La Descente aux Enfers de Jessie 08

BÊTA PUBLIQUE

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Marcus se laissa tomber au sol et rampa jusqu'à la queue flasque de Cory. Avec sa langue, il lèche le mélange de sperme et de jus de sa femme qui enveloppe le membre. Ils regardent tous Marcus, dans sa tenue sexy, s'appliquer à nettoyer le sexe de Cory, le léchant comme s'il s'agissait de son cornet de glace favori. Ils rigolent quand, au lieu de nettoyer la chatte de sa femme, il se déplace pour aller sucer le sexe de Michael.

Jessie lève les yeux vers son mari qui vient d'engloutir la bite et une nouvelle vague de jalousie la traverse. Alors elle dit méchamment à son mari :

- Ne t'avise pas de le faire jouir, lopette. Je veux sa queue dans mon cul. Contente-toi de faire ton travail et de le faire bander. J'ai besoin de sa bite dans mon cul.

John est surpris par la méchanceté de Jessie envers son mari.

Pendant les deux heures qui suivent, les trois voisins prennent Jessie dans différentes combinaisons et trous. Marcus s'occupe de nettoyer les queues des différents fluides qui les recouvrent. Il lèche même le sol quand il est sale. Finalement les trois hommes n'en peuvent plus. Ils n'arrivent plus à bander et ils s'allongent sur le sol totalement satisfait. De son côté, Jessie est incapable de bouger son corps complètement rassasié.

John n'arrive plus à bander, mais il veut finir en beauté. Alors il se lève et dit :

- Les deux esclaves, suivez-moi à la salle de bain. J'ai une surprise pour vous.

Il se détourne et s'éloigne dans le couloir. Jessie et Marcus rampent derrière lui. Une fois à l'intérieur de la salle de bain, il appelle Jessie près de lui alors qu'il se tient devant les toilettes.

- Tiens ma bite pendant que je pisse esclave! Et débrouille-toi pour bien viser sinon tu vas lécher tout ce qui tombe à côté.

Jessie rampe vers Maître John. Il y a seulement quelques jours elle n'aimait cet homme ignoble. Mais à présent, tout ce qu'elle pense c'est comment lui plaire pour qu'il la récompense avec des orgasmes puissants. Elle tend la main et attrape sa queue. Elle commence à le caresser et elle apprécie le membre tout chaud entre ses mains. John lui frappe l'arrière de sa tête et l'avertit :

- Arrête ça salope, je ne peux pas pisser si je bande!

- Elle obéit, sourit à l'homme et roucoule :

- Désolé Maître John, j'adore votre bite.

L'homme rigole et relâche sa vessie. Un puissant jet d'urine jaillit de sa queue. Jessie est prise au dépourvu alors que le liquide arrose la cuvette et le sol. Rapidement elle reprend le contrôle et corrige la visée. Quand son Maître a fini, elle lèche les dernières gouttes sur son sexe.

Puis avant qu'on ne lui dise, elle se penche en avant et commence à lécher le liquide qui recouvre la cuvette et qui se trouve sur le sol. Quand elle a fini, elle lève les yeux vers Maître John et lui demande avec une expression de chiot :

- Ai-je bien fait Maître?

John est content de sa soumise et lui tapote la tête en disant :

- Oui esclave, tu as bien fait!

Jessie rayonne devant la satisfaction de son Maître. Celui-ci regarde Marcus et dit :

- À ton tour lopette! Viens ici et aide mes amis à pisser. Les mêmes règles s'appliquent à toi.

Ensuite il ordonne à Jessie de sortir de la pièce et de le suivre jusqu'au salon. Dix minutes plus tard, Michael et Cory entrent dans la pièce. Cory sourit et dit :

- Pour un mec, il a une attitude de lope. Il va être occupé pendant un moment.

Tout le monde rigole y compris Jessie.

Les hommes rassemblent leurs vêtements et s'habillent. Michael s'approche de John et lui serre la main en disant :

- Je veux bien être là à chaque fois que tu organises une partie. Appelle-moi!

John hoche la tête et se lève pour guider ses amis vers la porte. Jessie les suit alors qu'ils sortent tous sous le porche. Elle dit au revoir et reste immobile à la porte, complètement nue. Maître John pointe son doigt vers elle et dit :

- Je dois rentrer chez moi et retrouver ma femme. Tu vas tout nettoyer. Puis une fois que tu auras terminé, tu attacheras la lopette et tu iras te coucher. Je reviens demain.

