La Descente aux Enfers de Jessie 13

BÊTA PUBLIQUE

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- Hé papa, peux-tu m'aider? Je vais bronzer au soleil et je ne voudrais pas brûler. Tu peux me mettre de la crème solaire?

La mâchoire de Marcus tombe quand il regarde sa petite fille devant lui nue ou presque. Il déglutit difficilement et veut sortir de la pièce. Cependant, il se rappelle de ses instructions quand il lève les yeux et voit la caméra.

- Bien sûr ma chérie, je serai ravi de t'aider. Répond-il.

Elle lui tend la lotion en passant, ses hanches se balançant et ses seins tremblotants. Marcus suit sa fille presque nue dans la cour arrière et il la regarde s'allonger sur une chaise longue. Elle le regarde avec des yeux de biche et son cœur fait un bond. Sa fille est la parfaite réplique de sa femme Jessie vingt ans plus tôt, la femme dont il est tombé amoureux, la femme avec qui il a passé la majeure partie de sa vie d'adulte.

Le corps de Marcus réagit comme avant que tout ne commence. Son sexe reprend vie et immédiatement tend son pantalon en stretch. Julie le remarque tout de suite et en profite. Elle se retourne et met son cul en l'air. Elle prie pour que ce soit suffisant à pousser son père à la baiser.

Marcus tombe à genoux et commence à étendre la lotion sur son dos. Son esprit est partagé entre obéir à son Maître ou baiser sa fille. Il passe de la lotion de haut en bas jusqu'à ce que son corps scintille au soleil. Plus il la touche, plus il a envie de lui arracher son peu de vêtements et de fourrer sa bite dans sa petite chatte. Julie halète et essaie de remuer pour que les mains touchent son sexe. Elle est hors de contrôle. Julie sait qu'elle n'est pas autorisée à jouir, mais elle s'en fiche. Jason pourra faire ce qu'il veut, elle acceptera la punition. Son corps réclame d'être soulagé et son père est sur le point de le lui donner.

Marcus essaie bien de garder ses mains à l'écart du cul et du sexe de sa fille, mais ses efforts sont vains. Elle arrive toujours à bouger de façon à ce que ses doigts touchent son intimité. Donc à un moment il renonce et touche ses petites lèvres.

Julie a le souffle coupé quand son père touche enfin sa chatte.

- Oh merci papa! Ne t'arrête pas! Continue de me toucher papa, j'en ai tellement besoin. s'il te plaît, fais-moi jouir! Supplie-t-elle.

Marcus est fasciné par sa fille qui se tord devant lui. Il fait glisser le peu de tissu sur le côté et enfonce grossièrement deux doigts dans sa chatte. Le cri de la jeune fille lorsqu'il la pénètre est si fort qu'il peut être entendu de la rue. Marcus est surpris alors il commence à retirer ses doigts et voit Julie le regarder. Le regard de sa fille est exactement le même que celui de sa mère lors de l'une de leurs premières aventures. C'est un regard de luxure, le regard d'un animal sauvage prêt à sauter sur sa proie.

- N'ose pas sortir tes doigts de ma chatte, espèce de poule mouillée! Baise-moi avec tes doigts et fais-moi jouir esclave!

Marcus n'a jamais vu sa fille dans un tel état auparavant. Il remet ses doigts dans la chatte inondée et en ajoute deux autres.

Julie laisse échapper un gémissement guttural et son corps commence à convulser. Elle ne peut penser à rien. Elle est esclave de son corps et elle ne se soucie plus de savoir si quelqu'un le sait. Le sexe de Julie happe les doigts de son père et les tient fermement. Son envie d'être satisfaite lui donne de la force.

Les doigts sont enterrés plus profond en elle et elle refuse de les laisser partir. Quand elle les sent bouger, elle a un orgasme plus puissant que ceux qu'elle a pu connaître.

Marcus regarde avec étonnement sa fille jouir. Il enfonce encore plus ses doigts et les remue. Le corps de la jeune fille réagit instantanément et des vagues de plaisir le traverse et provoque des spasmes musculaires.

Le père n'a jamais ressenti autant d'amour pour sa fille qu'à ce moment-là. Il continue à bouger sa main et prolonge l'orgasme. Julie n'est plus cohérente. Seul du charabia sort de sa bouche et du fluide de sa chatte.

