La Descente aux Enfers de Jessie 20

Informations sur Récit
Journée à l'université pour Jessie et Janice.
12.1k mots
4.6
11.4k
3

Partie 20 de la série de 20 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 06/11/2020
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Je remercie Sadkins116 et Rebeccasm les auteurs de ce récit dont le titre original est « Jesse's Journey Down a Rabbit Hole » sur ce site.

Dans sa version originale, cette histoire était illustrée, Malheureusement Sadkins116 vient de supprimer sa page sur Literotica.

Cette histoire n'a pas de fin. Les deux auteurs auraient dû se remettre à l'écriture de la suite, mais Sadkins116 ayant disparu du site, je juge fort improbable d'avoir la fin de ce récit.

Enfin, je remercie tous les lecteurs qui me suivent et plus particulièrement ceux qui me laissent un petit commentaire.

Bien sûr, l'avertissement est de rigueur : Ce texte comprend de la soumission féminine et masculine, de la contrainte, de l'esclavage. Si votre esprit est en contradiction avec ces thèmes, ne perdez pas votre temps à le lire.

************

Janice se dirige lentement vers sa voiture. Cette journée a été la pire de sa vie. Elle a commencé par devoir satisfaire les ouvriers qui sont chez elle depuis deux jours. Le premier jour avait été dur, mais le deuxième était pire. Maintenant qu'ils savaient qu'elle était la salope de la maison, ils profitaient constamment d'elle. Janice déteste le plus grand. Elle n'a même pas appris leurs noms et se contente de les connaître simplement par leur description. Le grand a dû la baiser cinq fois dans la journée. Chaque fois a été plus brutale que la précédente. Pendant la pause du matin elle a dû lui faire une gorge profonde. Puis au déjeuner elle a dû lui lécher le cul et les couilles avant de se faire baiser la chatte. A la pause de l'après-midi il l'a enculé si violemment qu'elle s'est évanouie. Et avant de partir le soir, il l'a encore baisée dans la chatte et le cul.

Les autres gars l'ont baisée aussi, mais aucun n'a été aussi brutal que le plus grand. Janice pouvait à peine marcher lorsque elle est arrivée chez Jessie. Elle s'est tout de suite rendu compte que la suite allait être mauvaise à cause de l'expression sur le visage de Maîtresse Brenda quand elle entra. Quand Jessie est finalement revenue de l'université, Janice a prié pour que Maîtresse Brenda torture l'enseignant plutôt qu'elle.

Janice reste assise dans sa voiture en repensant à la compétition entre Jessie et elle. Elle se dit qu'acheter les préservatifs avait été humiliant, mais prostituer son corps aux clients du sex-shop était de loin la chose la plus humiliante qu'elle ait jamais fait. Contrairement aux rumeurs populaires, Janice n'était sortie qu'avec peu d'hommes au cours de sa vie. Ses aventures sexuelles pouvaient être comptées sur les doigts d'une main. Il y avait eu son mari bien sûr, et de brèves aventures au collège avec trois garçons. Aujourd'hui elle vient d'être baisée par une trentaine d'hommes. C'est six fois plus que tous les hommes qu'elle a connus dans sa vie.

Elle est assise dans sa voiture, le sac de préservatifs usagés sur le siège passager. Elle voudrait les jeter par la fenêtre, mais quelque chose lui dit que si elle le fait, elle pourrait perdre sa fille. Janice démarre la voiture et rentre chez elle.

Bientôt, elle se gare dans son allée. Saisissante le sac de préservatifs, elle sort de sa voiture. Plus elle s'approche de la porte d'entrée, plus elle se sent mal. Ses ordres sont de donner les préservatifs usagés à sa fille afin qu'elle lèche le foutre de tous les hommes qui viennent de baiser la mère. L'idée est dégoûtante. Chaque homme l'a baisée dans sa chatte ou dans sa bouche. VINGT-SIX PRÉSERVATIFS REMPLIS DE FOUTRE! MERDE!

Janice reste devant l'entrée en se disant qu'elle ne peut pas faire ça. Rien ne pourra l'obliger à remettre ces choses dégoûtantes à sa fille. Elle ouvre le sac, sort un premier préservatif et verse le contenu dans sa bouche.

