Histoires de la Bienheureuse Agnès 05

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Agnès était maintenant folle de son corps dans cette position qu'elle affectionnait et dont elle cherchait à jouir le plus souvent. En même temps qu'elle épousait les mouvements des deux hommes, elle se mit à penser aux différentes fois où elle s'était fait prendre en sandwich. Au sauna, une fois avec Pierre qui regardait... Une autre fois par un noir et un jeune homme, tous deux très fortement montés (Voir le récit : '' Premiers sandwiches '')... Cette fois aussi avec les jeunes hollandais sur la route à quelques kilomètres d'ici... Et d'autres encore... Mais cette fois ci, c'était autre chose : une bite énorme et difforme dans le trou à bites, une autre large dans le derrière et surtout dans cette ambiance hostile où elle savait qu'elle marquait des points auprès des femmes à cause de ses capacités et puis là ici, elle était saoule ou presque et ses sens enivrés décuplaient son plaisir et ses sensations... Elle sentait qu'elle arrivait au paroxysme de son plaisir et qu'elle ne pourrait plus se contenir avant d'éclater dans les bras de ses amants. Pour temporiser, elle leur demandait à ses fouteurs :

- " Doucement, allez doucement... Arrêtez-vous là, un peu... Comme ça... sentez-vous vos bites ensemble?... Hein?... Vous les sentez au fond de moi des deux côtés... Vous me faites du bien, mes salauds... Allez reprenez, maintenant..., doucement... Là, comme ça!..."

Et lorsqu'elle sentait que plus rien n'allait la retenir et qu'elle allait tout larguer, elle fit ce qu'elle n'aurait pu faire en temps normal : elle chercha de ses mains la tête du vieux et colla sa bouche sur celle avinée du Françou en dessous d'elle et lui roula un énorme patin. Sa langue heurta la seule dent encore présente sur le maxillaire du vieux et elle faillit avoir un haut-le-cœur, mais ne retint pas son baiser. Le nabot, d'abord surpris n'avait sans doute de longtemps été embrassé de la sorte et par une jeune et jolie femme qui sentait bon de surcroît, en eut les sangs qui lui tournèrent. Dans un soubresaut formidable il déchargea son foutre abondant et chaud dans le con d'Agnès qui partit elle aussi sur le champ... Elle eut l'antre intime inondé à la fois du foutre du Françou, mais aussi de sa cyprine qui ne pouvait sortir tant le trou du con était bouché par le vit énorme du vieil édenté. Elle en eut une douleur furtive, mais violente, due à la surpression des liqueurs dans son vagin. Elle ne pouvait sortir car son enculeur la bourrait et la maintenait en place sur son baiseur... Très vite cependant, devant la jouissance des deux autres, le Jacquot, ne tint pas plus de quelques aller-et-retours supplémentaires dans le cul de la belle et il partit lui aussi lâchant sa sauce si longtemps retenue dans le fondement d'Agnès, en engueulant :

- " Ah la salope!... Elle m'a eu... Elle m'a fait lâcher tout le foutre que j'avais...!! La garce!... Ca c'est une baiseuse vous pouvez me croire...! "

- " C'est une pute, une pute!... C'est tout!...", lui retourna la Brigitte qui devait se sentir diminuée par la jouissance extrême d'Agnès... Elle continua :

- " Une pute, tu entends!... Pourquoi elle accepte de faire ça ce soir avec tous les hommes, hein, des hommes qu'elle ne connaît même pas!!... Dis-moi un peu..., tu crois que c'est pour tes beaux yeux, hein?... Et en plus elle en jouit la garce, c'est pour elle, pour son cul et son plaisir qu'elle baise, la salope...! " La Bernadette relaya la remarque :

- " Oui, oui, tu as raison la Brigitte!!... C'est une pute, capable de baiser avec n'importe qui! Comme toutes les putes!! "... Puis elle ajouta :

- " Tu vois, pour la punir vraiment, c'est pas ça que nous aurions dû faire... Elle aime trop ça et sans doute, tout ça, c'est lui faire trop plaisir!!... ".

