Harcèlement 06

Je m'extirpe de la banquette arrière avec quelques difficultés.

Ils sont à quelques pas devant moi. Cote à cote, ils ne se touchent pas. Ils discutent. Je n'entends pas ce qu'ils disent.

La vue sur la mer éclairée par la pleine lune, les lumières éparses des éclairages le long de la côte est d'une beauté à couper le souffle. L'air marin mélangé à l'odeur de miel, de la bruyère qui nous entoure, est envoûtant.

C'est un Un moment magique, dans un lieu magnifique.

Je ne sais plus quoi penser. Karla se retourne, me tend la main, me fait signe de la rejoindre. J'avance lentement. Elle ne me quitte pas des yeux. Comme dans un rêve elle m'attire contre elle. Ses lèvres se rapprochent de ma bouche. Dans un murmure j'entends un "je t'aime". Je ne peux répondre. Nos lèvres sont collées. Elle m'embrasse. Notre baiser dure une éternité. Des larmes coulent sur mes joues. Je pleure d'amour, de joie, de bonheur. Son corps est brûlant, mon sexe dur est collé sur son bas ventre, un désir puissant nous unis. Nous sommes seuls au monde.

_ Mon chéri, je t'aime.

_ Moi aussi mon amour je t'aime.

_ Pourquoi tu pleures?

_ Je ne sais pas. Tu es tellement belle, je t'aime tant. L'instant est si magnifique.

_ Merci mon Chéri. Tu es l'homme de ma vie. Le mari parfait.

_ Toi aussi tu es parfaite mon Amour.

_ Lèche moi!

_Quoi?

_ J'ai très envie de ta langue.

_ Mais, ici? Giovanni?

_ Tais toi! Viens me lécher.

Elle recule jusqu'à la voiture, elle ne m'a pas lâché les mains. Elle s'assoit sur le capot, écarte les jambes, m'appuie sur les épaules.

Je suis à genoux. Elle a posé son pied sur mon épaule. Son sexe luisant est ouvert devant mes yeux ébahis. Elle n'a pas de culotte. Je ne réfléchis plus. Mon désir est le plus fort. Je dépose des dizaines de baisers sur ce mont de Vénus éclairé par la lune.

Son parfum, son excitation brille sur ses lèvres. Elle est très excitée. Elle coule. Je tends la langue. Recueille les gouttes de son plaisir avant de plonger au fond de cette conque nacrée. Son clitoris est tendu. Je remonte lentement ma langue de son petit trou jusqu'à son clito. Je ne le touche pas. Le parfum de son nectar est divin. Je prends mon temps. Je sais ce qu'elle désire. Je la connais par cœur. Karla est dans un tel état d'excitation, elle est si proche de son apogée qu'un simple effleurement, peut la faire jouir. Elle m'a obligé ce cunnilingus, c'est moi qui lui impose mon rythme. Mais ça ne dure pas. D'une main ferme elle m'oblige à remonter jusqu'à son clito. Sa demande est sans appel. Du bout de la langue j'effleure se petit bout de chair tendu, si sensible. Sa main se fait plus ferme sur ma tête. Je l'attrape entre mes lèvres, je l'aspire, je le suce. Ses cris, ses tremblements sont les signes de l'imminence de son orgasme. En effet, sa jouissance explose. C'est ma chemise et mon pantalon qui font les frais du surplus que je n'ai pu avaler.

Karla est une femme fontaine mais c'est très rare qu'elle jouisse autant sans une stimulation de son point G.

Elle est partie loin, elle met du temps pour redescendre sur terre. Je suis toujours à genoux.

J'ai tourné la tête. Giovanni est juste à côté. Il lui tient l'autre jambe. Il a sorti sa queue. Il se branle à quelques centimètres de mon visage. Il bande. Son sexe est plus long que le mien mais un peu plus fin. Son gland est pointu, luisant. Il me fait de l'oeil. Moi aussi je bande dans mon pantalon. L'après-midi de dénis, m'a mis dans un état d'excitation sans noms. La frustration est immense. J'ai envie de jouir.

Je retourne les yeux vers Karla. Son regard est énigmatique. Elle ne dit rien, mais je sens son pied pousser ma tête vers cette queue.

