La jolie femme du pasteur

BÊTA PUBLIQUE

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Ses lèvres s'entrouvrirent, langue pointée elle lécha ses doigts enrobés de la semence masculine.

Goûtant pour la première fois de sa vie à l'essence mâle, elle reprit de ce pudding masculin.

Puis doigt après doigt elle avala la totalité de la substance gluante, finalement elle se retrouva la bouche à moitié pleine de la semence mâle, il ne restait plus sur le bureau que quelques filets séchés.

Elle fit rouler la froide gelée dans sa bouche, enrobant sa langue de cette matière visqueuse, elle la garda en bouche le temps de nettoyer son bureau.

Elle utilisa d'abord du papier mouillé et termina avec le bouchon de pa-pier sec. Puis elle avala une petite gorgée de la mixture poisseuse, elle frémit alors que l'épais sirop coulait dans sa gorge traçant son lent che-min vers son estomac.

Elle absorba une seconde gorgée, puis goulée après goulée elle avala le tout.

Maintenant un film gluant et goûteux lui tapissait la bouche et les lèvres.

En arrivant chez elle, Mélanie se laissa aller à embrasser son mari les lèvres luisantes du sperme d'un autre.

Depuis qu'elle avait rencontré le troublant vendeur de voiture, son sens du bien et du mal s'avérait totalement perturbé. Elle ne comprenait pas ce qui se passait en elle, elle n'avait jamais agi aussi vilement et vicieu-sement de sa vie.

Se montrer sans défense en la présence de cet homme était une chose, mais ce qu'elle avait fait toute seule dans la classe était bien plus grave.

En ville, Al Grover ouvrait l'enveloppe contenant l'adresse du pasteur et de sa ravissante femme et la clé de leur maison.

Se mêlant aux membres de la congrégation, il avait pris bonne note lorsqu'une des paroissiennes avait rappelé à la femme du pasteur le déjeuner de la ligue féminine le mercredi à 11 heures.

C'est le commentaire de cette femme qui l'avait surtout intéressé :

-"Nous devrons repartir dès la fin du repas, je dois être rentrée à 14 heures pour m'occuper de mon aîné...."

Connaissant l'emploi du temps de la jolie blonde ce mercredi, Al décida de lui rendre une petite visite à son retour.

Caché derrière les vitres teintées de sa voiture de service, Al Grover re-garda la voiture quitter l'allée du garage à 11 heures comme prévu, il sourit en voyant apparaître la somptueuse jeune femme portant un cor-sage blanc sur une jupe noire.

La voiture partie, il téléphona au secrétariat de l'église et demanda à par-ler au pasteur.

Il apprit alors que le pasteur visitait ses malades hospitalisés et qu'il ne serait pas de retour avant le milieu de l'après-midi Al sourit, la cause était entendue.

A 13 heures 45, Mélanie rentrait chez elle, en entrant, elle se dirigea di-rectement vers la chambre conjugale.

Elle voulait enfiler dune tenue plus confortable pour aller jardiner derrière la maison, il lui restait plusieurs heures avant d'aller chercher les enfants au terrain de foot face à l'école, où ils l'attendraient.

Elle avait juste défait un bouton de son corsage lorsqu'elle entra dans la chambre et vit une chose qui la figea d'horreur.

Là, sur le rebord du lit s'étalait la petite culotte qu'elle portait la veille. Elle n'était pas venue là par miracle!

Elle avala sa salive de peur, se rappelant qu'elle l'avait jeté dans le pa-nier à linge sale en rentrant la veille au soir.

-"Quelqu'un ... Quelqu'un est entré dans la maison ..... " comprit-elle tétanisée par la peur.

Elle commença par jeter un coup d'oeil panoramique dans la chambre pour vérifier si l'intrus était parti ou encore là, puis elle s'approcha du lit pour examiner la petite culotte en question. Elle constata alors qu'elle avait été mise sur l'envers

-"Oh mon Dieuuuuuuuu .... " haleta-t-elle à la vue de l'entrejambe amidoné d'une épaisse mixture. ......

Une crème grasse avec laquelle elle s'était familiarisée ce dimanche.

-"Oh mon Dieu ..... Un homme est entré dans la chambre .... Et .... il s'est servi de ma culotte pour ..... Pour se masturber ..... " réalisa-t-elle brusquement.

