La Descente aux Enfers de Jessie 20

BÊTA PUBLIQUE

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Tout le corps de Janice est agité de tremblements quand elle sort de l'auto et qu'elle monte les escaliers conduisant à la porte d'entrée de l'université. Sa gorge est sèche et son cœur bat à mille à l'heure. Elle a peur et est excitée en même temps. Elle est confuse, car elle sait qu'elle se dirige vers la fin de sa vie telle qu'elle était avant de tomber si bas. Toutefois, après ces derniers jours, chaque évènement humiliant, chaque rapport sexuel qui lui a été confié, chaque baise qu'elle a eu lui ont provoqué des orgasmes massifs et du plaisir dans la totalité de son corps. Et Maintenant, juste la pensée de ce qu'elle va faire lui envoie des frissons d'excitation dans la colonne vertébrale.

Janice franchit la porte d'entrée et s'arrête sur le pas. Sa respiration est courte et sa chatte nue sous sa mini-jupe commence à dégouliner de son jus sur ses cuisses. Alors qu'elle ne bouge pas en essayant de reprendre le contrôle d'elle-même, trois étudiantes passent devant elle en riant. Janice croit percevoir les mots « salope » et « putain » dans leur bouche. Il y a quelques jours, elle les aurait convoquées dans son bureau et les aurait punies. Mais là, habillée comme une salope, sa chatte dégoulinant le long de ses jambes, elle sait qu'elles disent la vérité.

Janice rassemble son courage et monte les quelques marches menant au rez-de-chaussée. Puis elle avance vers les portes de bureau du côté droit du couloir. Elle se redresse et entre dans le bureau.

Dès que les étudiants et le personnel voient la directrice adjointe presque nue franchir la porte, le silence se fait, ils sont tous ébahis. Janice rougit de la pointe des cheveux jusqu'à ses orteils. Essayant de parler aussi normalement que possible, elle dit d'une voix forte :

- Est-ce que Monsieur JOHNSON est là? Je dois le voir!

La secrétaire n'arrête pas de fixer Janice. Elle est stupéfaite et ne sait que dire. Il faut que Janice demande à nouveau :

- S'il vous plaît, Monsieur JOHNSON est-il disponible?

- Oh oui, il doit l'être. Je vais lui dire que vous êtes ici. Dit la secrétaire en se levant de son siège rapidement pour se diriger vers la porte du directeur.

Pou la première fois de sa vie, Janice est dans ce bureau en se balançant d'un pied sur l'autre, horriblement gênée. Tout le monde la regarde et chaque seconde qui passe l'humilie encore plus. Finalement la secrétaire revient et dit :

- Il en a pour une minute. Il vous demande d'attendre.

Janice retient un gémissement. Elle voudrait être n'importe où plutôt qu'exposée ainsi. Il se passe bien cinq minutes avant que le téléphone de la secrétaire sonne et qu'elle réponde.

- Vous pouvez entrer maintenant Madame WILSON. Dit-elle.

Toute confiance en elle ou courage a disparu depuis longtemps quand elle ouvre la porte du directeur et entre. Dire que Monsieur JOHNSON est choquée de voir sa directrice adjointe habillée comme une salope est un euphémisme. Il la regarde de haut en bas et se penche en arrière sur sa chaise.

- Madame WILSON, s'il vous plaît, dites-moi pourquoi vous êtes habillée comme... eh bien disons habillée de manière inappropriée pour l'école? Dit-il en la regardant droit dans les yeux.

Janice est si nerveuse qu'elle peut à peine parler, mais elle réussit quand même à dire très vite :

- Monsieur Johnson, je suis maintenant une « QR Babe » et je dois vous montrer mon code barre.

- « QR Babe »? Qu'est-ce que c'est que ça? Et qu'est-ce que ça à voir avec votre façon de vous habiller? Aboie-t-il en sentant la colère monter en lui.

- S'il vous plaît Monsieur JOHNSON, si vous voulez bien télécharger l'application QRB sur votre téléphone, ce sera clair. Dit rapidement Janice.

Elle sent son visage devenir de plus en plus rouge à chaque mot qu'elle prononce.

- Une application? Madame WILSON, je n'ai pas le temps de jouer. Expliquez-moi ou j'ai bien peur de devoir vous demander de partir.

