Hypnose Mécanique 18

Informations sur Récit
Attention texte violent.
5.5k mots
4.57
5.2k
4

Partie 18 de la série de 19 pièces

Actualisé 06/16/2023
Créé 12/04/2016
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Ceci est une fiction, aucun des personnages de ce texte n'est réel. Les personnages irréel de ce texte sont tous consentant pour y apparaître. Une fois le texte terminé, ils sont tous retournés à leurs vie inexistantes sans aucune séquelles, ni blessures. Un peu comme n'importe quel personnage imaginaire d'un livre.

Ce texte étant quand même d'une certaine façon assez violent, je ne le recommande qu'aux amateurs du genre. Pour les non amateurs, vous pouvez bien entendu le lire, mais prenez alors vos responsabilités. Après si c'est pour commentez que ce texte est violent, voir très ou trop violent, que c'est mal ou des trucs du genre, ben oui, je viens de vous le dire. En tout cas, à tous, bonne lecture.

Jonas : Moi, le héros de ce texte et des treize chapitres précédents. Après m'être amusé avec ma sœur et Siobanne mon premier amour, je décide de passer à d'autres.

Aziza : Policière tombée sous ma coupe.

Linda : Dix-huit ans, étudiante. Splendide jeune femme, légèrement métissée et brune. Ma nouvelle cible principale à la place de Siobanne. Contrairement à cette dernière, je la met rapidement au pas.

Sophie : Dix huit ans, également étudiante. Blonde aux yeux bleus, splendide voisine de Linda, que je me fais aussi, mais beaucoup plus violemment.

Sur le chemin, on fais la conversation :

- Quand je me serais bien vidé les couilles avec toi, que je me serais reposé, on ira faire des courses.

- On auraient pus les faire où je travaille.

- Non, pas pour manger, pour t'habiller.

- J'ai déjà ce qu'il faut.

- Tu as quoi comme type de vêtements?

- Des jeans, des pantalons, beaucoup de tee-shirt. Deux robes un peu sexy pour sortir.

- Pour aller en boîte?

- Non, je n'y vais pas. Plutôt pour faire des restaurants, des trucs comme ça.

- Je vois, décolletée et courte tes robes?

- Non, pas décolletée du tout. Pas très courte non plus, elles m'arrivent au-dessus du genoux.

- Tu as au moins des dessous très sexy?

- Non, plutôt confortable, je ne mets même pas de string.

- On donnera tout cela à l'armée du salut. Tu vas garder deux pantalons pour le travail, pour le reste on va t'acheter des vêtements de salope, courts, sexy, montrant beaucoup de choses.

- Ce n'est pas mon style.

- Si tu veux que je te vois plus d'une seule fois, il va falloir changer de style.

La magnifique brune ne réfléchit même pas, elle me répond du tac au tac.

- D'accord.

- On va prendre des strings, le plus mini possible. Des porte-jarretelle, des bas. Pas de soutien-gorge par contre.

- Je vais pouvoir garder les miens?

- Non, tu n'en mets plus à partir de maintenant.

- Oh...

- Quand j'en aurais finis avec toi, avant d'aller aux courses, tu feras également ta lettre de démission.

- Mais j'ai besoin de ce boulot pour vivre.

- Ne t'en fais pas, tu feras des passes au besoin.

- C'est quoi des passes?

Pauvre conne, elle est vraiment niaise.

- Tu vendra ton corps pour de l'argent.

- Vous voulez que je me prostitue?

Je la vois devenir blanche, serré plus fort le volant.

- Oui.

- Je ne fais pas ça.

- Tu le feras si tu veux que je reste avec toi.

- OK, j'accepte. Vous ne m'aimez pas...

- Si, je t'aime bien, je suis là. Une autre preuve, j'ai envie de me vider avec toi.

- Je veux dire, vous n'êtes pas amoureux de moi?

- Je n'avais pas compris, non je ne suis vraiment pas amoureux. Je veux juste te baiser et t'enculer. Tant que je prends du plaisir à me vider les couilles avec toi, tu me verras régulièrement.

- Je vois.

- Cela te dérange?

- Oui, beaucoup. Mais je ferais avec. Je suis folle de vous. Je ne peux pas vivre sans vous, loin de vous. J'aurais préféré que vous soyez auprès de moi par amour, mais bon, c'est mieux que rien.

La belle se met à pleurer. Consciente que je ne suis avec que pour m'en servir comme d'une poupée gonflable, rien d'autres.