Agnès ne compris pas tout de suite l'allusion. Elle émergeait tout juste de sa folle jouissance et qui était encore dans l'état second que lui avaient provoqué les décharges de ses amants. Le fond du vagin crépi par le sperme épais, chaud et abondant du Françou et le cul rempli du foutre brûlant et liquide du Jacquot, elle flottait encore entre les hommes qui relâchaient progressivement leur étreinte. Les bites du Jacquot et celle légèrement débandée du Françou, sortirent presqu'ensemble des orifices distendus de la jolie bourgeoise. Ce retrait libéra simultanément le flot blanchâtre, mélange de la cyprine et de sperme du con béant de la Bienheureuse Agnès... De l'œillet lui aussi très ouvert, s'épanchait le liquide plus transparent du Jacquot qui bullait à la sortie du sphincter culier. La Bernadette se précipita entre les cuisses encore très ouvertes d'Agnès et de sa langue large et râpeuse, elle ramassa les sécrétions qui maintenant se mélangeaient sur la vulve ouverte d'Agnès. Elle semblait se délecter de cette liqueur aux goûts et aux effluves très métissés... La vieille garce n'en laissait rien perdre, elle dardait sa langue tantôt dans le trou du con de l'infirmière, tantôt dans la rosette très desserrée, pour en récolter les moindres gouttes. Tout juste si elle prit le temps de dire :

- " Putain que c'est bon... Ne jamais laisser rien perdre de ça..., c'est le meilleur!... Et moi ça m'excite... Continue et baise-moi bien à fond mon joli!", dit-elle encore en s'adressant à Adrien qui continuait de la prendre en levrette. Dans la position où elle s'était mise, le visage entre les fesses d'Agnès, elle-même encore couchée sur le Françou, la grande bonne femme avait l'énorme engin de son homme qui débandait à peine, entre ses seins volumineux.

Sous les caresses de la langue de la vieille cochonne, Agnès sentait qu'elle pourrait repartir à tout moment. Son petit trou du cul lui faisait mal d'avoir été dilaté et la langue de la Bernadette la calmait avec bonheur... Quand la langue touchait son trou de derrière, elle poussait sur son fondement afin de faire s'ouvrir davantage l'anus permettant ainsi à langue d'y entrer plus avant... Elle sentait le foutre chaud couler de son vagin et rouler sur l'intérieur de ses petites lèvres ; liquide tout de suite cueilli par le bout de la langue de la Bernadette. La langue s'insinuait au-delà des petites lèvres, jusqu'aux piliers d'amour qui bordaient l'entrée du trou, renflés et meurtris par le braquemart énorme et tordu du Françou. Cette langue qui les massait et les lustrait, lui faisait le plus grand bien et calmait cette douleur sourde que provoquaient les chairs distendues. Lorsque la langue s'aventura complètement dans le trou pour pomper bien à fond le reste de foutre, Agnès sentit qu'elle ne retiendrait pas plus longtemps une nouvelle bordée de cyprine. Celle-ci se mit à couler abondamment du méat du pipi trou sur la langue de Bernadette qui s'en délectait et aspirait alors encore plus fort les profondeurs du con grand ouvert...

Ce fut à ce moment que Brigitte lâcha aussi sa jouissance dans la bouche d'Elise. La petite brune se releva d'entre les jambes de la patronne, le visage tout barbouillé de la liqueur chaude et opalescente de la rousse. La Bernadette qui se sortait d'entre les jambes d'Agnès, apercevant la jolie figure d'Elise dégoulinant de cyprine, l'attira à elle et se mit à lui lécher le visage. Johann qui n'avait pas arrêté de prendre Brigitte en levrette, avec un formidable râle, lui déchargea son jeune foutre abondant dans le con.

Agnès se releva de sa position sur le Françou. Le baiser profond qu'elle lui avait donné au plus intense de sa jouissance, lui laissait un mauvais goût dans la bouche. Elle s'aperçut que ce goût épouvantable venait de l'haleine pestilentielle que le vieux paysan à cet instant lui soufflait dans les narines. Elle en eut presque de nouveau un haut-le-cœur. Elle finit par se dégager de sa position devenue inconfortable : à genoux sur la table entre les jambes du Françou, les seins pendants frottant la bite déformée, le nez sur la bouche immonde de l'homme, les fesses levées et donnant à voir toute son intimité souillée et distendue à ceux qui entouraient la table.