- Laissez-moi vous montrer Monsieur WILSON! Dit-elle en sortant son téléphone et en scannat son code barre.

Enfin, quand elle est dans l'application, sur son profil, elle tend son portable à son patron. Celui-ci saisit le téléphone et le regarde. Il passe en revue toutes les pages. Il y passe un certain temps avant de lever les yeux vers la femme humiliée debout devant son bureau.

Janice est sur le point de s'effondrer sur le sol, ses jambes tremblantes. Le directeur pose le portable sur son bureau et regarde le gros téléphone fixe. Il pense qu'il pourrait appeler la police, mais il lui demande de lui montrer le code sur le poignet.

Puis il a un sourire diabolique en regardant la femme :

- Donc si je comprends bien, n'importe qui peut scanner ce code barre et peut donc commander pour tes services via cette application. C'est bien ça?

- Oui Monsieur, c'est ça! Répond-elle.

- D'accord. Mais mettons les choses au clair. Je ne paierai pas pour tes services. Et si tu ne veux pas aller en prison, il est dans ton intérêt que je reste content. Déclare le directeur.

- Oui Monsieur, je comprends. Dit-elle.

- Mais ce n'est pas pour ça que je n'utiliserai pas l'application pour voir ce que tu es autorisée à faire. Et je préviendrai peut-être mes amis et mes connaissances de ton nouveau statut. Maintenant, ouvre ton haut et montre-moi ta poitrine! Ordonne-t-il.

Janice sait qu'elle est piégée. Elle n'a pas le choix et ouvre son haut pour montrer ses seins parfaits?

M. JOHNSON peut difficilement se retenir de se jeter sur la vice-directrice qui se tient devant lui. Elle était une épine dans son pied depuis qu'elle avait été affectée à cette université. Elle voulait sa place et avait rendu son travail plusieurs fois difficile. Elle était même passée par-dessus sa tête plus d'une fois. Et maintenant, elle expose sa poitrine et il sait qu'elle fera tout ce qui lui ordonnera.

- Très bien salope! Maintenant enlève ce gilet et la jupe!

Janice rougit, mais fait ce qui lui ait demandé. Elle est bientôt presque nue avec seulement des bas et des talons.

- Très bien salope, je pense que nous allons trouver quelque chose pour te permettre de continuer de travailler ici. Malheureusement, ça ne sera plus en tant que directrice adjointe. Nous ne pouvons pas avoir une pute avec un poste de responsabilité à l'université. Toutefois je ne suis pas obligé de prendre cette décision tout de suite. Donc, à partir de demain, tu te présenteras à mon bureau très tôt chaque matin. Tu te déshabilleras et tu t'agenouilleras au milieu de la pièce. Tu resteras dans cette position jusqu'à mon arrivée. Je te donnerai alors ta mission quotidienne. Comprends-tu salope? Demande le directeur.

- Oui Monsieur JOHNSON! Répond Janice, son esprit se mettant en mode soumission comme elle a appris ces derniers jours.

- Maintenant remets tes vêtements et sors d'ici avant le changement de cours. Va voir l'entraîneur ROBERTS à son bureau. Je vais l'appeler et il t'attendra. Et fais tout ce qu'on te dit sinon tu repartiras d'ici dans une voiture de police. Ordonne JOHNSON en faisant un signe vers la porte.

Janice attrape rapidement ses vêtements et s'habille. Elle étouffe un sanglot et sort du bureau. Le personnel du secrétariat la regarde attentivement alors qu'elle se précipite vers la porte pour sortir dans le couloir, tête baissée, fixant le sol. Elle ne veut pas voir leurs regards. Si elle le faisait, elle se figerait et pleurerait. Une fois dans le couloir, elle prend une profonde inspiration et se dirige vers le complexe sportif de l'université de l'autre côté.

L'entraîneur ROBERTS est un salopard et un homme répugnant. Il se moque toujours des pom-pom girls et des femmes en général. Janice s'est souvent plainte qu'il la déshabillait des yeux, mais sans effet. On lui a toujours dit que ce n'était pas du harcèlement sexuel que de regarder. Maintenant elle doit se présenter devant cet homme dégoûtant et lui obéir. Plus elle se rapproche de son bureau, plus son corps est excité. Elle essaie de stopper ces sensations, mais son esprit n'a aucune chance. Finalement elle arrive devant la porte et frappe doucement.

