Kidnapping et Soumission Tome 14

Informations sur Récit
Les aventures des 4 esclaves sexuelles.
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Partie 14 de la série de 15 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 09/01/2017
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5ème et dernier jour de soumission pour Lola

Le Maître shibari entra dans la chambre de Lola. Celle-ci préparait son bagage de retour. Le Maître intima l'ordre à Lola de s'allonger sur le brancard qui se trouvait à ses côtés. Il lui attacha les poignets et les chevilles avec des bracelets type hôpital psychiatrique. Un anneau buccal vint bloquer sa bouche.

Le Maître Shibari conduisit sa « malade » vers la salle de séminaire. Tous les collaborateurs de Monsieur Yamamoto se restauraient lorsque le Maître Shibari pénétra dans la salle poussant le brancard. Un claquement des mains et tous les cadres se rassemblèrent autour du brancard pour admirer le dernier numéro de cette folle semaine...

Monsieur Yamamoto prit la parole :

« Messieurs, pour la dernière journée de notre convention, je vous ai concocté une petite surprise à laquelle vous allez tous prendre part. Voici notre esclave de la semaine, j'ai nommé Lola. Celle-ci a été fort serviable et nous aura diverti toute cette semaine. Nous allons donc conclure notre convention de fort belle manière! »

Monsieur Yamamoto fit un signe de la tête et le Maître Shibari quitta la pièce. Il revint quelques instants plus tard tenant une valise à la main qu'il déposa sur une servante près du brancard. Lola observait ce qui se passait autour d'elle. Sa tête tournait dans tous les sens. Les séminaristes voyaient l'inquiétude dans ses yeux et s'en délectaient.

Monsieur Yamamoto ouvrit la valise et sortit un anneau d'écartement buccal qu'il déposa sur la servante. Il replongea la main dans la valise et apparut alors à la vue de Lola des blisters contenant des dizaines d'aiguilles, certaines très longues. Lorsqu'elle vit les aiguilles, son corps se tendit comme un arc. Elle hurlait et suppliait qu'on la libère. Elle en pissa de peur.

« Maître, mes seins sont siliconés, vous ne pouvez pas! »

« Mais je le sais très chère...Ton Maître m'a autorisé à t'utiliser comme bon me semble, tu iras te plaindre auprès de lui. »

Il prit l'anneau buccal qu'il positionna entre les dents de Lola et le serra autour de sa tête.

Monsieur Yamamoto ordonna à Lola de tirer la langue mais celle-ci lui répondit négativement d'un signe de tête. Il réitéra son ordre et haussa le ton ouvrant grand les yeux pour montrer son impatience et son désappointement devant la désobéissance de Lola. Il associa son nouvel ordre en pinçant le téton droit de Lola qui cria sous la douleur.

Elle sortit timidement sa langue. Monsieur Yamamoto prit trois aiguilles qu'il tendit à un de ses collaborateurs.

« Yuriko? »

« Yamamoto San. »

« Mettez ces aiguilles entre vos doigts, j'aurai plus de faciliter à opérer sur notre cobaye. »

« Hai. » Fit le cadre japonais en inclinant la tête.

Le directeur prit une aiguille de sa main droite et de sa main gauche tira la langue de Lola. Elle couina et serra les mains. Elle pensait que son tortionnaire allait lui arracher la langue à force de la tirer à l'extérieur de son gosier. Monsieur Yamamoto piqua la langue de Lola en son milieu. Il prit les deux autres aiguilles et les planta à droite et à gauche de la première. Lola ne pouvait plus rentrer son organe car les aiguilles étaient bloquées sur l'anneau buccal.

Lola geignait comme une fillette. Des larmes coulaient du coin de ses yeux. Elle avalait difficilement sa salive maintenant que sa langue ne pouvait plus rentrer dans sa cavité buccale.

« Cette dernière attraction s'appelle « Play-piercing ». Nous allons réaliser un play-piercing sur notre charmante petite pute. Séparez-vous en deux groupes et mettez-vous de chaque côté du brancard Vous lui planterez chacun une aiguille comme celle-ci dans le bras gauche et l'autre groupe se chargera du bras droit. Il ne s'agit pas d'enfoncer l'aiguille au travers des muscles de cette pute mais de les placer juste sous la peau, comme un piercing, d'où le nom « Play-piercing ».