A cet instant elle prit conscience de ce qu'elle donnait à voir à l'aronde : depuis sa rosette jusqu'à son clitoris en dessous de sa fente très ouverte et dilatée. Elle eut brusquement une grande honte de cette position, ce qui l'amena à accepter du rouquin le grand verre de vin qu'il lui tendit dès qu'elle fut de nouveau assise sur la table. Agnès le but d'un trait une gorgée suivant l'autre. Le verre devait bien faire un bon quart de litre... Au moins se dit-elle quand je serai saoule, ils feront de moi ce qu'ils voudront, mais sans moi! Ou plutôt sans mon consentement.

Le Jacquot, ivre de vin et les sens amollis par la jouissance qu'il n'avait pas ménagée, s'était écroulé dans l'allée entre le banc de la table et une rangée de tonneaux. Incapable de se relever seul de sa position, il grognait en rotant et en râlant contre les autres qui ne l'aidaient pas... Hélène qui était sortie un peu de sa torpeur d'éthylisme avait voulu l'aider à se remettre debout. Mais son instabilité avait fait qu'elle était tombée sur le Jacquot et se retrouvait alors couchée en travers du patron. Ainsi au lieu de l'aider, elle l'avait davantage encore cloué au sol, se vautrant sur lui. Elle lui avait saisi la bite qui ne bandait plus et le branlait en le suçant, comme si elle avait voulu le ragaillardir. Le Jacquot, avait ouvert les cuisses de la blonde et lui léchait l'entrejambes, autant que sa soûlographie lui permettait de le faire. Ils étaient donc maintenant à faire un 69, nus l'un et l'autre à même la terre battue du chai.

De l'autre côté dans l'autre allée, la Brigitte suçait le reste de sperme de son baiseur qui bandait encore pas mal. Accroupie à côté du banc, les cuisses écartées, elle se branlait d'une main la fente dégoulinante de sa liqueur, mélangée au sperme du jeune garçon. De minces filets blanchâtres descendaient de sa chatte ouverte jusqu'au sol que la terre battue de la cave absorbait plus ou moins bien. La jolie salope était échevelée et sa belle crinière rousse était collée par endroits par la vinasse et les sécrétions qui s'étaient croisées là toute la soirée.

La Bernadette s'était assise sur le bord de la table, juste à côté de son Françou qui restait allongé le dos sur la table, les talons dans le vide. Les deux pieds sur le banc, elle écartait largement les cuisses. Entre ses cuisses ouvertes, Hubert, le jeune blondinet avait pris place, les coudes sur le banc, admirant l'énorme fente de la grande femme. Sans soute n'en avait-il jamais vue d'aussi grande et surtout avec un clitoris aussi monstrueux... Le jeune homme, de quelques doigts fouillait l'intérieur du con de la Bernadette et de temps en temps, il pointait sa langue vers l'énorme clito, qu'il happait et faisait tressauter...

Elise était venue vers Armand dont elle branlait et suçait le membre. Le rouquin avait une bite bien proportionnée, plutôt longue et fine, mais d'une belle taille et avec un gland bien formé et bien dégagé qui se dressait bien raide.

Dès qu'elle eut bu le grand verre, Agnès sentit qu'elle était de plus en plus saoule. Elle eut très envie d'uriner. Ne sachant que faire, elle ne se décidait pas à y aller. Plutôt que de risquer d'être importunée en allant faire cela de son plein gré elle choisit de se faire accompagner. Ainsi, pensait-elle, elle serait plus en sécurité pour ne pas être ennuyée. Elle jeta son dévolu sur Adrien qui était juste à côté d'elle au bout de la table. Elle fit signe au petit brun de la suivre... Elle descendit de la table et d'une démarche chaotique et hésitante, s'appuyant sur le jeune homme, elle fit quelques mètres dans l'allée et tourna entre deux rangées de tonneaux. Le coin était un peu plus sombre où elle pensa qu'elle serait ainsi moins remarquée. Elle voulut s'accroupir au fond de l'allée face à la muraille, mais Adrien, tout gentil et respectueux qu'il était, la fit se retourner afin qu'elle lui fit face. Elle hésita un court instant, puis se décida et s'accroupit devant lui, jambes très écartées et la moule très ouverte. Pour Adrien, le seul fait de savoir qu'il allait voir et profiter du sexe de la femme qu'il avait désirée le plus dans cette soirée, lui faisait redresser la bite qui n'avait à aucun moment, cessée de bander... Agnès le remarqua et son trouble s'accentua encore. Mais au lieu de profiter de ce moment de flottement pour se soulager et donner sa miction le plus vite possible, elle attendait. Sans savoir trop quoi, mais elle ne se pressait pas pour se vider...