- Entrez Madame WILSON! Entend-elle

Elle ouvre lentement la porte et pénètre à l'intérieur. Derrière son bureau se trouve l'entraîneur ROBERTS. C'est un homme grand de 42 ans, aux cheveux poivre et sel. Il est mince. Il sourit à la directrice adjointe nerveuse et la regarde de haut en bas. Janice ne peut pas le regarder dans les yeux, donc elle garde sa tête baissée.

- Monsieur JOHNSON m'a appelé et m'a dit que vous alliez me rendre visite. Il m'a également dit des choses que j'ai du mal à croire. Dit l'homme.

Janice ne peut pas parler, son cerveau ayant du mal à gérer l'humiliation. Elle se contente de hocher la tête.

L'homme sort son portable et dit :

- Donc si je comprends bien, tu es devenue maintenant une pute et tu feras tout ce que je veux .

Janice hoche de nouveau la tête. Elle ne peut pas parler pour dire qu'elle est une esclave et une pute.

L'entraîneur fait le tout de son bureau, attrape le poignet de Janice et scanne le code barre. Il regarde l'écran et sourit :

- Tu es une salope très photogénique.

Janice se tait, elle a l'impression de vivre un cauchemar. Elle est debout et se balance d'un pied sur l'autre nerveusement.

- Il y a un problème Madame WILSON? Le chat a mangé votre langue? Ou plutôt votre chatte attrape les langues? Demande-t-il en riant méchamment.

Puis il continue :

- Mais c'est aussi bien, je déteste les putes bavardes. Maintenant, déshabillez-vous que je vois ce que vous avez à offrir.

Les mains de Janice remontent instinctivement à son haut pour le déboutonner et le faire glisser de ses épaules sur le sol. La jupe suit rapidement. Elle se retrouve maintenant nue devant l'homme qui la détaille avec un sourire vicieux sur le visage.

Le corps de Janice tremble alors que l'homme la contourne. Il ne la touche pas, mais elle sent sa présence. Malgré son esprit qui déteste ce traitement, sa chatte s'humidifie à l'idée de ce qui peut arriver.

L'entraîneur se penche, ramasse les vêtements et retourne à son bureau. Il ouvre un tiroir, y dépose le haut et la jupe et referme.

- Vous n'en aurez pas besoin pendant un bon moment. Vous ne pourrez pas vous rhabiller.

Il rigole alors que ses mots envoient des frissons dans la colonne vertébrale de Janice.

L'homme retourne vers celle-ci, tend la main et accroche un doigt dans l'anneau du collier. Puis il tire Janice dans le couloir.

- Allons nous amuser. Je pense que les vestiaires sont un bon point de départ. Dit-il.

Janice est impuissante. Elle ne peut pas s'enfuir, car elle n'a pas d'endroit où aller. D'ailleurs elle ne peut pas abandonner sa fille. Elle est nue avec des piercings, un collier au cou et brisée. Elle fait simplement ce qu'on lui dit de faire. C'est tout ce qui lui traverse l'esprit alors qu'elle entre dans le vestiaire des garçons.

L'homme la tire à l'intérieur. Elle gémit. L'odeur de sueur, de serviettes humides et de chaussettes sales empli l'air. Ça sent l'homme et la testostérone. Janice s'évanouit presque quand l'odeur la frappe. Elle a des hauts le cœur en pensant aux objets responsables de l'odeur. Mais sa peau picote de partout, comme si mille mains touchaient chaque centimètre carré de son corps. Elle ferme les yeux et essaie de se vider la tête.

L'entraîneur la pousse contre une rangée de casiers et lui dit :

- Écoute salope! Aujourd'hui ton cul est à moi et je prévois d'en faire bon usage. Maintenant je vais te bander les yeux et te mettre des écouteurs. La seule chose que tu as besoin de savoir c'est que tu n'es qu'un jouet. Donc tu feras tout ce que je veux. Tu vas sucer tout ce qui se présentera devant le visage et tu te laisseras baiser par toutes bites.

Janice hoche la tête et murmure :

- Oui Monsieur.

