Kidnapping et Soumission Tome 14

BÊTA PUBLIQUE

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« Ah, vous voilà, pile à l'heure! J'aime la ponctualité. Montrez-moi vos deux soumises. Maître Alexandre dévoila le corps de N°1, puis celui de Sweet Pussy.

« Waouh!! Impressionnant ces seins. Peu commun. Et ces piercings sont aussi de belles dimensions. Ecartez les jambes et mains sur la tête. »

En disant cela, Maîtresse Sylvia tirait sur les anneaux de leurs seins et ceux de leur sexe. Elle prit le bras de chaque soumise pour les mettre en bonne position sur l'estrade.

« Pas bouger! »

Elle ouvrit la double porte de la pièce et une dizaine de personnes, toutes habillées de latex pénétra dans la pièce et prirent place sur les chaises. Maîtresse Sylvia présenta la leçon du jour. La soubrette amena une table avec divers vêtements en latex. Elle tendit une catsuit à ses deux cobayes du soir.

Sweet Pussy et N°1 enfilèrent la combinaison noire qu'on leur avait tendu. Leurs énormes seins étaient apparents ainsi que leur sexe et leur cul. Maîtresse Sylvia leur passa ensuite un masque avec des boucles de ceinture qui laissait passer leurs cheveux.

Puis Maîtresse Sylvia leur posa autour du coup un collier corset qui leur fit lever la tête et empêcher de la baisser, puis une paire de gants. Après chaque équipement posé, elle leur demandait de reprendre la position d'inspection.

Maîtresse Sylvia prit alors deux armbinders et les passa pour contraindre leurs bras. Elle leur posa de grosses électrodes sur chaque sein. Ce système adaptable à la taille des seins, les recouvrait complètement. La Maîtresse posa deux fiches sur le piercing des tétons puis un patch de chaque côté du sein. Elle recouvrit le tout d'une coquille ceinturée à la combinaison latex. Elle prit un corset pour entourer la taille de Sweet Pussy. Elle le serra assez fort pour extirper un cri lors du laçage. Cri qui fut vite réprimé par la pose d'un ball-gag. Elle leur demanda de s'allonger sur les tables.

« Ecarte et lève les jambes. » Ordonna Maîtresse Sylvia.

Sweet Pussy suivit l'ordre à la lettre.

Maîtresse Sylvia attacha les jambes des deux esclaves aux câbles qui descendaient du plafond, pour que ses « élèves » aient une vision complète de son numéro. En montrant un fin tuyau en latex et en expliquant ce qu'elle allait faire, elle inséra dans l'urètre de Sweet Pussy ce fin tuyau flexible. La sensation fut quelque peu désagréable pour Sweet Pussy qui sentit l'intru de latex pénétrer son urètre centimètre par centimètre. Lorsqu'elle vit de l'urine couler au travers du tube dans la poche réceptacle, elle prit la poire qui était attachée au tube et la gonfla pour empêcher tout expulsion du corps étranger. Elle tourna un petit robinet qui stoppa l'écoulement de l'urine.

« Je viens donc d'insérer dans notre soumise du soir une tube en latex l'empêchant de soulager sa vessie. Avec le litre et demi d'eau que je lui ai fait boire avant notre séance, une sensation d'inconfort va vite rendre notre esclave quelque peu bruyante. »

Elle montra ensuite un plug métallique qu'elle enfonça dans le vagin de Sweet Pussy qui gémit sous l'intromission. Puis Maîtresse Sylvia enfonça un plug gonflable avec un tuyau pour évacuer ou insérer des effluents dans les instestins de Sweet Pussy. L'eau qu'avait bue Sweet Pussy se retrouva dans sa vessie. Une sensation de trop plein se fit sentir dans le corps de l'esclave qui manifesta son inconfort par des gémissements. N°1 aussi fut dans la même situation.

Maîtresse Sylvia prit une nouvelle fois la parole.

