Hypnose Mécanique 14

Informations sur Récit
Le retour de Jonas.
4.8k mots
4.8
5k
2

Partie 14 de la série de 19 pièces

Actualisé 06/16/2023
Créé 12/04/2016
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Ceci est une fiction, aucun des personnages de ce texte n'est réel. Les personnages irréel de ce texte sont tous consentant pour y apparaître. Une fois le texte terminé, ils sont tous retournés à leurs vie inexistantes sans aucune séquelles, ni blessures. Un peu comme n'importe quel personnage imaginaire d'un livre.

Ce texte étant quand même d'une certaine façon assez violent, je ne le recommande qu'aux amateurs du genre. Pour les non amateurs, vous pouvez bien entendu le lire, mais prenez alors vos responsabilités. Après si c'est pour commentez que ce texte est choquant, violent, voir très ou trop violent, que c'est mal ou des trucs du genre, ben oui, je viens de vous le dire. En cas de doute relise cet avertissement jusque à bien le comprendre. En tout cas, à tous, bonne lecture.

Jonas : Moi, le héros de ce texte et des treize chapitres précédents. Après m'être amusé avec ma sœur et Siobanne mon premier amour, je décide de passer à d'autres.

Aziza : Policière tombée sous ma coupe.

Le commandant Aziza Qumicha, de la police nationale, gare sa voiture dans le parking de cette superbe villa qui surplombe la ville. Elle se retient de pleurer, mais elle sait que son sort est bien plus enviable que celui de Jess, sa collègue qui sert de pute à flics la journée, et de pute à voyou la nuit, dans une cave sordide d'une cité chaude, où elle est prostituée en tournante. Aziza regarde le gros dossier qu'elle a emmenée, mais le laisse sur le siège passager. Elle viendra le chercher quand son maître le lui demandera.

Aziza sait parfaitement comment son maître à eut cette maison. La fille du précédent propriétaire en a hérité, ainsi qu'une florissante entreprise multinationale qu'elle a vendu pour près d'un milliard d'Euros. Le chiffre paraît dingue, mais c'est un fleuron de l'industrie française qui à été vendu là. Heureusement, à une multinationale française encore plus importante. La fille âgée de quarante ans, fait maintenant la pute chez Radiu, un proxénète local, qui règne sur les bars à pute, les escortes et tout ce qui concerne la prostitution de majeur de la ville. Avec un associé qui n'est autre que le père du maître d'Aziza. Maître qui est donc devenu le propriétaire de la villa, mais aussi de tout les comptes de la malheureuse héritière qui passe dix-huit heures par jour à se prostituer. Cette société à été racheté par "Igor International", dont le PDG est devenu le seul véritable ami proche du maître d'Aziza.

Aziza descend de voiture, mais elle laisse la portière conducteur ouverte. Elle retire ses chaussures, puis ses chaussettes qu'elle met dedans, avant de poser le tout sur le siège conducteur. Ensuite c'est Son holster qu'elle enlève et pose sur le siège. Suivit de son jeans et son chemisier qui suivent le même chemin. Elle a de petits seins en cône, donc elle ne met jamais de soutiff. Par contre elle retire son string blanc.

La jeune policière se met à quatre pattes, les graviers du parking lui font mal. Elle avance, emprunte des escaliers. Arrivée devant la porte de la superbe villa, elle n'est pas surprise de la voir ouverte. Son maître l'attend. Aziza entre dans le hall. La voix de son maître retentit alors :

- Je suis dans le salon. Tu es à l'heure, c'est bien, tu es une bonne chienne.

Aziza en sourit presque. Cela veut dire qu'en plus de la violer, son maître ne va pas la battre. C'est déjà ça.

Toujours à quatre pattes, elle se dirige vers le salon. Son maître s'y trouve, assit dans un fauteuil. Aziza se place au milieu du salon. Se tourne pour que ses fesses fassent face à son maître. Elle pose sa tête sur le sol, le contact froid des carreaux avec sa joue gauche la surprend un peu. Aziza met alors son cul en buse. Elle écarte ses fesses de ses mains. Elle dit :

- Le trou-du-cul bien serré de votre chienne est prêt maître. Il n'attend que votre bon vouloir. Enfoncez votre bite dedans dès que vous le souhaitez.