Le trouble qu'elle éprouvait à cet instant lui brassait de nouveau les sens et elle faillit perdre l'équilibre. Etait-ce dû à son ivresse ou à son trouble, elle ne saurait le dire. Ce délai de quelques secondes pour sa réflexion permit à Adrien de se mettre à genoux entre ceux d'Agnès. Le garçon brun avança sa tête entre les cuisses de la jeune femme, à quelques centimètres de sa fente. Agnès fut encore davantage troublée de sentir le souffle du garçon sur son pubis et sa fente ouverte. Le jeune homme avança la main vers son sexe, tout près des lèvres ouvertes :

- "Attends, s'il te plaît, je voudrais jouir de toi et bien te regarder pendant que tu urineras... J'ai tellement envie de ça depuis longtemps : de voir une jolie femme uriner, bien ouverte, face à moi. Et toi, tu es tellement superbe, classe et si désirable que je voudrais que tu me donnes à voir un si joli tableau!... ".

Agnès ne répondit pas, désarçonnée, certes, mais aussi profondément troublée par la demande du jeune et beau garçon. En tout cas elle ne protesta pas et ne referma pas les cuisses, ce que le petit brun prit pour une adhésion de sa part.

Doucement et respectueusement, de deux doigts il lui écarta les lèvres de la vulve juste en dessous du clitoris. Le contact des doigts sur son sexe la fit chavirer. Elle sentit qu'elle lâchait encore quelques gouttes de sa précieuse liqueur qui d'ordinaire allaient mouiller le string quand ces excitations lui arrivaient dans la journée. Là, le liquide perla au bord du trou dans l'espace des lèvres en grosses gouttes qui roulaient sur son périnée puis jusqu'à terre. Le garçon qui fixait la fente de la jolie bourgeoise d'un regard scrutateur, avait remarqué le petit épanchement et lui demanda :

- " Tu as commencé?... Mais ne te retiens pas ma belle, laisse-toi aller et libère ton envie... ". Agnès ne savait quoi répondre. Elle savait bien, elle, que ce n'était pas l'urine qu'elle lâchait, mais une liqueur tellement plus subtile et personnelle. Elle se disait que si Adrien avait compris là, qu'à cet instant elle déchargeait, il lui aurait sans doute proposé autre chose...

- " Allez, vas-y... Pisse bien ma jolie, que je te voie, avec le plaisir que tu sais!...". dit Adrien qui en même temps appuyait sur le clito et la commissure des lèvres, les retroussant de façon à bien voir la papille urinaire de la jeune femme. Agnès sentait le souffle chaud du garçon sur sa vulve et contractant doucement son pubis elle commença à uriner, la tête chavirée par ce qu'elle donnait à voir au jeune garçon...

Les images d'une soirée à l'école de Médecine, lui revinrent en mémoire. C'était lors de sa troisième année, alors qu'elle faisait un stage dans un service d'un hôpital de Lyon. Les internes avaient organisé une fête à laquelle ils avaient conviés quelques jeunes infirmières stagiaires. Au cours de la soirée évidemment très arrosée, les jeunes médecins avaient organisé des jeux à gages, gages sexuels évidemment où les petites novices s'étaient trouvées piégées... Pour Agnès, elle avait dû monter sur une table et s'accroupir au-dessus d'un pot de chambre à l'ancienne et uriner dedans. Elle se souvenait vaguement qu'elle avait depuis longtemps perdu son petit slip et que deux garçons la tenaient sous les bras au-dessus du pot, pour l'empêcher de tomber... Elle revit un instant ses jambes écartées gainées de ses bas noirs, tandis que plusieurs visages entre ses jambes et au ras de la table la regardaient uriner. Mais cette vision était un peu floue, tant elle avait bu ; plus encore que ce soir si cela est possible, car elle fut par la suite incapable de souvenir de ce qu'elle avait fait ensuite à cette soirée (Voir le récit : '' Une soirée mémorable '').

