La Descente aux Enfers de Jessie 13

Informations sur Récit
Jessie devient consciente de son statut d'esclave.
9k mots
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Partie 13 de la série de 20 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 06/11/2020
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Je remercie Sadkins116 et Rebeccasm les auteurs de ce récit dont le titre original est « Jesse's Journey Down a Rabbit Hole » sur ce site.

Dans sa version originale, cette histoire est illustrée, donc je ne peux que vous inciter à aller jeter un coup d'œil sur les pages des auteurs ci-dessus pour visualiser les dessins.

Enfin, je remercie tous les lecteurs qui me suivent et plus particulièrement ceux qui me laissent un petit commentaire.

Bien sûr, l'avertissement est de rigueur : Ce texte comprend de la soumission féminine et masculine, de la contrainte, de l'esclavage. Si votre esprit est en contradiction avec ces thèmes, ne perdez pas votre temps à le lire.

************

Lorsque le réveil sonne à 6H00, Julie est déjà réveillée et son corps est toujours excitée. Elle pleure de frustration, mais sa main dérive vers le vibromasseur et elle l'enfonce lentement et profondément dans son sexe. Elle arrive à rester ainsi dix minutes sans jouir. Et comme elle n'arrive pas à retrouver le sommeil, elle se lève et se dirige vers la salle de bain pour prendre une douche. Elle prie pour que l'eau froide diminue ses envies.

Julie n'a pas pris de vêtements avec elle et elle espère rencontrer quelqu'un pour compléter les ordres qu'elle a reçus. La dernière chose qu'elle souhaite, c'est que son Maître lui refuse tout soulagement parce qu'elle n'aura pas suivi les ordres.

Julie se tient sous la douche et laisse l'eau froide descendre en cascade le long de son corps. Toutefois, les flammes au fond d'elle font toujours rage malgré sa chair glacée. Après les derniers jours, peu importe ce qu'elle fait, son corps est toujours en feu et ses envies ne font que s'amplifier à chaque mouvement. Finalement Julie ferme l'eau et attrape une serviette pour se sécher. Toutefois, dès que le tissu en éponge doux touche ses mamelons, ses jambes la lâchent et elle tombe à genoux, retenant avec peine un orgasme.

Julie craque et se met à pleurer. Jamais de sa vie elle n'a connu de telles envies et de tels besoins. Elle pense à mettre des vêtements, mais cette pensée lui envoie des décharges électriques de haut en bas de sa colonne vertébrale. Elle se résigne et se lève lentement. Elle sort de la salle de bain et s'engage dans le couloir. L'air frais qui sèche son corps nu lui envoie des frissons d'excitation qui rendent difficile chaque pas. Elle passe devant sa chambre et descend les escaliers pour se rendre à la cuisine. Il est hors de question pour elle de porter quoi que ce soit.

Marcus se réveille. Il regarde sa femme nue encore endormie à côté de lui. Son visage est encore recouvert de la semence de son fils. Son corps réagit alors qu'il souhaite que ce soit sa propre figure qui soit recouverte de sperme. Il se glisse hors du lit et se rend aux toilettes pour se soulager et se brosser les dents. Il est nu et ne pense même pas à s'habiller. Il ne pense qu'à son fils et où il va devoir trouver une bite à sucer ce matin.

Marcus quitte la salle de bain et se dirige vers sa chambre. En passant devant celle de Kévin, il s'arrête. Une pensée lui traverse l'esprit et il se tourne pour ouvrir lentement la porte de son fils. Il jette un œil dans la pièce et est récompensée par la vue de son fils, nu sur le lit, sa magnifique bite allongée sur son ventre. Tout en sachant qu'il risque d'être puni, son envie et ses ordres l'emportent et il ne continue pas vers sa propre chambre.

Il se glisse dans la chambre de son fils et se dirige sur la pointe des pieds vers le lit. Plus il approche, plus il salive. Quand il arrive à côté du lit, il sait qu'il ne va pas pouvoir résister à son envie de bite.