Aziza fond en larmes en disant cela. Pourtant elle devrait être habituée depuis le temps que cela dure. Malgré elle, quand elle entend les bruits de pas de son maître, Aziza contracte son anus. Elle sait que c'est plus douloureux comme cela, mais elle ne peut s'en empêcher. Dès que la bite commence à la pénétrer, la jeune et belle policière maghrébine se met à hurler.

Le maître de Aziza, c'est moi, Jonas. Trois ans se sont passé depuis la dernière fois où je vous ai raconté mes aventures. Je reviens aujourd'hui pour un petit tour. J'encule avec plaisir cette salope de flic. En plus d'être canon, elle a un corps de fou, puis c'est un des meilleurs coups que je connaissent. Serré de partout. Le fait de contracter son anus quand je l'encule est un ordre que je lui ai donné par l'intermédiaire de mon invention. Une machine qui vous mets comme sous hypnose, et vous oblige à obéir à tout les ordres que je vous donne. Je passe une soirée avec Aziza deux fois par mois. Des fois plus si j'en ai envie. C'est la seule de mes esclaves mental que je ne prostitue pas. J'en ai besoin pour autre chose. Remarquez, si je le voulais, cela ne serait pas gênant. L'utiliser pour ce dont j'ai besoin, et la prostituer s'entend.

Mais je 'amuse bien mieux avec elle comme cela. Je lui ai fais monter les grades. Je l'ai connue comme lieutenant, maintenant elle a le grade de commandant et de chef de groupes. Spécialisée dans les crimes sexuels, et la traque de tueurs-en-série. Elle est devenu capitaine, grâce à la découverte et la capture, d'un violeur en série, qui a sévit dix ans dans toute l'Europe. Frappant des victimes de tout âges, de préférence féminine, mais aussi un tiers de victimes masculines. Près de cinq cents, dont seulement dix pourcent ont portés plainte. Mais lui à gardé, sur son téléphone portable, la photographie des cartes d'identités de chacune des femelles et des mâles qu'il a forcé sauvagement pendant toute une nuit. Toutes les polices de huit pays différents, n'y ont vu que du feu. Il n'a jamais laissé d'ADN ou d'empreintes.

Pour l'avoir cela à été facile. Ayant amélioré mon invention, je n'ai quand même pas pris le contrôle de ma ville, c'est impossible. Avec Aziza comme chauffeur, j'ai dus quadriller la ville. Je ne peux pas mettre tout un quartier sous contrôle non plus, mais je peux lancer un désir puissant et irrésistible. Celui que j'ai imposé est que les violeurs en série inconnu de la police me contact par mail. Après le choix à été facile, il n'y en a eut qu'un. Le chiffre aurait été de zéro, j'aurais élargis mes recherches aux ville adjacentes. Mais bon, je n'ai pas eus besoin d'utiliser ce moyen.

Son arrestation à fait du bruit, de même que la surprise qu'un criminel sexuel avec autant de victimes n'ai jamais été repéré. Aziza quand à elle, à été aussitôt promu capitaine. Rapidement, elle a fait craqué des violeurs, des pédo-criminels, des esclavagistes sexuel. Un petit tour avec moi, est dès que je sais qu'ils sont coupable, hop, un tour chez Aziza et les aveux tombent. En moins de un an, encore hop, la belle est commandant. Son nombre d'affaires résolus étant exponentiel, on parle d'elle pour le grade de commissaire, sans avoir à passer le concours. En trois ans, c'est un joli coup. Une juste récompense pour la policière française au plus fort taux de résolution.

Si on la voyaient, là, à genoux dans mon salon, en train de hurler de douleur, de me supplier d'arrêter, cela ferait scandale. Mais bon, vu que je prends mon pied avec cette salope, autant en profiter pleinement. Alors je fais durer le plaisir, me retenant de jouir dans son trou-du-cul si serré. Quand enfin je n'en peux plus, j'éjacule en gémissant. Tandis que Aziza, en sentant ma semence jaillir dans ses entrailles, sanglote plus fort.

Je lui arrache un ultime gémissement, quand mon gland repasse son sphincter. Je me lève et vais m'asseoir dans le canapé. Aziza m'y rejoint en marchant à quatre pattes. Gémissant de douleur, tant son cul lui fait mal. Elle se met à lécher mon sexe comme la bonne chienne qu'elle est. Je lui caresse ses cheveux frisés.

