La petite chienne de Maîtresse P. 15

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Gina découvre sa poitrine et se fait retirer 4 côtes.
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Partie 15 de la série de 18 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 11/15/2022
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Au réveil, la sensation était bizarre, je sentais une grande tension sous mes seins, très douloureux aussi. Je voulus les toucher mais ils étaient emballés dans un épais pansement. Mais je sentais déjà qu'ils étaient devenus énormes. L'infirmière me demanda de ne pas les toucher.

-On va te laisser les pansements pour 24 heures, demain tu pourras voir le résultat, tu verras ça te plaira. Tu vas te retrouver avec une magnifique paire de seins, bonnet D. Tu as de la chance d'avoir une Maîtresse aussi bienveillante et qui s'occupe si bien de toi. Elle t'as fait un joli cadeau là.

Maîtresse vint me trouver l'après-midi, ce qu'elle pouvait voir la réjouissait. Elle tâta délicatement ma poitrine.

-Superbe, il va falloir renouveler toute ta garde robe de dessous, je sens que tu vas être magnifique avec cette paire de seins. Le chirurgien est un artiste, je me réjouis de voir le résultat demain. J'ai à faire, je te laisse entre les mains des infirmières et elle me quitta. Peu après, l'infirmière me fit avaler un nouveau sédatif, qui me mit dans les « vaps » pour le restant de la journée.

Le lendemain matin Maîtresse arriva vers 10 :00. On l'attendait pour retirer les pansements et découvrir le résultat, elle était quand même la propriétaire de l'objet qu'elle avait fait modifier... L'infirmière se mit à les enlever pour révéler deux magnifiques seins, bien galbés et ronds, pointant fièrement vers le haut. Je contemplais avec un mélange d'étonnement et d'excitation en me disant que cette fois elle était vraiment en train de faire de moi une femme.

-Oh, que c'est beau s'exclama-t-elle, quel magnifique travail. Met-toi debout que je voie comment ils tiennent.

Je me levai du lit, avec peine, toute ma poitrine était encore douloureuse et visiblement enflée. L'infirmière lui précisa :

-Là c'est encore enflé des suites de l'intervention. Ne vous inquiétez pas. Il faut vous attendre à ce que le volume diminue un peu avec le temps.

-Ce n'est pas un problème lui rétorqua Maîtresse Irina, je suis déjà très satisfaite ainsi, elle va être magnifique avec ses vrais faux seins. Il faudra compléter un jour avec le visage, mais on ne peut pas tout faire en même temps.

Le chirurgien arriva.

-Bonjour, alors satisfaite du résultat?

En toute logique c'était à moi que la question aurait du être posée... mais je n'avais qu'à écouter ce que l'on disait de moi.

-Oh, c'est parfait, merci Docteur, vous avez fait un magnifique travail.

Entre temps debout, je sentais le poids de mes seins sur ma poitrine, qui me forçait déjà à cambrer ma posture, ce qui pointait ma poitrine en avant. Je sentais que je n'aurais plus jamais ma position d'avant. Mes seins ne pendaient pas et restaient parfaitement attachés à ma poitrine. Je me disais qu'avec ça des soutien-gorges ne semblaient à priori pas avoir d'autre utilité que d'être décoratifs...

Maîtresse demanda alors à l'infirmière de chercher une paire de très hauts talons dans l'armoire (des escarpins de 15 cm) et de me les passer. L'effet fut fabuleux, d'un coup j'étais super cambrée, avec une paire de seins fermes, ronds et arrogants, pointant en avant, avec de très jolis tétons étirés de 2 cm de long. J'avais tout pour être une parfaite femelle, pour la plus grande satisfaction de Maîtresse.

-Bien dit le médecin, vous pouvez rentrer chez-vous sans problème, tout me semble parfait, l'infirmière vous donnera une liste de soins à faire. Surveillez les infections, faites-lui prendre des antidouleurs. En cas de fièvre, allez immédiatement aux urgences, mais le risque est très faible. Laissez les tranquilles sans trop les toucher pour 2 semaines, le temps que tout cicatrise et que ça se mette en place, ensuite vous pourrez jouir d'elle et faire tout ce que vous voudrez avec, les implants sont solides. Je ne vous recommande quand même pas d'aller jusqu'à lui planter des aiguilles, vous devrez vous passer de cette torture tant est que vous en auriez envie...). Sur ces mots dits sur un ton badin, il prit congé.

