La petite chienne de Maîtresse P. 14

Informations sur Récit
La féminité de Gina est doublement mise à l'épreuve.
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Partie 14 de la série de 18 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 11/15/2022
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Ce fut après ces deux semaines que Maîtresse me proposa un premier test d'acceptation de ma féminisation.

-Gina, ça fait bientôt trois mois que j'ai initié ta transformation et je trouve que tu fais de très beaux progrès. Certes il y a encore à faire pour faire de toi une parfaite sissy slut bimbo, mais je suis quand même satisfaite des progrès réalisés en 3 mois. J'ai donc décidé de te soumettre à une petite épreuve, pour tester tes réactions et ton comportement de petite salope féminine. Tu vas t'habiller en belle pouffe, avec tes cuissardes argentées, aux talons de 12 cm, ta mini et ton perfecto argentés, porte jarretelle bien visible entre les cuissardes et la mini. Il faut que ça fasse bien faux cuir bon marché. Bien sur pas de culotte et bustier vinyle noir également avec maquillage ad-hoc, bien lourd, qui fait belle pute, avec une couche de fonds de teint appliquée à la truelle, tes lèvres rouge vif bien épaisses et superglossy, avec le contour visible, les yeux idem ainsi que ta perruque wavy de blonde américaine. Je vois que tes faux ongles rouges sont en place (ils avaient 3 cm, mais contrairement à ceux pointus et acérés de Maîtresse, les miens étaient coupés au carré). Allez, je te laisse une heure pour te faire belle, Julien nous attend pour 10 :00 dans la cour. Judith vint encore pour m'attacher ma bite au nombril, comme lors de la visite au pierceur et m'introduisit un joli rosebud dans mon fondement, pour bien me sentir occupée en permanence.

A 10 heures j'étais prête, je suis descendue, Maîtresse m'attendait.

-Mais tu es parfaite ainsi ma belle. Tu vas avoir tous les regards posés sur toi, tu vas devoir apprendre à assumer tes looks de belle pute ma Gina, tu verras, je suis certaine que ça va être chaud, très très chaud même. Pour une première sortie en belle petite salope, tu vas tellement aimer ce mélange de honte et d'excitation que tu ne voudras plus que recommencer. Une fois oublié ce sentiment de honte et de culpabilité, tu ne te rappelleras plus que de l'intense excitation que ce moment t'aura apporté et tu me redemanderas. C'est lui qui s'installera dans ta tête et tu ne pourras rien y faire, même contre ta volonté il la supplantera. C'est tout là le paradoxe des plaisirs que je veux te faire découvrir et qui vont devenir une drogue dont tu ne pourras plus te passer.

Durant le parcours, Maîtresse désactiva le dispositif de contrôle d'éloignement qui me maintenant sous surveillance constante. Julien parqua la Rolls sur le grand parking de l'hypermarché. Maîtresse s'adressa à moi.

-Gina, tiens une pièce de 1 euro, tu vas déjà aller chercher un caddie et tu vas rentrer dans le magasin. Je te suivrai à bonne distance et te donnerai les instructions par l'oreillette de ce portable qu'elle m'introduisit aussitôt dans une oreille. Habillée tout en argent, brillante, avec mon perfecto, ma mini et mes cuissardes, j'avais vraiment l'air d'une pute qui rentrait de sa nuit de travail et partait faire ses courses sans avoir eu le temps de retirer son "uniforme.

J'ai donc suivi ses instructions et me suis dirigé vers les caddies. Je ne pouvais absolument pas ne pas passer inaperçue dans ma tenue et à peine sortie de la voiture, je voyais plein de regards réprobateurs des femmes, envieux et concupiscent des hommes se diriger vers moi. Aussitôt la honte me gagna, le sang montant à ma tête, suscitant un profonds sentiment de gêne et de culpabilité. Heureusement, ma couche de fonds de teint était tellement épaisse qu'on ne voyait pas mes rougeurs, mais je la sentais bien. Je n'étais simplement pas habitué à ma nouvelle réalité que je prenais en pleine poire. J'entendis dans l'oreillette un rire comblé de Maîtresse.