- Ne va pas au bout. Ce soir on dort ensemble, il faut que je garde des forces. Nettoie seulement.

Bien entendu, je n'ai pas besoin de prendre de forces, les pilules que j'ai inventé sont là pour cela. Mais ça, ma petite chienne n'a pas besoin de le savoir.

- Bien maître.

Une fois mon sexe propre, Aziza le lâche et se met à genoux, tête baissée, dans un position de soumission que j'adore.

- Bien, tu as des trucs pour moi?

- Oui. Quarante plainte sur le département cette semaine.

Un chiffre bas, en France il y a quarante-cinq plaintes par jour pour viol, pour un total de seize mille cinq cents par an. Avec le tourisme, on est le département le plus touchés après Paris. Aziza reprend :

- Dont deux qui pourraient vous intéresser hautement.

Aziza se remet à quatre pattes, et avance pour sortir.

- Vas-y en marchant, ce sera plus rapide.

- Bien maître, merci de me permettre de me relever maître.

Je mate son cul splendide, d'où ma semence s'échappe encore, tandis que la belle marocaine quitte la pièce, grognant toujours de douleur.

Je rebande rien qu'à penser au cadeau de Aziza. Violer une deuxième fois des filles tout juste violée, c'est mon pêché mignon. Mon dada, ma passion. Aziza met moins de quatre minutes pour aller à sa voiture et revenir avec son gros dossier. Elle me le tend, je le feuillette rapidement. Les filles sont jolies, mais la plupart ont subit des viols lambda. Un ami, un collègue, un voisin. Les inconnus ne représentent que quarante pour-cent des viols, à peu près la moyenne nationale. Comme je le lui demande, les dossiers des filles qui peuvent m'intéresser le plus, doivent se situer en dernier. Là, c'est vrai que je bande. Le deuxième cas le plus intéressant est une jeune femme de vingt-cinq ans. Violée par son patron et quatre de ses collègues lors d'un stage de cohésion. La fille est une splendide rousse, à petits seins, mais cul parfait. Je le vois sur les photos du légiste. Les viols sont classiques, mais se sont espacés sur cinq jours. J'aime l'idée.

Le top est une directrice de banque de trente ans. Une blonde digne de la beauté d'une miss, avec un corps de fou. Gros seins, cul splendide et chute de reins divine. Violée un jeudi férié, jusque au lundi matin. Pendant tout un pont. Les violeurs, se sont acharnés sur elle. La violant, mais aussi la battant et la torturant. Je constate que cela c'est passé il y a trois mois.

- Pourquoi tant de temps entre le viol et la plainte?

Après l'arrivée du SAMU, elle a été opérée d'urgence, analement et vaginalement. Cela à nécessité une opération de plus de dix heures vu les dégâts. Donc longue période de repos ensuite, sous calmant. Puis un mois en maison de repos, sous calmant là aussi. Je n'ai donc pus enregistrer la plainte et recueillir son témoignage qu'hier.

- Bien, je vois que tu as les noms de ses trois agresseurs.

- Oui, elle a interdit bancaire l'aîné d'une fratrie de trois frères. Ils se sont vengé sur elle comme cela. Je ne les ai pas encore interrogé. Je veux savoir si je dois officiellement enregistrer sa plainte ou pas.

- Ne l'enregistre pas. J'ai là un beau sujet, je vais m'amuser avec. Pareil pour la pute du stage de cohésion. Aucune des deux ne portera plainte, enfin officiellement. Je garde les dossier pour les lire plus tard.

- Bien, je vais donc tout faire disparaître.

- C'est mieux en effet. En parlant de viol, on va se coucher? J'ai encore envie de ton cul. Puis de ta chatte aussi.

Avec délectation je vois Aziza se mettre à pleurer en pensant à ce qui l'attend. Néanmoins elle me répond :

- Bien maître.

On monte dans la chambre. Je la baise pendant trois bonnes heures. Jouissant dans son vagin, son cul ou sa bouche. Sur son visage aussi. Aziza, sous mon emprise, se laisse faire. Pour elle, ce que subit la jeune femme est un viol. J'adore cela. Pendant longtemps, je me suis servis de mon invention pour me venger. Sur ma sœur Léa, ma belle-mère Martha, sur Siobanne que j'ai longtemps aimé comme un fou. Mais cela m'a changé. Je ne me venge plus maintenant, je suis un agresseur, un pervers, un violeur. Je suis devenu les oppresseurs qui m'ont torturé toute ma jeunesse. Mais mon dieu que c'est bon.

