La Courtisane

Je fis une longue aspiration de cette diabolique fumée et me penchant sur elle, je pris ses lèvres et lui soufflai la fumée. Je me mis à me déshabiller et c'est nu que nous plongeâmes, ensemble dans cette belle nuit de sexe et d'amour.

Elle se révéla une amante insatiable, spontanée, volontaire et disponible au point que je compris qu'elle voulait tout essayer avec moi. Ses seins insolents, elle le savait, me hantaient et m'invita à venir sur elle pour m'offrir le plaisir rare d'une queue enserrée entre des seins. La bouche en "O" et la langue pour taquiner le gland qui allait et venait.

- Heureuse Laila? Lui murmurai-je quand, couché sur elle, elle m'embrassait avec fougue.

- Oh oui, j'en ai rêvé depuis que je t'ai vu et même bien avant. Je la sentis jouir une multitude de fois au point que n'en pouvant plus, j'allais brandir le drapeau blanc quand elle vient sur mon torse pour me couvrir de baisers.

- Tu sais de quoi j'ai encore j'ai envie?

- Non quoi?

- je veux t'offrir un beau dessert!

- un dessert?

- Oui et je sais que tu adores, rien qu'à voir comment tu me regarde

- De quoi tu parles?

- Devine! Me dit-elle. A ma connaissance on n'avait ni pâtisseries, ni petits fours. Les fruits sur la table du salon, on n'y a même pas touché. Elle prit ma main et la posa sur ses fesses nues, en prenant soin de bien enfoncer mes doigts dans sa raie.

- Oh toi alors! Rien ne t'échappe! Dis-je en éclatant de rire.

- Viens, j'en ai, aussi, envie! Elle se mit en position comme pour m'offrir le plaisir de la prendre. N'en demandant pas plus, son beau cul m'a toujours fait un effet fou. Quand je me mis sur ses cuisses. Je la sentis se cambrer, soulevant son bassin. Elle passa sa main derriere elle et je lui mis ma queue sur sa paume. Elle la caressa jusqu'à la faire durcir et se mit à jouer avec comme d'un pinceau quelle passait et repassait sur son anus. L'excitation à son comble. Ma queue se lubrifiait toute seule, si bien que quand elle m'ajusta, ce fut la plus belle des pénétrations. Elle aimait cela, la garce car elle synchronisait le mouvement de sa croupe avec celui de mon bassin. Nous eûmes le plus grand des orgasmes, ensemble et en même temps.

Nous étions si heureux que je ne sus jamais comment, ni quand, nous avons sombré jusqu'aux premiers rayons de soleil qui vinrent nous réveiller.