La baise de ma vie

Je l'ai retournée sur le dos et je me suis remis à califourchon sur sa poitrine pour lui fourrer ma bite dans la bouche encore une fois. J'agrippais la tête du lit et je lui baisais littéralement la figure. Seul ses mains l'empêchaient de ne pas d'étouffer et lui permettait de garder un minimum de contrôle sur la fellation. Au moment de venir, un ordre est sorti de ma bouche sans que j'y pense :

-AVALE

Je l'ai vu hésiter une fraction de seconde, mais mon éjaculation était forte et dans cette position, elle n'a pas eu beaucoup de chances d'y échapper. J'ai remarqué sa confusion et son regard inquiet. Elle tolère depuis peu que je me laisse aller dans sa bouche et elle recrache ma semence avant même d'y avoir gouté. De toute façon, elle n'avait pas le choix. Elle en a avalé une bonne dose avant de s'étouffer et de recracher le reste sur l'oreiller. Je me demandais bien quelle serait sa réaction. Je m'attendais à la voir crier au viol. C'est alors qu'elle m'a dit :

-Beurk... -Heu...Non... c'est pas si pire. -Je m'excuse de ne pas avoir tout avalé, il y en avait trop.

Elle a rigolé de notre baise cochonne et m'a avoué avoir rarement autant jouie. Pas un mot sur mes abus. Je crois qu'elle ne s'est même pas aperçu que je lui avais doigté le cul. On s'est endormi épuisés, main dans la main.

ÉPILOGUE

Le lendemain midi, je me suis glissé dans son dos pendant qu'elle était à l'évier de la cuisine. Je l'ai embrassé tendrement dans le cou tout en lui pognant les seins fermement. Elle a crié :

-Aille!!

Et elle a éclaté de rire.

-On a vraiment été cochon hier. J'ai encore envie de faire l'amour...

Mais là dessus, ma fille est arrivée...

Ce que je vous raconte est vraiment une histoire vécu. Cette soirée s'est vraiment passée de cette manière. Je n'en reviens pas moi-même. Je ne l'ai jamais vu dans cet état.

J'espère qu'il ne se passera pas 10 ans avant de retrouver un tel niveau de perversion, mais je n'ai pas pris de chance, j'ai été acheté des menottes