Monsieur Yamamoto prit une petite aiguille et la plaça au-dessus du bras gauche de Lola, près de son poignet. Il leva la tête et regarda son auditoire Il baissa les yeux et fixa Lola. Celle-ci voyait du coin de l'œil l'aiguille s'approcher de sa peau. Des larmes coulaient toujours. Lola soufflait au travers de l'anneau buccal.

« neuhhhhh. »

Monsieur Yamamoto piqua la peau de Lola, l'aiguille disparut sous la peau pour réapparaître environ deux centimètres plus loin. Lola émettait un son inaudible pendant que l'aiguille lui traversait la peau.

« Et voilà. A vous maintenant! Alignez les aiguilles, je veux que cela fasse beau, je ferai des photographies de notre œuvre.»

Les collaborateurs de l'industriel japonais prirent leur aiguille et les deux premiers se préparèrent à piercer Lola. Les Japonais piquèrent Lola un à un. Les bras de Lola furent piercés par une cinquantaine d'aiguilles. Une goutte de sang perlait de quelques aiguilles. On entendait le souffle de Lola qui interrompait le silence de la salle. Des gouttes de sueur apparaissaient suer le front de Lola.

Monsieur Yamamoto revint près du brancard et examina le travail de ses collaborateurs. Satisfait du résultat, il prit des clichés avec son téléphone portable dernier cri.

« Nous allons maintenant nous occuper de ses jambes. De la même manière, vous lui garnissez l'intérieur des cuisses. »

Il desserra les liens de Lola au niveau de ses jambes. Il lui écarta les cuisses pour avoir accès à leur intérieur et surtout à son sexe, puis resserra les liens pour éviter tout mouvement. L'industriel prit une aiguille, plus longue que celle qu'il avait prise pour son bras et l'inséra délicatement sous la peau de Lola. Elle ferma les yeux lorsque l'aiguille traversa sa peau.

« Allez-y messieurs. Décorez cette pute avec ces aiguilles. »

Monsieur Yamamoto jeta sur le brancard une cinquantaine d'aiguille. Lola allait encore souffrir un bon moment. Un cri se faisait entendre à chaque aiguille enfoncée dans la peau de la pauvre Lola.

Lorsque les Japonais eurent fini de garnir les jambes de Lola, l'industriel japonais vint à nouveau avec son portable et fit des clichés des jambes de Lola.

Il prit alors une boîte de toutes petites aiguilles et demanda alors à ses cadres de décorer la chatte de leur pute. Ils se frottèrent les mains de plaisir et piquèrent les petites et grandes lèvres du sexe de Lola qui piaillait à chaque aiguille. Monsieur Yamamoto prit la dernière aiguille et en regardant le clitoris de Lola piqua celui-ci avec l'aiguille.

« Messieurs, maintenant je vous demande de regarder notre Maître shibari qui va opérer notre pute à des endroits auxquels vous n'auriez jamais pensés. Maître, je vous en prie... »

Le Maître shibari prit une boîte d'aiguilles de longueur moyenne et en sortit une. Il déchira le blister et vint la positionner sous l'ongle du pouce droit de la main de Lola. Le Maître Shibari poussa l'aiguille de quelques millimètres pour qu'elle se fixe sous l'ongle. Lola hurla dans son bâillon. Le Maître prit une seconde aiguille et l'enfonça juste à côté de la première. Les cadres japonais restaient interloqués et fixaient, yeux grand ouverts et bouche bée, les aiguilles se succéder sous les ongles de Lola.

Lorsque le Maître Shibari piqua la vingtième aiguille dans l'auriculaire gauche de Lola, un tonnerre d'applaudissement retentit dans la salle.

Monsieur Yamamoto intervient.

« Messieurs, nous allons maintenant terminer notre œuvre. »

Il plongea la main dans la valise et sortit alors de longues et fines aiguilles. Lola hurla en voyant ce que sortait l'industriel japonais.

Il prit d'abord quatre petites aiguilles. Il pointa la première sur le téton gauche de Lola. Elle soufflait toujours aussi fortement et ferma les yeux quand Monsieur Yamamoto enfonça l'aiguille dans son téton piercé. La seconde fut posée à 90 degrés pour former une croix. Il piqua le téton droit de la même manière.

Puis Il prit une première longue aiguille.