Un bruit soudain provenant des toilettes dans son dos la fit sursauter, elle paniqua, c'était l"homme qu'elle craignait le plus, Cet homme qui semblait avoir tant d'emprise sur elle.

-"Ne fais pas attention à ce gâchis madame Hasting .... Je n'ai trou-vé que ça pour passer le temps en t'attendant .... " lui dit-il tout sourire dehors.

Incapable de bouger, figée sur place, Mélanie cherchait à reprendre son souffle tandis qu'il se déshabillait sous ses yeux.

Comme il enlevait son caleçon, ses yeux se rivèrent sur sa virilité palpi-tante pendouillant entre ses cuisses.

Al sourit et empoigna sa pine en voyant la jeune femme figée sur place, il se mit à se branler sous les yeux éperdus de la jeune beauté tétanisée.

-"Je veux que tu me branles ma douce ..." lui intima-t-il autoritaire-ment.

Il sursauta de bonheur en la sentant empoigner sa hampe turgide.

Elle se mit à le branler mécaniquement comme ce dernier dimanche, il commença à déboutonner son chemisier.

L'extirpant de la ceinture de la jupe, il termina le déboutonnage. Elle l'en-leva docilement. Il saisit son soutien-gorge et le lui arracha, elle se retrouva seins nus devant son persécuteur, il continuait à la peloter savamment tout en lui pinçant, en lui étirant ses tétons roses.

Puis il posa ses mains sur ses épaules et l'obligea à s'agenouiller sur la moquette.

Il sourit en voyant ses yeux vidés de toute expression rivés sur sa queue déployée.

Al gloussa en la voyant se passer la langue sur les lèvres :

-"Oui tu vas la lécher chérie ..... Et la sucer ma chère madame Has-ting ... Penche la tête ...... Embouche moi ... Lèche moi ...... Goûte à ma grosse bite!...." l'encourageait-il à voix basse.

Jamais auparavant Mélanie n'avait même pensé prendre de bite en bouche, pas plus celle de son mari que celle d'un autre homme, de toute manière jamais Boyd n'aurait sollicité un acte aussi dégradant.

Et voila que dans un lieu aussi sécure que sa chambre, elle se retrouvait à genoux admettant qu'un noir lui fourre sa monstruosité bandée entre ses lèvres.

Déjà une goutte de pré sperme menaçait de goutter sur le tapis, avant qu'elle ne tombe, Mélanie d'une langue agile la récupéra, testant le goût du fluide viril.

Il saisit sa blonde chevelure, et soufflant comme un phoque il regarda sa grosse bite s'enfouir lentement entre ses lèvres disjointes, centimètre après centimètre sa hampe tendue franchissait la barrière de ses dents.

Il savait qu'elle n'essaierait pas de le mordre et qu'au contraire elle s'ef-forçait d'ouvrit au maximum sa bouche pour accueillir au mieux son énorme bite.

-"Ohhhhhhh oui chérie .... Ahhhhhhhh " grommelait-il alors que sa bite était enfourné en entier dans sa douce gorge.

Al frémit à deux doigts de perdre son contrôle en sentant sa langue s'en-rouler autour de sa bite en une délicieuse caresse, il n'aurait jamais cru à la voir faire qu'elle soit la femme d'un pasteur.

-"Bordel elle me suce de tout son coeur .....Mon Dieu ..... Elle l'a en-tièrement prise en bouche ...... Oh que c'est bon.... Elle me suce mieux que toutes les putes qui m'ont fait des pipes!....." pensait-il cherchant à prolonger son plaisir.

Il n'aurait jamais pensé qu'une femme de pasteur soit si performante dans le domaine de la galanterie.

-"Bordel tu suce si bien chérie .....T'es la meilleure suceuse que je connaisse!.... Ahhhhhhh ... Chérie ......Dorlote moi ....Caresse moi les couilles ...... " gémissait-il le souffle court.

Bien qu'entendant cet homme tout puissant gémir au-dessus d'elle, sen-tant son corps, Mélanie ne pouvait croire que ces caresses puissent avoir un tel effet.

Etrangement, elle se sentait très fière de l'entendre la complimenter grossièrement, lorsqu'il lui disait qu'elle était la meilleure fellatrice qu'il ait jamais connue.

Avançant sa main libre elle s'empara de ses couilles velues qu'elle tripo-ta lascivement suivant son instinct.

-"Mon Dieu elles sont aussi grosse que des mandarines!...." réali-sait-elle les roulant dans la paume de sa main.

