Histoires de la Bienheureuse Agnès 05

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- " Oh, ben dis donc, t'es une sacrée garce, toi...! Non seulement t'as un trou à y mettre le poing, mais en plus tu mouilles comme une salope! Putain, j'ai jamais vu ça! " Et il ajouta pour Armand qui venait vers eux :

- " Tu sais, c'est un coup énorme cette salope. Tu mets ta tête entre ses fesses et elle te donne à boire pour la soirée!... Putain, c'est un super coup. Le type qui se fait une fille comme ça, il peut plus s'en passer! ... ".

- " Moi, c'est une autre tête que j'ai envie de lui mettre entre les fesses! Et depuis un grand moment, tu peux me croire!", lui répondit Armand.

Agnès revenait vers la table, quand Armand qui l'y avait précédée lui donna à boire un nouveau verre de vin. Agnès sentait qu'elle commençait à être très saoule et quelle ne pourrait pas continuer comme ça longtemps. Le vin que lui présentait Armand était d'un jaune intense. Agnès pensa d'abord que les hommes voulaient lui faire subir une nouvelle humiliation et lui faire boire leur pisse. Doucement mais fermement, elle repoussa le verre. Le Françou qui était arrivé à son côté lui dit sans hostilité :

- " Bois, tu sais c'est bon, c'est du vin jaune... C'est le meilleur et tu sais, c'est un bon reconstituant... C'est un peu fort, mais il va te remettre d'aplomb! ". La Brigitte qui elle aussi l'attendait au bout de la table, se dressait devant elle, comme montée sur ses ergots et la tançait du regard :

- " Salope, il a encore fallu que tu te distingues, hein? Que tu ailles pisser là-bas derrière avec toute une coterie pour te regarder faire!... Mais tu as le vice dans la peau ma parole!... D'abord tu vas boire, puisqu'on te le dit.! On ne te demande pas de boire, on te le commande! Pigé? ". Puis regardant le pubis d'Agnès, d'une main elle lui fit écarter les cuisses et elle lui asséna, acide et mauvaise :

- " Regarde-toi espèce de salope, quand tu pisses tu t'arroses toute les cuisses et les fesses! Regarde-moi ces traînées de pisse sur l'intérieur de tes cuisses... Tu n'a pas honte de te faire voir comme ça! ". Agnès saisit le torchon déjà très souillé sur la table et se le passa rapidement à l'intérieur des cuisses. Elle savait que ce qu'elle essuyait n'était pas de l'urine, mais le reste de sa liqueur qui lui avait coulé là, quand elle s'était remise debout... Mais elle n'insista pas sur le sujet, ayant trop peur que l'autre s'en aperçoive...

- " Salope, laissa tomber avec mépris la Brigitte, tu vois bien que tu n'es qu'une pute et même une sale pute!" Agnès ne broncha pas et s'empressa d'ouvrir la bouche pour boire le verre que lui tendait Armand. Elle but d'un trait ou presque tant elle était prête à tout accepter, y compris l'impossible.

Sur cette intervention désobligeante de Brigitte, on n'avait pas entendu La Bernadette. Depuis un long moment elle se faisait branler et sucer par Hubert, le jeune blondinet qui semblait lui faire un réel plaisir. On l'entendait juste murmurer des encouragements à son lécheur :

- " Ouiiii... Vas-y là, mon petit, lèche-moi bien! Suce-moi bien... Ta langue est bonne, tu sais!... Passe la bien dans le trou! Là, oui, comme ça... Putain que c'est bon!... ". La garce était à son affaire bien occupée de ressentir les sensations de sa fente.

Armand lui, s'impatientait et réclamait depuis un long moment déjà, que la patronne lui accorde le droit de monter l'infirmière :

- " Eh patronne, vous savez ce que vous m'avez promis l'autre soir... Je voudrais bien pouvoir y arriver, moi!", demandait-il d'un ton suppliant.