Sans me poser plus de questions j'approche la bouche ouverte, de ce long et appétissant sucre d'orge. Je tends le bout de langue. J'effleure son gland. J'en fais le tour, lentement. Je déguste une première goutte de son excitation. Je descends la langue jusqu'à ses couilles. Il est tout lisse lui aussi. Je dépose un baiser sur chacune. Il frémit de plaisir. Je remonte lentement jusqu'à son méat. Son excitation est sans goût particulier. J'ouvre la bouche. Je prends le gland entier entre mes lèvres. J'embrasse, tête cette grosse sucette. Je ne rêve pas. Je suce une bite.

Je suis toujours à genoux, je viens de passer de la chatte de mon épouse, à une queue. Je fais une fellation à un inconnu. Mais pourquoi? Qu'est ce qui m'arrive? Qu'est ce que je fais?

_ Magnifique! Tu es magnifique mon Chéri.

Quoi? Karla viens de me féliciter. Elle me regarde. Une de ses mains est posée sur son sein, l'autre est sur son sexe. Elle se masturbe, pendant qu'elle pousse ma tête de son pied. Elle m'oblige à avaler cette queue en entier.

Mon nez cogne sur les abdos de cet homme. Ses couilles rebondissent sur mon menton. Sous l'impulsion de mon épouse je fais une gorge profonde. Je ne m'étouffe pas, sans doute dû à l'entraînement régulier sur le strapon de mon épouse.

Le rythme à changé. Giovanni a posé une main sur ma tête, de l'autre il tient toujours la jambe de Karla. Il impose un rythme plus rapide. Il se branle littéralement dans ma bouche.

_ C'est très bien mon Chéri. Suce le à fond. Tu es si beau avec cette bite au fond de la gorge. Si tu savais comme ça m'excite de te regarder. Comment trouves-tu sa bouche Giovanni?

_ Ton mari est un expert, tu es sûres que c'est la première bite qu'il suce.

_ Oui! D'après ce que je sais?

_ Alors! Il est très doué. C'est un sacré gourmand.

Ça faisait longtemps qu'on ne m'avait pas sucé avec autant de talent.

_ Tu entends mon Chéri?

Je suis très fière de toi.

C'est tellement excitant de te voir sucer une belle bite.

_ Oh! Ohhhh! Si il continue comme ça, je ne vais pas pouvoir me retenir.

_ Mais ne te retiens pas Giovanni. Jouie dans sa bouche. Il va tout avaler.

_ C'est trop bon je viens. Ohouuuuiiîi!!!!!....

_ Son sperme éclate dans ma bouche. Il tapisse tout mon palais. Le goût n'est pas désagréable, la texture est gluante. J'avale rapidement les premières slaves. C'est la première fois que je goûte un autre sperme que le mien.

Je ne lâche pas son gland. Je l'aspire goulûment. Ma langue très active le fait hurler de plaisir. Je sais par expérience, que cette partie de l'anatomie masculine, devient très sensible après un orgasme. Ça ne loupe pas. Il me repousse ma tête une poignée de secondes plus tard.

Karla à eu un autre orgasme en même temps. Les tremblements de sa jambe sur mon épaule ne trompent pas, ses giclées non plus. Le capot rouge de la voiture est bien lustré.

Elle se redresse, me tend la main. Me relève, m'attrape la tête, m'embrasse goulûment. Elle me viole la bouche. J'ai encore du sperme dans la bouche, sur mes lèvres. Ça ne la dérange pas bien au contraire.

_ Délicieux! Tu es délicieux Giovanni. Remercie le.

_ Euh! Merci Giovanni.

_ De rien, c'est un plaisir. Je vous invite dans ma suite. Ce serait dommage de se quitter sur cette petite gâterie. Je suis sur que vous avez envie de prolonger cette délicieuse soirée.

_ Avec plaisir Giovanni. Ce soir nous sommes ouverts à la nouveauté. Fait nous découvrir tous les plaisirs que nous offre cette magnifique ville.

Sur ces mots, Karla réajuste sa tenue, se colle à moi. Elle me chuchote à l'oreille

_ Ce soir, tu vas te faire enculer mon chéri et je vais peut être réaliser ton phantasme. Tu as été parfait jusqu'à présent mon Chéri.

J'ai tourné la tête vers elle, je ne sais plus quoi penser. Qu'est ce qu'elle veut?