Maîtresse me demanda alors de m'habiller. On m'avait mis un soutien gorge de ceux que portent les sportives, qui maintiennent les glandes mammaires bien en place durant les entraînements. Je passai des habits normaux, une paire de jeans, moulants bien sur, une paire d'escarpins quand même et un joli perfecto en faux cuir sur un chemisier blanc. Ensuite, direction la Rolls et en route pour la maison que nous atteignirent en fin d'après-midi. Judith nous attendait. Malheureusement pour Maîtresse, je n'étais pas encore en condition de l'honorer et elle pris son mal en patience, utilisant bien à contre cœur ses toys de substitution. On m'envoya dans ma chambre pour me reposer et récupérer.

Quelques jours plus tard, j'étais sur pied. J'étais vraiment devenue une fille, avec de splendides formes. Je m'habituais lentement à ma nouvelle morphologie. Maîtresse exigeait que désormais je ne porte que des talons d'au moins 10 cm, pour accentuer ma cambrure. Mes tétines étaient tenues exclusivement dans de jolis corsets au bonnet D, très serrés, poussant mes belles mamelles l'une contre l'autre, pour mettre en évidence la belle fente qui les séparait. Judith continuait à me rendre de plus en plus pute et une semaine après, je reprenais le service de Maîtresse, ainsi que les séances de sodomie et/ou de punitions.

Une chose gênait Maîtresse, ma taille d'homme qu'elle trouvait trop large. Elle rêvait de me voir avec une taille beaucoup plus fine et féminine, accentuant d'autant plus mes hanches. Chaque matin, Judith me faisait porter un corset qu'elle serrait à mort, au point de limiter parfois ma liberté de mouvement, mais rien n'y faisait, ma taille ne se réduisait pas. Un matin après le petit déjeuner et le deuxième service de la matinée, elle me parla.

-Gina, j'ai un problème avec toi. Tu deviens une salope magnifique, exactement comme je le veux, je t'ai équipée d'une superbe poitrine, quoique pas terminée, tu es très bien maquillée, tu deviens une très jolie sissy comme je le veux, parfaitement docile, tu acquières peu à peu un mental de salope, tu t'habilles comme une belle pute, ta chatte devient tendre, tu as de jolis piercings, mais il reste un problème de taille, ta taille justement, qui reste quand même celle d'un homme, trop large et ça casse ta féminité. Je veux te rendre parfaite et je suis impatiente. Tu serais tellement plus belle avec une taille de guêpe. Il faut absolument faire quelque chose. Et comme tu m'appartiens, tu sais très bien que je suis en droit de te modifier physiquement comme je veux. Je me suis renseignée, il y a la possibilité de t'opérer pour te retirer 2 côtes de chaque côté, ça permet ensuite de beaucoup plus serrer les corsets, ce qui fait remonter tes organes et affine énormément ta taille. Effet indésirable, ton tube digestif rétrécit tu manges moins, mais ce n'est rien comparé aux avantages esthétiques. Il te faudra compenser en mangeant moins plus souvent mais bon c'est acceptable. J'ai appelé le Dr Schulz, il peut te faire cette opération, donc mon petit objet sexuel adoré, c'est la modification que l'on va te faire subir prochainement.

Je me disais en mon fort intérieur que désormais je n'étais vraiment plus qu'un jouet vivant entre les mains de ma Maîtresse et qu'elle s'amusait de moi comme si elle manipulait un objet physique.

Quelques jours plus tard, un lundi matin, nous étions à nouveau en route pour la clinique du Dr. Schulz. On m'accueillit à nouveau pour m'installer dans une chambre. Le Dr Schulz vint m'ausculter, Maîtresse était là, pour regarder comment faire son intervention.

-Il n'y a aucun problème lui dit-il, tout ce passera très bien et vous la retrouverez réaménagée comme vous le désirez. Il quitta la chambre.

-A demain, vous pourrez la voir dès le début de l'après-midi

Le lendemain matin on vint me chercher pour m'amener au bloc. A peine entré, l'anesthésiste m'endormit. Je me suis réveillé avec cette sensation que quelques secondes venaient de se passer, mais surtout avec de fortes douleurs au niveau des côtes. J'étais emballée et ne pouvait pas trop bouger. Maîtresse était présente.