Finalement, lorsque l'orgasme commence à décliner et que Julie réussit à reprendre le contrôle de son corps, elle lève les yeux vers son père et lui murmure :

- Je t'aime papa.

Marcus ne peut rien dire, sa concentration étant fixée sur sa fille. Il n'a jamais rien vu d'aussi érotique. Sa bite est dure et le devant de son pantalon a une grande tâche humide. Il doit avoir éjaculé sans même le remarquer.

Il regarde sa fille s'effondrer dans la chaise longue. Il retire alors ses doigts de sa chatte, se lève et retourne à la maison. Il est un peu choqué par ce qui vient de se produire. Sa famille n'est plus celle qu'il connaît. Elle sombre dans la dépravation, il ne reconnaît plus sa femme et ses enfants. Kévin son fils est un dominant et son Maître. Jessie sa femme est une prostituée pour son voisin et la moitié de la ville. Julie sa fille est une salope excitée qui supplie d'être baisée par n'importe qui. Et lui-même ne peut s'arrêter de penser à des bites, il est excité pat n'importe quel homme dominant et il les suce sans protester.

Marcus se laisse tomber par terre au milieu de la cuisine. Il comprend tout. C'est Maître X qui contrôle tout. Maître John, Janice, Kévin ne sont que des pions dans le plan de Maître X. Les autres ne sont que des distractions pour le garder lui et sa femme occupé pendant qu'il arrange tout. Maintenant, toute sa famille est sous son contrôle et il n'y a pas de porte de sortie. Ce qui a commencé pour Jessie comme une façon de vivre ses fantasmes est devenu un véritable cauchemar. Maître X pourra et fera probablement tout ce qu'il veut d'eux, et personne ne l'empêchera. Il possède tout, leur argent, des vidéos et des photos de leurs exploits sexuels, assez de chose pour ruiner leur vie à jamais. Ils peuvent perdre leur emploi, leur maison et vivre l'enfer. Ils peuvent même aller en prison pendant un moment. Marcus frissonne en pensant aux alternatives.

Il reste sur le sol de la cuisine pendant près de vingt minutes. Julie a dû s'endormir et Kévin est parti. Le corps de Marcus semble peser des tonnes alors qu'il rampe sur le sol vers le couloir. Il voudrait s'évader, mais il n'a nulle part où aller. Maître X peut voir chaque centimètre de la maison et aller voir Maître John est hors de question. Il a entendu dire que hier, après son départ, Gladys avait fait une scène et personne n'avait revu son mari dans la soirée. Marcus les avait brièvement vu sortir de leur allée ce matin. Et plus tard dans la journée, un panneau marqué « A VENDRE » était apparu sur leur pelouse. Marcus se dirige vers sa chambre et s'effondre sur son lit. Il est épuisé et pourtant il n'est que 14 h 00.

*****

Kévin a juste descendu la rue pour passer du temps au pub local. Maître X lui a dit d'attendre pour rentrer chez lui. Il boit une bière en écoutant le récit de ce qu'il se passe dans son oreillette. Finalement, maître X lui dit qu'il peut rentrer chez lui. Il est presque 14 heures. Il donne un pourboire à la serveuse et repart à la maison. Il veut être présent quand sa mère soumise va rentrer.

*****

Jessie est utilisée par les six hommes à maintes reprises. C'est d'abord sa bouche, puis sa chatte et enfin son cul. Jessie déteste chaque seconde de cette violence envers elle, mais son corps la trahit encore et encore. Les bites entrant et sortant de son corps dans toutes les directions réduisent son monde à ses trous complètement remplis. Son esprit est consumé par le plaisir alors qu'elle s'enfonce dans une torpeur sexuelle. Elle sait qu'en dépit de l'humiliation de chaque expérience, elle est là où elle voulait être. Elle est une esclave dont le but est de faire plaisir. Elle frissonne alors qu'un orgasme massif explose dans son corps.

Jessie n'a aucune idée de l'heure. Son monde est réduit au six queues qui lui apportent tant de plaisir. Quand les hommes s'arrêtent tous et retirent leurs engins, elle gémit et elle les supplie de continuer à l'avilir. Le plus vieil homme, dans la soixantaine probablement, gifle son visage avec sa bite. Jessie, toujours sous l'influence de son orgasme, suit le sexe avec sa bouche, essayant de le capturer pour le sucer profondément. Les hommes se moquent de cette femme affamée de bites qui chasse la queue du vieil homme avec sa bouche alors que son corps est couvert de sperme et de pisse. Finalement le vieux cesse de la taquiner et enfonce sa bite demi-bandante dans sa gorge. Jessie gémit alors que le membre remplit sa bouche. Elle commence à le sucer pour avoir son jus.