Le trajet jusqu'à son hôtel fut très rapide. Je ne bande plus mais il y a une grande tâche sur mon pantalon en toile. Je ne porte pas de caleçon à la demande de mon Épouse. Je ne peux pas la cacher. Heureusement, Karla a perçu mon embarras. Elle me demande de porter son sac à main. C'est suffisant pour cacher mon entre jambe, au personnel de l'hôtel, ainsi préserver ma dignité.

Giovanni loge au dernier étage, du grand bâtiment. Une grande terrasse avec un jacuzzi surplombe la mer. C'est magnifique.

Nous nous installons dans un large fauteuil, pour admirer la vue pendant que notre hôte prépare des cocktails.

_ Mon chéri, si tu nous offrais un petit spectacle?

_ Euh? Quoi?

_ Déshabille toi.

_ Comment?

_ Tu m'as bien entendu. Monte sur cette table. Fait nous un strip-tease. Excite moi, montre toi sexy.

_ Bien mon amour.

Je monte sur la table basse, c'est un challenge troublant. Depuis nos vacances Karla m'a souvent demandé de me déshabiller avec sensualité. J'ai toujours pris beaucoup de plaisir à m'exhiber devant elle. J'aime lui faire des spectacles sexy, mais c'est la première fois qu'il y a un spectateur.

Giovanni ne me quitte pas des yeux, il s'est assis à côté de mon épouse. Ils trinquent pendant que je commence à me dénuder. J'enlève lentement mes vêtements car ils ne sont pas nombreux. Je n'ai que deux chaussures, deux chaussettes, une chemise, une ceinture et un pantalon.

Je ne bande pas complètement, mais mon excitation monte peu à peu. C'est très troublant de voir le regard d'envie de Karla et Giovanni.

Je danse maintenant pour eux. Je me caresse pour eux. Je ne sais pas pourquoi mais je n'ai plus aucune retenue. Je touche ma queue, elle grandit dans mes mains. Je joue avec mon percing. Je bande à fond. Je prends des positions sexy, je me trémousse. Je m'offre à leurs regards.

Karla a les jambes écartées, elle se caresse la chatte. A son regard je vois que mon spectacle lui plaît.

Elle attrape son sac, sort le gode ceinture, me le tend.

_ Mon chéri, montre-nous à quel point tu es un petit enculé.

Je n'ai pas emmené de lubrifiant. Tu vas devoir utiliser ta salive.

Je ne réponds pas. J'avale directement ce bout de latex. Le goût est beaucoup plus désagréable que la longue queue de Giovanni. Après quelques minutes où je leur montre mes compétences buccales, je le pose à plat sur la table. Je m'accroupis face à eux. Pointe le bout sur mon trou. Je l'enfonce lentement.

Il est totalement enfouie au fond de mon cul. Mes fesses touchent la table. Je remonte lentement. Il est sort en entier. Je redescends mon cul pour m'empaler à nouveau. Je le fais plusieurs fois lentement avant d'accélérer mes mouvements.

Je ne peux retenir les râles de plaisir qui accompagnent mes actes. J'ai posé mes mains sur mes genoux, j'ai les jambes écartées. Je ne touche pas mon sexe tendu car je sais que je ne pourrai pas me retenir d'éjaculer.

Karla parle à l'oreille de Giovanni. Je n'entends pas ce qu'ils se disent. Quelques secondes plus tard, Giovanni est nu à son tour. Sa queue est en érection. Mon épouse d'une main le branle lentement. Son autre main est toujours sur sa chatte. Elle a au moins trois doigts enfoncés. L'image de mon épouse est très excitante. C'est la première fois que je la voit tenir une autre queue.

Il se lève, la main de Karla toujours sur sa bite, s'approche de moi.

Son sexe est devant mon visage.

_ Mets toi à quatre pattes, mon chéri. Garde le gode bien au fond de ton cul. Suce cette belle bite.

Sans hésitation, j'ouvre mes lèvres. Je commence ma fellation. Karla reste quelques instants devant nous. Elle me caresse la tête. M'encourage à l'avaler en entier.

Elle est maintenant debout, son téléphone à la main. Elle m'encourage à le sucer. J'entends sa voix, elle tourne autour de nous.

Ses mains sont sur mon dos, sur mes fesses. Elle a sorti le gode. Je me sens tout ouvert. Le léger vent souffle sur mon trou. Elle me caresse les couilles. Remonte sur la hampe. C'est un très léger effleurement. Il me fait frissonner tout le corps. Le gode a retrouvé sa place, bien au fond de mon cul. Karla me tient maintenant par les hanches. Le rythme s'est accéléré. Ils se sont synchronisés. Je suis pris en sandwich. Cela semble durer des heures. Mon orgasme se construit sans que je touche à ma queue. Le mélange des sensations physiques et la conscience de la situation est absolument fabuleux.

