Hypnose Mécanique 18

BÊTA PUBLIQUE

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- Je peux aller acheter une pilule du lendemain... Si des fois il faut une ordonnance pour l'avoir, vu que je n'en ai pas, je peux me faire avorter quand il sera temps.

- Tu veux des enfants?

- Mon dieu, non.

- Pourtant si tu tombes enceinte, tu va le garder. Qu'il soit de moi ou pas.

Je ne sais pas le nombre d'enfant que j'ai, mais le nombre doit déjà être impressionnant, alors un de plus ou de moins.

- S'il-vous-plaît... ne me forcez pas à garder un bébé...

- Et pourtant...

- Tout mais pas ça.

- Je pense que Sophie y est prête. Alors décide toi vite.

Le dilemme est terrible pour elle, pourtant la magnifique brune se décide immédiatement :

- C'est bon, je le garde si je suis enceinte...

- Tous?

- Vous comptez me mettre plusieurs fois enceinte?

- Tant que tu le pourras.

- Mon dieu...

- Oui, c'est ce que je suis pour toi, ton dieu.

Linda ne me répond pas, elle sait que j'ai raison.

Je prends un gros oreiller, que je pose sur Linda.

- Tu vas le mettre sous ton ventre.

- Pourquoi?

- Je vais t'enculer, toi couchée sur le ventre, moi sur toi. Cela va relever ton cul sublime et me facilité la tâche.

Sachant qu'elle ne peut échapper à son dépucelage anal, la belle ne cherche même pas à discuter. Pourtant, elle me surprend en me demandant :

- C'est vrai?

- Quoi?

- Que j'ai un cul sublime?

- Oui, tu as un super corps. Un corps qui me fais bien bander.

La belle me fait un sourire magnifique, la conne.

- Merci.

- Ne me remercie pas, heureusement que ton corps est parfait, très bandant, parce que vu ta gueule, sans cela, tu ne m'aurais même pas servit de vide couilles pour chien.

Bon, ce n'est pas vrai, elle est vraiment très très belle. Mais un peu d'humiliation, cela n'a que du bon. Je vois à son visage et à son regard, que ma remarque vient vraiment de la blesser.

- C'est vrai?

- Que tu es laide?

- Oui.

- Pourquoi tu crois que je t'ai baisé en levrette? Pourquoi tu crois que je vais t'enculer en te faisant coucher sur le ventre? Je peux faire tout cela en voyant ton visage, mais je risque de ne plus pouvoir bander. Alors je te prends en ne voyant que l'arrière de ton crâne.

Elle se met à pleurer.

- C'est méchant.

- Ce n'est pas méchant, je ne mens jamais, c'est tout. Je te l'ai dis dès le début, je suis avec toi uniquement pour me vider les couilles. Tu n'es que cela pour moi, un sex-toy. Une poupée gonflable au corps de dingue. Rien de plus.

Vraiment blessée, Linda se tait, de grosses larmes coulant de ses yeux. Moi, tout cela me fait bander.

- Allez, joue ton rôle, mets l'oreiller sur le lit, pose ton ventre dessus. Joue le rôle pour lequel tu m'intéresse, celui d'un orifice où me vider.

Sans rien dire, Linda se met à genoux, elle met l'oreiller au milieu du lit, se couche dessus. Je la fais remonter un peu, c'est parfait, son cul est parfaitement surélevé. Je me mets derrière elle pour mieux voir.

- Allez, écarte bien les jambes.

Elle obéit.

- Un tout petit peu plus. Voilà, comme ça. Maintenant écarte tes fesses de tes mains, autant que tu le peux!

Son œillet anal m'apparaît, petit, mais légèrement entrouvert par l'écartement de ses fesses. Je me couche sur elle. Son corps est chaud, doux. Linda grogne quand mon gland se positionne contre son anus.

- J'espère pour toi que tu es prête.

- Je le suis...

La pauvre, elle ne sait pas que l'enfer va s'abattre sur elle. Avant que l'Éden ne la rattrape. Mais pour le moment, place au purgatoire.

