Harcèlement 06

_ C'est trop bon. Ouiiii... Lentement, prends ton temps,... Écarte mes lèvres,... Enfonce ta langue,... Descends plus bas,.. Oui, lèche mon petit trou,.. enfonce ta langue plus profond,.. bouffe moi le cul,... Continue... Remonte... Lèche mon clito.. Enfonce tes doigts en même temps... Ouiiii. Défonce mon cul aussi... Vas-y.... C'est ça... Baise moi... Mets-en un autre... Rempli moi partout....Plus fort!!!....Ne t'arrêtes pas... Ouiiiiiii.... Continue.... Mon clito, occupe toi de mon clito... C'est trop bon...Ouiiii.... Continue... Aspire le... Défonce moi... Ouiiiiiii.... Ouiiiiiii...Ouiiiiiiiiiii.....

J'ai pratiquement enfoncé ma main entière dans sa chatte, enfin je dirais plutôt qu'elle s'est empalée elle-même sur ma main, et j'ai deux doigts dans son cul. Ses cris ont dû réveiller tous le quartier.

J'ai bu avec délice sa jouissance. Mon visage est couvert de son excitation. Karla est une femme fontaine, mais là je crois qu'elle a battu tous ses records. Avachie sur le fauteuil de jardin, il lui faut de longues minutes avant de reprendre contact avec la réalité. Elle est absolument magnifique.

Je réalise à cet instant que je ne bande pas. Je suis très très excité pourtant.

Ça a toujours été un immense plaisir pour moi de lécher le délicieux sexe de mon épouse. Son parfum, sa saveur a toujours été un aphrodisiaque puissant. Pourtant là, rien. Ma queue reste flasque.

Je ne comprends plus rien. Il y a quelques jours j'ai passé plus d'une journée en érection et aujourd'hui rien. C'est la première fois que ça m'arrive.

Prodiguer un cunni à Karla m'a toujours fait bander. Qu'est ce que j'ai? Est ce que c'est dû au percing?

Ça fait des années que je rêve de porter un Prince Albert. Je trouve ce percing très beau, très sexy. C'est un acte assez extrême je le reconnais, et en plus, cerise sur le gâteau, c'est mon Épouse qui m'a fait percer le gland. Elle y a même participé grandement. C'est un symbole fort. Comme l'a si bien dit Patricia, cet anneau est une nouvelle alliance de notre mariage.

Je suis tellement content. C'était si impensable il y a 15 jours. Mais je ne comprends pas pourquoi je ne bande pas. Ma queue reste flasque dans ma main. J'ai beau me branler, la secouer dans tous les sens, elle ne durcie pas du tout.

_ Mon chéri, ne t'inquiètes pas. C'est normal que tu ne bandes pas.

_ Quoi?

_ Tu prends un médicament qui empêche toute érection. C'est Patricia qui l'a préconisé. Ça va te permettre de cicatriser plus vite sans douleur.

_ Ah d'accord.

_ Ne fait pas cette tête. Tu es absolument parfait. Je vais pouvoir me passer de ta bite encore quelques jours. Ça doit être un peu difficile pour toi, j'imagine.

Si je peux te rassurer. Ta bouche est toujours aussi magique et tes doigts sont très efficaces.

Merci mon Chéri pour l'orgasme que tu viens de me donner.

_ Euhhh, d'accord, je dois te dire que j'étais assez inquiet.

_ Ah! Ah! Tu es comme tous les hommes. Un petit souci de dureté et le monde s'effondre.

_ Mais mon Amour, c'est la première fois que ça m'arrive.

_ Arrête, tu as déjà eu des "pannes".

_ Oui, c'est vrai mais là ce n'est pas pareil, mais si tu me dis que c'est à cause des médicaments, je suis un peu rassuré.

_ Mon chéri, je t'aime. Je suis vraiment désolée de t'avoir fait subir tout ça. Si tu veux enlever le percing, Patricia m'a laissé une pince spéciale. Ton trou se refermera très vite.

_ Non! Mon Amour. Je suis très content d'avoir un prince Albert. Je ne sais pas si tu t'en rappelles, je t'en ai parlé il y a très longtemps. Tu trouvais ça trop barbare. Aujourd'hui je suis très fier d'avoir ce percing. C'est pour moi une preuve supplémentaire de mon engagement, de mon Amour pour toi.

Je t'ai passé la bague au doigt il y a plus de vingt ans, aujourd'hui tu m'as passé une autre bague. C'est un acte avec une portée très symbolique pour moi.