Jessie sourit et répond :

- Oui Maître!

***********

Le lendemain matin, l'enseignante se retourne lentement dans son lit. Tout son corps lui fait mal, mais c'est bon. Son esprit est encore en train de savourer les séquelles de la nuit dernière. La partie de poker, sa soumission, l'humiliation et la baise se sont combinées pour donner à la femme ce dont elle a besoin. Après ces dernières semaines et la perte de presque tout, elle se sent complètement satisfaite. C'est ce dont elle avait besoin quand elle a commencé cette aventure. Sa première pensée de la journée est : « Je me demande ce que mes maîtres ont pour moi aujourd'hui ».

Elle se lève de son lit et manque trébucher sur son mari qui est nu et attaché sur le sol. Elle l'aime beaucoup, mais maintenant c'est différent. Elle le veut dans sa vie, mais ce sont ses Maîtres qu'elle désire. Chaque jour elle se demande si le mystérieux Maître X viendra réclamer son esclave, s'il la prendra, l'utilisera et complétera sa domination sur elle.

Elle entre dans la salle de bain et commence à se préparer pour aller au travail. Elle doit se dépêcher car Janice lui demande d'être présente à l'université avant 6 heures 30. Elle doit se rendre à son bureau, se déshabiller et proposer de servir son ennemie détestée. Ceci aussi ne fait qu'augmenter la soumission dont elle a besoin.

Elle termine dans la salle de bain et se dirige vers la chambre d'ami où Maître John a pris l'habitude de mettre sa tenue pour la journée. Jessie redoute toujours ce moment, car Maître John fait de chaque jour une nouvelle aventure. Il y a toujours une robe ou une jupe très courte. Le haut ou le chemisier est trop petit ou alors des boutons ont été enlevés. L'un des administrateurs de l'université l'a déjà mise en garde contre les tenues vestimentaires inappropriées. Elle sait que bientôt, tout va lui exploser au visage.

Mais alors qu'elle enfile la jupe en faux cuir noir qui lui arrive à peine à mi-cuisse, son corps tremble d'excitation et d'anticipation. Son haut d'aujourd'hui est un pull en cachemire blanc qui doit être deux tailles plus petites. Il se plaque sur ses seins et n'offre aucun soutien.

Et comme aujourd'hui Maître John ne lui a sorti aucun soutien-gorge, sa poitrine va rebondir à chaque pas. Ses mamelons sont déjà durs à la pensée que tous les étudiants qui vont la lorgner. Ces derniers jours, elle s'applique à ne pas regarder toutes les queues dures qui poussent sous les pantalons dans sa classe.

Après avoir fini de s'habiller, Jessie se rend dans le bureau pour consulter sa messagerie. Comme d'habitude il y a un message de Maître X. :

« Esclave,

Aujourd'hui, tu vas prendre le plus anal moyen et le porter toute la journée. Tu devras demander la permission pour le retirer. Tu devras également porter le vibromasseur sans fil et t'assurer qu'il est synchronisé avec ton téléphone. Et assure-toi que les boules de geisha sont profondément enterrées dans ta chatte de salope. Et débrouille-toi pour que ça ne tombe pas en classe. Tu feras comme d'habitude, tu marcheras pendant quinze minutes, puis tu resteras assise à ton bureau vingt minutes. Il t'est interdit bien sûr de croiser tes jambes. Pendant l'heure du déjeuner, tu te déshabilleras et tu te masturberas pendant quinze minutes. Tu n'es pas autorisée à jouir. A la fin des cours, tu rentres chez toi, mais n'oublie pas d'enlever ta jupe. Ensuite Maître John te conduira à ton deuxième emploi. Tu feras comme si tu veux gagner de l'argent pour payer les études de tes enfants.

Maître X. »

Jessie est presque soulagée. La journée va être relativement tranquille par rapport aux derniers jours. Elle a l'habitude d'exposer son corps en cours, de se déshabiller et de se masturber sans jouir dans sa classe, et de conduire nue. Ce qui la dérange, c'est la fin du message. Elle n'a aucune idée de ce deuxième boulot et ça l'effraie un peu.

Jessie arrive à l'heure à l'université et entre dans le bureau de Janice. Celle-ci est assise à son bureau comme d'habitude, mais aujourd'hui elle a un regard mauvais. Jessie devine qu'il y a quelque chose et que leur relation va changer.