Il se glisse aussi silencieusement que possible dans la couche de Kévin. Il ne veut pas le déranger dans son sommeil. Il ne veut que la queue et son nectar. Marcus se lèche les lèvres et baisse la tête. Il ouvre la bouche et lèche légèrement la tige. Quand il atteint le gland, il fait tourner sa langue autour. Il le sent frémir. A chaque coup de langue, le sexe s'allonge et devient plus dur. Quand il est presque complètement en érection, il ouvre la bouche et l'avale totalement. Un gémissement s'échappe de ses lèvres quand le sexe de Kévin touche le fond de sa gorge. Marcus est en extase, il fait glisser ses lèvres de haut en bas sur la bite la plus parfaite qu'il n'ait jamais goûtée.

Kévin s'est réveillé quand son père a commencé à lui lécher le membre. Mais il fait semblant de dormir tandis que sa lope de père lui prodigue une bonne fellation. Lorsque Marcus enfouit la bite au fond de sa gorge, Kévin ne peut plus faire semblant de dormir. Il attrape la tête de son père et commence à lui baiser la bouche. Après seulement quelques minutes, le jeune garçon explose et envoie jet après jet de sperme dans la gorge de Marcus.

Mais Kévin ne peut s'empêcher d'humilier à nouveau son paternel. Il décide de sortir sa bite et couvrir de sperme le visage de Marcus. Lorsque finalement il a fini d'éjaculer, il pousse son père sur le côté et lui ordonne :

- Tu es une vraie salope papa! Je crois que maintenant, chaque matin ; je veux que tu sois ici pour me soulager avant que je commence ma journée.

Marcus est à genoux, les mains dans le dos. Il hoche la tête et son corps s'enflamme, car il pourra sucer la bite de son fils chaque jour où il sera à la maison.

Kévin continue :

- Tu n'as pas le droit de laver ton visage. Je veux que maman et Julie voient le genre de lopette que tu es. Maintenant va t'habiller. Aujourd'hui je veux que tu sois en robe et talons.

Marcus gémit, non pas de l'humiliation, mais de désir. Il aime la sensation de la lingerie sur sa peau, car les injections qu'il reçoit font ressortir de plus en plus son côté féminin.

Kévin se moque de son père, sort de la chambre et descend à la cuisine. Il sourit en voyant Julie qui fixe son petit déjeuner complètement nue. Il avance derrière elle, tend ses mains et saisit les seins bien fermes. Julie perd son souffle et ses genoux se referment. Son excitation ne fait qu'augmenter à chaque contact.

- Tu sais frangine, je n'aurais jamais imaginé que tu sois une salope. Je suppose que je me trompais vu que tu es ici nue. Dit Kévin pour humilier et faire rougir Julie.

Le garçon ne porte qu'un slip de bain. Il poussa sa bite contre le cul de s sœur en disant :

- Ne t'avise pas de jouir petite salope, ou je t'enverrai avec maman chez M. ASH.

Julie gémit, mais réussit à garder le contrôle de son corps.

Marcus est le prochain à entrer dans la cuisine. Les réactions de ses enfants sont complètement différentes. Kévin éclate de rire et se moque de son père humilié. Julie hoquette et pleure presque quand elle le voit debout, en robe avec talons hauts et maquillé. Si son père est homosexuel, elle n'a aucune chance de pouvoir le séduire. L'idée de ne pas être en mesure de suivre les ordres qu'on lui a donnés signifie seulement qu'elle ne va obtenir aucun soulagement.

Kévin agit comme si ce n'était pas lui qui avait ordonné à son père de s'habiller ainsi. Il sourit et dit :

- Bon sang papa, qui aurait pensé que tu aimes te travestir? Pourquoi maintenant?

Marcus, qui ne sait trop que dire, bafouille :

- Je ne savais pas que vous étiez déjà levé, alors j'ai juste enfilé ça. Je suis désolé si vous êtes mal à l'aise. Je vais me changer.

Kévin glousse et ajoute :

- C'est peut-être mieux, on ne sait jamais qui pourrait te voir.

Il fait signe à son père de monter à l'étage pour se changer.

Kévin regarde l'expression du visage de Julie. Il sait qu'elle est désespérée. La jeune fille regarde son père partir, s'assoit sur une chaise et baisse la tête. Kévin saisit d'une main le menton de sa sœur et il lui relève la tête. Puis il se penche et donne à la jeune fille un baiser passionné. Julie fond et sa chatte dégouline. Si seulement ses ordres étaient de séduire son frère.

- Monte à l'étage salope et habille-toi! Un seul exhibitionniste dans la maison suffit.

Julie hoche la tête et obéit en sortant de la pièce.