- " Oui, lui répondit la Brigitte qui voulait garder la main sur tout, ton heure arrive mon bon... On va essayer quelque chose qui devrait te plaire!... Fais-moi voir si tu bandes bien encore..." Elle lui prit la bite en main et la caressa pour en mesurer la rigidité :

- Hum, fit-elle admirative du beau sexe du rouquin, il n'y a que les roux n'est-ce pas pour bander comme ça!... C'est une très, très jolie bite, dont j'ai toujours autant envie!..." Elle cherchait en fait à valoriser les roux et les rousses dont elle était, ventant de leur sensualité et de leur sexualité débordante. D'ailleurs en temps normal dans la ferme, elle baisait souvent avec Armand. Le Jacquot le savait, mais il fermait les yeux et il n'était pas rare que lorsque le Jacquot était saoul et qu'il cuvait sa cuite toute la nuit, la Brigitte vienne rejoindre le rouquin dans sa chambre au-dessus du chai, Souvent même cela se passait avec le secours du Françou à qui il arrivait de découcher, prenant le prétexte que la Bernadette ronflait... Certes Agnès ignorait ces détails, mais cela montre qu'elle ne s'était pas trompée : la patronne, n'était pas tout à fait à sa place dans ce milieu et en tout cas c'était une baiseuse, certainement autant, voire plus qu'elle-même!

- " Tu n'a pas déchargé encore mon grand? Alors c'est ton tour!...", dit-elle à Armand. Le grand dadais fit non de la tête et ajouta :

- " Oh oui, patronne... On va la baiser avec le patron, comme on avait dit!... "

- " Non, coupa-t-elle, laisse le patron là où il est il est saoul comme un cochon et on ne peut même plus le faire bander!... N'est-ce pas, Hélène? " La fille releva à peine la tête au-dessus de la bite toute molle et débandée du Jacquot, qui devait ronfler. Puis s'adressant aux autres :

- " Et vous autres, venez vous occuper de la petite pute! " Les garçons rappliquèrent près d'Agnès, attendant les ordres. Hubert qui se tenait derrière l'infirmière, sans en avoir l'air lui flattait les fesses de sa paume ouverte. La caresse fit tressaillir la jeune femme.

- " Armand, couche-toi sur la table, ta belle bite en l'air, dit la Brigitte d'une voix d'organisatrice qui ne supporterait pas la contestation. Et toi la petite salope, mets-toi dessus!". Agnès dont la tête tournait de plus en plus, s'exécuta et se mit à califourchon sur le rouquin.

- " Non pas comme ça!... intervint violemment Brigitte, pas dans ce sens. Présente ton dos à Armand et mets-lui sa bite entre tes fesses!... Là comme ça!... Que l'on voit bien ta poitrine hideuse et qu'on puisse bien la malaxée...!" Déjà le Françou s'avançait pour chevaucher le ventre de la belle infirmière :

- " Et moi je l'enfile par devant, patronne! "

- " Non, coupa la Brigitte, toi Françou, tu l'as déjà baisée!... Tu lui donneras ton engin à sucer, pour lui fermer la gueule!... C'est toi, Adrien qui va la monter par devant... "

- " Vrai? Oh, oui, oui!! dit-il, j'en rêve!... Je vais pouvoir la prendre à mon tour? "

-- " Oui intervint Brigitte, mais pas de précipitation, hein...! "

Adrien s'empressa et escalada la table et vint se coucher sur Agnès qui se trouvait désormais dans le sandwich. Il voulut la prendre sur le champ, mais la Brigitte s'interposa pour que les bites n'entrent pas tout de suite. Brigitte expliqua alors ce qu'elle voyait pour la suite :

- " Toi, Armand dans un premier temps tu vas la prendre dans le trou du con. Il est large et tu vas y entrer facilement. Baise-là un petit moment dans cette position, elle dessus à l'envers de toi, en dessous... Et ne vas pas trop vite, hein! Ne décharge surtout pas!... Tu entends?! "

Le rouquin acquiesça et Brigitte prenant sa longue bite en main l'amena entre les lèvres de la vulve d'Agnès et l'y enfonça doucement. Le trou était si grand et si béant que le membre fut avalé directement et sans hésitation par la moule chaude et baveuse. Agnès sentit le nœud lui frotter toute la face antérieure du vagin et lui appuyer juste sur le point G, à la racine intérieure du clitoris qui se gonfla sur le champ... L'engin long et nerveux allait et venait dans son trou de femme lui caressant l'intérieur des parois et, si elle ne comblait pas complètement tout l'espace de l'antre, elle lui faisait quand même beaucoup de bien, en la limant juste où il fallait... C'est alors que la Brigitte prenant en main le membre plus court d'Adrien, l'introduisit dans le même trou, juste au-dessus de la verge d'Armand. La pénétration de ce nouvel organe dans le même orifice, fut un peu plus laborieuse... Evidemment deux bites dans le même trou, même si celui-ci est déjà très large, dilaté et accueillant, cela ne va pas de soi malgré tout... Brigitte écarta un peu les lèvres d'Agnès de sa main libre et le vit d'Adrien finit par pénétrer lui aussi, moins profondément certes, mais comme il était au-dessus, il pointait juste sa tête sur le point G, ce qui n'était pas négligeable pour l'infirmière.