Dès que l'homme lui a mis le bandeau et les écouteurs, Janice commence à devenir nerveuse. Elle ne peut rien entendre ni voir. Et elle est nue dans le vestiaire des garçons. Soudain l'entraîneur la tire entre les rangées de casiers et vers un couloir.

Janice sent une différence dans l'air. C'est plus dense, alors elle pense qu'elle est dans les douches. L'entraîneur cesse de tirer. Elle reste immobile pendant quelques secondes puis l'homme attrape ses poignets et les menotte derrière son dos. Janice gémit, car elle perd de plus en plus le contrôle. Elle se sent de plus en lus impuissante. Finalement son esprit succombe à l'inévitable et laisse son corps faire ce qu'il veut.

Janice gémit de nouveau quand une main touche son cul, puis une autre et une autre... Bientôt elle perd le compte des mains qui touchent son corps. Il n'y a plus de retour en arrière possible, car son corps est trop excité. Des vagues de sensation de plaisir l'envahissent. Elle sent des mains l'asseoir sur un banc. Ses jambes sont levées en l'air et écartées. Elle sent quelque chose s'enrouler autour de chacune de ses chevilles pour tenir ses jambes largement écartées. Janice est sur le point d'exploser de plaisir. Quand une langue lèche son sein droit, des picotements se forment à l'intérieur de son corps. Cette première langue est bientôt rejointe par une autre, doublant ainsi les sensations. Janice a le souffle court.

Quand une troisième langue effleure ses petites lèvres et passe légèrement sur sa fente de haut en bas, ses gémissements se transforment en petits cris. Elle se rapproche de plus en plus d'un orgasme intense.

Deux bouches lèchent ses mamelons avant de mordiller ses tétons, la langue sur ses petites lèvres attaque son clitoris. La salope prend le dessus sur la directrice adjointe.

Ça commence au plus profond d'elle et se propage à toutes ses extrémités, bloquant ses muscles et tout fonction corporelle. Le plaisir coule à travers son corps, vagues par vagues. Janice secoue la tête d'avant en arrière et tombe soudainement sur une bite dure comme du roc. Elle ouvre la bouche et l'avale avidement. En même temps une autre queue entre profondément dans sa chatte. Son corps est à peine remis de son premier orgasme qu'il explose à nouveau, la poussant plus profondément dans un vaste abîme d'extase.

Janice n'a aucune idée du temps qu'elle passe sur le banc. Les orgasmes ont vidé son esprit et elle ne se rend pas compte des queues qui passent. Elle se réveille dans le noir dans le bureau de l'entraîneur. Les lumières sont éteintes et elle n'a aucune idée de l'heure qu'il peut être. Elle n'est plus attachée, les écouteurs et le bandeau sur ses yeux ont disparu. Elle tend la main et allume une lumière. Elle voit alors ses vêtements posés sur le bureau.

Elle se lève et entrevoit son visage. Sa main touche sa poitrine couverte d'une substance blanche comme sa figure. Elle baisse les yeux et se rend compte que son corps est couvert de sperme. Elle passe ses mains de haut en bas sur son torse, son esprit dérivant sur les heures précédentes. Elle sourit peut-être pour la première fois depuis qu'elle est asservie. Son corps est satisfait.

Elle s'habille et sort de l'université. Elle est surprise de l'heure, il est encore tôt. Le soleil se couche alors qu'elle se dirige vers sa voiture pour rentrer chez elle.

Le voyage de retour se déroule sans incident. Les pensées de Janice sont multiples. Elle n'avait jamais été une personne portée sur le sexe. Même profiter de Jessie avait été un acte hors norme pour elle. Bien sûr elle avait toujours essayé de la dominer au travail, mais pas de façon sexuelle. Mais maintenant, après ces deux dernières semaines, son esprit et son corps ont subi de gros changements. La dégradation constante, l'humiliation et les stimulations sexuelles l'ont changée. Elle est constamment excitée et ses orgasmes sont fréquents et massifs. Le résultat est que Janice commence à en rêver, pas seulement de jouir, mais des humiliations, de la douleur et même de la soumission.

Lorsque qu'elle entre dans son allée, elle ne sait pas que dire à sa fille Christy. La dernière fois qu'elle l'a vue, elle était baisée rudement par un ouvrier. Comme elle n'a rien pu faire, elle prie pour que sa fille lui pardonne.