Le reste de la matinée est assez normal, Si on peut appeler normal les occupations d'une famille d'esclave. Julie gémit encore et encore à chaque pas qu'elle fait. Marcus court dans la maison pour nettoyer et ramasser. Kévin reste assis dans la salle à manger comme un roi dans son château. Il est juste quelques minutes avant onze heures quand Jessie apparaît. Kévin la voit se diriger vers la cuisine.

- Où vas-tu esclave? Demande-t-il.

Jessie est surprise, elle n'avait pas vu son fils assis.

- Je suis désolé Maître, je ne vous avais pas vu. Je vais dans la cuisine puis je vais me préparer à aller chez le voisin. Répond-elle.

- Je crois plutôt que tu te caches pour éviter ta famille. Je pense qu'il est temps que tu apprennes où est ta place.

Kévin se lève et se dirige vers sa mère qui reste figée. Il lui attrape le bras, la tire vers le salon et la penche sur le canapé. Jessie grogne lorsque la première claque tombe sur son cul. Kévin attend un peu entre le premier coup et le suivant. Il savoure le sentiment de pouvoir, d'invincibilité et son contrôle sur tous les membres de la maison. Il sourit et chuchote à l'attention de Maître X :

- Bon sang, que j'aime ça!

Il lève de nouveau la main et gifle de nouveau le cul de sa mère. Il aime la façon dont les fesses tremblent à chaque coup. Le garçon donne une cinquantaine de claques avant de s'arrêter.

Jessie pleure hystériquement et supplie son fils d'avoir pitié. Elle sait que si son cul est douloureux maintenant, son voisin M. ASH ne fera qu'empirer les choses.

Après avoir arrêté, Kévin lui lance un collier rose et se dirige vars la cuisine pour prendre un café. Quand sa mère passe devant lui, il a une idée.

- Esclave, donne-moi ta culotte, je veux que tout le monde voit le cul rouge de ma mère.

Jessie n'hésite pas, elle enlève sa culotte et la donne à Kévin. Quand elle se tourne pour sortir de la maison, le garçon lui donne une nouvelle claque sur son cul douloureux et dit :

- Tu as un beau cul maman. Sa couleur rouge va bien avec ton collier. Je crois qu'il devrait toujours être rouge.

Jessie sort de chez elle et traverse la petite bande d'herbe entre les deux maisons. Son cul la brûle et son corps doit être aussi rouge que son arrière-train. Le collier rose la serre à chaque pas. Elle déteste devoir aller chez son voisin. Elle ne peut pas le supporter. Il est gros, sent mauvais et il est vraiment vicieux. Son regard la fait toujours frissonner. Jessie n'est pas excitée et elle sait qu'elle ne le sera pas. Elle sait qu'il va lui faire faire des choses dégoûtantes. La dernière fois, c'était principalement des fellations, à part pour les neveux. Puis M. ASH lui avait fait lécher les planchers et ramper à ses pieds. Elle arrive à sa porte et remarque une note :

« Entre putain! Je serai au lit ou dans la salle de bain. Assure-toi d'être complètement nue! »

Le mot n'est pas signé, mais ça n'a pas d'importance pour une esclave. Jessie entre et enlève son peu de vêtements. Elle prend une profonde inspiration et monte à l'étage pour se soumettre.

Robert ASH attend que Jessie arrive. Il veut humilier complètement sa voisine. Il a toujours détesté la façon dont elle le regarde et fronce son nez. Il veut qu'elle sache quand il en aura fini avec elle qu'elle n'est plus rien. Elle est juste un insecte sous sa chaussure. Toute la nuit il a rêvé de ce qu'il allait lui faire. Intentionnellement il ne s'est pas douché après la séance de hier. Il veut être particulièrement odorant pour sa visite.

Lorsqu'il l'entend monter les escaliers, Robert se lève du lit et se dirige vers la porte. Le timing est parfait, car lorsqu'il ouvre la porte, Jessie est devant, nue comme ordonné.

Il attrape son bras et la tire vers la salle de bain.

- C'est parfaitement chronométré, je suis sur le point de me laver et tu vas m'aider.

Il ricane quand il voit l'expression de la femme. Il sait qu'il sent mauvais et il peut voir à quel point quand il la regarde.