Janice se tient l'estomac alors que le sperme froid glisse dans sa gorge. Elle manque d'étouffer et de vomir, mais réussit à garder le foutre. Elle pense que quelqu'un risque de vérifier si les préservatifs sont propres alors elle le met dans sa bouche et le suce afin qu'il soit propre à l'intérieur et à l'extérieur.

Janice regarde le sac et grimace. Il y en a tellement. Le simple fait de les regarder aggrave encore plus sa journée. Elle sait que chacun de ces préservatifs est un viol de son corps et de son âme. Une larme coule sur sa joue alors qu'elle se penche et sort un deuxième préservatif du sac avant d'ouvrir la bouche.

Maintes fois, elle sort un préservatif pour le vider dans sa gorge. Même si son esprit déteste chaque goutte qu'elle avale, son corps réagit différemment. Chaque fois qu'elle fourre un autre préservatif dans sa bouche, elle peut goûter son jus. Le goût distinctif de sa chatte et sa salive lui rappelle le souvenir de son corps secoué par des orgasmes. Maintenant, ce goût pousse sa chatte à mouiller abondamment.

Il faut à Janice près de dix minutes avant qu'elle prenne le dernier préservatif et le verse dans sa gorge. Elle le lèche bien et le jette dans le sac avant d'entrer chez elle. Elle ne peut pas laisser Christy la voir dans cet état, alors elle se précipite vers la salle de bain et elle saute sous la douche. Elle reste sous l'eau chaude qui pique sa peau. Se sentant sale comme le foutre qu'elle vient de boire, elle frotte son corps brutalement, pour le nettoyer de la crasse dont elle croit être couverte.

Lorsque ses doigts frottent sa chatte, une explosion d'excitation remplit son corps. En quelques secondes elle a trois doigts enfouis dans sa fente, pour se soulager et être libérée. Au moment où elle est sur le point d'avoir un orgasme, elle se souvient qu'elle n'est pas autorisée à jouir sans permission. Elle ne sait pas vraiment pourquoi, mais elle ressent le besoin de s'y conformer. Janice retire ses doigts de sa chatte, s'appuie contre le mur et pleure.

Quand elle sort enfin de la douche, il s'est passé une heure depuis son arrivée. Elle a froid et elle tremble. Elle attrape sa robe de salope et se dirige vers sa chambre. Elle avance vers son placard et se rend compte que les ouvriers l'ont verrouillé avec un gros cadenas. Janice se tourne vers sa commode et la voit elle aussi verrouillée.

N'ayant rien d'autre à porter, elle glisse la robe qu'elle déteste au-dessus de sa tête et commence à descendre les escaliers. Soudain elle s'arrête. Elle sait que lorsque Christy va la voir, elle lui posera beaucoup de questions. Et des questions auxquelles elle ne veut pas répondre pour le moment. Elle retourne dans la chambre, menotte ses pieds et ses mains, attache la chaîne qui relie ses poignets et ses chevilles et se recroqueville pour tomber immédiatement dans un profond sommeil.

Janice se réveille quelques heures plus tard et essaie lentement de se lever. Son cul et sa chatte sont en feu et tout son corps lui fait mal à cause des mauvais traitements de la journée. Elle est toujours attachée. Elle appelle Christy pour l'aider à se libérer.

Christy est dans le couloir quand elle entend sa mère l'appeler. Elle avait entendu Janice rentrer à la maison et elle l'avait cherchée. Mais sa mère était sous la douche et elle s'est dit que quoi qui c'était passé, elle avait besoin de temps pour se nettoyer. Plus tard, Elle était venue voir et elle avait trouvé sa mère profondément endormie, attachée au pied du lit.

Christy est redescendue dans le salon et a lu pendant environ deux heures avant qu'elle n'entende sa mère l'appeler. La jeune fille se précipite dans la chambre à coucher pour libérer rapidement Janice.

Celle-ci marmonne un merci quand sa fille la libère des menottes. Ne voulant pas encore parler, elle se dirige lentement vers la salle de bain pour soulager sa vessie. Elle est en mode automatique, son esprit embrumé se demandant ce que lui réserve le lendemain. Au moment où elle finit, Christy est redescendue pour se mettre devant l'ordinateur.

Janice enfile un simple tee-shirt que sa fille lui a posé sur le lit. Elle descend et se fige. Christy est en train de discuter avec Kévin. Janice voulait l'avertir pour les préservatifs, mais elle n'en avait pas eu l'occasion. Elle écoute leur conversation.