Je vais jouir, je suis proche puis tout s'arrête.

_ Nooonnnnnn!

_ Je vois que tu aime te faire baiser par les deux bouts mon chéri. Ne t'inquiètes pas. On va juste changer de position.

Non! Toi tu ne bouges pas. Reste à quatre pattes tu es magnifique dans cette position.

Elle est devant moi, le téléphone a la main. Giovanni est passé derrière moi. Ses deux grandes mains viriles ont pris positions de mes fesses. Il me touche, me palpe, m'écarte le cul sans ménagement. Ses doigts m'ouvre l'anus.

Je sens sa queue frotter sur les fesses, le long de mon sillon. Un liquide coule sur mon cul. De l'huile j'imagine. Il me masse la rondelle, ses mains m'écarte les fesses. Il enfonce deux doigts. Avec ses genoux il m'écarte les jambes.

Je sens son gland positionné sur mon trou. Ses deux mains me tiennent fermement les hanches.

Mon épouse est devant moi. Le gode ceinture pendu entre ses jambes. Il est plus petit et moins épais que la bite qui vient de sortir de ma bouche.Le flash du téléphone est allumé, il m'aveugle.

_ Révèle la tête mon chéri. Regarde moi.

Vas y Giovanni! Encule le!

Elle a à peine terminé sa phrase que toute sa queue me pénètre brusquement. J'ai poussé un râle aiguë.

La surprise, sur mon visage, est si remarquable que mon Épouse m'a avoué, lors du visionnage de cette vidéo, qu'elle avait eu un orgasme très très intense, à ce moment là.

Ma première sodomie. Les sensations sont absolument extraordinaires. C'est la premières fois que je ressens des émotions aussi troublantes.

Mon épouse m'a déjà pris le cul. Patricia avait été plutôt rugueuse. Mais là, c'est totalement différent. C'est un homme, grand et costaud, qui m'encule.

Ses mains sont puissantes, il me tient très fermement par les hanches. Ses assauts, ses vas et viens, sont beaucoup plus puissants que ceux des deux femmes qui ont joué avec mon cul.

La sensation de n'être qu'un trou pour un mâle viril change vraiment la donne.

Encore une fois, les sensations physiques associées à la situation, m'entraîne inexorablement vers la jouissance.

J'entends de loin, les râles coupés de mots en italien de Giovanni qui me défonce le cul, les encouragements de mon épouse qui nous filme.

Je ne comprends plus rien. Comme dans mon garage avec Patricia, je suis parti ailleurs. Je suis dans un état psychologique très particulier, un abandon total.

Karla a pris ma queue entre ses mains. Elle me branle. Le plaisir monte. Giovanni grogne de plus en plus fort. Son rythme s'est accéléré. Je ne suis que de la pâte à modeler dans ses mains. Il va jouir, il pousse un râle guttural. Son foutre éclate dans mon cul au même moment j'explose dans la main de Karla. L'orgasme est ravageur. Je me suis redressé, Giovanni a entouré ses bras puissants autour de mon torse. Sa bite est toujours plantée dans mon cul. Il me tient fermement. Karla continue de me branler. Elle essore ma queue jusqu'à la dernière goutte.

Tout c'est éteint pour moi. Je n'ai plus conscience de ce qui se passe.

Je suis réveillé par une langue qui me lèche le cul. Je suis toujours sur la table basse. Je suis allongé sur le dos, la tête posée sur un coussin. On tient mes jambes écartées. J'ouvre les yeux. Une grosse paire de couilles, un petit trou du cul sont la seule chose que je vois. C'est le cul de Giovanni. Ses cuisses m'entourent la tête. C'est lui qui me tient les jambes. C'est donc mon épouse qui me lèche le cul.