C'est repu que je m'endors vers les deux heures du matin. Le téléphone d'Aziza sonnera à sept heures du matin. J'aurais dormis comme un loir. Après avoir pissé, j'ai encore sodomisé la jeune policière de vingt-six ans. La faisant gueuler, tandis qu'elle contracte à fond son anus et son intérieur. Comme j'aime. Une fois que j'ai jouis en elle, Aziza va se prendre une douche. Je la rejoins. Elle me lave, puis me suce. Je suis sympa sur le coup, je ne lui inflige pas plus de saloperie, alors que je le peux aisément. Je pars en même temps qu'elle. J'ai envie de nouveauté aujourd'hui. Je garde les deux salopes fraîchement violée pour plus tard. Là, je veux de la fille fraîche. Je sais où faire facilement mon marché. Il y a des tas d'endroits pour cela, par exemple : les centres commerciaux, les supermarchés, les transports en communs.

Mais avant tout cela un petit tour au supermarché du coin. Une jeune étudiante se prénommant Linda, qui y travaille en job étudiant les week-end et les vacances scolaires s'y trouvent. On est en pleine vacances de pâques. J'ai longtemps cherché comme tourner la chose pour m'amuser avec elle, j'ai enfin trouvé. Il est onze heures quand je quitte ma villa. Je l'ai déjà mise sous hypnose grâce à ma machine. Pas grand chose, juste pour qu'elle m'envoie ses horaires. Je sais qu'aujourd'hui elle a commencée à huit heures trente.

Linda est une magnifique brune à la peau mat. Des yeux en amande, un visage parfait, des seins moyens et un petit cul d'enfer, superbement bombé et bien mis en valeur par une chute de reins vertigineuse. Elle à de longs cheveux noir de jais et frisés. Elle ressemble, en bien plus bandante, à Emmanuelle je ne sais plus quoi, qui redécore des maisons qui ont du mal à sa vendre sur je ne sais plus quelle chaîne nationale.

Elle doit aussi m'envoyer un message quand elle va en pause, et quand elle remet en rayon les produits abandonnés. Je lui ai implanté mes ordres la veille, en passant à sa caisse. Enfin ceux pour les SMS concernant ses pauses et la remise. Pour le reste, cela fait deux mois qu'elle m'envoie ses horaires. Mais submergé par mes conquêtes et mes affaires, je n'ai pas pus m'en occuper avant. Avant d'entrer dans le supermarché, je prends le contrôle de tout ceux qui s'y trouve, leurs intimant l'ordre de ne pas comprendre ce qu'il se dira entre Linda et moi.

J'ai encore amélioré mon invention depuis trois ans. Je me suis implanté une puce dans le bras droit. Je n'ai plus qu'a pensé pour prendre le contrôle de mes cibles. J'ai quand même besoin d'un boîtier au poignet, aussi gros qu'une petite montre. Il fait office de convertisseur, transformant mes ondes cérébrales transmises par la puce en ondes hypnotique. Je peux maintenant contrôler aussi bien une seule personne qu'une surface de cinq mille mètres carrés. J'ai également amélioré mes pilules. Elles permettent de bander huit heures, avec éjaculation à volonté. Elle augmentent aussi la taille du pénis, pour se caler sur celle du célèbre acteur X italien. Vingt-cinq centimètre pour un diamètre de huit, une vraie poutre. Mais cet effet ne dure que le temps de l'action de la pilule, après le sexe masculin reprend sa taille originel.

J'y vais à pied, le magasin se trouvant à moins de cent mètres de chez moi. Je ne sais pas si la caissière que vais voir habite loin, mais peu importe, car bien qu'elle ai une voiture, je sais que je ne vais pas rentrer avec elle aujourd'hui. Je ne compte pas avoir un rendez-vous avant une semaine, je veux juste en créer les bases. La gare SNCF n'est pas loin, je décide que c'est par ce moyen que je vais baiser aujourd'hui. J'espère que les voyageuses du train que je vais prendre seront bandante. Mais vu les canons que l'on trouvent dans le sud-est de la France, je ne me fais pas de soucis pour cela.