Une fois dans l'enceinte du magasin, rien n'avait changé. Chaque personne qui passait à proximité de moi me dévisageait de la tête aux pieds. Je m'accrochais à mon caddie, déambulant entre les rayonnages, essayant de me donner de la contenance, mais c'était un peu peine perdue et la honte continuait à me tarauder le ventre. Mais, c'était très paradoxal, à la honte, se mêlait pourtant une intense excitation de m'imaginer en belle femelle attirant les regards, notamment de tous ces hommes qui faisaient semblant de rien, mais ne pouvaient écarter leur regard de moi, s'amusant à me suivre en essayant d'être discret. Un moment l'un d'eux s'approcha de moi pour me demander si j'étais une pute. Je lui fis signe que non de la tête et il s'éloigna.

Maîtresse marchait à une vingtaine de mètres derrière moi et ne perdait pas une miette de ma situation, elle en jouissait d'un malin plaisir sadique, tout en me filmant discrètement avec son téléphone portable.

-Gina, maintenant tu vas te diriger vers le rayon lingerie me dit-elle dans l'oreillette. Tu vas demander un bustier porte jarretelle en dentelle noire à la vendeuse et surtout tu vas demander à aller l'essayer en cabine.

-Je n'oserai pas Maîtresse, vraiment.

-Tu veux tâter de cinquante coups de cravache ce soir me dit-elle sur un ton soudain agacé et péremptoire?, à ne plus pouvoir poser ton cul durant deux jours? Allez, obéit maintenant.

-Le ton m'avait glacé et ramené à ma réalité, je me dirigeai vers le rayon lingerie où j'aperçu une vendeuse. Sans même lui parler, elle avait deviné que sous cet accoutrement se cachait un homme. Je vis son air dédaigneux, mais elle resta très professionnelle.

-Bonjour, vous désirez?

-Bonjour, j'aimerai un joli bustier en dentelle noire avec porte-jarretelle svp.

-Quelle taille.

-Grande taille évidemment (la honte, je n'avais pas d'idée du numéro de ma taille...)

J'entendis dans l'oreillette Maîtresse glousser encore une fois. J'avais eu beau essayer de monter le timbre de ma voix, elle restait toujours masculine, mais la vendeuse n'avait pas eu besoin de l'entendre pour comprendre que j'étais une travestie. Elle m'apporta un très joli bustier noir en dentelle qui devait m'aller.

-Voilà mademoiselle (elle insista lourdement sur le « mademoiselle »).

-Puis-je aller l'essayer dans une cabine.

Elle refusa catégoriquement.

- Désolée mais vous êtes un homme, Monsieur, je ne peux pas vous autoriser, malgré votre déguisement, qui soit dit en passant vous va très bien.

Du coup une émotion immense m'envahit complètement la tête. Je lui ai restitué son dessous et me suis enfuie en poussant mon caddie, avec l'envie de me trouver à 100 km d'ici, sous le regard moqueur de la fille et en entendant un gros éclat de rire de Maîtresse dans l'oreillette.

-Pas facile de jouer les petites salopes Gina, mais c'est bien pour une première tentative. Tu es brave. Maintenant achète des pâtes, du lait et quelques victuailles que tu déposeras dans ton caddie, je veux te voir passer à la caisse ainsi. Mais d'abord vas dans un coin discret du magasin, je te suis et te glisserai un billet de 50 euros.

Peu après, Maîtresse me tendait discrètement un billet de 50 euros en passant à côté puis s'éloignait de moi, l'air de rien. Je remplis le caddie avec quelques achats et me dirigeai vers la file d'attente, m'installant derrière une dizaine de clients. Tout le monde me regardait mais en essayant de le cacher. Je m'habituai difficilement à tous ces regards inquisiteurs, appuyés, curieux, réprobateurs ou gênés, avec toujours ce mélange de honte et d'excitation qui me taraudait le ventre. D'un côté j'avais tellement envie de m'enfuir, de l'autre la situation me procurait une intense excitation.

Dès que je me tournai pour croiser un regard, je le voyais se détourner, essayant de se prendre une contenance et d'avoir l'air de rien, l'homme ou la femme faussement perdu dans ses pensées. Ceci me rassura et me donna un peu plus d'assurance. Maîtresse était toujours 10 mètres derrière moi, comme si nous ne nous connaissions pas et devait être aux anges de me voir ainsi au bord de la panique. Elle aussi attirait immanquablement tous les regards, mais au contraire de moi s'assumait pleinement, ne laissant apparaître absolument aucune gêne et fusillant de son regard les regards trop insistants. Elle continuait à me filmer pendant que je payais mes achats sous le regard mi moqueur, mi amusé de la caissière.

