Hypnose Mécanique 14

- Beaucoup de filles?

- Cinq.

- Jolie?

Bof, sauf Sophie ma voisine, qui elle est un vrai top model. Elle vient d'arriver de Nantes. C'est un vrai canon, avec un corps parfait.

- Bien. Tu oublies cette conversation. Seul mes ordres perdurent.

- Bien maître.

Je lui dis, pour finir :

- Reviens à toi.

Le cerveau mets cinq secondes pour revenir à lui. Linda quitte sa situation de transe, et reprend la remise des articles oubliés comme si rien ne s'était passé. D'ailleurs pour elle, rien ne s'est passé.

Je fais le tour de l'allée où je suis. J'arrive dans celle où se trouve Linda. Elle vient juste de remettre sa bouteille de vin. Elle continue avec son caddy d'articles à remettre. Quand elle me vois elle se fige. Je vois ses mains serrer fort la barre du caddy. Sa bouche se forme en un « o », ses pupilles se dilatent. J'entends un « oooohhhh » puissant et sonore. Ses jambes se serrent, son corps tressaute. Je pense que sans le caddy, elle se serait retrouvée à genoux sur le sol. Je souris en voyant que son plaisir à été intense.

- Vous allez bien mademoiselle?

Une cliente d'une cinquantaine d'année la regarde. Linda reprend ses esprits, ses yeux se posent sur moi, puis vivement, se détournent. Les deux autres clients présent dans le rayon regardent aussi la magnifique et jeune caissière.

- Oui... oui... une crampe fulgurante...

La cliente lui sourit.

- Il commence à faire chaud. Buvez beaucoup d'eau.

- Merci, je vais suivre votre conseil.

Je vois Linda quitter l'allée en remerciant la cliente. La belle étudiante se demande pourquoi elle a eut cette réaction en me voyant. Surtout qu'elle sent bien que sa culotte est trempée. L'origine du liquide ne faisant aucun doute pour elle, c'est de la cyprine. Linda se dit qu'elle n'a pas eut beaucoup d'orgasmes dans sa vie, mais malgré son jeune âge, elle sait très bien en reconnaître un quand cela lui arrive. Et là, ça ne fait aucun doute, elle vient de jouir. Troublée, elle reprend sa remise en rayons, se posant mille questions dans sa tête.

Moi, je file vers les caisses, j'attrape une petite bouteille de soda. Je passe à une caisse vide. Une fois sortie du magasin, je me dirige vers la gare, à dix minutes à pieds d'ici. Ma grande villa est très bien placée. Seule au fond d'une allée, elle est prêt de toutes les commodités. Jusque à la gare, je croise plusieurs femmes, de tout âges. Aucune ne me fait vraiment vibrer. Puis arrivé à la gare, où il y a une vingtaine de personnes, je vois un couple d'une vingtaine d'années. La fille me fait instantanément bander. C'est avec elle que je vais m'amuser. Quand je prends le contrôle d'une fille, je fais suivant mon envie. Des fois c'est doux, mais la plupart du temps, c'est violent. Et là, j'ai envie de la violer, de l'humiliée, de lui faire mal. Je suis un pervers, un sadique, je vais donc laisser s'exprimer ma face noir. Ma partie sombre.

La fille est une belle brune d'environs un mètre soixante-dix, avec un très joli visage. Elle a la peau légèrement mat, sûrement typée Italienne ou Espagnole. Mais ce qui la distingue c'est son corps. Elle porte une combi-short mauve, très moulante. Le haut colle à ses gros seins en poire comme une seconde peau. On voit parfaitement ses tétons, elle doit faire du bonnet C. Elle a un cul assez gros. Mais pas gros dégueu, non, gros bandant, comme ceux des blacks dans la vingtaine. Bien ferme, bombé et sans graisse. Le tout rehaussé par une jolie chute de reins. D'un seul coup, j'ai envie d'elle. Pas pour lui faire l'amour ou même la baiser. Non, pour la violer, la détruire, lui faire mal. Sa combi-short colle tellement à son corps que l'on voient parfaitement la forme de son petit string. Si je ne pense pas que la tenue d'une femme est à y avoir quoique ce soit, je dois dire que dans son cas à elle, c'est un véritable appel au viol. Ce qui va lui arriver d'ailleurs. Je remarque que je ne suis pas le seul à la mater. Malgré la présence d'autres jolies filles sur le quai, je constate que c'est cette salope qui attirent et aimantent tout les regards.