Je ne résiste pas. Je tend la langue. Je titille ses couilles, je lappe comme un chien avide. Il descend un peu. J'enfonce alors ma langue dans son cul. Il est carrément assis sur ma bouche. Je lui bouffe le cul. Je ne sais pas si mon épouse me voit. Sa langue s'active dans mon puit. Elle semble vouloir aspirer chaque goutte qui le remplis. Je ne suis pas en reste. Je lèche comme un mort de faim. Le goût est musqué, pas désagréable du tout. Me retrouver dans cette position est très excitante. Je sens ma queue reprendre vie. La main de Karla comme par magie a pris ma queue, elle me branle. Elle a arrêté de me lécher le cul. Ses doigts ont remplacé sa langue. Mon sexe est maintenant à son apogée. Je bande dur. Je ne vois rien. La bouche ouverte je lèche ce cul. Il est suffisamment avancé pour me laisser respirer par le nez.

Je sens que Karla frotte mon gland. C'est sa langue qui me titille avant de sentir ses lèvres engloutir mon gland. Sa langue joue avec mon percing. Ses doigts sont toujours actifs dans mon cul. La fellation ne dure pas longtemps. Elle a sorti les doigts. Je me sens tout ouvert. Giovanni a lâché mes jambes. Karla tient toujours ma queue, elle a changé de position. Elle frotte mon gland. Je comprends tout de suite que c'est sa chatte. Elle se caresse sur ma queue. Elle glisse dessus. Je sens son humidité couler. Mon sexe, mon ventre est trempe. Elle relève mon sexe, s'empale dessus. Je sens tout son poids sur moi. Les contractions interne de son vagin m'aspirent. Je suis au fond de sa chatte. Elle ne se lève pas. Elle fait de larges mouvements avec son bassin. Elle hurle son plaisir. J'entends ses cris. Ma langue est enfouie au fond du cul de Giovanni pendant que mon épouse éclate dans un orgasme très bruyant et très sonores.

Giovanni s'est relevé. Mon épouse est avachie sur moi, ma queue est toujours enfoncée profondément dans sa chatte. Elle porte encore sa robe, enroulée autour de sa taille, sa poitrine nue est collée à mon torse.

Le temps est suspendu. Nous sommes seuls au monde. Peu à peu elle émerge de son orgasme. Mon sexe est toujours enfoui dans son écrin. Elle rapproche son visage, nos lèvres sont aimantées.

_ Merci mon Chéri, je t'aime.

_ Moi aussi je t'aime.

_ si on rentrait?

_ Tout ce que tu veux mon amour.

On se relève, Giovanni n'est plus sur la terrasse. Karla réajuste sa tenue. Nous ne nous quittons pas des yeux. Nos corps semblent aimantés. Nous ne pouvons plus nous lâcher. Nous sommes enlacés, collés.

Giovanni nous rejoint.

_ Vous êtes un couple magnifique. Vous êtes très amoureux. C'est très beau à voir. Ce fut un plaisir de partager cette soirée avec vous. Je vais vous faire raccompagner.

_ Merci à toi Giovanni. Tu es un hôte merveilleux. Mais marcher jusqu'à notre hôtel va nous faire du bien. Il n'est pas très loin.

Je souhaiterais et Charles est aussi d'accord, j'en suis sûre, te revoir.

_ Tout le Plaisir est pour moi. Jeudi, je fais une petite ballade en bateau. Certaines criques ne sont accessibles que par la mer. Joignez vous à moi. Il y aura des amis. Plus on est de fous plus on...

_ Merci Giovanni, nous serons ravis de vous tenir compagnie.

_ Charles, tu devrais te rhabiller. Tu es un très bel homme. Ta bite est belle mais tu risques de provoquer une émeute si tu restes comme ça.

Il nous a embrassé tous les deux sur la bouche pour nous saluer. Il a même attrapé ma queue, joué quelques secondes avec mon percing avant de me laisser m'habiller.

Nous avons marché une petite demi-heure, le long de la côte, pour rejoindre notre hôtel. Main dans la main, amoureux comme aux premiers jours. Il doit être 4 ou 5 heures du matin.

Nous avons beaucoup parlé, de tout ce qui vient d'arriver. Nous avons passé une nouvelle étape.

Karla m'a avoué que je lui avait offert un spectacle inoubliable. Elle avait toujours fantasmé de voir deux hommes faire l'amour. Me regarder moi, son mari, faire une fellation complète, avaler son sperme et me faire enculer, avait été une expérience très très jouissive. Il lui tardait de recommencer.

Mon sexe avec ce bijou argenté est encore plus beau. Elle est très fière que je sois son mari, un homme fort, viril avec une grande et belle bite et en même temps que je sois "sa" salope soumise et obéissante.