-Vous avez de très jolis habits me dit-elle, vraiment, vous êtes très belle ainsi mademoiselle et j'adore particulièrement vos bottes. Mais vous avez du courage de sortir ainsi, ce n'est pas tous les jours que l'on croise une personne comme vous. Faites quand même attention à ne pas vous faire agresser sur le parking.

-Merci mademoiselle lui-dis-je en retour, reprenant ma monnaie, j'y veillerai et je me dépêchais de sortir et de traverser le parking pour me précipiter vers la Rolls.

Lorsque Maîtresse parlait de l'avenir qu'elle me préparait, elle aimait bien que je soie présent, juste pour que je puisse entendre ce qu'on disait de moi, sans que je n'ait le moindre droit de manifester un quelconque avis sur le destin qu'elle me préparait. L'événement se produisit deux semaines après l'épisode du super marché, un jour où le médecin était venu contrôler ma transformation.

-Charles, lui dit-elle, voilà 4 mois bientôt qu'il est sous traitement, je vois bien que les choses avancent, mais j'aimerai bien la féminiser encore un peu plus. Penses-tu qu'il est raisonnable de lui faire déjà poser une paire de belles tétines en silicone?

-A mon avis ça ne devrait pas poser de problème. Le traitement hormonal est prévu sur 12 mois, mais rien n'empêche de lui faire subir ce genre d'intervention déjà maintenant.

-Oui, merci, tu sais que j'aime les grosses poitrines, j'en suis la preuve, lui dit-elle avec un large sourire. Rappelle-toi, j'ai fait mettre 1000 cc de chaque côté et je ne le regrette pas, malgré les plus de deux kilos en plus. J'aimerais déjà lui en mettre un maximum, pour la faire ressembler à moi. Comment vois-tu ça.

-A mon avis tu devrais commencer par quelque chose de pas trop excessif, histoire que ses tissus se détendent et se mettent en place dans une première étape. Je dirai commencer par 400cc, ça lui ferait déjà un très joli bonnet D. Tu attends ensuite 6 mois et tu retournes à la clinique pour doubler le volume. Je dirai 700-800 cc, ce serait déjà pas mal, non. Il aurait ainsi une paire de très belles tétines, assez grosses pour bien déborder sur le côté. Je privilégierai aussi une forme assez ronde, le genre qui défie la gravité et qu'elle peut exhiber sans soutien-gorge, deux beaux demi pomelos qui pointent bien en avant et reposent bien dans un joli corset à balconnet pour qu'elle soit encore plus sexy.

-Ouiii, ce serait magnifique. A propos de corset j'aurais une autre question. Tu vois elle est encore assez large au niveau de la taille, ça lui donne encore trop une morphologie masculine qui me dérange. Ça fait travestie, mais je la veux vraie femelle. Je voudrais pouvoir lui affiner sa taille, comme une belle femme. En plus ça permettrait aux tétines de bien déborder sur le côté, vu de derrière c'est sublime. J'ai lu qu'on pouvait faire des opérations pour retirer deux voire même trois côtes de chaque côté, ce qui permettrai ensuite de corseter considérablement sa taille et de l'affiner. Tu crois que c'est envisageable? Ce serait génial si je pouvais encore la modifier dans ce sens.

-Mais oui c'est tout à fait envisageable. Un de mes collègues peux même te le faire. Si tu veux, je te transmettrai ses références et tu peux le consulter.

-Génial, je vais y réfléchir. Imagine, je lui fais porter un corset que je serrerai de plus en plus, pour lui donner une vraie taille de guêpe. Ensuite il faudra juste lui féminiser encore son visage et sa transformation aura été parfaite.

Moi j'écoutais ces paroles, on parlait de moi, de mon corps, de ma personne, comme si l'on parlait d'un simple objet que l'on envisageait de modifier. Une personne normale aurait du se révolter en entendant un tel dialogue, moi absolument pas, j'étais totalement résignée. J'écoutais leur discussion et cela ne faisait que provoquer une intense chaleur dans mon ventre et faire exploser mon cœur dans ma poitrine. L' idée qu'on allait encore un peu plus m'objectifier, pour le seul plaisir de ma propriétaire et Maîtresse et que je n'avais qu'une seule solution, me laisser faire et jouir de ça, considérant que tout ce que l'on me faisait subir n'était pensé que pour mon bien, était terriblement excitante dans mon esprit.