« Vous allez chacun enfoncer une de ces aiguilles dans les seins de cette pute. Je vous montre ce que je désire. »

Il présenta l'aiguille au milieu du sein de Lola et l'enfonça au travers de son sein siliconé pour la faire ressortir au niveau de son sternum. Lola poussa un cri de bête au passage de l'aiguille, le Chef japonais crut qu'elle allait s'arracher la langue. Il montra ensuite ce qu'il désirait en montrant les endroits où il désirait voir plantées les aiguilles. Les cadres prirent chacun une aiguille et transpercèrent les énormes seins de Lola en alternant sein gauche et droit. Une première verticalement, puis horizontale. Une autre à 45 degrés, puis une autre. Ils continuèrent avec quatre autres pour former un cercle divisé en douze. Lorsqu'ils eurent fini les deux corolles dans la moitié des seins, ils firent la même chose au tiers de sa grosseur. Lola s'évanouit plusieurs fois pendant son supplice mais l'industriel japonais avait des sels pour la ranimer afin qu'elle profite entièrement de son supplice.

Lorsque la dernière aiguille fut plantée dans son sein, Monsieur Yamamoto fit des clichés et applaudit ses collaborateurs pour leur prestation.

« Ainsi se termine notre convention! Bous êtes tous à remercier pour votre participation et nous ferons encore mieux l'année prochaine. »

Il fit un signe au Maître Shibari.

« Ramenez-la chez son Maître. Elle ne nous est plus d'aucune utilité. »

« Hai, Yamamoto San. »

Le Maître Shibari poussa le brancard vers la sortie accompagné de deux gardes du corps genre men in black vers japonaise. Lola était toujours en train de gémir car elle pensait qu'on allait la débarrasser des aiguilles qui la transperçaient de part en part. Les séminaristes l'applaudirent à sa sortie, bien maigre consolation pour Lola. La moindre irrégularité du sol faisait gémir Lola. Le Maître Shibari glissa le brancard dans son fourgon pour amener Lola au manoir occupé dorénavant par Maître Alexandre. La route fut interminable pour Lola et un vrai calvaire, chaque vibration lui rappelait les aiguilles qui lui traversaient toujours le corps.

Ils arrivèrent vers 18h00 au manoir. Maître Alexandre sortit pour accueillir Monsieur Yamamoto mais il fut surpris de voir trois colosses sortir d'un fourgon.

Le Maître Shibari descendit du véhicule suivi de près par les deux sbires japonais. Lorsque Lola apparut sur son brancard, Maître Alexandre fut estomaqué de retrouver son esclave dans cet état.

Il protesta :

« Qu'est-ce que vous lui avez infligé, pourquoi est-elle dans cet état. Où est Monsieur Yamamoto, il faut que je lui parle immédiatement, ce n'est pas cela qui était convenu. »

« Il était stipulé dans le contrat, « vous usez d'elle comme vous voulez », c'est ce que nous avons fait. »

Maître Alexandre fulminait et s'approcha du Maître Shibari, les deux sbires japonais s'interposèrent et étaient prêts à dégainer quand Maître Alexandre leva les bras en signe de non-agression.

Les trois japonais remontèrent dans leur véhicule qui démarra en trombe dans un crissement de cailloux.

« Momo, Adil, venez m'aider »

Les appelés sortirent et stoppèrent net leur course lorsqu'ils virent Lola.

« Putain de merde, qui l'a arrangé comme çà? » Demanda Momo.

« Mon client japonais. »

« Faut aller lui casser la gueule, Patron? »

« Non sauf si tu veux déclencher la guerre avec les Yakusas et revenir avec un coup de sabre. »

« Mais elle est inutilisable comme çà. » Dit Adil, considérant Lola comme un objet.

« Bon, amenez-la dans la chambre, j'ai un coup de fil à donner. » Dit sur un ton des plus terne Maître Alexandre.

Les deux sbires de Maître Alexandre prirent le brancard sous les gémissements incessants de Lola.

Maître Alexandre prit son portable.

« Professeur Van Ribien, c'est Maître Alexandre. J'ai un travail urgent pour vous, mais il faudrait que vous veniez d'abord ausculter ma malade. »

...

« Dans une heure? C'est parfait! Merci. »

Maître Alexandre raccrocha et, d'un pas décidé, alla retrouver Lola.

Dans la chambre de jeu, Auguste et Mondher besognaient allègrement Sweet Pussy. Auguste était allongé sur le lit, Sweet Pussy était empalé par son sexe sur sa bite. Ses mains tiraient sur les épais anneaux de ses seins. Mondher, lui, l'enculait sauvagement. Savio et Bouba s'occupaient de la même manière de N°1. Elles manifestaient leur plaisir par des gémissements lorsque tous stoppèrent leur activité. En effet, le bruit du brancard mais surtout les plaintes de Lola attirèrent leur attention.