« Nos esclaves ont leur vessie pleine, nous allons donc jouer un peu avec leur organe. Mais avant je vais leur mettre ceci sur la tête pour jouer avec leur rythme respiratoire. »

La Maîtresse prit deux masques à gaz de type russe de la seconde guerre mondiale et en enfila un sur la tête des deux soumises, elle vissa une cartouche à charbon qui rendit plus difficile leur respiration. Elle tourna le robinet et l'assistance put voir le liquide jaune couler lentement dans la poche de latex. Lorsque la miction se tarit, la Maîtresse s'approcha de Sweet Pussy et prit la poche à pleine main. Elle pressa la poche et l'urine de Sweet Pussy reprit le chemin de sa vessie. Sweet Pussy ouvrit grand les yeux de surprise lorsqu'elle sentit sa vessie se gonfler de l'intérieur. Elle fit la même chose à N°1 qui gémit quelque peu. Les esclaves avaient donc à nouveau leur vessie pleine. Maîtresse Sylvia dévissa la cartouche du masque à gaz de Sweet Pussy et se saisit d'une bouteille plastique qu'elle vissa au bout du tuyau.

« Dans ce récipient inhalateur se trouve un tuyau perforé qui, lorsque l'on respire, produit des bulles dans le liquide. Ce produit est un solvant chimique qui reproduit l'odeur de l'urine. Ces chiennes croiront respirer leur propre pisse! »

C'est alors que la Maîtresse Sylvia mit en route, en mode aléatoire, les électrodes. On entendit alors des gémissements sortir des masques à gaz. Les muscles des deux esclaves se contractèrent, leurs seins transmirent le courant dans leur corps. N'étant plus maître de leur mouvement et de leur corps, elles laissèrent se vider leur vessie. La Maîtresse s'amusa avec son système et c'est par trois fois qu'elle pressa la poche de latex.

« Intéressant non, la soumise pourrait vider des litres et des litres de sa pisse. Et nous pourrions aussi faire de même avec son cul mais nous allons l'utiliser autrement. »

La Maîtresse dégonfla le plug qui obstruait l'anus de Sweet Pussy, mais aussi sa vessie, libéra de la table l'esclave et la positionna sous les câbles pour la lever comme un jambon, les jambes à l'équerre. Elle amena alors une fucking-machine qui déclencha un murmure dans la pièce. Maîtresse Sylvia positionna le plug à l'entrée du cul de Sweet Pussy. Elle mit en fonctionnement la machine. Le plug poussa sur les sphincters et pénétra lentement le cul de Sweet Pussy. La Maîtresse tourna le potentiomètre et la machine augmenta le rythme des pénétrations. Sweet Pussy ahanait dans son masque à gaz en suivant le rythme du plug entrant dans son fondement. Ses yeux étaient exorbités et lorsque le plug augmenta de rythme, Sweet Pussy se lâcha et des jets d'urine coulèrent de son sexe. L'assistance applaudit la performance et surtout l'effet sur l'esclave.

Lorsque le flot d'urine fut tari, Maîtresse descendit ses esclaves du soir et leur demanda aussi de se dévêtir. Le cours était terminé. Maîtresse Sylvia salua ses élèves qui l'applaudirent à nouveau.

Maître Alexandre salua la performance de Maîtresse Sylvia

« Vos deux esclaves sont particulières et surprenantes. Je vous félicite aussi. Je souhaiterais les revoir car elles me plaisent beaucoup.»

Maîtresse Sylvia embrassa langoureusement Sweet Pussy, qui ouvrit la bouche pour lui rendre ce baiser à la française. Puis N°1 reçut elle aussi un baiser langoureux.

« Mais c'est quand vous voulez! »

Maître Alexandre fit un signe à ses deux esclaves sexuelles, qui n'en demandaient pas moins pour aller se reposer. Tous les trois retournèrent au manoir.

Trois jours plus tard, Maître Alexandre, se rendit à la clinique pour reprendre Lola. Il paya en liquide le professeur Van Ribien mais était quelque peu soucieux. Lola apparut encore groggy, son bandage montrait une poitrine encore plus généreuse qu'à son entrée. Sur la route, il appela son pierceur attitré pour une intervention sur ses 3 esclaves et lui demanda s'il pouvait être payé plus tard...La réponse de son interlocuteur fut sans appel et il lui demanda d'oublier son téléphone puisqu'il avait des difficultés de paiement, ce qui énerva Maître Alexandre qui jeta de dépit son portable sur le tableau de bord. Il pesta quelques minutes et réfléchissait à une solution qui lui serait moins onéreuse.

« Mais oui! »

Il reprit son portable et stoppa le SUV sur le bas-côté.

« Tu veux être payé comptant avec tout ce que je t'ai commandé. Pierceur, pas de problème, je connais quelqu'un qui a été formé récemment et qui va revenir de l'étranger. »

Il tapa un numéro sur son écran tactile.