Il lui tira la tête en arrière, elle regardait de ses yeux bleus enfantins cet homme qui frissonnait sous ses caresses alors que sa bite prenait en-core de l'ampleur dans sa bouche accueillante.

-"Ahhhhhhhh ...... Bordel ..... Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh!....." gro-gna-t-il alors que des geysers salés lui tapissaient la bouche.

Son éjaculation chaude et épaisse était bien plus abondante que la tâ-che sur le bureau.

Sa bouche était pleine de son épaisse crème goûteuse. Déglutissant prestement elle sirota gorgée après gorgée son épaisse semence cher-chant à s'adapter au rythme de ses émissions.

Elle sentait la chaude et gluante miction s'écouler lentement dans son larynx avant de garnir son estomac. Tremblante comme une feuille elle réprima de violentes nausées alors que son estomac se rebellait contre l'absorption de cette purée visqueuse.

Le visage trempé de sueur, Mélanie posa une main sur son estomac cherchant à récupérer son souffle et ses esprits.

Concentrée sur le fait de ne pas rejeter les chaudes protéines qui tourbil-lonnaient dans son ventre, Mélanie en oubliait la main qui l'invitait à se relever et la guidait vers le grand lit.

Mains sur son estomac, Mélanie vit tout d'abord le plafond puis le vendeur noir qui déboutonnait sa jupe avant de la lui ôter.

Puis il glissa ses doigts sous l'élastique de sa petite culotte, elle s'arqua sur le lit lui facilitant les choses, il put ainsi facilement dévoiler ses trésors intimes, qu'elle lui offrait jambes grandes ouvertes, il se pencha sur ses charmes embrasés.

Elle avait entendu dire que les gens dépravés commençaient ainsi leurs séances de baise, mais elle se trouvait allongée sur son lit conjugal et elle invitait l'intrus à s'ocuper de sa fente juteuse.

-"Ohhhhhhh .... Ohhhhhhhhhh ..... ohhhhhhh, mon Dieuuuuuuuuu .... " criait-elle alors que monsieur Grover plaquait sa bouche sur sa foufoune.

Doigts entrelacés dans son épaisse chevelure crépue, pointe de ses ta-lons creusant le matelas, Mélanie cambrait les hanches pour plaquer sa toison dorée sur la bouche de son bouffeur de minou.

-"Oh, mon Dieuuuuuuuuuuu ....... Mon Dieuuuuuuuuu ...... Ohhhhhhhh .... Arghhhhhhhhhh ....... " gémissait-elle alors que la langue pointée venait de dénicher son clito dardé.

Elle jutait comme jamais elle n'avait juté auparavant, elle coulait comme une fontaine dans la bouche de son ardent lécheur de minette, elle avait totalement perdu pied.

-"Ahhhhhhh .... Ahhhhhhhhh ....... Oui ...... Ouiiiiiiiiiiiiiiii ..... Bouffe moi la chatte ........ Encore ..... Ah, mon Dieuuuuuuuuuuu ..... " hurlait Mélanie terrassée par le plus intense orgasme qu'elle ait jamais connu.

Un peu plus tard, elle glissa la main entre leurs deux corps, et reprit en main la grosse bite. La branlant le poing fermé, Mélanie la sentit reprendre du volume, se rigidifier à nouveau.

-"Mets là toi même dans ta chatte madame Hasting ..." lui dit-il sourdement.

Bite en main, Mélanie craignait d'avoir des difficultés à s'adapter à un tel diamètre, elle avait peur de se faire déchirer par cette monstruosité.

Craintivement elle frottait l'épais gland dans son sillon juteux, cherchant à récolter le plus possible de lubrifiant.

Ravi de la sentir frotter elle même sa bite dans sa fente engorgée de cy-prine, il gronda soudain :

-"Comment se fait-il qu'une chaude garce comme toi ait épousé un pasteur? ..... Il ne sait même pas quelle excellente fellatrice t'es, n'est ce pas?...... Oh oui chérie graisse bien mon gland ça rentrera plus facilement dans ton étroite foufoune!...... Ohhhhhh ... Oui ché-rie ..... Ahhhhhhh .... yeahhhhhhhhhh!....."

Il avait une folle envie de la pénétrer, il se pencha sur elle déterminé à se la faire tout de go au risque de gicler sur sa toison dorée. Cherchant à enfouir sa bite palpitante dans sa fente juteuse, il pressa son gland au centre de sa fente détrempée.