- Alors salope, as-tu aimé les cadeaux que ta mère a rapportés à la maison pour toi? As-tu réussi à discerner la différence de goût entre chacun? Demande Kévin.

Il sait déjà que Janice a désobéi. Les ouvriers ont déjà fini de câbler toute la maison en vidéo et audio. Ils travaillent maintenant sur une pièce qui deviendra un cachot. Il a délibérément attendu que Janice se réveille et descende les escaliers pour voir sa réaction d'être prise sur le fait.

- Quels cadeaux? Elle est rentrée à la maison et elle est allée tout de suite se coucher. Etait-elle censée me donner quelque chose? Répond Christy.

- Oui esclave! Je vais m'occuper d'elle! Crache Kévin!

Janice ne bouge pas, tremblante. Elle sait qu'elle va être punie. Quand Brenda se glisse derrière elle et attrape une poignée de ses cheveux, elle crie et sursaute. Elle ne savait pas que sa Maîtresse était là.

Brenda approche sa tête près de sa bouche et chuchote :

- Alors tu croyais pouvoir désobéir! Eh bien Maître Kévin veut te voir!

Brenda tire Janice par les cheveux à travers le couloir. Christy se tourne vers le bruit et regarde Brenda tirer sa mère hors de la pièce. Elle regarde l'écran et demande :

- Y a-t-il quelque chose qui ne va pas Maître?

- Non esclave! Mais je veux que tu ailles te coucher, tu sais quoi faire. Ta salope de mère te rejoindra plus tard. Répond Kévin en coupant la communication.

Brenda tire Janice par les cheveux jusqu'au salon où il y a Kévin. La femme a le souffle coupé et comprend qu'elle a des ennuis. Elle regarde derrière elle et elle est soulagée d'entendre sa fille monter les escaliers et entrer dans la chambre en fermant la porte derrière elle.

- Alors esclave? Tu sais que tu as délibérément désobéi à un ordre direct. Ta fille aurait dû profiter des fruits de ta victoire. Toutefois, tu as choisi d'être égoïste et de nettoyer toi-même tous ces préservatifs durement gagnés. Mais maintenant, tout ce travail acharné est perdu. Le symbole de Christy sera activé. Tu as tout foutu en l'air. Dit Kévin, un sourire maléfique sur le visage.

- Oh mon Dieu, s'il vous plaît Maître, pas ça! Je ne pouvais pas le faire, c'était trop humiliant pour ma fille. S'il vous plaît Maître Kévin, s'il vous plaît, ne punissez pas Christy. Supplie Janice en se mettant à genoux.

- Maître, s'il vous plaît, je ferai n'importe quoi, mais n'activez pas le code de ma fille. S'il vous plaît, je me rattraperai. Je baiserai qui vous voulez, je ferais tout ce que vous voudrez. Mais n'activez pas le code de ma fille! Continue-t-elle.

Kévin attend que l'esclave s'écroule devant ses yeux. Il sait qu'elle est perdue maintenant et qu'il peut lui ordonner de faire n'importe quoi et elle le fera. Il lui sourit et attend qu'elle reprenne le contrôle de ses sanglots.

- ESCLAVE, REPRENDS-TOI! Si tu as vraiment l'intention de sauver ta salope de fille, alors voilà ta punition. Jusqu'à présent tu a été chargée de surveiller la maison et de servir les ouvriers. Eh bien c'est fini. Demain, Maîtresse Brenda te ramènera au salon de tatouage et tu auras les mêmes piercings que Jessie l'esclave. Tes mamelons, ta chatte et ta langue auront des bijoux. D'autre part tu seras équipée d'un collier d'esclave permanent.

Janice gémit. La pensée que son corps soit percé et d'avoir un collier en permanence la paralyse. Mais si ça évite à sa fille d'être une pute, elle le fera.

- Oui Maître Kévin. Vos souhaits sont des ordres. Dit-elle en regardant le sol.

- Ce n'est pas tout. Ton code sera activée de la même façon que celui de Jessie et tu retourneras à ton travail. Christy prendra ta place au service des ouvriers. Il est temps qu'elle gagne sa nourriture.