- Juste à temps esclave! Mais je crois que tu devrais passer ma porte complètement nue. En fait, à partir de maintenant, je veux que tu te déshabilles quand tu sors du parking. Tu mets tes vêtements dans un sac, tu te menottes les mains dans le dos et tu portes le sac avec tes dents jusqu'à ce que tu arrives devant mon bureau. Là, tu te mets à genoux, tu frappes et tu attends que je te dise d'entrer. Puis tu rampes jusqu'à moi et tu me supplies de me servir. Ordonne Janice.

Puis elle continue :

- Maintenant déshabille-toi et agenouille-toi esclave!

Jessie regarde sa rivale détestée. Une colère monte de son ventre. Elle dit tout en se déshabillant :

- Mon Dieu Janice, je ne peux pas être nue dans les couloirs de l'école. C'est déjà assez grave que je le sois dans ton bureau.

Janice attend que Jessie cesse de parler avant de dire calmement :

- Oh? Tu ne peux pas c'est ça?

Elle ramasse les vêtements de Jessie avant de continuer :

- Je pense que tu peux le faire. Et en fait, tu le feras!

Janice sort avec les vêtements hors de son bureau et ferme la porte. Jessie a peur maintenant. Elle vient de rétorquer à sa maîtresse au travail. Et elle sait par expérience que désobéir à un ordre signifie généralement douleur, humiliation ou les deux. Elle réfléchit à la façon dont elle va pouvoir demander pardon quand Janice revient dans le bureau. La première chose que l'enseignante remarque c'est qu'elle n'a plus ses vêtements.

- Maîtresse, je suis tellement désolée de vous avoir répondu. C'est juste que vos ordres m'ont pris par surprise. S'il vous plaît Maîtresse, ayez pitié de moi. Laissez-moi quelque chose à porter, je vous supplie. Implore Jessie la tête baissée.

Janice tend la main et attrape la soumise nue par le menton.

- Oh, c'est sûr que tu vas être désolée. Maintenant lève-toi et penche-toi sur mon bureau. Je pense que tu mérites quelques claques, et ta capacité à les subir sans crier décidera si tu récupères tes vêtements, ou si tu pars et rentre chez toi nue.

- Oui Maîtresse! Répond Jessie en se levant et en se penchant pour pointer son cul nu vers Janice.

Celle-ci lui menotte les mains dans le dos et sort une règle plate de son bureau. Puis elle dit :

- je pense que dix c'est bien!

CLACK!

- Un! Merci Maîtresse!

Janice est surprise d'entre Jessie compter les coups.

CLACK! CLACK! CLACK!

Jessie lutte pour ne pas crier tellement la douleur est intense. Mais elle réussit à dire :

- Quatre! Merci Maîtresse!

CLACK! CLACK! CLACK!

Jessie pleure maintenant, le cul en feu et la chatte dégoulinante.

- Sept! Merci Maîtresse!

Janice s'arrête et glisse sa main entre les jambes de l'enseignante, ses doigts glissant sur les petites lèvres. Quand elle les retire, ils sont couverts de jus de chatte.

- Mon Dieu! Tu es vraiment une salope soumise malade. Regarde mes doigts!

CLACK! CLACK! CLACK!

Jessie pleure maintenant de façon hystérique, non seulement à cause de la douleur, mais aussi de l'humiliation. C'est comme si son âme et ses désirs intérieurs étaient exposés au monde entier.

- Dix Maîtresse! Merci d'avoir puni votre esclave!

- Bien, maintenant sors d'ici, j'ai du travail. Et n'oublie pas comment tu dois faire demain.

Jessie se laisse tomber à genoux. Elle lève son visage couvert de larmes et elle gémit.

- Qu'est-ce qu'il y a esclave? Qu'est-ce que tu veux?

- S'il vous plaît Maîtresse, je suis toujours nue. Comment suis-je censée enseigner?

- Va dans ta salle de cours et je te ferai livrer tes affaires et la clé. Sors maintenant!

Jessie hoche la tête, sort du bureau et monte dans sa salle de classe. Elle y entre et tente de se calmer. Mais à mesure que le temps passe et que le début des cours approche, elle commence à paniquer. Devant sa porte, elle peut entendre des étudiants et des professeurs se promener dans le couloir. Elle ne peut même pas verrouiller la porte, car ses clés sont toujours dans son sac avec ses affaires.