Agnès sentit rapidement que les deux sexes la comblaient juste à sa mesure. Bien sûr cela n'avait rien à voir avec le vit démesuré et difforme du Françou, dont le diamètre devait encore dépasser celui des deux autres sexes ensemble, mais quand même, elle sentait que son vaste trou était convenablement bouché et cette sensation lui faisait du bien... Il fallut un petit moment et quelques allers et retours désordonnés pour que les choses se callent et que les mouvements se coordonnent. Il ne fallait surtout pas que les deux baiseurs superposés s'enfoncent ensemble dans le con. Quand c'était le cas, Agnès en retirait quand même du plaisir, celui d'être bien enconnée et bouchée, mais c'était au détriment du limage fait par les deux engins... Par contre quand les mouvements alternaient bien, elle en tirait davantage de plaisir du fait du frottement tantôt en haut tantôt en bas, de ses parois...

Brigitte ne manquait pas de bien observer la manœuvre et au besoin de la diriger, en ralentissant les fesses de l'un de l'un ou de l'autre. Quand la cadence fut installée, elle passa sa main sous la cuisse droite d'Agnès et vint lui mettre un, puis deux doigts dans le cul. Elle avait remarqué que la jeune infirmière adorait cela plus que tout : d'être bien baisée devant et un doigt ou deux dans la rosette. Elle ne se trompait pas, c'était là un déclencheur fort pour la montée de la jouissance d'Agnès.

Une fois dans une soirée à Lyon, Agnès s'était faite fister complètement le cul par une main de femme jusqu'au poignet, tandis qu'un amant bien monté la baisait par devant. Elle en avait éprouvé une jouissance inoubliable (Récit : '' Une expérience très particulière '')... Les deux jeunes hommes s'activaient dans son antre. Elle sentait le plaisir monter et elle ne put s'empêcher de dire à mi-voix ses fantasmes du moment :

- " Ah, oui, c'est bon,... C'est bon!... Allez-y, limez-moi bien mes chéris!... J'aime me faire baiser comme ça!... Oh oui... Deux bites ensembles dans le même trou, c'est bon! Continuez...". Et elle attrapait Adrien par le cou et lui roulait des pelles d'enfer. Le garçon ainsi flatté redoublait d'efforts pour la satisfaire. Agnès sentit son orgasme monter. Les deux doigts dans son œillet complétaient son bonheur... Ses cuisses se mirent à trembler et à être agitées de soubresauts convulsifs. Elle connaissait bien ces signes qu'elle ne pouvait contrôler. Brigitte aussi les interprétait dans le même sens et encourageait les deux baiseurs :

- " Allez-y mes salauds, ne relâchez pas!... Continuez!... Elle va jouir... La salope est prête à éclater une fois encore... Hein, putain, que tu aimes ça!? ". Et Agnès, complètement accaparée à sa jouissance montante, de s'entendre répondre :

- " Oh oui... Ouiiii, j'aime ça!... Continuez!... Je viens!... Je viens!!".

C'est à ce moment qu'Adrien qui depuis quelques instants déjà résistait pour ne pas partir lui aussi et tout lâcher, se mit à jouir en gueulant :

- " Ohoooo! Putain... J'en peux plus... Tu me fais décharger, cochonne... J'ai jamais baisé comme ça... Tu es bonne, ma coquine!... T'es super!... Je t'aime!..." Il se crispa pour décharger au beau milieu du con de la jeune femme, son foutre chaud. Agnès eut la sensation que la décharge était si abondante qu'elle lui remplissait le vagin. Et l'éjaculation du petit brun détermina son orgasme. Sa liqueur déferla sur la bite d'Armand et profita de la sortie de celle d'Adrien qui se ramollissait déjà pour couler à l'extérieur. Séance tenante Armand dont le vit était inondé de tout côté par le sperme d'Adrien et par la cyprine d'Agnès, montra qu'il allait jouir à son tour. Mais la Brigitte toujours attentive s'en aperçut et sortant les doigts du fondement d'Agnès, s'empara prestement de la bite d'Armand pour la sortir du con avant qu'elle n'explose et la glisser entre les fesses de l'infirmière. Agnès sur l'instant compris la manœuvre et s'écria :

- " Ohhh... Oui, oui... Dans le cul!... Dans le cul!... Mets-moi la dans le cul!... Décharge-moi derrière, oui... Oh lala, oui, derrière...! ".