En attendant le train, je repense à ces derniers temps. J'ai commercialisé certaines pilules de mon invention, mais je garde encore uniquement pour moi et mes amis, les pilules « sexe-dure ». Si j'ai pus commercialisé tout cela, c'est grâce à l'aide d'Igor. Un albanais, le caïd de la région. Il règne sur un empire du crime. Vous pouvez en apprendre plus sur lui en relisant : « Le mauvais chemin. » ou « Les malheurs de Clotilde ». Une partie de son organisation est légale, connue sous le nom de « Igor International. » Il m'a aidé dans le financement. Je l'ai remboursé rapidement. Dix euros pour un euros prêté. Je lui revend aussi beaucoup de jeunes femmes que je mets sous mon contrôle, que je ne destine ni à Radiu, ni à mon père. Pour les lieux de prostitutions lui appartenant. Maintenant que je suis milliardaire, je n'ai plus besoin de l'aide de personne. Mais je reste proche d'Igor. J'aime bien son style sauvage, très violent, sans aucune pitié. Les divers pilules commercialisées, pour un usage professionnel, ont divers effet : une pilule permet de choisir le sexe d'un enfant. Pilule rose pour les filles, pilule bleu pour les garçon. Actuellement, l'agence de la santé teste un autre médicament de mon invention, permettant de combattre la stérilité féminine. D'après Igor, l'autorisation de mise sur le marché se fera d'ici quelques jours. Avec cela, l'on tombe enceinte à coup sûr. Bien entendu, j'ai testé son efficacité et son absence de nocivité sur des tas de femmes que j'ai choisis. Je suis l'heureux papa d'une centaine d'enfants, que je ne connais pas. Comme je ne suis pas un monstre, j'ai pris des femmes en couple, ayant un désir d'enfant, mais n'y arrivant pas. Pour toutes, le père n'est autre que le conjoint. Une autre de ces pilules permet à une femme d'avoir des dizaines d'orgasmes lors d'un rapport. Bon, c'est un seul orgasme si le gars n'a pas pris un comprimé binôme, vendue bien entendu séparément. Mais le comprimé à la même durée que la pilule... Donc cela peut permettre des dizaines de jouissances. Outre le fait qu'elle donne orgasme féminin sur orgasme, le comprimé fait que la femme est naturellement lubrifiée à son maximum pendant toute la durée de l'effet. Ce qui évite que le vagin soit irrité par autant de rapport. Par contre il faut éviter de donner ce comprimé à une femme qui n'a pas de rapport sexuel. Au bout de une heure la femme se jettera sur tout ce qui bouge et qui à une bite. Où une forme phallique.

Enfin, la dernière pilule de mon invention commercialisé par Igor est en quelques sorte le pendant masculin de ma pilule combattant la stérilité féminine. Elle multiplie grandement la fertilité d'un homme, sa durée d'effet est de quatre jours. Sauf stérilité complète d'un membre du couple, à coup sûr vous aurez un beau bébé neuf mois plus tard. Il faut faire attention, si vous allez voir ailleurs que la femme que vous voulez mettre enceinte. Si vous la trompez, mettez bien une capote, car si vous allez voir dix autres femmes, que vous couchez avec elles sans préservatif, neuf mois plus tard, vous aurez onze enfants au total. Celle-ci est sur le marché depuis un mois, son succès est incroyable. Mais bon revenons au petit couple, la fille m'excite vraiment. Je pense que je vais bien m'amuser pendant les prochaines heures.