m'a excité. Ma queue a durci et elle m'a branlée, comme une professionnelle. C'est sûr, ce n'est pas la première fois qu'elle fait ça!􏰀􏰁

Je fais non de la tête. C'est faux, il ment mais je n'ose pas parler. Et le garagiste continue :

- Quand elle a vu que j'allais venir, elle s'est mise à genoux devant moi et j'ai tout craché sur son visage. Une vrai pro, une pute!􏰀􏰁

Votre père ne sait pas quoi répondre tellement il est impressionné par la situation. Mais le garagiste l'aide :

- Je pense qu'elle mérite une punition! Une fessée cul nu? Votre père se reprend très vite, il a l'habitude dans son métier : - Oui c'est ça, une fessée. Viens ici Emmanuelle!

La situation m'échappe totalement. Je ne suis plus qu'une poupée entre les mains de ces 2 pervers, dont mon propre père. Le garagiste me laisse me relever avec un petit sourire vicieux. Mon père m' attrape par le bras et m'attire à lui.

Il me fait m'allonger à plat ventre, sur ses cuisses. Je me retrouve comme une petite fille qui va être punie par son papa. D'une main, il me presse le dos pour que je ne puisse pas m'échapper et il relève ma petite jupette de l'autre. Je suis maintenant cul nu devant mon père. Il commence par caresser mon joli cul avec ses grosses mains. Je sens sa grosse queue gigoter à travers son pantalon. Il continue ses caresses jusqu'à mon sexe qu'il effleure.

- Mais tu aimes ça Emmanuelle! Tu es toute mouillée! Tu es une vraie petite salope! Une putain!􏰀􏰁

Emporté par son excitation, il m'assène une première claque sur les fesses. Je pousse un petit cris de surprise. Il reprend ses caresses. Ça fait tellement longtemps qu'il rêve de ce moment, il profite donc de chaque instant. Il revient vers ma chatte qui s'ouvre et par où s'écoule ma mouille. Il introduit un de ses gros doigts. Ma chatte est tellement mouillée qu'il s'introduit sans peine. Il me masturbe avec son doigt et je gémis de plus en plus. Il sort alors son doigt et CLAC! Une deuxième claque tombe sur mon cul.

- Salope!􏰀􏰁

Puis une troisième.

- Sale pute!

Une quatrième et ainsi de suite... mon cul est tout rouge... Ma chatte coule. Il reprend sa masturbation.

- Alors Emmanuelle, t'aimes jouer les grandes dames avec ton copain. Tu te prends pour la plus belle. Mais t'es la reine des salopes tu sais. Seules les salopes se font caresser par leur père comme ça!

Et je ne dis rien. Humiliée, utilisée comme un objet je me tais mais intérieurement je jouis comme jamais.

- Quand tu viens à la maison avec ton copain, t'aimes bien baiser bruyamment la nuit. Tu sais que ça m'excite. Tu le fais exprès! Maintenant c'est moi qui vais profiter de ton beau corps de bourgeoise et pas ton copain.

Vous êtes toujours allongée à plat ventre sur les cuisses de votre père. Il trempe ses doigts dans ma chatte dégoulinante et utilise ce fluide pour lubrifier ses doigts. Il caresse alors votre petite rondelle anale. Je panique. Non vous ne voulez pas!

- Non pitié laisse moi! Tu as eu ce que tu voulais! Laisse-moi!

Je tente de me tourner mais mon père me tient fermement. Je remue mon joli petit cul, ce qui a pour effet d'exciter encore plus mon père.

- Je suis loin d'en avoir fini avec toi. Je te laisserai une fois que ma bite aura visité chaque recoin de ton corps! Je vais te faire crier, hurler... de plaisir ma petite Emmanuelle! J'ai besoin de vider mes couilles!

Ses propos me choquent mais je sens le gros doigt de mon père pénétrer dans mon petit trou. Celui-ci n'est pas habitué à ce genre de visite. Il se contracte pour empêcher l'intrus d'entrer. Mais l'indésirable doigt est plus fort d'autant plus qu'il est aidé par mon propre lubrifiant. Mon père commence ses mouvements de va et vient dans mon trou du cul. Je le laisse faire. Ma tête retombe comme une poupée de chiffons.

Le garagiste voyant que la situation devient très torride, en profite pour s'approcher de moi , tout en sortant sa grosse queue.