J'enfonce le clou :

- Tu vas arrêter tes études aussi.

- Je vais devoir rendre mon appartement si je fais ça. C'est un logement étudiant. Je vais vivre où?

- Pas grave, je te trouverais un autre appartement, ce sera plus pratique pour que tu te prostitue.

- Un studio?

- Non, minimum un deux pièces, le client aime bien discuter en buvant un verre, avant de baiser la pute. Il faut donc une pièce de vie et une chambre. Mais si je te mets avec une ou plusieurs autres filles, l'appartement sera plus grand. Pour que vous ayez une chambre chacune. Mais bon, je n'ai pas encore décidé, peut être que tu feras plutôt du porno.

- Du porno? Si on me reconnaît?

- C'est ton problème pas le mien.

Linda ne répond pas à cela. Au bout de quelques secondes de silence, où elle se contente de pleurer sans bruit, elle me pose une question qui semble lui tenir à cœur:

- Je serais la seule au moins? Je veux dire la seule à être avec vous? La seule avec qui vous couchiez?

- Non.

- Merde... Je ne suis vraiment là que pour servir sexuellement?

- Voilà, tu comprend ta vraie place.

Il y a quelques nouvelles secondes de silence. Linda reprend ensuite :

- Il y en auras beaucoup d'autres?

- Cela dépend de toi.

- C'est-à-dire?

- On ne t'a jamais enculée. Mais avec mon gros chibre, je vais te faire mal, même si je ne te blesse pas en t'enculant, tu auras vraiment très mal. Quand j'aurais envie de t'enculer de nouveau, si tu me dis non, j'irais voir ailleurs. Si j'ai envie de te baiser, que tu me fais le coup du j'ai mal à la tête ou non pas ici, pareil, j'en trouve une autre.

- Je ne vous refuserez rien.

- Si je veux que tu suce un de mes amis, que plusieurs te baise et 'encule, ou même que l'on te prennent à plusieurs, ensemble, si tu dis non, j'en trouve une autre qui accepte.

- J'accepterais tout.

- Alors tant que tu me donnes du plaisir, il y en aura très peu, sauf pour des plans à plusieurs.

- À plusieurs?

- D'autres filles et toi.

- Cela me va.

- Il faut aussi que tu restes serrée, c'est important. Si un de tes trous se relâche, hop, reconstruction pour que tu retrouves ton étroitesse.

- Je le ferais.

- Bien. Promis, les autres que je baiserais, je le ferais généralement devant toi si tu veux voir, sinon tu pourras être dans la pièce à côté. Comme cela tu saura quelle fille je baise, et combien.

- Cela me va aussi.

- Parfait.

- Je ne suis vraiment qu'un jouet sexuel pour vous?

- Oui, un jouet que je vais garder tant qu'il me convient. Cela te pose un problème?

- Si cela me permet d'être auprès de vous, je n'en ai aucun. Cela me fera mal que vous baisiez ailleurs, mais c'est mieux que rien..

Quelques secondes plus tard, Linda fait un créneau et se gare dans une petite rue à deux minutes de chez elle

Tandis que l'on descend, je me rappelle d'un truc :

- Tu as beaucoup d'amis?

- Très peu.

- Tu m'as parlée d'une belle blonde. Une voisine.

- Sophie, en effet c'est ma voisine. On est pas vraiment amies, mais c'est sûrement la personne hors de ma famille, la plus proche de moi.

- Elle est bonne?

- Si vous voulez dire par là que c'est une belle fille, oui. Elle a un corps sexy aussi.

- Avant d'entrer chez toi, on s'arrête pour lui dire bonjour.

- Vous allez coucher avec elle?

- Si elle me plaît, oui.

- Maintenant?

- Pas avant de t'avoir bien baiser de partout.

- Je ne suis vraiment que cela pour vous? Des trous?

- Oui.

Linda ne répond rien, quelques larmes coulent de ses yeux. On arrive devant l'immeuble étudiant, elle ouvre la porte d'entrée avec son passe. On prend l'ascenseur pour aller au quatrième. Il y a plusieurs portes à l'étages, dont deux en face de la porte de l'ascenseur.

- Celle de gauche c'est chez moi, celle de droite, c'est chez Sophie.

- On va chez ta copine, tu vas me présenter comme ton amant. Non, présente moi comme ton plan cul.

- Petit ami plutôt?

- Non, juste le mec qui va te baiser sans que tu ne sortes avec.