A 13 H 45, l'un des hommes appelle Robert ASH qui se trouve à l'étage.

- Hé Bob, nous avons fini avec ta salope, elle nous a bien vidés. Qu'est-ce qu'on en fait?

Robert sourit. Il a regardé sur la vidéo qu'il a installé sa voisine se faire baiser. Il a adoré quand elle s'est complètement soumise et qu'elle a encouragé les hommes à la baiser plus fort. Il sait qu'avec un bon montage, il pourra vendre des milliers de cette vidéo.

- Envoyez-la dans les toilettes et dites-lui de terminer son nettoyage. Répond-il.

Les hommes détachent Jessie et l'ont pratiquement porté dans les escaliers jusqu'à la salle de bain. Là, ils la jettent par terre et lui ordonnent :

- Tu ferais mieux de te dépêcher si tu veux partir d'ici.

Jessie ne peut pas tenir debout après avoir été attachée aussi longtemps. Son esprit ne peut plus penser et son corps ne peut plus bouger sans aide. Elle entend l'ordre et rampe sur le ventre pour finir de nettoyer autour des toilettes la pisse séchée du matin.

Elle lèche la cuvette et par terre. Peu importe ce qu'elle lèche, elle obéit juste aux ordres. Ses deux dernières semaines de formation annihilent toutes pensées de protestation. Elle continue de lécher le sol sale jusqu'à ce que Robert vienne, la tire dans les escaliers et la mette à la porte.

- A demain salope, même endroit même heure!

Il rit et ferme la porte.

Jessie atterrit à genoux, nue, entre les deux maisons. Ses jambes ne peuvent toujours pas la soutenir, alors elle rampe sur la bande d'herbe jusque dans sa cour arrière. Après avoir passé le portail, elle voit sa fille endormie, presque nue, allongée sur une chaise longue. Elle voit du liquide sur la chaise et entre ses jambes. Il est évident qu'elle a été baisée ou qu'elle a eu un gros orgasme. Comme Jessie ne veut pas que sa fille la voit, elle passe rapidement.

Après avoir ouvert la porte et avoir rampé dans la cuisine, elle s'effondre sur le sol et s'évanouit. Elle est épuisée d'avoir été baisée à plusieurs reprises par les hommes d'à côté. Elle a utilisé ses dernières forces pour rentrer chez elle.

Kévin regarde sa salope de mère s'effondrer sur le sol. Il pense à la faire se lever tout de suite, mais comme il veut qu'elle soit cohérente le reste de la journée, il la laisse récupérer pendant un moment. Il monte à l'étage et passe quelques coups de téléphone. Il veut s'assurer que tout est prêt.

Trente minutes plus tard, il retourne à la cuisine et tape le coude de sa mère avec son pied.

- Lève-toi esclave et va prendre une douche. Nous avons encore beaucoup à faire aujourd'hui. Quand tu seras lavée, va dans ma chambre et agenouille-toi au bout du lit. Je te rejoindrai là-bas et t'expliquerai ce qui t'attend.

Il la pousse encore du pied jusqu'à ce qu'elle commence à se lever.

- Oui Maître. Marmonne-t-elle en se dirigeant vers la salle de bain, les jambes tremblantes et l'esprit embrumé.

Il faut près de quarante-cinq minutes à Jessie pour se nettoyer et retrouver ses esprits. Elle se brosse les dents plusieurs fois et utilise près d'une demi-bouteille de rince-bouche. Finalement, elle sort de la salle de bain et entre dans la chambre de son fils. Elle prend position, s'agenouillant en bout de lit. Elle écarte les jambes et met ses mains derrière sa tête. Puis elle attend Kévin.

Celui-ci attend vingt minutes avant d'entrer dans sa chambre. Il sait que les genoux de sa mère vont lui faire mal et il veut ça.