-Comment vas-tu ma belle, l'opération s'est parfaitement bien déroulée et regarde.

Elle tenait à la main quatre morceaux d'os plats et incurvés.

-Ce sont les 4 côtes qui t'ont été retirées, pour faire de la place pour tes corsets. Je vais les garder comme souvenir. Je vais demander à Julien de les attacher sur un tableau et de le mettre quelque part dans la maison, ça sera délicieux.

La seule chose que j'avais envie de dire était que j'avais très mal. L'infirmière m'injecta un antidouleur opiacé qui eut comme effet de calmer la douleur, mais aussi de m'envoyer dans les « vaps ». Avant de complètement partir, Maîtresse me parla.

-Gina, je ne vais pas rester, toi tu vas devoir passer 12-15 jours de convalescence ici. Je reviendrai te chercher dans 2 semaines, ta bite va bien me manquer tu sais, mais je dois faire avec si je veux faire de toi cette pute exceptionnelle, séductrice et hors du commun. Elle m'embrassa sur la joue en me disant :

-Courage ma belle, tu souffres, mais dit-toi que c'est d'abord pour le plaisir et la satisfaction de ta Maîtresse et ensuite pour devenir encore plus belle. Je veux faire de toi la plus belle, la plus sublime des bimbos putes qui soie, celle que tous les mecs voudront choisir au milieu de 100 autres.

Inutile de dire que cela eut comme effet de me raidir et d'allumer du feu dans mon ventre. Pourtant, habituée aux sites pornos, je voyais des sissies se faire prendre de tous les côtés, comme des chiennes et de tellement jouir de ces situations, devenues justement de telles accro à la bite qu'à peine leur chatte ou leur cul inséminés, elles étaient à la chasse d'une nouvelle pouvant leur en mettre encore un dose de plus. De mon côté, il n'y avait que Maîtresse, ma bite, son gode ceinture et parfois Julien. Je pressentais bien qu'elle me réservait quelque chose, mais à ce moment j'ignorais tout des autres projets qu'elle avait pour moi.

Je passai donc les 2 semaines dans la clinique, sans rien de particulier. Le temps était long. Deux jours après l'intervention on me retira les pansements. Dix jours après, l'infirmière me mit debout et me passa un corset à balconnets qu'elle tendit un peu.

-On va voir ce que ça donne, comme ça si ta Maîtresse te vois déjà équipée, elle sera aux anges.

Elle sera un peu plus les rubans du corset et me demanda de lui dire lorsque j'aurai mal. Vint au moment ou effectivement je commençais à souffrir, elle s'arrêta.

-Bon c'est déjà pas mal, on a gagné quelques centimètres de tour de taille. Il va falloir maintenant t'y habituer. Le but c'est comme les femmes du début du siècle dernier, serrer de plus en plus ta taille pour la faire rétrécir, l'affiner, ce qui révèlera encore un peu plus tes hanches et faire remonter tes organes contre tes poumons, ce qui est l'inconvénient. Tu seras simplement plus vite essoufflée et tu mangeras moins et ça s'accentuera avec le temps, à mesure qu'on te serrera plus le corset et que ton corps s'y adaptera. Mais à ce que j'ai compris, tu appartiens vraiment à ta Maîtresse, tu es sa propriété et son jouet personnel et c'est elle qui décide de tout ce qu'elle veut imposer à ton corps, sans que tu n'aies plus rien à objecter, je me trompe?

-Non mademoiselle, c'est exactement comme ça. J'ai signé avec elle un contrat dans ce sens et j'ai accepté.

-Oui j'imagine, moi je ne pourrai jamais, mais tu n'es pas la première qui passe ici avec la même situation. Et ça te plaît d'être ainsi soumise?

-Oui, absolument, vous savez j'ai compris que je suis faites pour ça. J'aime qu'on me commande, qu'on décide pour moi, que je n'aie rien d'autre à faire que de subir. Et ça m'excite terriblement de savoir que de s'amuser avec mon corps, de lui faire supporter des choses irréversibles c'est ce que Maîtresse adore et lui donne un infini plaisir. Mon plaisir est en quelque sorte son plaisir, c'est ainsi que fonctionnent les soumises. Depuis que je suis avec Maîtresse, qu'elle a découvert et révélé ma face cachée, qu'elle me féminise et me fait subir toutes ces choses, j'ai l'impression que l'intensité de ma vie a décuplé. Je ne voudrais plus revenir en arrière.