Elle s'approche de la porte de droite, avant de sonner, la belle brune me dit :

- J'espère qu'elle n'est pas chez elle.

Ensuite elle appuie sur la sonnette. Quand une voix crie « J'arrive », le visage magnifique de Linda s'attriste.

Si elle n'atteint pas la beauté de Siobanne, Léa ou même Linda, Sophie est vraiment un canon. Blonde aux yeux bleus, elle a un cul de dingue et une belle paire de gros seins. Assez grande et mince, c'est le genre de meuf qu'aucun homme ne refuse de mettre dans son lit, si il en a l'occasion. J'appuie sur ma montre, je mets Sophie en mon pouvoir.

- Linda, va m'attendre chez toi. Tu ouvres ta porte, tu me donne les clés, tu rentre et tu referme la porte, j'arrive.

- D'accord.

Linda obéit, elle me ramène ses clés, me les donne. Avant de partir, elle me demande :

- Je peux vous demander un truc?

- Oui.

- Vous allez la baiser?

- Belle et bien foutue comme elle est, oui je vais la baiser. Mais pas de suite. Je te l'ai dis, je te baise la première.

- Merci.

J'ai dis la vérité à Linda, je veux juste en savoir plus sur Sophie.

- Qui je suis?

- Le maître.

- Et toi?

- L'esclave.

- Tu as quel âge?

- Dix-huit, je viens de les avoir il y a quelques jours.

- Tu as un petit copain?

- Non.

- Tu en as déjà eus?

- Non.

- Comment cela se fait?

- Je n'aime que les femmes.

- Bien ça, tu es vierge?

- Oui, complètement.

- Tu as déjà couchée avec une femme?

- Jamais. Mais bientôt j'espère.

- Tu en a une en vue?

- Je suis amoureuse de Linda.

Je souris, c'est très intéressant.

- Montre moi tes seins.

- Cela me gêne.

- Qui je suis?

- Le maître.

- Et toi?

- L'esclave.

- J'ordonne, tu obéis. J'ai raison ou pas?

- Vous avez raison.

- Alors montre moi tes seins!

Elle remonte son haut, Sophie n'a pas de soutien-gorge. Sa poitrine est plus qu'imposante, elle est énorme, au moins du bonnet D, lourde, en goutte d'eau, avec des aréoles d'un rose presque aussi pâle que sa peau. Elle a de tout petits tétons, à peine un bouton sur sa poitrine voluptueuse.

- Parfait. Voilà ce qu'il va se passer maintenant...

Une fois que j'ai finis, je sors de chez Sophie. Direction la porte d'à côté, chez Linda, pour une partie de jambes en l'air qui je le sais, seras inoubliable.

Quand j'entre, je trouve Linda assise sur son lit, la tête entre ses mains.

- Tu pleures?

- Oui.

- Pourquoi?

- Ça me fais mal que vous couchiez avec Sophie... alors que vous ne m'avez pas encore touchée...

- D'abord, je t'ai déjà touchée, vu que tu m'a sucée. Ensuite, je n'ai pas encore couché avec ton amie. Je le ferais, mais pas avant de m'être bien vidé les couilles avec toi.

- C'est vrai?

- Pourquoi je te mentirais. J'en ai rien à foutre de toi, je veux juste me vider les couilles en toi. Que j'ai couché avec Sophie ou pas, n'y changeras rien. Je t'aurais quand même, donc pourquoi te mentir, alors que le résultat sera le même. J'ai raison ou pas?

- Oui, vous avez raison.

- Donc?

- Vous n'avez pas couché avec Sophie.

- Voilà, par contre je n'aime pas me répéter. Tu m'as déjà posé la question plusieurs fois pour Sophie. C'est la seule fois que tu me fais ça. Je n'ai pas besoin de te préciser ce qui se passe dans ce cas là. Compris?

- Oui.

La conne elle fera vraiment tout pour moi.

- Bien, lève toi. Approche.

Linda m'obéit. Une fois qu'elle est près de moi, je lui dis :

- Je vais me déshabiller, puis une fois nu, m'allonger sur ton lit. Quand je te le dirais, tu te déshabilleras. Je te regarderais en me masturbant. Quand tu seras nue, je te dirais quoi faire. Ça marche?

- Oui.

- Parfait.

Je me déshabille rapidement. Un fois nu, je me couche sur le lit de Linda. Je suis déjà à moitié dur. Heureusement qu'elle m'a sucée avant de venir, sinon je sais que je n'aurais pas pu tenir.

- Allez, à poils, salope!