Ma queue, la partie la plus intime de mon corps est sertie d'un anneau. C'est comme si j'avais réitéré mes vœux de mariage. Je t'aime Karla.

_ Oh! Merci! Merci! Mon chéri. J'avais tellement peur que tu m'en veuille pour tout ce que je t'ai fait subir. Moi aussi je t'aime. Viens m'embrasser. Je t'aime Charles.

Le reste de la journée, c'est déroulé comme dans un rêve. Nous nous sommes retrouvés.

Amoureux comme aux premiers jours. Nous avons passé les quatre jours, avant notre départ en vacances, nu tous les deux, à faire des galipettes. C'était une redécouverte de nos corps. Nous avons beaucoup échangé sur ces derniers jours. Toutes nos barrières, nos réticences, nos craintes ont volé en éclats.

Pour la première fois, réellement, sans aucune peur ni honte nous avons pu parler ensemble de nos émotions, de nos ressentis, de nos envies, de nos rêves, de nos phantasmes, de nos désirs, les plus " sales ".

_ Mon Amour, je sais que c'est nouveau pour toi, comme pour moi. Je te rappelle que j'ai signé un certain contrat. J'ai été un peu forcé, mais je ne regrette rien. J'accepte chaque ligne. Certains paragraphes sont un peu difficiles, mais je vais tout faire pour tout respecter....

Nous devons trouver un équilibre.

Je ne veux rien t'imposer....

Tu n'as pas à te sentir coupable de quoique ce soit mon Amour. Si je ne l'avais pas voulu. Rien de tout ce qui s'est passé depuis vendredi ne serait arrivé....

J'aurais pu refuser de porter ma cage de chasteté...

Tu sais j'ai trouvé le double de la cage.

_ Comment?

_ En voulant lire, j'ai ouvert " Justine" de Sade. Je n'ai pas ouvert l'enveloppe. Je dois te dire que ça m'a fait pleurer de savoir que tu avais pensé à moi, à ma sécurité. Cette attention m'a beaucoup touché.

_ Merci mon Chéri. Tu sais si tu m'avais appelé tu aurais pu l'enlever.

_ Si j'ai tout accepté c'est parce que je t'aime. Je ne veux pas te perdre....

Je sais qu'au fond de moi, je suis un mâle soumis. Mais je ne suis pas que ça...

Je ne suis pas un homme faible...

_ Je sais Charles, je te connais et je t'aime pour tout ce que tu es. Mais, je ne veux pas d'un larbin écervelé. Je ne veux pas d'un esclave. Je veux un mari sur qui je peux m'appuyer.

Je sais que tes envies de soumission font partie de toi. Je sais que tu m'aimes...

J'ai compris ton désir de me plaire. Tu veux me satisfaire...

Je dois reconnaître qu'avoir un mari aimant, attentionné me plaît beaucoup....

J'adore la façon dont tu t'occupes de la maison... Tu es parfait dans ce rôle. La maison est ton domaine. Tu vas continuer de t'en occuper...

Faire l'amour avec toi me manque. J'ai envie de ta bite. Je veux te sucer pendant des heures. Je veux t'avaler, boire chaque goutte de ton sperme...

Je veux que tu me remplisses. Que tu me défonces par tous les trous...

C'est tellement bon de sentir ta grosse bite au fond de moi... J'ai tellement envie que tu me prennes sauvagement...

Une nouvelle page de notre mariage s'écrit maintenant... Rien ne sera plus comme avant...

Les vacances sur cette île méditerranéenne furent fabuleuses. Nous étions comme un jeune couple en voyage de noce. Après des semaines, des mois, de conflits, de non-dis, de moments difficiles, nous nous sommes retrouvés.

Les marques sur mes fesses avaient pratiquement disparu. Mon percing cicatrisait très bien, aucune infection.

Mais je n'avais toujours pas d'érection. Toutes les tentatives de mon épouse, mes masturbations laissaient ma queue flasque. Mon Épouse, pourtant m'avait fait arrêter les médicaments avant de partir.