Quand ils virent le brancard passer, ils se désaccouplèrent et, de curiosité, s'approchèrent de l'origine des bruits.

« Ohh, quelle horreur. » S'exclama Sweet Pussy en se mettant la main devant la bouche.

N°1 était bouche bée.

« Il faut lui ôter les aiguilles! »

« Non, pas ça. Le professeur Van Ribien arrive. » Cria Maître Alexandre essoufflé par sa marche rapide.

« On peut au moins lui enlever celles plantées dans sa langue, celles sur ses tétons, son sexe ainsi que celles sur ses membres tout de même! » Insista Sweet Pussy.

« D'accord, mais allez-y doucement. »

Sweet Pussy et N°1 ôtèrent de concert les aiguilles aussi délicatement que possible afin de ne pas rajouter de souffrances aux souffrances de Lola. Sweet Pussy s'occupa en premier lieu de libérer la langue de Lola. Lola rentra aussitôt sa langue pour la désengourdir. Puis Sweet Pussy et N°1 continuèrent par celles qui transperçaient les tétons, puis celles sur son sexe. Elles s'occupèrent ensuite de celles sous les ongles. Lola beuglait lorsque les aiguilles étaient retirées de ses ongles. Puis elles ôtèrent celles sur ses cuisses et finirent par les bras. Elles prirent toutes les précautions possibles pour ne pas faire souffrir leur comparse.

Un coup de sonnette fendit le silence qui régnait dans la pièce. Maître Alexandre fit entrer le Professeur Van Ribien.

Les deux hommes vinrent au chevet de Lola.

« Houlà. Ils ne l'ont pas râtée dites donc vos clients! Ils devaient bien voir qu'elle avait des implants, ou alors ils l'ont intentionnellement fait. Je ne peux rien faire ici. Il faut aller à la clinique. »

« Mais comment allez-vous faire Professeur? »

« Je vais devoir opérer comme si j'allais changer des implants. »

« Eh bien alors, changez-les Professeur, je vous en prie! Et par la même occasion, mettez-en des plus gros! »

« D'accord! J'appelle une ambulance que je connais bien, il restera très discret quant au motif de la course. »

Une ambulance passa par l'entrée et à nouveau Lola se mit à gémir lors du transfert du brancard. Le véhicule du Professeur suivit l'ambulance en direction de Hasselt.

« Maître Alexandre coupa le silence ambiant par :

« Vous n'avez rien à faire? » En s'adressant à ses deux esclaves.

Les 6 blacks acquiescèrent et emmenèrent Sweet Pussy et N°1 dans la chambre. Elles savaient qu'elles allaient encore servir d'objets sexuels aux lubriques blacks de Maître Alexandre.

« Allez les putes. Venez vous encore vous faire baiser par nos gros zguegs. » Dit Momo tout sourire.

Sweet Pussy et N°1 furent menées manu militari dans la chambre. Quelques minutes plus tard, on entendait des cris de jouissance sortir de la chambre. Maître Alexandre s'appuya contre l'encadrement de la porte, fumant un cigare. Il se délectait du spectacle sexuel qu'il avait sous les yeux. Ses deux esclaves étaient à nouveau empalées par deux bites alors qu'elles en suçaient un troisième.

C'est la vibration de son portable qui le tira de ses rêves sexuels.

« Monsieur Alexandre, Maîtresse Sylvia. »

« Bonjour madame. »

« Maîtresse Sylvia je vous prie. »

« Pardon Maîtresse Sylvia, que puis-je pour vous?

« J'ai vu votre annonce et le panel de clichés latex de vos trois esclaves. Je souhaiterais en louer une pour une séance. »

« C'est pour qu'elle genre de séance? »

« Du Heavy Rubber. »

« Ok, c'est pour quand? »

« Ce soir. »

« Ce soir! Vous me prenez un peu au dépourvu. Elles ne sont pas prêtes et en plus elles sont en train de se faire baiser là. Et puis m'en prendre une seule sur les deux...»