Le mot « salope » la gifle, je le vois bien, mais Linda ne m'en fait aucune remarque. Au lieu de cela, elle se baisse défait ses lacets et enlève ses chaussures. Les chaussettes suivent. La belle enlève son haut. Je constate que Linda à vraiment raison, quand elle dit qu'elle ne met que des soutiff confortable. Celui qu'elle porte, est un soutien-gorge de sport, qui en plus, aplatit sa poitrine. Quand le pantalon est enlevé, je rigole :

- Merde, tu mets des culottes de grand-mère?

En exagérant à peine, sa culotte la couvre tellement, qu'elle va presque jusque en dessous de son nombril.

- Je vous l'ai dis, je ne mets que des trucs confortable. Pas de sexy.

- Je vais changer tout cela.

- Je sais.

- Allez, continue.

La magnifique brune retire alors son soutiff. Elle a des seins moyens, bonnet B. En cônes, bien ferme, tenant bien droit. Ils sont ornementé de petites aréoles brunes, ainsi que des tétons bien ronds.

- J'aime bien tes seins.

- Merci.

Ensuite c'est la culotte qui tombe. Elle a des poils noirs de jais sur la chatte. Un buisson quand même bien taillé.

- C'est bien, tu entretiens au moins les poils de ton sexe.

- Quand il fait chaud, je vais à la plage, donc je fais attention que poils ne dépassent pas du maillot. Sinon, l'hiver je ne m'en occupe pas.

- OK, mais tu iras quand même chez l'esthéticienne.

- Vous n'aimez pas?

- Si, j'aime bien. Mais j'aime aussi le changement. Avec moi, des fois tu seras complètement épilée, des fois je te ferais laisser tes poils repousser.

- On fera comme vous voudrez.

Je ne le lui dis pas, mais je le sais très bien. Je bande dur, il est temps de passer à la suite.

- Allez, on va passer aux scènes de cul.

- D'accord.

- Demande moi.

- Pourriez vous me faire l'amour.

- Demande moi mieux que ça. Avec des mots plus explicite!

- Pourriez vous me baiser, s'il-vous-plaît?

- Bien entendu, viens t'empaler sur ma bite.

- C'est si gros... On... On ne peut pas faire autrement?

- Si tu veux. C'est la position la plus facile pour toi, mais il y en a des tas d'autres.

Je me lève, je lui désigne le lit.

- Mets toi à quatre pattes dessus, tout au bord, je vais te prendre en levrette, mais moi debout et toi sur le lit.

Tandis que je me lève, la belle brune monte sur le lit, elle prend la position demandée. Genoux sur le bord du lit, tibia et pied dans le vide. Je vois parfaitement son petit sexe rose, son anus encore parfaitement hermétique. Je vais vraiment me régaler. Je m'approche d'elle, mon gland heurte l'entrée de son antre d'amour. Je la saisis aux hanches, Linda gémit de peur.

- Allez-y doucement... S'il-vous-plaît...

Je ne lui répond même pas. Ma machine lui fait croire que mon pieu est énorme, mais en réalité, il est de taille relativement normal. Surtout que je n'ai pas pris une de mes pilules, je n'en prendrais que pour le deuxième ou le troisième round.

Je sens qu'elle est sèche, j'adore rentrer dans une femelle qui ne mouille pas. Ensuite mes ordres vont la faire mouiller, comme j'aime aussi. Pas que cela me gêne de baiser une femme qui n'est pas lubrifiée, mais ça glisse mieux quand c'est le cas. Je peux alors la défoncer plus puissamment, plus brutalement. La vue sur son cul m'excite tellement, que je ne peux plus attendre. Je la pénètre d'un coup, en entier. Linda hurle de douleur. C'est dingue, j'ai eus l'impression de la dépuceler une seconde fois. D'ailleurs, je ressort aussitôt pour la pénétrer de nouveau, la faisant hurler plus fort. Je répète l'opération au moins dix fois avant de me mettre à la travailler.

Même en mouillant, elle ne prend aucun plaisir au coït. Elle n'arrête pas de gémir de douleur. Entrecoupant ses plaintes d'une litanie de « J'ai mal. ». Mais à aucun moment la magnifique brune aux cheveux frisés n'essaie de me fuir. Elle est d'une étroitesse folle, son sexe me va comme une chaussette à un pied. Je ne vais pas pouvoir tenir longtemps, mais je savoure bien son petit corps de dingue.