Brigitte eut juste le temps de réintroduire la longue tige d'Armand dans la rosette d'Agnès que déjà le rouquin lui déchargeait dans les entrailles. Agnès que cette pratique excitait au possible, déchargea encore une fois le reste de sa cyprine qui coula sur la hampe du vit d'Armand, lui inondant les couilles et l'intérieur des cuisses... La Brigitte, la fustigea encore :

- " Ah putain!... Encore?... Mais tu vas te vider pauvre catin... Dis-moi pourquoi tu décharges comme ça tout le temps dès que tu te fais baiser...? Hein... C'est le propre des salopes, ça non?... " Agnès qui n'était pas encore sortie de son orgasme ne répondit pas. Elle avait maintenant soif, très soif. Et elle savait que c'était là le signe qu'elle était ivre : la tête chaude prête à éclater et la soif... Et sans doute aussi, se disait-elle, elle se sentait capable de faire tout ce à quoi on l'avait contrainte...

La Bernadette, toujours les fesses sur le bord la table et appuyée sur ses coudes était en train de se faire mettre par Hubert. Elle aussi était saoule, bien que ce ne soit pas facile à voir car elle tenait bien l'alcool. C'était surtout à sa voix pâteuse et à son manque d'articulation que l'on pouvait voir qu'elle avait trop bu. En bafouillant, elle fit remarquer :

- " Alors comme ça, la petit putain a encore déchargé!... Non, mais c'est bien la preuve qu'elle aime les mecs et surtout leur queue, hein?!... ". Puis s'adressant à Hubert qui la baisait à genoux sur le banc entre ses cuisses très écartées :

- " Et toi, mon joli, j'aime ta jeune queue, elle est superbe, mais tu vois, je ne te sens qu'à peine... Il me faut un autre calibre, à moi, hein... Tu vois mon Françou?... Eh bien, tu as compris ce qui me va... Tu sais ce que je voudrais là, c'est que tu prennes la bouteille vide là à côté et que me branle le trou avec!... Si, si!... Ne me regarde pas comme ça... Fais ce que je te dis, et tu verras!... ". Disant cela, elle attrape elle-même la bouteille à côté d'elle et repoussant un peu Hubert qui ne la désenconne pas complètement, elle se met le goulot dans le trou en même temps que la bite du jeune blondin.

- " Là, tu vois garçon qu'il y a de la place pour les deux! Tiens, recule-toi un peu et enfonce doucement la bouteille tu vas voir...! "

La coquine avait posé ses chevilles sur les épaules d'Hubert de sorte qu'elle avait les jambes écartées et très relevées et sa fente très ouverte. Le blondinet enfonça doucement la bouteille qui entra presqu'aux trois quarts dans le trou qui paraissait sans fond. Puis il la fit aller et venir dans l'orifice qui aurait pu, au niveau du diamètre, prendre une autre bouteille de même dimension. A chaque fois qu'il entrait de nouveau la bouteille, celle-ci s'enfonçait davantage dans le con, au point qu'après quelques allers et retours, elle disparaissait presqu'entièrement... Les autres, Adrien, Armand, maintenant soulagé, Elise et aussi le Françou avaient fait cercle autour du duo. Seule Brigitte était restée un peu à l'écart et observait la scène depuis l'autre côté de la table. Johann s'était mis à genoux sur la table et soutenait la Bernadette dont il maintenait la tête légèrement relevée, afin qu'elle voie bien la manœuvre qu'elle dirigeait. Le portugais s'était traîné sous la table jusqu'au niveau du groupe et la tête au niveau du banc, il était juste en dessous des cuisses ouvertes de la Bernadette qui se faisait goder le con. Le Jacquot, gisait au même endroit que tout à l'heure dans la rangée de tonneaux la plus près de la table. Il cuvait son vin en dormant, la queue molle, pendante entre ses jambes. La blonde Hélène avait du lui pisser dessus, car il avait les fesses et le torse qui baignaient dans une sorte de mare, partiellement bue par la terre battue. La fille était assise à côté, le dos appuyé à un tonneau, les cuisses écartées et la chatte aux poils blondinets à l'air. Elle avait l'œil torve d'une femme ivre et elle buvait à petits coups au goulot d'une bouteille de vin à moitié pleine.