Maîtresse s'adressa ensuite à moi.

-Tu as entendu notre conversation avec Charles, Gina. De toutes façon tu n'auras rien à dire, car tu m'appartiens, tu es mon bel objet sexuel et c'est ce que je vais vouloir faire de toi bientôt, mais il m'intéresse de savoir comment tu pourrais le prendre. Du reste je suis ravie de voir que désormais tu ne portes plus un soutien gorge pour rien, tes petites mamelles deviennent adorables et tes tétons étirés de même. Je sais que le traitement te rend les seins douloureux, ma fois c'est le passage obligé. Tu aimes tes petites mamelles?

-Oui Maîtresse, je suis même fière de les avoir pour vous et elles deviennent vraiment de plus en plus sensibles. Mais c'est vrai qu'elles me font aussi mal.

-Et tu aimes les grosses tétines chez les femmes?

-Oh, oui, j'ai toujours adoré les belles poitrines très abondantes.

-Tu voudrais donc en avoir plus un jour, même beaucoup plus?

-Oui, surtout si c'est une chose qui vous plaît, comme vous en parliez avec Monsieur Charles. Mais j'aimerais aussi, je suis certaine.

-D'accord, on en reparlera tout bientôt. Sache que je suis satisfaite que tu le prennes ainsi, je n'aurais pas aimé devoir te l'imposer contre ton gré. Cela aurait sans doute été contre-productif.

Il ne fallut guère de temps pour passer de la théorie à la pratique. Le lundi de la semaine suivante, pendant que j'assurai le deuxième service de Maîtresse, Judith vint dans ma chambre avec un sac de voyage pour le remplir d'habits de l'armoire. Un mélange de tout, uniquement des habits de fille et toujours sexy, de manière à dévoiler un maximum de peau tout en en cachant un minimum. A dix heures elle revint dans ma chambre.

-Gina, vient, suis-moi, Madame veut te parler.

Je la suivis au salon.

-Gina ma petite salope adorée, j'ai quelque chose à te dire. Nous allons partir ensemble pour un petit voyage. Charles m'a donné l'adresse d'un collègue en Allemagne, qui exploite une clinique de soins esthétiques et qui est parfaitement disposé à te mettre une jolie première poitrine siliconée. Il s'agit d'une clinique un peu spéciale et très discrète où l'on pratique des interventions particulières, à la demande de certains clients. J'ai pris rendez-vous pour toi, nous y serons ce soir, Julien nous y conduira. Tu es prête?

-Oui Maîtresse, je vous avoue que ça me met de l'appréhension, mais je sais que c'est votre décision et que je dois m'y plier.

-Très exactement, mais n'aies pas peur et tu verras comme tu seras heureuse, lorsque tu passeras un joli bustier à balconnet et que deux belles mamelles, bien serrées l'une contre l'autre, orneront ton buste et te cambreront encore un peu plus, perchée sur 12 cm de talons. Tu seras irrésistible.

Je n'avais le droit que d'approuver, ce que je fis, mais ses mots me troublèrent passablement quand même.

-Je t'ai fais faire un faux passeport, au cas où on te demandais tes papiers. Tu t'appelles Gina Lefèvre, sexe féminin, souviens-toi. Pour le reste ce sont tes mensurations.

Julien amena la Rolls à 11 :00 et nous partîmes pour un voyage de 5 heures de route en direction de l'Allemagne. Durant le voyage, Maîtresse sentit monter ses démons. L'arrière de la Rolls était assez spacieux pour que je la lèche copieusement, avant de trouver une position peu confortable pour la baiser sur le siège arrière. Et naturellement sans avoir le droit de jouir.

Nous sommes arrivés en fin d'après-midi à la clinique, un beau bâtiment ancien, situé à l'écart d'une petite ville, dans un grand parc. Une infirmière qui parlait français, habillée dans un costume de latex banc, avec une jupe ultra courte, similaire à ce que l'on voit dans les sites porno, vint nous accueillir.

-Bonjour, bienvenue à la clinique du Dr. Schulz Madame, Suivez-moi svp, je vous mène vers le docteur.