Dès que je commence à pousser, Linda se met à grogner d'inconfort.

- Tu as envie d'aller au WC pour la grosse commission?

- Non.

- Alors pousse comme si tu veux faire caca. Cela va me faciliter la tâche.

La belle obéit, mais elle est si serrée que je dois vraiment me battre pour entrer en elle. Quand c'est fait, quand mon gland franchit son sphincter, le hurlement qui sort de sa bouche est incroyable. Aussi bien en volume qu'en intensité. Un des plus beaux que je n'ai jamais entendu. J'en arrive presque à regretter de ne pas la violer, là, son hurlement serait encore plus jouissif pour moi. Je me fige quelques secondes en elle. Quand son hurlement arrête, je l'entends me supplier :

- Sortez... pitié... sortez!!!

- Tu préfères que j'aille voir Sophie?

- Oui... Non... mais sortez...

- Trop tard.

- Vous allez me tuer!!!

- Je m'en moque, tant que je jouis, que tu sois vivante ou morte m'importe peu!

Je ne lui laisse pas le temps de répondre, commençant alors à m'enfoncer en elle.

C'est serré, putain, c'est vraiment serré. Je ne l'encules pas, je la fore. Je peux vous dire que ses hurlements sont à la hauteur de sa souffrance. Moi, je n'ai aucune pitié pour elle. Linda n'est qu'un moyen. Le moyen d'arriver à mon plaisir. Quand mon ventre touche ses fesses fermes, le corps de ma truie est couvert de transpiration. Je passe ma main gauche sur nos deux corps, j'attrape un de ses seins, il est dur comme du bois de fer. Je le broie, tandis que de l'autre main, j'écrase sa tête dans le matelas. Ensuite je me mets à l'enculer comme un malade, la défonçant, la déchirant, lui éclatant le sphincter. La magnifique brune n'est plus pour moi qu'une victime, mais pour une fois une victime consentante, même si à aucun moment, Linda n'a put réellement imaginer ce qu'elle vie.

Quand enfin, au bout d'un temps plus long que l'éternité, je m'enfonce une dernière fois entre ses fesses, Linda est au bout du bout. La belle à vomit deux fois durant son enculage, son corps tressaute tellement qu'il fait trembler le mien. Mon dieu que c'est bon. C'est tellement bon, que quand j'éjacule, je le fais en criant mon plaisir. Il n'y a aucune coupure dans le hurlement de douleur atroce de Linda, qui devient d'un seul coup, un hurlement de plaisir total. La pauvre doit devenir folle, passant en moins d'une seconde, de l'enfer le plus profond, au plus blanc des paradis. Cette fois, quand son sphincter me broie le chibre, ce n'est pas de douleur, mais d'un plaisir total, qui la remplit des pieds à la tête.

Je reste fiché entre ses fesses, le temps que son orgasme passe. Pendant près de cinq minutes, Linda continue à haleter de plaisir. Avant que de nouveau, elle se remette à pleurer, d'une petite voix elle me dit :

- Sortez... j'ai mal... Vous avez eus... ce que vous voulez...

Cette fois je fais ce qu'elle me demande. Je bande encore une peu. Je me mets sur le dos, ma peau contre la peau couverte de transpiration de ma magnifique putain.

- Suce moi!

Elle grogne en se tournant, regarde mon sexe maculé de traces suspectes.

- C'est dégueulasse! Je ne peux pas!

- Pourquoi?

- Il y a du sang... et de la...

La belle brune ne dit pas le mot. Je fais l'idiot :

- Et quoi?

- S'il-vous-plaît...

- Dis-le!

- De la merde...

Linda a parlé doucement.

- C'est à qui? Quelle est la personne qui a tachée ma bite?

- C'est à moi...

- Quand on salis, on nettoie!

Je vois qu'elle fait un gros effort, cette conne grâce à ma machine est vraiment prête à tout pour ne pas me perdre. En grognant de douleur, tant son anus défoncé lui fait mal, elle s'agenouille.