C'est très étrange comme sensation. Jamais je n'avais ressenti ça. J'avais toujours du désir pour mon épouse mais mon sexe refusait de se tendre. Au bout de quatre jours j'avais laissé tomber l'affaire. Dans mon esprit, c'est comme si je portais la cage de chasteté. J'étais totalement libéré de la pression de performance. J'ai pu me consacrer entièrement à mon Épouse sans être préoccupé ou obnubilé par mon sexe. Ses désirs, ses envies sont devenus ma priorité sans que cela me demande le moindre effort. C'est devenu une évidence simple. J'avais juste envie de passer tout mon temps avec Karla, discuter, découvrir un nouveau pays, une nouvelle cuisine, visiter des lieux magnifiques, rencontrer des gens, satisfaire sa curiosité, aller là où bon lui semble, sans jamais remettre en question ses décisions. Je ne désirais qu'une seule chose. La voir heureuse.

Nous étions en vacances, nous étions comme un " jeune couple " qui se découvre.

La grande différence de ces vacances, par rapport à toutes les autres, était notre dynamique de couple. Elle est celle qui décide.

Moi, je propose, j'obéis. Elle décide.

Nous étions dans une réinvention de notre sexualité.

Plusieurs fois par jour Karla me demandait de lui donner du plaisir, peu importe le lieu ou les gens qui nous entouraient. J'ai passé de nombreuses heures la tête entre ses cuisses, la langue pendue entre ses lèvres, les doigts enfoncés dans ses trous avides.

De son côté, Les mains, les doigts, la bouche de Karla avaient pris possession de moi.

Nos corps étaient devenus des temples sacrés où le sacrilège était la norme. Il n'y avait plus aucune limite dans l'exploration de nos corps. Un gode ceinture était apparu comme par magie le deuxième jours. Il est plus petit que ma queue, mais très efficace tant pour moi que pour Karla. Mon épouse avait " besoin " de se faire baiser. Lui offrir ce plaisir est passé par le strapon.

Je ne sais pas si c'était les phéromones dégagées par mon Épouse, ses tenues affriolantes ou ses attitudes très sensuelles, mais les hommes et les femmes étaient attirés comme des abeilles devant une fleur gorgée de nectar. J'avais l'impression que tout le monde se retournait à son passage. Sa féminité était un appel au sexe.

Je ne compte plus le nombre de prétendants et prétendantes qu'elle a éconduit.

Elle me répétais souvent que ma présence la rassurait, j'étais son protecteur, son chevalier.

Mon égo a pris un sacré essor, j'étais gonflé à bloc. J'étais fier d'être son homme, son mari face à tous, mais dès les portes de la chambre fermée je revenais son mari soumis et obéissant. Elle n'avait plus besoin de faire de longues phrases. En quelques mots, quelques gestes, je répondais à toutes ses demandes.

La dernière semaine de vacances un matin, je me suis réveillé avec une sensation délicieuse. J'ai mis un long moment avant de réaliser que je ne rêvais pas.

On aspirait mon gland, on me suçait la queue.

J'avais retrouvé mon érection. Je bandais!

Mon épouse me donnait la plus merveilleuse des fellations. C'était comme si je recevais pour la première fois cette divine caresse. Je me rappelle avoir poussé un grand râle à faire trembler les murs quand j'ai éjaculé. Je ne sais plus combien de jets sont sortis mais le sourire, la bouche de Kala autour de mon gland, mon sperme qui s'échappe de ses lèvres sont un des meilleurs réveil de toute ma vie.

Karla m'a expliqué plus tard, que dans son sommeil elle avait senti un petit bout de métal froid contre son dos, avant de sentir ma bite dure cogner contre son cul. Elle avait eu un premier orgasme sans se toucher quelques secondes après avoir pris mon sexe en bouche. La sensation du percing sur sa langue avait été le déclencheur.

La vie est pleine de surprises.

Ce matin là, je n'ai pas débandé après mon éjaculation. Karla c'est jeté sur moi. Allongé sur le dos, elle s'est empalée sur moi.

Sa chatte me semblait si serrée, les sensations d'être enfoncé tout au fond, de sentir toutes les contractions interne de son vagin étaient absolument fabuleuses....

Nous sommes sortis bien tard de la chambre ce jour là, le soleil se couchait.

Après cette journée de sexe tout à changé. Karla semble tout à coup intéressée par tous les beaux mecs que nous croisons. Elle fait des commentaires salaces en permanence, passe son temps à me caresser le sexe, pour vérifier me dit elle, si ma bite, "son jouet" est en état de marche.

Elle est assoiffée de sexe, de plaisir.

Le lendemain, ma surprise fut totale quand j'ai vu un homme installé à notre table. C'est Karla qui l'avait invité à partager notre repas. Je n'avais pas mon mot à dire.