Jessie s'étouffe presque lorsque son voisin ouvre la porte de sa chambre. L'odeur envahit son nez et elle lutte pour ne pas vomir. Quand il la traîne vers la salle de bain elle pousse un soupir de soulagement en espérant qu'il prenne une douche. Une fois à l'intérieur, l'homme verrouille la porte. Jessie est prise au piège dans la petite pièce sans ventilation. Elle essaie de respirer par la bouche mais l'odeur a un goût âcre.

Robert rigole intérieurement, il est trop excité. Il veut qu'elle pense qu'il va prendre une douche, mais son plan est plus sournois.

- Il est temps de bosser esclave! Je veux pisser, alors amène ton cul ici et tiens ma bite. Tu ferais mieux de te débrouiller pour bien viser ou je te garantis que tu le regretteras.

Il la pousse à genoux vers la cuvette des WC et il met sa main sur sa queue. Jessie déteste toucher cette bite à l'odeur désagréable au niveau de son visage. Portant elle enroule ses doigts autour et pointe le bout vers les toilettes.

Mais Robert a une autre idée. Soudainement il pisse en pulvérisant partout sauf dans la cuvette. Jessie est surprise et essaie de bien viser, mais la bite glisse de sa main et l'arrose sur le visage et ses seins.

-- ESPÈCE DE SALOPE STUPIDE! JE T'AI DIT QUE TU LE REGRETTERAIS SI TU NE VISAIS PAS BIEN! Crie Robert.

Jessie se précipite pour reprendre la bite et viser la cuvette. Finalement elle réussit juste au moment où il finit. Robert attrape une paire de menottes qui se trouve sur le lavabo, et tire les bras de la pauvre femme derrière son dos pour les attacher ensemble.

- Maintenant nettoie ma bite et assure-toi qu'il ne reste pas de pisse.

Jessie est mortifiée à l'idée de sucer cette queue sale. Elle n'est pas sûre de contrôler son envie de vomir. C'est déjà difficile pour elle d'être si proche de lui. Lorsque Robert la voit hésiter, il la gifle sur une joue, puis sur l'autre.

- Allez sale pute! Crache-t-il.

Jessie prend une grande inspiration et se penche en avant pour lécher la bite odorante. A chaque coup de langue son estomac se retourne. Enfin, quand elle est sûre que la bite est propre, elle dirige sa langue vers l'aine, puis le ventre poilu.

Robert regarde la salope lécher son corps. Il sait que c'est dégoûtant. Il sourit, la repousse et se met à rire. Il se retourne, s'assoit sur les toilettes et commence à déféquer. Jessie toujours agenouillée à côté de la cuvette ne peut s'empêcher d'avoir des hauts le cœur. A chaque fois qu'elle lèche la bite, elle retient son souffle. Elle est soulagée de rien avoir mangé avant de venir sinon elle aurait vomi sur ASH. Elle espère que son calvaire dans la salle de bain est bientôt terminé. Elle prie pour que la douche soit la prochaine étape. Robert lui sourit. Il sait qu'elle n'a aucune idée de ses plans. Il reste assis pendant une bonne dizaine de minutes pour terminer ses affaires. Puis il se lève et se dirige vers le lavabo.

Jessie est choquée de voir que son voisin dégoûtant ne prend même pas la peine de s'essuyer le cul. Elle comprend pourquoi il sent si mauvais. L'homme s'appuie sur le lavabo et commence à se brosser les dents. Comme Jessie ne bouge pas, il se tourne et crache :

- Tu n'as pas fini. Viens nettoyer mon cul avec ta langue de pute!

Jessie a le souffle coupé, mais elle sait qu'elle n'a pas le choix. Elle se penche et enfonce son visage entre les grosses fesses poilues de l'homme. Robert lui ordonne de lui lécher le cul jusqu'à ce qu'il ait fini de se brosser les dents. Il n'y a plus aucune forme de résistance en Jessie. Sa soumission et tout ce qu'elle traverse lui ont enlevé toute estime de soi et n'ont laissé qu'une esclave, une esclave qui servirait sans aucun doute n'importe quel homme ou femme dominant.

Robert aime torturer sa voisine. En fait, il aime torturer les femmes. Pour lui, les femmes ne sont bonnes qu'à répondre à ses besoins. Il tend la main et repousse Jessie pour aller dans la douche. La professeure est soulagée. Si elle doit obéir à cet être dégoûtant, lui donner une douche doit être probablement le plus agréable.