La jeune et innocente jeune femme paniqua, effrayée par la taille invraisemblable de sa bite, dans une dernière tentative pour le repousser, elle balbutia :

-"Non ..... Oh mon Dieu c'est bien trop gros ......Jamais ma chatte ne s'adaptera ..... Il va me déchirer ...... S'il vous plait .... Je vous en prie ...... Je ne peux pas ... J'ai trop peur ..... Je ... Nonnnnnnn ...."

Comme la beauté commençait à paniquer, Al empoigna fermement ses hanches

Puis, d'un seul élan il s'engouffra da sa fente afolée.

-"Aieeeeeeeeeeeeeeeeee ...... Nonnnnnnnnnnnnn .... Nonn-nnnnnnnnnnn ... Arrêtez ...... J'ai malllllllllllllll ......." hurlait Mélanie folle de douleur.

Mais pour Al, ses cris et plaintes n'étaient qu'une douce musique à ses oreilles, l'encourageant à s'enfouir plus profondément en elle.

-"Owwwwwwwwwww ...... Arrêtez ...... Mon Dieu ....... Mon Dieu je vous en prie arrêtezzzzzzzzzzzz ....... " suppliait la beauté en lar-mes.

A retraits lents suivi de coups de pistons brutaux, Al enfournait sa bite dans le ventre de la jeune femme pleurant à chaudes larmes.

Il savait qu'il la faisait souffrir, mais elle devait en passer par là avant de véritablement prendre son pied.

Elle enfonçait ses ongles dans la peau de ses bras, mais cela ne l'empêchait de la baiser encore et encore, jusqu'au moment où ses 35 cm de bite s'encastrèrent totalement dans son fourreau rétif.

La bite totalement enfouie dans sa chatte, Al fit une pause de quelques secondes afin de ne pas jouir tout de suite, il surit en l'entendant se la-menter :

-"Oh mon Dieu ...... Mon Dieu ...... Il est si grooooooooooos ...... Ohhhhhh ...Vous ......... Vous m'avez déchirée ......... Oh mon Dieuuuuuuuuuu ......"

-"Ohhhhhhhhhhh ...... Ohhhhhhhh, mon Dieu ....... Oh, mon Dieuuuuuuuuuu .... " défaillit Mélanie alors qu'il se retirait lentement de son utérus meurtri ne laissant que son gland à l'orée de sa fente distendue.

Puis il s'enfouit une nouvelle fois en elle, mais lentement cette fois, lui faisant apprécier toute son épaisseur et sa longueur.

Encore et encore la monstrueuse bite la laboura, à chaque mouvement il venait frotter contre son clito dardé et si sensible.

-"Oh mon Dieu .... Oh mon Dieu .... C'est bon ..... Si bon "roucoulait maintenant Mélanie sous l'emprise de son puissant maître noir.

-"Je suis sûr que l'enfer doit apprécier chienne! .... Débaucher la jeune et innocente femme d'un pasteur ..... Pleurant comme la bre-bis égarée au moment de ..... juste au moment de se transformer en une nympho lubrique ..... " ricanait Al la labourant furieusement.

Maintenant ces mains qui le repoussaient quelques instants plus tôt se nouaient sur sa nuque l'attirant pour lui rouler une pelle. Ses jambes se verrouillaient sur son torse musclé.

Il cassa son baiser passionné et lui mordillant l'oreille il lui susurra :

-"Désormais t'es la chaude putain personnelle D'Al Grover, n'est ce pas madame Heming!.... Et tu feras tout ce que je veux, que je t'appelle pour me faire sucer ou pour te baiser!.... d'accord? ...."

-"Oui ... S'il vous plait ..... Je le ferai ..... Je le ferai ... Mais n'arrêtez pas ... Je vous en prie .... N'arrêtez pas ..... Oh mon Dieuuuuuuu ..... Baisez moi ...... Baisez moiiiiiiiiii ...... " obtint-il pour toute ré-ponse.

Alors qu'il la martelait de plus en plus rapidement, il lui prodiguait la meil-leure séance de baise de toute sa vie.

Défaillante, rebondissant d(orgasme en orgasme, le corps tressautant alors que le gourdin noir ne cessait pas de pistonner vigoureusement sa chatte bien lubrifiée.

Mélanie ne voulait pas que cela cesse, elle voulait jouir encore, et en-core, et encore ......A jamais ....