-S'il te faut ça pour être heureuse, je comprends. En attendant je te regarde, tu es vraiment très jolie. J'ai entendu dire qu'elle veut encore doubler le volume de ta poitrine?

-Oui, dans 6 mois je dois revenir, elle aimerait bien me mettre 2 fois 1000 cc, je sais, mais le médecin lui recommande de ne pas dépasser 800cc. On verra bien.

-Avec 800cc tu auras déjà une sacrée belle poitrine, peu de femmes en ont autant naturellement, qui pointera en avant et qui débordera bien sur les côtés, avec ta taille qui aura été affinée, un corset à balconnets pour les mettre en évidence, perchée sur des talons. Tu seras déjà une parfaite bimbo. Tous les mecs te regarderont avec juste une envie, te la mettre...

-Oui, je crois que c'est l'envie ultime de Maîtresse.

Maîtresse revint me chercher après mes deux semaines de convalescence, passés sans aucun problème. Pour lui plaire et lui montrer le résultat on m'avait passé un très joli corset en soie, mélange de couleur rosé et chair, avec les baguettes bien en évidence, que l'on avait déjà bien serré et qui affinait mon tour de taille d'au moins cinq centimètres. Le corset était muni de deux magnifiques balconnets rigides, qui supportaient mes seins en les serrant l'un contre l'autre pour en faire deux grosses boules qui se touchaient et montaient mes mamelons équipés de leurs extenseurs. Pour parfaire mon look, on me maquilla façon belle pute, beaucoup de fonds de teint, faux cils, yeux et on me percha sur des escarpins noirs brillants de 14 cm de talon. Mon apparence sidéra totalement Maîtresse qui manifesta une satisfaction intense.

-Oh mon petit toutou, ma belle chienne, tu es absolument sublime, je n'osais pas t'imaginer aussi femelle et sexy. Tu es juste parfaite, il te manque encore une super poitrine. Tu m'as manqué tu sais, j'ai du me satisfaire autrement mais je n'attends que le moment que tu recommences à me servir.

Mes bagages étaient prêts, je conservais mes habits mais dus passer un pantalon en cuir moulant, chausser une paire de jolies bottines noires à talons de 10 cm et un chemisier blanc par dessus le corset, histoire d'avoir l'air moins provocantes en cas de contrôle. Julien nous conduisit à la maison dans la Rolls.

A peine arrivés, Maîtresse voulu immédiatement que je la baise, sentir à nouveau ma belle bite en elle, mais avec mes seins et mon corset.

-J'ai l'impression de me faire baiser par une belle gouine me dit-elle. Elle me permis également d'orgasmer en elle, ce dont je ne me fis pas prier, tant cela m'avait manqué également. Je me suis bien sur discrètement branlée à l'hôpital, jetant les mouchoirs aux WC, mais baiser ma Maîtresse en petit toutou dans ma tête et en taureau avec ma bite, c'est absolument unique. Je me rendais compte que moi aussi je devenais addicte de sa chatte et de toutes ses pratiques humiliantes et dégradantes.

-Ohh putain ce que ça fait du bien et ce que c'est bon une bonne grosse bite bien vivante chaude et dure, qui te laboure bien les intérieurs après ces deux semaines de sextoys et de frustrations, dit-elle en retrouvant peu à peu ses esprits, après un orgasme dévastateur, ça m'a manqué tu sais. Mais vient terminer ton travail tu connais les règles mon toutou.

-Oui Maîtresse m'empressais-je de répondre, tout en venant glisser ma tête entre ses cuisses pour retrouver ses divins arômes fauves et lécher sa liqueur mêlée à la mienne.

-Maîtresse, ça aussi ça m'a manqué vous savez. Au début j'avais de la peine, mais maintenant je me rends compte que moi aussi j'en ai besoin. Une journée sans récupérer votre divin nectar, je crois que je vais considérer ça comme une journée de perdue.

-Merci Gina, quel joli compliment tu me fais là. Si tu veux, je peux éviter de laver ma chatte durant quelques jours, si je ne sors pas, histoire qu'elle sente encore plus fort et flatte tes narines et ta bouche.