C'était un vrai gentleman, un bel homme, un grand brun ténébreux. Environ 45 ans, un peu plus jeune que nous. Il parlait dans un français parfait avec un petit accent italien. Très vite nous avons été à l'aise. Parler avec lui était simple. Il était lui aussi en vacances. Il n'a jamais eu de mots ou de gestes déplacés. Je ne comprenais pas. Que faisait il avec nous?

Le repas terminé, il nous a invité le soir même à le rejoindre pour partager sa soirée. Mon épouse a tout de suite accepté.

Cette journée fut très particulière pour moi. Je ne comprenais pas du tout qui est cet homme, ce qu'il veut, et surtout ce qu'il vient faire dans notre dynamique de couple. Karla veut coucher avec lui? Je sais que j'ai ce phantasmes d'être cocu mais quand même. Bon c'est vrai que cet un très bel homme, je dois reconnaître que j'ai regardé son entre jambes. Il n'y a aucun doute qu'il est très fortement membré. Son pantalon en toile, ne cachait pas grand chose de la forme de sa bite, elle a l'air très longue.

Karla fut la première à en parler.

_ Tu as vu la taille de sa bite?

_ Euh oui.

_ J'en était sûre, tu es encore plus salope que moi. Sa grosse bite t'excite. Ta bite dure ne ment pas.

_ Euh! Oui c'est vrai, mais c'est surtout ce que tu me dis qui m'excite. Tu sais que je suis attiré par l'idée de te voir avec un autre homme.

_ Je suis sûre que toi aussi tu rêve de sentir sa grosse bite au fond de ta gorge, ou tout au fond de ton cul.

_ Euh!!!

_ Allez dépêche toi, on rentre à l'hôtel j'ai trop envie de toi...

_ Va vite te nettoyer en profondeur, j'ai très envie de jouir.

_ Oui mon Amour. A tout de suite.

Vingt minutes plus tard, je rentre dans la chambre, Karla est allongée nue sur le lit, les oreillers sous son ventre, elle m'offre une vue magnifique de son cul rebondi. elle pianote sur son téléphone.

_ Enfin, c'est pas trop tôt. Viens vite me lécher.

_ Oui mon Amour.

_ Hum!!! C'est très bien. N'oublie pas mon petit trou. Il est très sensible depuis hier...

Tu ne sais pas mais Giovanni est un ancien épéiste.

_ Quoi???

_ Ne parle pas mon chéri, lèche mon cul, c'est très bien. Ne t'arrêtes plus.

Donc je disais, c'est un ancien sportif de haut niveau. Il a même gagné trois médailles. Deux de bronze et une d'argent lors de ses deux participations aux jeux olympiques.

M'hummmm! C'est très bien! Lèche ma chatte maintenant. Non! Ne me touche pas, n'utilise que ta bouche, je vais jouir trop vite sinon. Continue, Ouiiiiiii, parfaiiiiiiiiiiiiit, encoreeeeeeeeeeee,.......

C'est génial, la saveur de mon épouse est toujours aussi délicieuse, ma queue est tendue contre les draps. Je suis tellement rassuré sur ma virilité et en plus voir mon épouse heureuse et épanouie est une source de plaisir extraordinaire pour moi. Mais je ne peux m'empêcher de penser à cet italien. Comment sait-elle tout ça sur lui? Elle a jouie si rapidement. Elle pensait à lui? Elle le connait d'où? Comment a-t-elle fait sa connaissance? Est ce qu'elle le désire?

_ Mon chéri, tu as toujours une langue fabuleuse, mais maintenant je te veux en moi. Allonge-toi sur le dos au milieu du lit. Écarte les jambes. Je veux te sentir ouvert et offert à mon désir. Tu es à moi. Ta bite est la seule que je veux. Je t'aime.

J'ai arrêté de me poser des questions. Je m'installe vite dans la position demandée. Ses mains s'emparent de ma virilité, en me regardant dans les yeux, elle approche sa bouche de mes couilles, sort la langue, titille mon petit trou, remonte le long de ma hampe jusqu'à mon gland. Elle s'amuse avec mon percing, ses lèvres m'aspirent le gland, ses mains remontent et descendent le long de ma queue. Puis ses mains me caressent les fesses. Elle m'écarte le cul, s'amuse avec mon petit trou avant de remonter sur ma queue.

_ Interdiction de jouir. Tu me dis dès que tu es proche.

_ Ouiii mon Amour. C'est très bon ce que tu me fais.

_ Profite mon chéri. Ta bite est vraiment magnifique. Tu es si délicieux, cet anneau te va tellement bien.