Je la vois, en pleures, ouvrir la bouche, avaler mon sexe, refermer ses jolies lèvres dessus. On dirais qu'elle va vomir, mais elle arrive, par un effort surhumain, à ne pas le faire. Finalement Linda me suce jusque à ce que j'éjacule sur sa langue, elle avale alors toute ma semence. Quand ma bite ressort, elle est totalement propre.

- Tu vois, ce n'étais pas difficile. Si tu veux que je reste avec toi, tu me suceras après chaque sodomie. Après chaque baise de ta chatte aussi. D'accord?

- D'accord.

- Tu as aimée?

- J'ai détestée... Vous m'avez fais atrocement mal... pourtant... à la fin... quand vous avez éjaculé en moi... j'ai vraiment jouis. Un orgasme merveilleux... Mais le reste, tout le reste...

- Il va falloir t'habituer, avec une salope, ce que je préfère c'est l'enculer.

Linda humiliée, ne me répond pas.

- Allez, mets toi à quatre pattes.

- Vous allez...

- T'enculer, oui.

La magnifique brune ne dis rien, elle sait que si elle me supplie, je risque de mal le prendre. La sodomie est préférable pour elle au fait de ne plus me revoir. Alors Linda s'exécute. Vu que son trou-du-cul est maintenant ouvert, je l'encule comme un soudard. Lui faisant le maximum de mal, tout en en tirant le maximum de plaisir. Toute la nuit, je ne l'ai plus prise que par derrière, et dans la bouche, bien entendu, pour qu'elle me nettoie.

Il est onze heures quand je me réveille. Linda dors encore, nue, couchée sur le ventre. J'hésite à l'enculer, finalement j'opte pour la douceur. Je peux la prendre à l'envie, par l'orifice que je veux, j'aurais donc des tas de matins pour l'enculer endormie. Après ma douche, je me prépare un petit-déjeuner. Café et tartine. J'entends l'eau de la douche couler, Linda est réveillée.

J'en suis à mon troisième café, quand la belle brune entre dans la cuisine. Elle est nue. La conne boîte, marchant à la Lucky Luke. Linda grogne à chaque pas. J'aime le spectacle.

- Belle démarche!

- J'ai tellement mal au cul!

- C'est le métier qui rentre.

- J'irais plus tard à la pharmacie, pour voir si ils n'ont pas un truc pour calmer.

- Ils ont sûrement, mais tu n'iras pas. J'adore te voir marcher comme ça!

- S'il-vous-plaît...

- Le sujet est clos.

Enfin pas tout à fait. Cette petite conversation ainsi que la démarche de Linda m'ont vraiment fait bander. Je sais que je vais baiser toute la journée, alors pourquoi pas un petit apéro.

- En parlant de sujet clos, il ne faut pas que ton trou-du-cul se referme, tant qu'il est ouvert, tu auras moins mal quand je t'encule.

Linda ne dis rien, elle sait que c'est inéluctable. Soit elle accepte tout ce que je veux, soit je me barre. Pour ma petite chienne mon départ serait pire que tout. Surtout après la nuit que je viens de lui faire passer. Ses orgasmes anaux, n'efface pas encore la douleur de mes défonces anales.

- Mets toi à quatre pattes, je vais t'enculer.

La salope obéit. J'adore la vue de ses petits seins en cône, quand ils sont attirés vers le bas. Je me lève, je m'agenouille derrière elle. Je ne prends pas de gants, je l'encule de suite, de toute ma longueur. La faisant hurler tout le long de mon enculage. Et crier son orgasme quand j'éjacule dans ses entrailles. D'elle-même, Linda se retourne pour me nettoyer la bite avec sa bouche. Sa grimace de dégoût, ses bruits de haut-le-cœur me montre à quel point elle déteste. Cette fois, quand j'arrive au bout, c'est sur son visage que j'éjacule. Histoire de l'humilier un peu plus, en la traitant comme le chienne qu'elle est.

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 12 mois

J’aime beaucoup cette Linda. J’espère qu’elle va apparaître encore longtemps et prendre cher.

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