« Ola, senora Olivia. Como esta? »

« Bien Maîtresse Olivia, je vous remercie. Comment va mon petit protégé? A-t-il terminé sa formation? Est-il opérationnel? »

« Bien parfait, il vous aidé dans la gestion de votre hacienda? Dans ce cas pourriez-vous le faire partir par le premier avion pour Bruxelles, je l'attendrai à l'aéroport. »

« Je vous revaudrai cela Senora Olivia. Merci. »

Arrivé de l'aéroport.

Maître Alexandre attendait à l'aéroport de Bruxelles le retour d'un fils prodigue. L'homme sortit des rangs de passagers à une allure vive qui ne manqua pas de contrarier quelques voyageurs un peu lents. Ils maugréèrent quelques mots en flamand mais l'homme se retourna et les bouches se turent.

Maître Alexandre vint à la rencontre de l'homme et le salua.

« Pourquoi m'avoir fait revenir? »*

« J'ai besoin de toi pour redresser la barre comme tu l'as fait en Argentine chez la Senora Olivia lorsqu'elle a connu quelques difficultés financières. En France, nous avons eu quelques soucis judiciaires et nous avons dû expatrier en Belgique. C'est pour cela que j'ai demandé ton retour. Il faut aussi que tu t'occupes immédiatement de Soumise Aurore et l'équiper de piercings et de lui donner sa nouvelle coupe. »

« Qui est Soumise Aurore? Une nouvelle fille? »

« Non, c'est Maîtresse Aurore. En prison elle a tellement dérouillé. Ils lui ont démonté l'esprit, elle est accroc au sexe et à tout ce qui est extrême. Elle est devenue Soumise Aurore. »

« Ok, il y a eu du changement depuis mon départ. »

Le reste de la route se passa dans le silence presqu'absolu.

Ils arrivèrent au manoir, la nuit tombait. L'homme prit ses quartiers dans la seule chambre libre qu'il restait. Lorsqu'il redescendit, il vit Maître Alexandre avec ses 6 sbires buvant dans le salon. Il les regarda d'un air hautain scrutant leurs faits et gestes. Il auditait déjà le personnel présent.

« Je souhaiterais voir Soumise Aurore et commencer sa transformation et son dressage. »

« Prend d'abord un verre avec nous, on verra la fille demain. On a le temps. »

« Maître Alexandre, le temps c'est de l'argent et c'est en ce moment votre principal souci. »

Maître Alexandre fit un signe sur la bouche lui intimant de se taire. Les 6 sbires stoppèrent leur délectation pour se regarder l'un l'autre et un silence pesant se fit.

Maître Alexandre se leva, contrarié, mais consentit à conduire son nouveau gestionnaire là où il voulait. Ils descendirent les marches vers le sous-sol et se dirigèrent vers une cellule. Il ouvrit la porte, lui tendit un jeu de clés, laissa passer le nouvel arrivant et referma la porte derrière lui. L'homme vit alors une femme habillée en écolière, attachée à un lit qui se débattait dans ses liens depuis son entrée dans la cellule. Il prit le jeu de clés et détacha Soumise Aurore en la regardant autoritairement en levant un doigt pour obtenir une obéissance parfaite.

Soumise Aurore voulut de suite dégrafer le pantalon de l'homme et enfonçait la main pour sortir le sexe qui s'y cachait mais l'homme réprima ce geste par une gifle bien senti du revers de la main qui la calma immédiatement. Il lui serra le cou de la main jusqu'à la limite de la suffocation. Elle ouvrait la bouche comme un poisson rouge qui cherchait l'eau pour respirer. Il la leva du lit en la tenant par la gorge et la colla au mur.

« C'est le Maître qui décide quand tu peux lui sucer la bite et pas l'inverse! Compris esclave! »

Soumise Aurore recherchait toujours l'air et happait le peu que le Maître lui autorisait. Elle acquiesça de la tête. Il la reposa au sol et la conduisit d'un bras ferme vers la salle de jeu. Un fauteuil de coiffeur trônait au centre de la pièce.