_ Merci mon amour, c'est trop bon. Ta langue, ta bouche, c'est trop trop boooonnnnn. Je vais jouiiiirr, ouiiiiiii.

Mais pourquoi? Pourquoi tu t'arrêtes?

_ Tu ne vas jouir maintenant. Tu sais que j'adore t'entendre mendier. Et toi aussi tu aimes être frustré.

_ Oui c'est vrai mon amour, mais je suis juste au bord. Allez, s'il te plaît. Ta bouche est si magique.

_ Non pas maintenant. Tu m'excites trop. Lèche moi. J'adore m'asseoir sur ton visage. Tu es le meilleur coussin du monde.

_ Merci, tu es si délicieuse. Ta saveur est un....

_ Arrête de parler. Ouvre grand ta bouche, sort bien ta langue. Oui c'est bien. Va tout au fond...

Ma tête est prise en étau entre ses cuisses. Elle est toute mouillée. Mon nez est coincé dans son petit trou du cul, ma langue, dans les profondeurs de sa chatte s'active sans interruption. Régulièrement elle se soulève pour me permettre de prendre une bouffée d'air. Elle joue avec mes couilles avec ses deux mains, s'aventure plus bas. Ses doigts me massent autour de mon trou du cul. Elle ne les enfoncent que très peu. C'est plutôt un assouplissement de mon trou, comme si elle voulait l'écarter. Tout en jouant avec mon cul, je sens souvent son souffle chaud sur mon gland. Parfois elle le prend entre ses lèvres, enfonce le bout de sa langue dans mon méat. Elle joue avec mon percing.

Ce 69 est divin. Elle me connais si bien, je ne compte plus le nombre de fois ou elle m'a emmené à la limite de l'éjaculation. Elle sait toujours s'arrêter à la limite. Par contre elle a jouie plusieurs fois dans ma bouche.

Quand elle se lève, je suis une épave. Ma frustration est poussée à son maximum. Je n'ai qu'une envie jouir.

Elle revient sur le lit une petite serviette de toilette à la main. Sans avertissement elle recouvre mon sexe tendu et mes couilles avec ce linge. Il est glacé.

_ Mon chéri rien de tel pour calmer tes ardeurs. Je n'ai pas envie que tu jouisses maintenant. Ce soir, c'est promis, tu vas jouir.

Quand tu seras devenu tout petit rejoins moi sous la douche.

L'effet du froid est efficace. Karla est de dos quand je rentre dans la salle de bain. Elle a un corps magnifique. Une chute de reins à faire pâlir un saint.

_ Viens me frotter le dos.

_ j'arrive mon Amour.

Comment rester de marbre? Sa peau est si douce, ses formes sont si excitantes. Après quelques secondes, je suis de nouveau dur.

L'eau chaude qui tombe en cascade sur son corps, rajoute un exotisme torride à cette situation.

Elle me fait comprendre par un claquement de doigt, qu'elle veut ma langue entre ses fesses.

C'est toujours très excitant, de la lécher. Elle est encore plus belle quand elle jouit. Je ne m'en laisserai jamais.

J'ai passé l'après-midi à lui donner du plaisir. A la préparer pour le bellâtre italien.

A notre arrivée au restaurant, toutes les têtes se sont tournées vers nous. Mais c'est Karla que tout le monde regarde. Giovanni nous attendait. Le repas fut délicieux, sa compagnie très agréable. Il n'est pas du tout le personnage égocentrique que j'imaginais. Bien au contraire. Un homme beau et intelligent.

Dans la logique du repas, il nous invite à poursuivre la soirée à son hôtel. Je suis sous son charme mon épouse aussi.

Il nous propose une petite ballade "by night". Sa voiture une petite décapotable n'a que deux réelles places. Mon épouse ne me laisse pas le choix. Je m'installe derrière sur la petite banquette, mon épouse s'installe devant.

Durant toute la balade ils parlent tous les deux. Je n'existe plus. Karla a sa main posée sur son bras. Lui quand il ne passe pas les vitesses, a la main sur sa cuisse. Elle le laisse faire. Cela semble naturel pour les deux. Je ne suis pas jaloux mais je me sens mis à l'écart. C'est plus leur indifférence qui me dérange. Il roule un petit quart d'heure avant de s'arrêter sur un promontoire. Il descend, fait rapidement le tour de la voiture pour ouvrir la porte à mon Épouse. Grand Prince. Elle attrape sa main tendue pour se lever. Ils font quelques mètres devant la voiture.