Kévin rit en voyant Janice recommencer à sangloter. Les épaules de l'esclave s'affaissent et elle hoche la tête. L'idée que sa fille soit brutalisée par les trois ouvriers est inimaginable. Elle est perdue et sa fille aussi. Brenda lui tapote la tête comme si elle était un chiot et lui dit :

- Regarde le bon côté esclave! Au moins ta fille ne baisera pas tous les hommes qui scanneront son code.

Janice lève ses yeux remplis de larmes vers sa Maîtresse et hoche la tête.

- Une dernière chose! Lorsque tu arriveras à ton travail, je veux que tu montres à tout le monde ton code, en particulier aux hommes. Ensuite tu diras à chacun comment obtenir l'application. Ça ne sert à rien d'être activée si personne ne le sait. Assure-toi de le dire en premier au principal. Je crois qu'il a vraiment besoin de baiser.

Avant que Janice ne puisse réagir, Brenda la saisit par les cheveux et la tire sur ses pieds. Puis elle la sort de la pièce pour l'emmener dans la chambre. Après quelques minutes Janice est de nouveau attachée par terre. Son esprit est bouleversée à l'idée de ce qu'elle doit faire le lendemain.

******

A l'aube, Jessie se réveille sur le sol de son garage. Après la longue journée de la veille et la correction infligé par Maîtresse Brenda, elle est complètement fourbue. Elle avance dans la maison, son cul hurlant de douleur après les sévices d'hier. Elle se dirige vers la cuisine et voir une note sur la table. Elle la ramasse et lit lentement les instructions. Puis elle laisse tomber le papier et s'effondre sur le sol. Elle sait que sa vie d'avant est définitivement terminée. Après cette journée tout le monde saura qu'elle est une esclave et tout l'université la baisera. Elle reprend le papier pour le relier. Elle ne peut pas s'en sortir, elle doit obéir. Pendant que son esprit tremble de honte et de peur, sa chatte mouille et ses tétons durcissent. Elle ne peut pas s'en sortir sans être humiliée et maltraitée.

Ses instructions sont d'informer chaque classe du code tatoué sur son poignet. Elle doit ensuite expliquer comment accéder à l'application et s'en servir. Hier, après avoir été sodomisée par dix-neuf hommes, elle pensait que ça ne pourrait jamais être pire. Mais là, elle réalise que sa situation va encore empirer.

Elle prend une douche chaude et se rase la chatte. L'eau chaude fait des merveilles en soignant son corps fatigué et endolori. Après être sortie de la douche et avoir été se soulager aux toilettes, Jessie va dans sa chambre pour voir ce qu'elle est autorisée à porter à l'université, même si elle ne le portera sans doute pas longtemps. Sa première classe de la journée est la plus dominante.

Jessie prend le gilet à boutons noirs sans manches. Il a un col blanc. Elle l'enfile et le boutonne. Mais le bouton supérieur se trouve sous ses seins et laisse le gilet presque à moitié ouvert. Elle sait que si elle bouge trop vite sa poitrine va sortir du gilet. Elle ramasse la jupe noire et la fait glisser sur ses jambes. Elle est serrée et très courte. De plus il y a une fente de chaque côté qui donne l'impression que cette jupe n'est rien d'autre qu'un pagne. Il n'y aura pas de mystère avec cette tenue. Il sera clair qu'elle ne porte rien d'autre dessous.

Les sandales à lanières avec des talons de dix centimètres complète la tenue. Jessie est prête à partir. Marcus est déjà levé ou alors il n'a pas passé la nuit ici. Jessie ne sait pas. Elle réfléchit et se rend compte qu'elle ne l'a pas vu depuis hier soir quand il bavait sur les préservatifs. L'idée d'avaler tout ce sperme froid et gluant lui donne un haut le cœur. Toutefois son mari a du le boire et lécher les préservatifs avec un grand sourire sur le visage. Jessie est presque contente d'avoir dormi dans le garage. L'amour qu'elle ressentait pour Marcus a presque disparu et qu'il lèche des préservatifs n'arrange pas les choses.

Elle arrive à l'université beaucoup plus tard que d'habitude. Elle avait peur que si elle arrivait trop tôt, quelqu'un vienne dans sa classe de cours et lui fasse faire quelque chose de sexuel. Avec son code barre actif elle ne sait pas à quoi s'attendre. Elle se tient dans l'embrasure de la porte de sa classe quand le cloche sonne pour avertir du premier cours. Un frisson parcoure sa colonne vertébrale quand elle pense qu'une nouvelle journée d'humiliation commence.