Maîtresse lui rendit le bonjour. Elle avait soigné son arrivée, habillée toujours en cuir, dans ses somptueuses cuissardes et me tenait au bout de sa laisse, je la suivais comme son petit chien traversant ainsi la cour. L'infirmière le nota. Elle ne manifesta absolument aucun étonnement, comme si une telle scène lui était naturelle et familière. Je portais une minijupe plissée en cuir noir très courte, une paire de Dim Up, montrant quelques centimètres de peau avec de jolies bottines noires montantes à talon de 8 cm, un chemisier blanc assez ample et un perfecto en faux cuir, manches retroussées. Bien sur un maquillage refait peu avant d'arriver.

-Vous amenez votre petite chienne, j'imagine que c'est elle que le Dr Schulz va opérer?

-Oui parfaitement, on va lui faire poser une paire de belles mamelles.

-Oh, elle sera magnifique ainsi modifiée, encore plus sexy. Elle est actuellement en traitement?

-Oui ça fait quatre mois maintenant qu'elle suit une hormonothérapie intensive, les résultats arrivent peu à peu et je suis très satisfaite. Il est temps désormais de lui poser de nouvelles garnitures. L'infirmière sourit à la manière dont Maîtresse parlait de moi. Après avoir traversé plusieurs couloirs, nous arrivâmes devant la porte du bureau du médecin. L'infirmière frappa et ouvrit.

Le médecin nous accueillit, il parlait français, avec un accent germanique.

-Bonjour cher Madame, comment allez-vous? Avez-vous fait bon voyage?

-Oui très bien, merci.

-Parfait, mon ami Charles m'a parlé de vous et de ce que vous souhaitez faire à votre petite esclave que je découvre. Elle est très mignonne. Je vois que l'hormonothérapie a déjà bien fait avancé les choses.

-Oui, Charles est très fort, je lui suis très reconnaissante.

-Bon je vais devoir l'examiner. Mademoiselle il va falloir vous déshabiller.

Je retirai mes habits et me retrouvai nue comme un ver. Il m'examina sous toutes les coutures, tâta abondamment mes seins.

-Elle est parfaite. Il faudra juste lui retirer ses anneaux aux seins, mais nous remettrons des barrettes après l'intervention, pour éviter que les trous ne s'obstruent. J'admire ce que vous avez aussi fait avec ses mamelons, ils sont magnifiquement étirés. Il les tripota, s'amusa à les pincer.

-J'imagine qu'ils sont très sensibles, ça te fait mal?

-Oui Monsieur, un peu, mais Maîtresse m'a habituée.

Il sourit à la remarque. Il avait aussi compris que je n'étais plus que l'objet de Maîtresse et me traitait comme tel.

-Donc vous souhaitez lui faire poser des implants, à combien pensez-vous?

-Je ne vous cache pas que je voudrais déjà le plus possible. Dans l'idéal je voudrais au moins 800cc (centimètres cube), afin de la doter d'une superbe paire de tétines, mais Charles m'a dit qu'il fallait procéder en 2 étapes.

-Oui, tout à fait. 800cc c'est un peu beaucoup pour les tissus dans une première étape, ça risque de conduire à des déchirures des tissus. Je pourrais vous suggérer de lui en mettre déjà 2 x 400 dans une première étape, c'est déjà beaucoup et ça lui ferait un très joli bonnet D. Ça permettra aux tissus de se distendre et de bien prendre forme. Vous revenez dans 6 mois et on remplace par 800cc, c'est tout à fait envisageable.

-Bien, je suis vos conseils.

-Maintenant la forme des implants, il en avait déjà étalés plusieurs sur le bureau. Vous avez un forme très naturelle, en forme de poire, qui tombent un peu. Un balconnet les fait remonter sans autre. Mais à ce que je comprends vous préférez sans doute une forme plus sexy, des seins bien ronds, bien proéminents, qui se projettent en avant et qui tiennent, ce que l'on qualifie de « bombe ». Je dirai l'équivalent de deux beaux demi pamplemousses et les demi pomelos ce sera dans 6 mois.

-Oui parfaitement, j'ai envie que ça fasse super belle pute, bien vulgaire sexy, ses gros seins mis en évidence et pointant bien en avant, comme deux belles bombes comme vous dites et surtout que l'on voie que c'est beau et très artificiel, je veux qu'on voie qu'on en a fait une vraie poupée Barbie.

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