Tandis que là, même si elle avait beaucoup bu et avait la tête très chaude, elle avait parfaitement conscience de ce qui se passait pour elle et Adrien : il lui écartait la fente et elle urinait face à lui. L'urine, malgré les lèvres écartées par les doigts du garçon, filait dans un jet tendu et puissant qui heurtait le bord des petites lèvres, ce qui donnait à entendre ce chuintement caractéristique de la miction des femmes et que certains hommes trouvent si excitant... Adrien était de ceux-là. La vue du jet sortant de la petite papille juste en dessous du clitoris l'excitait terriblement. Et aussi le bruit du jet frappant les petites lèvres de la vulve de la jeune femme. Adrien était en train de prendre conscience que cette scène l'excitait sexuellement bien plus que tout ce qu'il avait pu vivre jusque là sur ce plan... Il venait très probablement de se trouver un nouveau secteur de fantasmes... Le jet avait tracé sur le sol un petit sillon dans la terre battue, éclaboussant les chevilles d'Agnès de très fines particules de terre qu'il avait soulevées. Mais le nez d'Adrien en prenait également. Le garçon n'y prenait garde et ne perdait pas une miette du spectacle si excitant qu'Agnès lui offrait... Le jet perdait maintenant doucement de sa force et descendait dans la fente ouverte, coulait à l'intérieur des lèvres de la vulve et dégoulinait sur le bord arrondi à la base du trou, avant de goutter par terre. Agnès contracta son périnée deux ou trois fois, ce qui intrigua beaucoup le jeune homme qui n'avait jamais observé cela chez une femme. Alors qu'elle allait se relever, elle vit le Françou arriver en face d'elle et regarder par-dessus les épaules d'Adrien :

- " Et toi, la jolie dame, quand tu auras fini, tu voudras bien que je te nettoie la fente avec ma langue? Ce serait extra!".

- " Elle a fini Françou, tu peux y aller, je te la laisse!... Elle pisse super, tu sais! Bien droit avec un beau jet bien tendu et ce bruit du jet sur ses lèvres, c'est super!...", ajouta Adrien en se relevant et laissant la place au vieil édenté qui vint se mettre bien entre les cuisses ouvertes d'Agnès, le nez dans les lèvres de sa vulve et la joue gauche touchant à la terre détrempée par l'urine.

- " Oh putain, il n'y a rien d'aussi bon que de nettoyer une chatte qui vient de pisser... Et en plus, une belle moule comme la tienne ...", dit le vieux en avançant sa langue dans le trou du con de l'infirmière encore tout mouillé d'urine. Agnès qui décidément ne contrôlait plus rien sentait le nez du Françou lui frotter le clitoris tandis que la langue épaisse et râpeuse du vieux lui entrait profondément dans le vagin. La langue parut immense à Agnès. Large, longue et pointue tout au bout, elle balayait les parois de l'antre de la jeune femme, léchait le pipi-trou mouillé et aspirait comme une énorme pompe en même temps que les restes d'urine, toutes les sécrétions du vagin... Décidément, pensait Agnès ce bougre n'a rien comme les autres : un braquemart déformé et hideux, mais qui vous baise comme pas deux, et maintenant une langue gigantesque qui vous fouille les moindres recoins de votre intimité!... Brusquement une pensée lui vint : et si l'haleine fétide de cette bouche immonde qui se collait à sa bouche d'en bas, à elle, venait lui polluer son trou de femme, au point qu'elle ne puisse plus accepter de bites? Non, quand même pas, pensa-t-elle!... Et puis, pour l'instant cette langue si large et pourtant agile la faisait jouir de nouveau et c'était le principal... Une nouvelle fois, sans doute pour la énième fois de la soirée, Agnès sentait qu'elle allait décharger, tant cette langue savait l'exciter là où elle aimait... Elle se dit qu'après tout le Françou ne lui reprocherait pas et elle se lâcha une nouvelle fois, cette fois dans la bouche du Françou qui n'en laissa pas perdre une goutte, aspirant la cyprine chaude au fur et à mesure qu'elle sortait, et qu'il avalait. Après avoir bien léché la nouvelle vague de liqueur, le Françou se releva d'entre les fesses d'Agnès.