Alors que les élèves entrent dans la pièce, ils ont presque tous un commentaire à faire en saluant leur professeure à la porte.

- Bonjour Madame Salope!

- Jolie tenue de pute!

- Vous avez déjà sucé combien de bites ce matin?

- je veux votre chatte et votre cul.

- Je pensais que les esclaves étaient censés s'agenouiller à l'arrivée de leurs maîtres.

Chaque commentaire érode sa confiance. Et sachant qu'elle doit annoncer comment fonctionne son code barre, elle sait que la journée va être pire que celle de hier. Dans tous ses cours il y a plus de vingt garçons. Peut-être qu'avant midi elle aura baisé plus d'hommes que hier. Une larme coule sur sa joue alors que son esprit lui dit qu'elle approche de la fin de sa carrière. Toutefois son corps ne se soucie pas du tout de ça. La seule chose qu'il veut c'est que sa chatte soit remplie. Mon Dieu, elle veut que quelqu'un la baise! Elle ne crois pas que son cul peut prendre encore une vingtaine de bites aujourd'hui.

La cloche sonne pour annoncer le début du cours. Jessie se met devant sa classe et commence :

- Bonjour, j'ai une annonce....

Cependant Susan l'interrompt et dit en se moquant de sa professeure :

- Tais-toi esclave! J'ai entendu dire que tu étais dans la rue hier habillée en pute pour t'exposer au voisinage. Tu t'es bien amusée? Johnny de ton troisième cours a dit que tu avais acheté une grande boite de préservatifs.

- Oui Mademoiselle Susan, j'étais dans le quartier hier et oui j'ai acheté une boite de préservatifs. Je suis désolé, mais il n'en reste plus. Mais ils n'ont pas tous été utilisés sur moi! Essaie d'expliquer Jessie.

Mais une nouvelle fois, Susan prend la parole.

- Je suppose que ton cul se repose après la séance d'hier. Dit la jeune fille pour humilier l'enseignante.

- S'il vous plaît Mademoiselle Susan, mon Maître veut que je fasse une annonce. Puis-le la faire? Supplie Jessie.

- Bien sûr salope! Que veux-tu nous dire? Répond Susan.

Jessie tend son poignet droit et montre le code barre à la jeune fille.

- je dois vous parler de ce code barre. Je suis une « QR Babe ». cela signifie que lorsque vous scannez mon poignet, il renvoie sur une page web. Il vous suffit d'avoir l'application sur votre téléphone. Explique L'enseignante.

- Et alors? Qui va se soucier d'une page web stupide? Demande quelqu'un dans la classe.

- L'application vous permet de gagner du temps avec moi. Vous pouvez m'utiliser comme vous le souhaitez à condition de respecter les règles. Continue Jessie.

Et elle ajoute rapidement :

- Vous pouvez voir des photos et vidéos de moi. Et il y a une liste de ce que je peux faire ainsi que les restrictions imposées.

Susan ne perd pas de temps et installe l'application. Dès que c'est fait, elle scanne le code de Jessie. Lorsque la page internet s'affiche elle voit sa professeure, Mme GRABAS, nue avec une énorme bite noire enfouie dans son cul. Elle est attachée à une table dans ce qui semble être une ruelle.

Jessie ne sait pas ce que son élève regarde, mais à voir son expression elle comprend que ce n'est pas bon. Il faut bien cinq minutes à Susan pour comprendre le fonctionnement de l'application. Bientôt elle sort une carte de crédit pour en taper les chiffres.

- Voilà esclave! Maintenant tu es ma propriété pendant deux heures.

Susan tourne son téléphone pour que Jessie puisse voir l'écran. Elle pâlit en lisant à qui et pendant combien de temps elle doit se soumettre.

- Oui Mademoiselle Susan, je suis à vous pour les deux prochaines heures. Confirme-t-elle.

- Bien tu as compris. Donc montre tes seins et ta chatte et assieds-toi sur le bureau pendant que je consulte les restrictions. Dit Susan joyeuse en sachant qu'elle va humilier Jessie pendant deux heures.

Jessie retire rapidement son haut par-dessus sa tête, remonte sa jupe à sa taille et s'assoit sur son bureau. Elle veut couvrir ses seins avec ses mains, mais un regarde à Susan lui indique qu'elle doit plutôt laisser retomber ses bras.

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