Elle commence à réfléchir à la façon dont elle pourrait sortir de sa classe et quitter le bâtiment. Les cours doivent commencer dans dix minutes. Elle sait que son visage est en désordre et que son cul est rouge vif. Et avec les mains attachées dans le dos, même si elle arrive à sa voiture, elle ne pourra pas y entre et encore moins conduire. Elle est piégée et elle en arrive à la conclusion qu'aujourd'hui est son dernier jour en tant qu'enseignante.

Mais deux minutes plus tard, Janice entre dans sa salle de classe. Elle a le contrôle total sur Jessie. Celle-ci le sait et a peur qu'elle ne ferme pas la porte derrière elle et que tout le monde entre. Mais elle ne dit rien et ne fait rien. Elle regarde le sol et attend que Janice parle.

- J'ai été retardée dans le couloir salope! Voici tes affaires, tu devrais te dépêcher, car les cours vont commencer.

Janice sort les vêtements du sac et les jette dans la pièce. Jessie commence à courir vers eux quand elle voit l'expression du visage de sa Maîtresse. Alors elle s'arrête.

Janice a un sourire diabolique et jette les clés des menottes juste devant la porte ouverte.

- Maintenant esclave, je te conseille de ramper et de récupérer la clé avant d'aller chercher tes vêtements. Puis habille-toi et va te refaire le visage. Oh, encore une chose... Ne ferme pas la porte! Dit Janice avant de sortir et s'éloigner.

Jessie sait qu'elle n'a pas le choix. Elle rampe vers les clés et les saisit rapidement. Puis elle s'éloigne de la porte et s'efforce de libérer ses mains. Elle regarde l'horloge et sait qu'elle n'a pas de temps à perdre. Elle se lève et court chercher ses vêtements. Quand enfin elle est habillée, il ne lui reste plus que quelques minutes avant que la cloche sonne le début des cours. Elle se précipite vers les toilettes pour se refaire une beauté.

« Tant pis pour la journée facile! Si ça commence comme ça, comment ça va se terminer? » Pense-t-elle.

Le reste de la journée d'école se passe comme tous les jours depuis que des Maîtres l'ont prise en main. Son corps est constamment excité. Son esprit est encombré par les bites qui bandent des étudiants pendant ses cours. Par deux fois, elle manque de jouir en se promenant dans sa classe. La dernière fois, les boules de geisha, qui la rendaient folle, ont presque failli tomber devant tous ses élèves.

Mais elle survit à cette journée et n'a pas été renvoyée pour s'être trop exposée devant les étudiants. Elle sait très bien que si ça continue ainsi elle aura des relations sexuelles avec un ou plusieurs élèves.

Quand tout a commencé, elle n'aurait jamais accepté que ça se produise. Mais après des jours d'abstention, d'excitation et de stimulation constante, tout ce qu'elle arrive à penser c'est de la manière dont elle peut se faire baiser. Si son Maître lui demande de baiser un étudiant, elle accueillera l'ordre avec plaisir.

Lorsque la dernière sonnerie de la journée retentit, Jessie se précipite vers sa voiture. Quand elle est assise dedans, elle arrache sa jupe pour pouvoir jouer avec son clitoris.

Elle jette la jupe sur le siège arrière, ne se souciant pas de savoir si quelqu'un la voit. Elle fourre sa main dans sa culotte et caresse son clito tout en enfonçant trois doigts dans sa chatte dégoulinante.

Elle est sur le point de perdre le contrôle de la situation quand plusieurs enseignants sortent de l'université et se dirigent vers le parking. Jessie veut se faire plaisir, mais se faire prendre en train de se masturber sur le parking est trop grave. Alors elle démarre la voiture et sort du parking.

À suivre....

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Anonymous
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4 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 4 ans
Quelle jouissance

Voilà bien longtemps que je n'avais pas pris autant de plaisir en lisant une histoire...

oui beau crescendo que c'était bon merci encore Trouchard

Aurailiens

carlitoucarlitouil y a presque 4 ans

bonne histoire j'adore

AnonymousAnonymeil y a presque 4 ans
Merci

Un nouvel épisode tout aussi passionnant que les précédents.

AnonymousAnonymeil y a presque 4 ans

Quel crescendo magnifique !

Vraiment super.

Rudy

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