« Bon je n'ai pas le temps de marchander avec vous, j'ai une défection et j'ai un cours de Heavy Rubber pour une dizaine de Maîtres et Maîtresses. C'est pour cela que je vous appelle dans l'urgence. Combien pour les deux? »

« Combien de temps vous les voulez? »

« Une soirée tout au plus, pour les cours. »

« Il n'y aura pas de torture ou de coup? »

« Non, mon cher. Il ne s'agit que de cours comme le bondage si vous voulez, mais il s'agit de latex. »

« 1000€ pour les deux? Et je souhaite assister à votre cours pour ma culture personnelle. »

« Hummmm, d'accord, je les veux sans maquillage et nue. Et qu'elles aient bu un litre et demi d'eau, c'est important! A ce soir 21h00 alors. Je vous envoie par sms mon adresse. » Dit la Maîtresse.

Maître Alexandre raccrocha et se rendit vers la chambre. Son portable lui notifia la réception d'un sms.

« Les mecs, stop la baise, elles partent pour une séance latex. »

Les 6 mecs stoppèrent leur mouvement. Sweet Pussy et N°1 restèrent immobiles avec une bite dans la main à hauteur de leur bouche, regardant leur Maître.

« A la douche, et lavement de vos culs et chattes pour éviter de dégouliner de sperme!»

Sweet Pussy et N°1 se désaccouplèrent pour se rendre à la douche. En passant devant leur Maître, celui-ci leur mit une petite tape sur la fesse pour les presser. »

Lola, de son côté, était sur le billard à la clinique. Le professeur Van Ribien avait réuni son équipe pour une intervention d'urgence le soir même. Cette intervention allait coûter un bonus conséquent à Maître Alexandre. Le Professeur avait commandé en express des implants de 1600cc pour Lola. Celle-ci n'était pas informée qu'elle aurait des prothèses plus grosses que celles actuellement dans ses seins. Elle était sous tranquillisant qui la faisait dormir 24 heures sur 24 en attendant l'arrivée de ses nouvelles prothèses.

Sweet Pussy et N°1 se lavèrent mutuellement et langoureusement dans la cabine de douche, l'une aidant l'autre pour le lavement et un nettoyage minutieux de leur sexe. Sweet Pussy lava la tresse de N°1 aussi bien que possible. N°1 s'occupa, à son tour, des tresses de Sweet Pussy. Maître Alexandre pénétra dans la salle d'eau et tendit un flacon à N°1. Il lui chuchota à l'oreille :

« Mets lui ça sur ses tresses. »

N°1 examina le flacon. Lorsqu'elle se rendit compte que c'était un produit de coloration cheveux rose fluo, elle fit non de la tête. Mais Maître Alexandre la fustigea du regard et leva la main, indiquant une possible fessée. Maître Alexandre attendait dans l'encadrement de la porte tirant sur sa cigarette.

N°1 versa une bonne dose de produit colorant sur les cheveux de Sweet Pussy. Elle les malaxa quelques minutes. Sweet Pussy se sentait bien dans les mains de N°1. Elle pencha en arrière la tête de Sweet Pussy pour ôter le surplus de produit et lui rinça le corps. Sweet Pussy sortit de la douche et prit une serviette de bain pour se sécher la peau. Lorsqu'elle passa la serviette sur la tête et qu'elle vit des traces roses fluo sur le tissu, elle resta perplexe. Elle pivota la tête en direction du miroir et vit alors son reflet et celui de ses tresses roses fluo!

« Qu'est-ce que tu m'as fait N°1? »

« C'est moi qui ai voulu un peu de changement. Tu es très belle avec cette couleur. N°1, attrape-moi ça. » Dit Maître Alexandre haussant le ton.

Maître Alexandre lança un flacon vers N°1. N°1 l'attrapa de sa main droite et vit la couleur que sa tresse aurait : vert fluo! N°1 fit une moue qui en disait long sur le choix de la couleur.

« Tu préfères peut-être avoir la tête rasée comme Lola avec ses piercings? »

« Non Maître, cette couleur m'ira très bien. »

« Je n'en doutais pas! »

« Allez, mettez vos escarpins et cape latex. On part. »

Ils se rendirent à l'adresse indiquée par Maîtresse Sylvia. Maître Alexandre stoppa son SUV devant une magnifique bâtisse ère victorienne. Maître Alexandre sonna et une jeune femme habillée en soubrette leur ouvrit. La soubrette les conduisit dans une vaste pièce au centre de laquelle se trouvait une estrade dotée de deux portiques et de deux tables d'examen. Maîtresse Sylvia attendait sur l'estrade, faisant les cent pas.