Il s'accroupit devant elle et sourit. Il détaille son corps et trouve qu'il correspond à une femme de moitié d'âge. Ses seins sont fermes et ne s'affaissent pas d'un centimètre. Elle est agenouillée devant lui, la tête baisée et les yeux levés vers lui. Son cou porte le collier rose qu'il lui a donné plus tôt. Kévin sait que son début de journée a été difficile et que son estime de soi est au plus bas niveau. Cependant, il trouve que ce n'est pas assez. Il veut que quand il lui donnera quelque chose, aussi dégradant ou humiliant que ce soit, qu'elle le chérisse comme un cadeau céleste. Il veut être son dieu.

- Tu es une pute maman! Tu suces n'importe quelle bite se trouvant devant ton visage. Tu suces n'importe quelle bite que tu peux trouver. Tu n'es rien de plus qu'une esclave, mon esclave. Maintenant, je vais prendre le contrôle total de ton esprit et de ton corps. Je vais te dicter quelques règles à suivre.

- Tu dois porter ton collier d'esclave toute la journée sans trouver d'excuses pour l'enlever. Si quelqu'un te demande quelque chose, tu diras que ton fils, ton Maître, t'a ordonné de le porter.

- Tu ne dois rien porter d'autre que ce que j'ai approuvé. Si je ne t'ai pas dit quoi porter, alors tu restes nue.

- Ton cul doit être tout le temps rempli.

- Tu devras me demander la permission pour aller aux toilettes.

- Aujourd'hui, je vais t'acheter un bracelet de cheville qui indiquera que tu es ma propriété. Tu le porteras fièrement et tu le montreras à quiconque voudra le voir.

- Je veux que tu t'habilles avec les vêtements que j'ai laissés sur ton lit. Nous sortons pour rencontrer quelqu'un. Je veux modifier ton corps pour que quiconque sache que tu es une salope. Maintenant va t'habiller, tu as cinq minutes.

Kévin finit son discours en giflant le sein gauche exposé.

- Oui Maître! Dit Jessie.

Elle se lève et va dans sa chambre. Sur le lit, se trouve une robe d'été avec des motifs blancs. Le corsage est très échancré et montre beaucoup de décolleté. Jessie sait, qu'avec ses gros seins, elle va devoir faire attention ou ils vont sortir de la robe. Son dos est nu presque jusqu'à son cul. Sans sous-vêtements, elle sait qu'elle va être exposée. Elle s'habille, enfile les hauts talons et prend une profonde inspiration.

« Mon Dieu, Kévin est mon Maître maintenant? Et Maître X? Pourquoi ne nous a-t-il pas contacté? Je ne peux pas porter ce collier au travail, sinon je serai virée rapidement? Que veut dire Kévin en parlant de modifier mon corps? Je comprends rien. Qu'est ce que je vais faire? Kévin doit comprendre que je ne peux pas perdre mon emploi. Oh mon Dieu, qu'est-ce que je vais faire? Je peux peut-être le faire changer d'avis? » Pense Jessie en retournant vers son fils.

Elle se glisse dans sa chambre. Kévin est assis sur son lit et l'attend. Jessie garde la tête baisée, l'estomac noué. Après la formation reçue de Maître X ces dernières semaines, tenir tête à un dominant est effrayant.

- Maître? Demande-t-elle.

- Oui salope?

- S'il vous plaît Maître, je vous en pris, je ne peux pas porter le collier à l'école sinon je serai licenciée. Je vous supplie Maître, en tant que mère je vous supplie de ne pas me faire faire ça. Plaide Jessie.

- Donc salope, tu penses que parce que tu m'as mis au monde, je devrais avoir pitié de toi. Que tu peux essayer de marchander avec moi, que tu peux essayer de m'émouvoir pour avoir ce que tu veux? TOI, la mère qui rentre à la maison nue et couverte de sperme! TOI qui te fais payer tes services dans notre maison par le voisin! Tu es mon esclave et tu feras ce que je veux. Crache Kévin au visage de sa mère.

Jessie pleure de façon incontrôlable alors que les mots de son fils la déchirent. Chacune de ses paroles s'enfouit profondément dans son esprit, éliminant tout respect de soi. Ses mots brûlent tout le tissu de son être, ne laissant plus que la coquille de la femme forte qui l'occupait autrefois.

Kévin attend que l'impact de ses paroles atteigne sa mère puis il continue :

- Penses-tu que je me soucie que tu perdes ton emploi? Je peux vendre ton cul dans la rue et gagner plus que ce que tu gagnes à l'université.