Lorsqu'elle entre dans la maison, elle est assaillie par Christy qui lui fait un gros câlin.

- Tu vas bien maman? Lui demande-t-elle.

Janice est surprise par cet accueil. Elle s'attendait à trouver sa fille comateuse, allongée quelque part. Mais le visage de sa fille est rempli d'inquiétude. Ses yeux regardent ses piercings et elle inonde sa mère de questions :

- Je m'inquiétais pour toi! Est-ce que tes piercings te font mal? Et ton QR code a-t-il été scanné? Par qui? Et est-ce que je les connais?

- Oh mon Dieu! S'il te plaît Christy, ne me demande pas, c'est trop embarrassant. Répond Janice.

- Bon sang Maman! J'ai passé la journée à me faire baiser par ces ouvriers qui travaillent chez nous. Je pense que j'ai gagné le droit de savoir ce qui peut m'arriver. Tu ne pourras pas toujours me protéger. Si nous voulons nous en sortir nous devons pouvoir nous parler. Rien ne nous en empêche, d'accord? Dit Christy en regardant sa mère droit dans les yeux.

Janice voit l'affection dans les yeux de sa fille en entendant ses paroles. Une larme coule sur sa joue, elle ne s'est jamais sentie aussi proche d'une autre personne dans sa vie. Elles s'étreignent pendant près de dix minutes, jusqu'au moment où Janice recule et commence à raconter sa journée. Au moment où elle finit, elles ont bu deux bouteilles de vin et elles sont blotties par terre dans le salon. Aucune des deux n'a même pensé à s'asseoir sur des chaises. Leur soumission est enracinée.

Le lendemain matin, Janice est réveillée par Brenda qui frappe une casserole et une poêle ensemble. Elle force les esclaves à se précipiter pour se préparer, Christy pour les ouvriers et Janice pour aller à l'université.. En seulement quinze minute, la mère est prête et se précipite vers la porte et sa voiture. Sa jupe rayée moulante et son débardeur bleu marine la gardent couverte. Mais Janice glousse en se demandant pourquoi elle prend la peine de s'habiller. Il est six heures du matin et il n'y aura personne à l'université.

Elle entre par la porte principale. Il n'y a vraiment personne. Elle entre dans le bureau principal et se rend dans le bureau de M. JOHNSON. Sans hésiter elle se déshabille et s'agenouille sur le sol au milieu de la pièce. Elle sait qu'elle va devoir attendre presque une heure, mais elle ne voulait pas être en retard. Sa journée allait être assez dure sans qu'elle soit aggravée.

Janice reste à genoux pendant presque une heure et demie. Plus elle attend, plus elle est nerveuse. Alors que l'heure du début des cours se rapproche, elle peut entendre des gens devant la porte. Elle prie que personne n'entre et ne la voit. Même si cela n'a probablement plus d'importance, car son histoire doit être connue dans toute l'université.

Finalement la porte s'ouvre et Mark JOHNSON entre en se pavanant. Il sourit à la salope agenouillée nue dans son bureau.

- Je vois que tu es à l'heure et en position de salope. Je pense que je vais aimer ce nouvel arrangement. Dit-il en attrapant une poignée de ses cheveux en passant et en la traînant jusqu'à son bureau.

- Dessous salope! Je veux que ta bouche soit occupée pour mes premiers rendez-vous.

Janice s'exécute et s'agenouille sous le bureau. Elle regarde l'homme retirer son pantalon et son caleçon avant de s'asseoir. Puis il lui ordonne de travailler. Janice sait qu'elle devrait détester chaque seconde de cette humiliation, mais au lieu de ça, son corps est rougi d'excitation et sa chatte commence à mouiller. Elle sait que quiconque entrant dans le bureau pourra voir ses jambes couvertes de bas sous le meuble. Elle ouvre sa bouche et prend le sexe semi-flasque au fond de sa gorge. Elle tourne sa langue sur le gland et le long de la tige. Il ne faut pas longtemps avant que la queue soit bien raide. Janice est obligée de bouger sa tête de bas en haut dans des mouvements plus importants. Maintenant, le haut de sa tête peut être vu car il dépasse du meuble à chaque fois qu'elle monte en haut de la bite.