Jessie sent maintenant aussi mauvais que son voisin détesté. Elle est impatiente de pouvoir prendre sa douche avec lui. Au moins son urine sera lavée. Jessie le suit alors qu'il tourne les robinets, mais quand elle fait mine d'entrer sous la douche il la repousse.

- Qu'est-ce que tu croire faire sale pute? Je ne veux pas de ton cul dégueulasse dans ma douche. Vas nettoyer les toilettes et assure-toi bien de lécher toute la pisse sur le sol. Quand je sortirai, je veux qu'il n'y ait plus aucune trace.

Robert sourit quand il voit son expression désappointée. Il attend qu'elle rampe lentement jusqu'à la cuvette et qu'elle commence à lécher le bord. Il lui claque le cul plusieurs fois avant de se tourner et de prendre sa douche.

Jessie commence par le bord de la cuvette. C'est difficile pour elle avec les mains liées dans le dos. Elle doit donc s'asseoir par terre et écarter les jambes. C'est désagréable, car le sol est couvert de pisse et la salit encore plus. Elle essaie de se dépêcher et de terminer avant que son tourmenteur ne sorte de la douche. Mais il y a trop à faire. Quand Robert tire le rideau et sort, Jessie vient juste de terminer la cuvette. L'homme grogne, attrape ses cheveux, la remet debout, la tire hors de la salle de bain et dans le couloir. Il s'arrête finalement quand ils arrivent au sous-sol. A la surprise de Jessie, plusieurs hommes sont là.

Robert la pousse sur un banc, attache ses chevilles aux pieds, fixe une laisse à son collier et l'attache de l'autre côté. Elle se retrouve maintenant complètement impuissante, ses mains toujours liées dans son dos, ses jambes et son cou fixés au banc.

- Bon les gars, vous avez deux heures pour vous amuser. Vous pouvez la baiser dans n'importe quel trou et autant de fois que vous le voulez. Mais ne lui laissez pas de marques permanentes. Désolé si elle sent mauvais, mais cette chienne ne sait pas viser.

Robert ASH se tourne pour partir et commence à monter l'escalier du sous-sol. Il regarde par-dessus son épaule et voit six hommes impatients entourer la salope impuissante.

*****

Kévin est toujours assis dans la cuisine quand Marcus finit enfin son nettoyage. Il sait que son esclave de père est soumis et prêt à lui sucer la bite. Kévin est au courant de l'ordre qui lui a été donné de sucer une bite toutes les douze heures. Et ça fait déjà six heures que son père l'a sucé ce matin. Il sait bien que si Marcus n'y pense pas encore, ça ne devrait pas tarder.

Maître X parle à Kévin à travers l'oreillette pour lui dire que Julie va descendre dans une minute environ et qu'elle va essayer de séduire son père à nouveau. Il demande à Kévin de s'éloigner et de la laisser essayer.

Le jeune garçon sourit et se dirige vers la porte de derrière en disant :

- Papa, pour le reste de la journée, tu n'as pas le droit de jouer avec ta petite bite. En fait, tu ferais mieux de la garder dans ton pantalon. Si j'apprends que tu exposes ta bite pour une raison quelconque, tu ne porteras plus jamais de vêtements d'hommes, JAMAIS!

Kévin ouvre la porte et sort. En jetant un coup d'œil derrière lui, il voit Julie entrer dans la cuisine. Il ne peut s'empêcher d'apprécier la beauté de sa sœur presque nue.

Ce n'est que quelques secondes après être entrée dans la cuisine qu'elle voit son père debout en train de regarder la porte arrière. Elle ne voit personne d'autre et elle sait qu'elle a l'opportunité de suivre ses ordres. A l'étage, Jason lui a ordonné de se changer et de prendre un des maillots de bain dans laquelle il l'a photographiée la semaine précédente. Ce n'est juste que quelques petits bouts de tissu avec de fines ficelles. Elle se sent plus nue en le portant que si elle était vraiment nue. Julie pense qu'elle devrait être dégoûtée à l'idée de baiser son père ou son frère. Mais depuis le début de son cauchemar, elle n'a plus le contrôle, sur son corps du moins. Et il lui semble que c'est la même chose pour son esprit. La seule pensée qui la travaille c'est qu'elle veut jouir à tout prix. Elle sourit à son père et lui dit :

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