Elle n'avait jamais autant coulé, au moment de sombrer dans un nouvel orgasme Mélanie entendit sa voix rude lui chuchoter à l'oreille :

-"Je vais te remplir le ventre de mon foutre chaud!.... Je vais te col-ler un polichinelle noir dans le tiroir!...."

Les mots foutre" et "polichinelle noir" retentirent dans la tête de Mélanie, la ramenant les pieds sur terre.

Elle tenta de nouveau de le repousser, poussant le plus fort qu'elle le pouvait.

-"S'il vous plait ..... Je vous en prie monsieur Grover ..... Arrêtez ... Je ne prends pas la pilule ..... Je vous en prie arrêtez .... Vous risquez de m'engrosser .... Je.... Je ..... Je ne veux pas tomber en-ceinte ..... Pas de vous!...." le suppliait-elle misérablement.

Al espérait bien qu'elle dirait ces mots il voulait vaincre définitivement les scrupules de la jeune femme, l'obliger à affronter les éventuelles consé-quences de se retrouver grosse!

Riant aux éclats, il agrippa fermement ses fesses, lui donnant quelques profonds coups de bite il gloussa :

-"Aucune chance que j'arrête chienne!..." et se réjouissant de la voir paniquer batailler pour déloger sa bite de sa chatte, il s'ensevelit au fin fond de son utérus.

-"Yeahhhhhh ma chérie .... Ohhhhh, yeahhhhhhhhhhhhhhh ... Ah mon Dieu yeahhhhhhhh ..... " grogna Al se vidant à jets fournis dans son intimité embrasée.

Deux fois encore ils baisèrent cet après-midi dans son lit conjugal, il n'était plus question de le supplier de ne pas jouir en elle, après ces séances luxurieuses, elle ne le lui demandait même plus, il n'en était plus question alors que sa chatte était engorgée de foutre.

Repue, Mélanie mesura le temps qu'il lui restait avant d'aller chercher les enfants.

Vacillant sur ses jambes, les cuisses meurtries d'avoir été si longtemps grandes écartées, elle gagna la salle de bain.

Elle dut mettre sa main en coupe entre ses cuisses pour recueillir le fou-tre qui gouttait de sa fente et risquait de tacher la moquette.

Le soir même, après dîner, Boyd Hasting confia à son adorable petite femme qu'un des couples les plus respectés de la congrégation était sur le point de se séparer.

Il lui raconta que la femme lui avait demandé son avis cet après-midi, elle lui avait confessé avoir eu des relations sexuelles avec un autre que son mari.

Cet épisode était terminé, mais elle se retrouvait enceinte de cet homme, et elle pensait se faire avorter.

-"Chérie je ne sais pas comment elle a bien pu tomber dans les rets de cet homme, mais il semble bien, qu'il exerçait une certaine em-prise sexuelle sur elle!...." ajouta-t-il.

Mélanie s'enquit :

-"Quel conseil lui as-tu donné chéri? ..."

Elle s'assit et écouta attentivement la réponse de son mari.

-"Eh bien chérie, tu connais mes convictions au sujet de l'avorte-ment!.... Je lui ai dit qu'on ne devait avoir recours à l'avortement en aucun cas, et ce même lorsqu'un enfant était le fruit d'u viol ..... On devait pas tuer une nouvelle vie!.... Je lui ai conseillé de tout avouer à son mari ..... S'il l'aimait réellement il ne penserait pas à divorcer et accepterait l'enfant comme si c'était le sien!...."

Comme Mélanie savait que Boyd l'aimait profondément, elle soupira de soulagement en entendant ce qu'il avait conseillé à cette jeune femme. Serrant les cuises, elle sentait son con toujours engorgé de foutre, Mélanie ne pouvait s'empêcher de penser :

-"Très bien chéri ..... J'espère bien que tu appliqueras tes conseils à toi même!... j'ai l'impression que dans à peu prêt six semaines, je te ferai une confession similaire ..... Pourras-tu élever un enfant noir comme s'il était le tien ....."

FIN

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Avec l'aimable autorisation de l'auteur :

Black Demon

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1 Commentaires
maitrepapyjomaitrepapyjoil y a presque 17 ans
histoires de viols

Vous etes veritablement le roi dans les histoires de viols , je ne m'en lasserais jamais de vous lire , continuez comme ça , encore de nombreuses fois et merci beaucoup

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