-Oh, oui Maîtresse, ce serait encore plus dégradant pour moi, j'adorerai.

-Mais tu sais que je le ferai pour toi, même si ce n'est pas dans mes habitudes de ne pas me laver. Je ne le ferai pas toujours et te préviendrai quand je le ferai.

Un matin, après le petit déjeuner et le deuxième service matinal, Maîtresse me demanda de rester.

-Gina, je veux te parler. Tu n'imagines pas à quel point tu me satisfais avec ta manière si complaisante de tout accepter ce que je t'impose. J'aime diriger, j'aime avoir de l'emprise sur les autres, je suis vicieuse, subtilement sadique, autoritaire. Durant des années j'ai rêvé de ce que nous vivons désormais toi et moi, posséder un jeune garçon bien viril et soumis en considérant qu'il est à moi, qu'il m'appartiens comme un objet, qu'il est ma chose et que donc j'ai toute liberté d'en faire ce que je veux, de le façonner psychologiquement et physiquement pour en faire ma parfaite petite poupée, docile, obéissante, se laissant manipuler et transformer, sans jamais objecter, comme s'il était une petite machine dépourvue de libre arbitre et de dignité. Dans ma tête c'était un pur fantasme, convaincue que c'était une chose impossible à réaliser dans la vie réelle. En plus je savais que mes idées avaient quelque chose de très illégal, si je voulais les mettre en pratique. On ne peut modifier un corps humain, lui faire subir des transformations irréversibles pour satisfaire des fantasmes sexuels, de plus sans son approbation. Il suffirait d'une plainte et les choses pourraient mal se passer.

Avec toi c'est tellement différent. Jamais je n'avais imaginé pouvoir rencontrer un petit soumis comme toi. D'abord le rendre bien dépendant en le séduisant et en l'utilisant sexuellement, ensuite lui faire comprendre et admettre qu'il n'est plus seulement soumis, mais qu'il devient ma propriété, contractuellement, puis lui faire redécouvrir ses envies trop longtemps refoulées, commencer à le féminiser, à lui imposer une hormonothérapie, à lui faire subir ses premières petites transformation, puis passer à des bien plus lourdes et irréversibles, comme les dernières et voir à quel point tu aimes te complaire dans cette vie que je t'impose. Oui tu m'appartiens Gina et je suis tellement comblée de pouvoir jouer de toi comme un vrai petit objet, mon jouet biologique, mon véritable petit toutou, mon chien docile, bien sûr sensible mais qui n'as pas le droit de le montrer, obligé de se laisser faire et dépourvu de libre arbitre.

Tu sais Gina, je t'ai trouvée, jamais j'imaginais que ce serait une chose possible dans la réalité, j'ai toujours été convaincue que je ne pouvais qu'en rêver, mais mon rêve est devenu réalité, tu me combles au delà de tout ce que je pouvais imaginer en me permettant de donner libre cours à mes fantasmes les plus pervers. Sache quand même que tu est toujours en période de formation et que tu n'as encore rien vu de toutes les perversités que je veux te faire bientôt connaître, pour te familiariser avec du sexe vicieux, pour te rendre définitivement dépendante d'une vie faite de vice. Tu sais Gina, je t'avais dit au début que entre nous ce ne devait être que du pur sexe, je n'en suis plus si sûre maintenant, je me suis trop habituée à toi, je ne peux simplement plus me passer de ta bite, en plus tu es chou et plus tu deviendras femme, belle salope et parfaite bimbo, plus notre complicité de femmes va se développer. Ce qui n'empêchera bien sur pas que tu resteras toujours ma chose et traitée comme telle, quels que soient les sentiments que je pourrais avoir pour toi.

-Maîtresse, vos mots me troublent profondément et correspondent tellement à cette femelle que j'aime me sentir devenir, grâce à vous. Je ne vous cache pas que du moment que vous m'en parlez, ça fait déjà un moment que je suis tombée amoureuse de vous, de celle que vous êtes pour moi, qui vous occupez si bien de moi, de mon corps et de mon psychisme, qui aime me dévoyer et me pervertir et surtout que je ne voudrais pour rien au monde différente. Mais je sais aussi que je n'ai pas le droit d'exprimer certaines choses et donc je les garde pour moi, mais j'aimerais que vous le sachiez.

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