« A poil! »

Soumise Aurore, se déshabilla. D'un doigt pointé vers le siège, le Maître lui ordonna de s'assoir confortablement. Soumise Aurore fut attachée solidement par les poignets, les chevilles, les cuisses, la poitrine et la tête afin de ne pas bouger pendant sa préparation. Le Maître sortit une valise d'une armoire et prépara tout le matériel pour apposer des piercings sur Soumise Aurore. Elle suivit des yeux le déballage et l'étalage des outils. Le Maître prit le feutre et commença à pointer les endroits où il percerait la peau et où un anneau serait bientôt fixé. Le nez, le septum, les lèvres, les oreilles, les seins, le sexe, le nombril. Le Maître commença par les oreilles, puis s'occupa précautionneusement de tous les endroits marqués d'un point noir. Soumise Aurore couinait à chaque anneau, mais se laissa équiper comme un mouton allait à l'abattoir. Le Maître pierça les tétons, les lèvres de son sexe, son capuchon et son clitoris. Il opéra en dernier sur les piercings traversant complètement les seins. Elle beugla lorsque l'aiguille transperça la peau.

Lorsqu'il eut fini les piercings, il enfila un masque sur la tête de Soumise Aurore et extirpa deux grosses mèches de cheveux des deux trous. Après avoir attachés ensemble les cheveux de chaque mèche, il ôta le masque. Il prit une tondeuse et rasa la tête de son ancienne Maîtresse. Il passa la lame du rasoir pour obtenir une peau lisse et brillante.

Il lui rasa de suite les sourcils pour qu'elle ressemble aux autres soumises et lui posa immédiatement des piercings à la place de ses sourcils. Soumise Aurore eut dix piercings noirs posés sur chaque arcade sourcilière.

L'homme sortit de la chambre après avoir attachée son ancienne Maîtresse au lit pour qu'elle ne puisse pas bouger

Puis l'homme demanda à Momo d'aller chercher Lola et de l'attachée sur la chaise de la salle d'opération.

L'homme entra et vit alors Lola attachée comme il l'avait demandé et à ses côtés Momo qui attendait sagement. Lorsque Lola vit l'homme et tous ses piercings, elle commença à trépigner dans ses liens :

« Non, Maître. Pas ça! Pitié! »

« Tu seras belle avec ce que je vais te faire. Nous allons nous régaler! »

« Lola, tire la langue. Momo, prends ça et pose lui de chaque côté de sa langue, là et là. »

Momo posa les pinces suivant les indications du Maître, de part et d'autre de l'axe de l'organe. Le Maître prit un cutter et une seringue. Lola s'affola.

« Bouge pas, sinon je te coupe complètement la langue, salope. »

Lola s'immobilisa. le Maître piqua la langue par deux fois et attendit quelques minutes qui parurent une éternité à Lola. Le Maître piqua à nouveau la langue et vit que Lola ne sentait rien. Il prit alors son cutter et coupa l'organe buccal de Lola jusqu'à son premier piercing, piercing ensanglanté qui tomba sur ses cuisses. Le sang coulait abondamment et coulait lentement sur le menton et la poitrine et les seins de Lola. Le Maître prit une aiguille et du fil pour recoudre les deux plaies.

En détachant Lola de la chaise, le Maître dit à Lola :

« Momo te conduira dans une chambre médicalisée, là repos pendant deux semaines mais il faut t'exercer à faire bouger maintenant ta langue de serpent. »

Lola fit un signe de la tête pour montrer qu'elle avait compris l'ordre.

Deux semaines plus tard, l'homme apparaît dans la chambre, acccompagné de Maitre Alexandre.

« A genoux salope. »

« Oui Maître. »

Maître Alexandre ordonna à Lola :

« Suce-le! »

« Oui Maitre. »

Lola s'activa sur le sexe de l'homme comme elle l'avait appris avec Maitre Tumba. Le Maitre regarde Lola sucer sa tige de chair, pendant que Maître Alexandre ne perd pas une miette de la fellation que prodigue l'esclave sur la queue du Maître.

« Maintenant, suce-le avec ta langue uniquement. »

Lola se mit à titiller le sexe avec sa langue, elle se met bien en face de l'homme, tout en glissant sa langue sur le pieu de chair. Puis elle redescendit à la base de la bite et passa cette fois-ci le bout de sa langue. Les deux bouts séparés se lovèrent autour de la bite. L'homme était aux anges et gémit de plaisir. La langue de serpent de Lola caressa les 2 côtés de la bite de l'homme qui jouit sur celle-ci.