Je ne tarde pas à jouir, quand mon sexe frappe son col de l'utérus, Linda se met à hurler encore plus fort que lors de la pénétration. Mais cette fois, elle hurle un orgasme incroyable qui la traverse de part en part. Son corps se met à tressauter, tandis que les spasmes de jouissance de son vagin me masse tellement la bite, que j'en éjacule une seconde fois. Le résultat est époustouflant, un second orgasme arrivant, alors que le premier n'est pas encore à son apogée. C'est tellement fort pour elle, tellement intense, qu'un jet d'urine frappe mes jambes. Si je ne tiens pas les hanches de ma pute, elle se serait retirée de ma bite. Pendant de longues minutes, elle est dans un monde d'un plaisir infini.

J'attends que sa jouissance se calme pour me retirer d'elle. Linda s'écroule sur le ventre, encore gémissante. Elle tourne la tête, me regarde, je vois des étoiles dans ses yeux. Je m'allonge sur le lit, attendant qu'elle retrouve ses esprits et sa respiration. Ce n'est que au bout de dix minutes, qu'elle remonte pour être à ma hauteur. Couchée sur le côté, elle me regarde, heureuse. Linda met quand même la main sur sa chatte, puis la remonte pour voir. Elle ne fait pas cela par perversion, c'est juste pour voir si elle n'est pas blessée.

- Il n'y a pas de sang.

- C'est bon alors, je ne t'ai pas déchirée. Alors comment as tu ressentie notre baise?

- De la pénétration à juste avant votre éjaculation, j'ai détestée. J'ai eus affreusement mal, avec l'impression horrible que vous me déchirez le sexe. Par contre quand vous avez jouis... là... ce fut incroyable! Puis quand vous avez jouis une seconde fois... Putain... ce fut un feu d'artifice!

Linda se tait quelques secondes. Puis elle reprend :

- Quand vous me prendrais, cela sera à chaque fois pareil? J'aurais autant mal? Avant de jouir comme une folle?

- Oui.

Merde. Par contre pour vos éjaculations, vous êtes certains?

- Au minimum, ton orgasme sera égal a celui-ci. Voir plus fort.

- On peux jouir encore plus fort?

- Oui, tu verras.

Une idée me vient, je n'ai pas mis de garde-fou à Linda. Je ne sais pas si cela peut être dangereux, mais je pense que oui. J'appuie sur ma montre pour prendre le contrôle du cerveau de la magnifique brune couchée contre moi.

- Qui je suis?

- Le maître.

- Et toi?

- L'esclave.

- Je t'ai dis que après chaque orgasme, le suivant serait plus fort?

- Oui, vous me l'avez dit.

- Bien, attention, quand tu arriveras à un orgasme dont le suivant, si il augmente, peut être dangereux pour ton cœur ou simplement ta santé, tu vas considérer que cet orgasme soit le plus fort que tu peux ressentir, il deviendra la norme. Jamais ta jouissance ne pourra être dangereuse pour toi. Compris?

- Oui.

- Parfait, reviens à toi.

Je ne fais pas cela par gentillesse, je n'en ai pas. Je le fais par égoïsme, je compte bien profiter longtemps d'elle. Puis quand je m'en serais lassé, pour pouvoir revenir la baiser à l'envie. Après, Linda ne compte pas pour moi autrement que pour le sexe, qu'elle soit vivante ou morte m'importe peu.

Je me lève.

- Vous allez voir Sophie?

Je souris, je lis de la peur dans ses yeux. Pas que je lui fasse peur, non, elle est simplement terrifiée par le fait que je la quitte pour une autre.

- Avant de t'avoir enculé? Jamais.

Je ne la rassure pas vraiment, mais au moins, je vais rester.

- Tant mieux.

Je vais juste pisser. À moins que tu ne veuilles me servir de chiottes en buvant ma pisse.

- Non, je ne préfère pas...

Linda hésite un peu avant de me dire :

- Mais si vous en avez vraiment envie, je le ferais pour vous.

Elle le fera à un moment, c'est certain, mais pas pour l'instant.

- C'est bon, pour le moment, je préfère les chiottes. Je reviens.

Quand je reviens, je prends une boîte de pilules sexe-dure dans mon pantalon, je l'ouvre, j'en avale une, avant de ranger le tout. Linda me regarde faire.

- Je ne me rappelle pas si je te l'ai demandé ou pas, mais tu prends la pilule?

- Merde, non... J'ai tellement jouis, que je n'ai pas pensée à ça.

Je souris, sans rien dire, la regardant.

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