Agnès était restée assise sur la table, les jambes en tailleur, les fesses dans son foutre qui avait inondé la table. Sa fente était ouverte et le trou du con, plus dilaté que jamais était béant. Elle contemplait la scène du godage de la Bernadette dans un état second dû à la fatigue, à l'ivresse qui l'habitait désormais et au surréalisme de la situation... La Bernadette se faisait pistonner et accompagnait de son bassin, le mouvement de va-et-vient donné par Hubert à la bouteille. Elle poussait des " hans " pour scander ses poussées vers l'avant de la bouteille que son con enfournait complètement :

- " Oui, vas-y petit, là, c'est bon... Enfile-moi bien à fond...! Que je sente bien le goulot qui bute au fond...! Ah putain, c'est bien meilleur quand on me le fait!.... Je me le fais souvent, mais c'est pas pareil...! Pousse bien mon joli... Eh Armand, je boirais bien un coup, moi, j'ai soif bordel, c'est sans doute de décharger comme ça... Ah oui, un goulot enfoncé en bas et un autre en haut!!... " Et le godage continuait, sans précipitation mais avec régularité... Armand qui maintenant se substituait au patron, revenait avec une bouteille de vin jaune qu'il déboucha en disant :

- " Françou, va en chercher quelques bouteilles et sert à boire à tout le monde! ". Puis il enfila le goulot dans la bouche de la Bernadette. Le breuvage coulait dans la bouche de la vieille femme qui l'avalait à longs traits. Elle but ainsi plus de moitié de la bouteille :

- " Putain ça fait du bien!... Ca rafraîchit!... J'en avais besoin!... Bondiou, que c'est bon...! Allez petit, vas-y..., n'arrêtes pas, je sens que je monte...! ".

Le Françou revenait et servait un verre à tout le monde et aussi aux femmes. Agnès avait elle aussi très soif et ne refusa pas le verre bien rempli que lui tendait le Françou. Elle en but une grande gorgée. Le vin était si fort qu'elle se mit à tousser et à s'étouffer. Cette première gorgée lui brûlait la gorge, la langue et le palais. Ce qu'Agnès ne savait pas c'est que ce vin jaune, très liquoreux pesait dans les 18 à 20 degrés d'alcool, ce qui le faisait ressembler à des liqueurs espagnoles. La tête lui tourna immédiatement. Elle but encore plusieurs gorgées, car les suivantes lui parurent moins violentes et moins agressives. Ce fut le Portugais qui fut atteint le premier : il retomba de tout son long sous le banc, assommé par l'alcool contenu dans les deux verres qu'il avait avalés. Puis Elise qui ne s'était pas méfiée du breuvage, se mit à tituber et ne resta debout que parce Adrien et Armand la tinrent entre eux, la pelotant et la branlant en face de la Bernadette. Celle-ci elle tenait le coup, car elle haletait de plus en plus fort...

Le Françou, très éméché lui aussi, était venu derrière la Brigitte qui depuis un temps assez long maintenant, ne buvait pratiquement plus. Il lui passait son gros braquemart, dont on ne savait dire s'il avait débandé tant il était énorme, entre les fesses, se frottant à elle. Agnès qui avait toujours aussi soif, s'était affalée sur la table et la tête appuyée sur un coude regardait sans trop voir la Bernadette qui commençait à jouir. L'infirmière avait le regard des jours de cuites : un regard vitreux et vide, dont les mouvements oculaires semblaient n'avoir aucun sens, aucune suite logique...

- " A moi, salauds!..., gueulait la Bernadette au bord de la jouissance, vas-y mon gars pousse encore plus, je vais partir... Oh, putain... Il me faut une bite dans chaque main en même temps que j'ai le con rempli... Toi, viens!, fit-elle à Johann, qui de derrière elle, passa à côté, et toi aussi mon beau brun!", dit-elle à Adrien.