Lola lècha la bite et ne perdit pas une goutte du sperme qui tapissait son organe divisé.

Maître Alexandre se montra totalement satisfait du résultat et félicita Maître Manu pour son idée de génie.

Maître Alexandre ordonna à Lola de lui prodiguer une pipe aussi bonne et il se fit sucer par Lola.

Pendant ce temps les sbires de Maître Alexandre s'occupèrent de N°1 et Sweet Pussy dans une autre chambre. Ils avaient attaché à quatre pattes les deux esclaves sur des plateaux de bois par les chevilles et les poignets. Elles étaient prises en sandwich pendant qu'elle suçaient un troisième pieu de chair.

Les deux Maîtres entrèrent dans la chambre et s'installèrent dans les fauteuils à l'abri de la vue des esclaves. Maître Alexandre proposa un cigare que le Maître refusa gentiment. Les blacks jouirent les uns après les autres dans des râles bestiaux qui firent sourire les deux spectateurs. Momo et Adil sortirent de la chambre. Quelques minutes plus tard on les entendit revenir. Lorsque la porte s'ouvrit deux Rottweilers les accompagnaient.

Lorsque les deux esclaves entendirent les chiens souffler, Sweet Pussy et N°1 rechignèrent et manifestèrent leur désapprobation par un non à l'unisson. Mais Momo leur répondit par un cou de cravache sur leurs fesses.

Ce coupd e cravache les fit taire et les deux molosses grimpèrent leurs femelles....

Les deux Maître se délectaient de ce spectacle dégradant pour leurs esclaves mais fascinant pour eux. Lorsque les chiens jouirent dans leur cul, les blacks recueillirent le sperme canin dans des bols. C'est à ce moment là que Maître Alexandre écrasa son cigare dans le cendrier qui se trouvait sur le guéridon et en se levant fit signe de lui donner les deux bols. Il en tendit un à l'homme qui se leva et prit une cravache.

Il cingla une fois les fesses de Sweet Pussy, qui, éreintée par les assauts sexuels des blacks et celui du chien, ne répondit pas et baissa la tête en signe de soumission totale.

Maître Alexandre, quant à lui, se positionna devant N°1 et lui infligea aussi un coup de cravache en lui ordonnant de sucer sa queue.

L'homme dit d'une voix autoritaire :

«Suce-moi, espèce de putain, un Maître ne va pas enculer une pouffiasse comme toi et passer après un chien. »

Sweet Pussy se mit à sucer le Maître et usa de tous ses talents de suceuse pour le contenter et éviter une nouvelle correction.

En donnant des coups de langue experts, Sweet Pussy était pensive pendant que ses lèvres entouraient la tige de chair et s'arrêta d'un coup de sucer le Maître car elle venait de reconnaître la voix qui lui avait ordonné de le sucer. Elle lèva lentement la tête et malgrè ses nombreux piercings reconnut le Maître qu'elle est en train de sucer. C'était Maître Manu, son mari!!!. Malgré ses contraintes, elle eut un mouvement de recul lorsqu'elle vit le visage de l'homme.

« Suce ma bite salope. »Llui ordonne-t-il sans une once de pitié et d'amour.

Résignée et vaincue, Sweet Pussy suça la bite de Maître Manu et malgré la gêne usa de tout son savoir pour la faire jouir. Elle recueillit sa semence dans sa gorge et l'avala. Maître Manu tendit alors le bol et le mit à la bouche de Sweet Pussy pour qu'elle boive le liquide séminal qui s'y trouvait. Sweet Pussy but non sans mal le sperme canin. Maître Alexandre, après avoir joui, présenta devant la bouche de N°1 le second bol. Elle but ce qui s'y trouvait.

Après les avoir détachées des plateaux, les deux Maîtres leur attachèrent le coup au collier qui se trouvait sur la tête de lit.

Des larmes coulaient sur les joues de Sweet Pussy.

« Que se passe-t-il? » Dit N°1 en l'enlaçant tendrement.

« Le Maître que je viens de sucer, c'était Manu. Il est revenu » Dit Sweet Pussy en hoquetant.

« Tu te rappelles de ce que je t'avais dit? »

« Tu en as la preuve formelle maintenant. Et nous venons de sucer chacune nos Maîtres et maris! »

Sweet Pussy se recroquevilla sur elle-même et sanglota. N°1 la prit dans ses bras lui caressant délicatement la peau.