J'entre dans le magasin, je vois que Linda n'est pas en caisse. Je vais dans les rayons, je la croise au rayon vin, en train de chercher où se range une bouteille de Bordeaux. Mentalement, en m'approchant, tout en appuyant sur un bouton sur ma montre, je la met sous le pouvoir de ma machine. Malheureusement, je dois parler à voix haute, je ne peux donner mes ordres mentalement, cela serait tellement mieux. Seule les envies peuvent s'ordonner uniquement par la pensée, mais je ne peux aller au dessus du désir irrésistible d'envoyer un mail. Comme je l'ai fais pour faire monter de grade Aziza. Je suis en train de travailler là-dessus, mais cela prend du temps. Je me mets devant elle.

- Qui je suis?

- Le maître.

- Et toi?

- L'esclave.

- Bien. Parlons peu mais utile. Tu as un copain?

- Pas depuis trois mois.

- Tu as couchée souvent avec?

- Une fois par semaine. Depuis qu'il m'a dépucelé à dix-sept ans. Soit pendant un an et deux mois.

- Tu l'as sucé?

- Oui, en préliminaires, jamais jusque au bout.

- Sodomie?

- Jamais.

- Parfait. Tu as quel âge exactement?

- Dix-huit ans et cinq mois.

- Tu as connu d'autres hommes que lui?

- Non.

- Pourquoi? Tu es bien bandante pourtant.

- C'est lui qui m'a quitté. Je l'aime encore comme une folle. Je ne peux pas coucher avec un autre que lui. Ce n'est pas mon genre le sexe pour le sexe, il me faut des sentiments, de l'attention, de l'amour...

- D'accord. Tu me trouves comment?

- Horrible. Vous êtes vraiment moche.

- OK, tu coucherais avec moi?

- Non, vous me dégoûtez.

- Maintenant c'est moi que tu aimes comme une folle. Un problème?

- Non. Vous êtes le maître, vous décidez.

- Tu me trouve toujours aussi horrible, mais tu m'aimes quand même.

- D'accord.

- Maintenant chaque fois que tu me verras, tu auras un orgasme cinq fois plus fort que le plus fort que tu ai eus. Tu as eus beaucoup d'orgasmes avec ton ex?

- Deux.

- Fort?

- Un bof, l'autre oui.

L'orgasme étant autant physique que psychologique, je ne me fais aucun soucis sur le fait qu'elle en aura de puissant en me voyant.

Je continue mon petit interrogatoire pour la cerner.

- Tu aimes le sexe?

- Je vous l'ai déjà dit, c'est non si il n'y a pas d'amour.

- Exact. Tu te masturbes?

- En couple jamais, quand je suis célibataire, oui.

- Souvent?

- Deux fois par semaine.

- Avec un gode?

- Non, juste mes doigts. Parfois avec en plus le jet d'eau de la douche.

- Dorénavant, chaque fois que tu te masturberas, ce sera en pensant à moi. Et à chaque fois, ta petite séance te mènera à un orgasme puissant. Très puissant même.

- Bien, maître.

- Tu as été vraiment amoureuse souvent?

- Deux fois. Mon petit ami du collège, puis celui du lycée, celui qui m'a dépucelée.

Je souris, mon invention est vraiment formidable, on ne peux ni me mentir, ni rien me cacher.

- Dorénavant tu m'aimes dix fois plus que ton plus grand amour. Amour qui augmentera de un pour-cent à chacun des orgasmes que tu auras en me voyant ou en te masturbant.

Cela peut paraître compliqué, mais le cerveau fait la traduction tout seul. Il fera ce qui est demandé. Je n'ai aucun souci à me faire. Il transforme chacun de mes ordre en pulsation électrique que seul le cerveau peut comprendre, mais qui une fois la prise de contrôle passée, fonctionne parfaitement. Par contre si je mets le pourcentage bas, c'est volontairement, pour que son amour pour moi ne deviennent pas rapidement impossible à gérer quand elle me verra.

- Pour le reste, c'est toi qui décide de ce qu'il se passe. De comment tu vas gérer la chose, ton amour pour moi, tes orgasmes en me voyant.

- Bien maître.

- Tu vis chez tes parents?

- Non, j'ai un petit studio dans un petit immeuble étudiant en centre-ville.

- Combien d'étages et d'appartement?

Trois étages. Pas de rez-de-chaussée, quatre studio par étage.

12