S'il est possible à une personne de se désintégrer en elle-même, Jessie le fait. Son corps s'est effondré et son esprit s'est rendu. Elle n'est plus une personne, mais un objet, une possession, Une chose à posséder, contrôler et avilir. Alors que des larmes coulent sur ses joues, elle hoche la tête et répond :

- Oui Maître, comme vous le souhaitez...

Maître X est heureux de voir comment son protégé commande sa mère avec facilité. Non seulement, il a pris le commandement, mais il a aussi annihilé sa volonté. Il est maître de son corps et de son âme. Maître X commence à parler puis se retient, attendant de voir la suite.

Kévin sent le changement chez sa mère. Jusqu'à ce moment, sa mère avait encore un certain contrôle et pouvoir. Mais ça vient de disparaître. Kévin lui a tout arraché, la laissant sans rien. Sa mère sera toujours son esclave. Elle fera tout ce qu'il voudra. Maintenant, il doit la modeler, lui donner une petite récompense pour qu'il soit son Maître aimant.

- Esclave, je vais te donner le choix juste une fois. Tu vas avoir l'opportunité de choisir ton chemin à partir de maintenant. Tu peux faire ce que je veux et porter le collier 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, ou tu peux le porter seulement à la maison et quand tu te feras baiser. Mais tu l'auras avec toi à tout moment et je pourrais t'envoyer un texto pour que tu le mettes immédiatement. Toutefois la deuxième option a un coût. Tu porteras à ta cheville le bracelet indiquant que tu es ma propriété tout le temps. Ton corps va être amélioré au cours des prochains mois. Je déciderai des modifications. Tu coopéreras et tu suivras toutes les instructions pour terminer ce processus. Et enfin, parce que je te donne le choix de porter ton collier d'esclave, tu prendras rendez-vous pour faire percer tes mamelons et y insérer des petites bagues. Tu feras ça dans les deux prochaines semaines. Il faut que ce soit un homme qui te le fasse. Tu lui diras que ton maître est absent et qu'il t'a ordonné de le faire. Je veux que ça soit filmé et que tu sois nue. Je veux cette vidéo dans deux semaines.

C'est comme s'il avait fait plaisir à un chiot. Jessie va garder son emploi et ne se retrouvera pas à la rue comme une pute. c'est comme si son maître lui avait jeté une bouée de sauvetage. Jessie tombe à genoux et serre les jambes de son maître.

- Oh merci Maître, vous êtes très généreux et votre esclave vous remercie. Votre esclave fera comme ordonné et vous rendra fier Maître. Merci!

Jessie se met à pleurer alors que le soulagement traverse son corps. Elle pleure, mais ce sont des larmes de joie.

Maître X est assis, étonné, devant son ordinateur. Le jeune maître est un vrai chef d'orchestre conduisant une symphonie. Il a arraché l'âme de sa mère, puis, dans un coup de génie, il lui a donné une petite chose pour qu'il s'affirme comme son Maître pour toujours. Il sait que tout cela ne s'apprend pas, c'est inné.

Kévin se penche et relève sa mère.

- Il est temps de devenir mon esclave. Je veux te marquer. Dit-il en sortant de la pièce, Jessie le suivant de près.

Ils se dirigent tous les deux vers le garage, prennent la voiture et reculent dans l'allée. Kévin conduit et Jessie est tranquillement assise à côté de lui.

- Ne reste pas sans rien faire esclave. Je veux que tu remontes ta robe et que tu te touches jusqu'à ce que nous arrivions.

Jessie n'hésite pas un instant et a bientôt deux doigts enfouis dans sa chatte. Elle sait qu'elle devrait être dégoûtée ou humiliée de se masturber dans la voiture avec son fils assis à côté d'elle. Mais ce n'est pas son fils, c'est son Maître. Et plaire à son Maître est son objectif, elle ne va pas échouer.

Ils roulent pendant une quinzaine de minutes avant que Kévin entre dans un parking et stationne la voiture. Jessie est tellement occupée qu'elle n'a même pas remarqué où ils sont. Lorsque Kévin sort de la voiture et ouvre sa porte, elle descend simplement et suit son Maître. Peu importe où ils vont, ce n'est pas à elle de décider. Elle est juste une esclave. Ils marchèrent sur une courte distance jusqu'à une porte à côté d'une charcuterie, Kévin en tête et Jessie suivant comme un petit chien.

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