Le Club - Partie 08

BÊTA PUBLIQUE

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A ce moment, comme répondant à un signal, Madeleine écarta les jambes à son tour dévoilant un entrecuisse totalement imberbe.

- Je déteste les femmes poilues, affirma le juge, et nous allons régler ce gros défaut. Madeleine!

Madeleine quitta son lit pour se rendre dans la salle de bain. Elle revint quelques secondes plus tard en tenant une bombe de mousse de rasage et un rasoir. Elle s'agenouilla pour remettre la bombe au juge qui, immédiatement versa de la mousse entre les cuisses de Sarah. Le contact froid de la mousse lui fit refermer les jambes par réflexe et elle fut punie par une claque violente.

- Garde les jambes écartées, lui intima le vieillard lubrique.

Sarah se tourna vers sa sœur mais elle ne trouva aucun soutien dans son regard et, résignée, elle reprit son humiliante position. Le juge put alors abondamment étaler la mousse sur sa jeune toison. Il posa la bombe sur le côté et tendit la main pour saisir le rasoir. Il commença alors à tailler dans la petite forêt intime de Sarah qui serra les dents quand la lame lui irrita la peau. Cette dégradante opération durant de longues minutes puis Madeleine tendit cette fois une petite serviette au juge afin qu'il put essuyer le ventre de sa sœur. Enfin le vieillard passa son doigt sur la zone qu'il venait de raser et il apprécia la qualité de son travail.

- Aussi douce que celle d'un bébé, remarqua -- t -- il. Et désormais, je veux que ce sois toujours comme ça. Tu te raseras tous les jours afin de me satisfaire comme ta sœur.

Il se pencha alors plus en avant dans son intimité et elle plongea sa tête directement entre ses jambes. Elle sentit sa langue qui explorait son entrecuisse. De ses mains, elle tenta de le repousser. Il se laissa faire, à sa grande surprise.

- Un territoire inexplorée, annonça -- t -- il avec un immense sourire, comme je l'espérais. Plus pour longtemps cependant. Mais avant ça, j'ai besoin d'un petit échauffement. Madeleine! Tu as besoin d'une petite douche!

Madeleine ferma les yeux et Sarah crut qu'elle allait pleurer mais elle se leva et retourna dans la salle de bain et ouvrit la baie vitrée de la douche. Alors que le bruit du jet de la douche se faisait entendre, le juge se mit à jouer avec le bouton clitoridien de Sarah et cette dernière sentit soudainement monter dans son bas ventre des sensations qu'elle ne connaissait pas bien. Il lui était déjà arrivé de se masturber mais ce vieillard semblait bien plus doué qu'elle à ce petit jeu. Elle se tordit sous l'effet du plaisir qu'il lui procurait rien qu'avec sa main et elle se maudit de sa laisser aller ainsi. Mais ce moment ne dura pas car le juge se leva.

- Reste -- là et profite du spectacle, ordonna -- t -- il.

A son tour, il se dirigea vers la salle de bain en retirant sa robe de nuit et entra sous la douche déjà occupée par Madeleine. Quelques secondes plus tard, les cris de sa sœur dépassèrent le bruit du jet d'eau puis elle la vit apparaître le visage plaqué contre la baie vitrée, les mains du juge jouant avidement avec ses seins lourds. Puis Madeleine se cambra encore plus posant ses mains à plat sur la surface vitrée et Sarah la vit aller et venir au rythme du pistonnage que lui imposait le vieillard. Elle criait toujours mais cela ne semblait pas gêner son tourmenteur, bien au contraire.

Sur son lit, Sarah avait resserré les jambes contre son ventre et porté ses mains sur ses oreilles pour ne plus entendre les cris de sa sœur. Puis les cris se calmèrent. Sarah regarda vers la salle de bain et elle fut horrifiée.

Le juge s'avançait vers elle bite tendue.

- A ton tour, ma petite, déclara -- t --il, une lueur mauvaise dans les yeux.

Pétrifiée par cette vision, Sarah ne pouvait réagir alors que son esprit lui disait de fuir si elle voulait se préserver puis il fut trop tard ; il était sur elle.

Il lui écarta les jambes sans ménagement en la forçant à s'allonger de tout son long. Il pesait désormais de tout son poids sur elle. Elle tentait de se débattre mais, en dépit de son âge, il était bien plus fort qu'elle. Il lui plaqua les mains au dessus de la tête et dirigea son pénis à l'entrée de sa cavité vaginale encore vierge. Elle hurla quand elle sentit son gland peser sur son hymen mais il n'en fit aucun cas et d'un coup de rein mit définitivement un terme à son innocence.

La douleur fut inimaginable. Elle qui avait rêvé sa première fois comme un moment romantique vivait un cauchemar éveillé sous le joug de ce monstre aussi âgé que son grand-père. Il la ravageait avec son sexe. Elle sentait un liquide chaud qui s'écoulait entre ses cuisses et savait qu'il s'agissait de son propre sang.

Loin de s'apitoyer devant ses pleurs et sa douleur, le juge accéléra le rythme de ses va et vient dans son ventre qu'aucun pénis n'avait jamais visité. En même temps, il lui léchait alternativement les seins et remontait pour lui arracher des baisers. Terrassée, Sarah avait renoncée à résister et se laissait faire comme une poupée. Puis soudain, il se figea soudainement en poussant un râle et elle le sentit qui se crispait en elle. Elle sentit à nouveau un liquide chaud couler mais cette fois au cœur même de son ventre ; il venait de jouir en elle. C'en fut trop, elle s'évanouit.

Le juge était au septième ciel. Un dépucelage, il n'avait plus connu ce plaisir depuis des décennies et l'ironie du sort voulait que ce fût avec la mère des deux petites putes qu'il baisait en ce moment. Alors que les souvenirs de cette époque remontaient à sa mémoire, il attrapa la tête de Madeleine et l'obligea à sucer sa queue maculée du mélange de son sperme et du sang de sa sœur. Tout dans cette soirée était extatique : le plaisir de baiser deux gamines de 18 ans, le fait d'en déflorer une et surtout celui de désormais posséder en son pouvoir les deux filles de Yolanda, celle -- là même qui 20 ans auparavant avait rejeté leur amour tout simplement parce qu'elle lui reprochait de ne pas oser s'opposer à l'autorité de son père qui refusait de le voir épouser une servante.

Madeleine terminait son labeur et il tourna la tête vers Sarah toujours inconsciente. Très bien, qu'elle se repose. Il se baissa vers sa chienne favorite.

- Je compte sur toi pour bien lui faire comprendre toutes les règles de cette maison, lui dit -- il sur le ton de la menace. Si elle me déçoit, c'est sur toi que je ferais peser le poids de ma colère.

- Elle sera une esclave aussi idéale que moi, monsieur, répondit Madeleine en tremblant.

- Très bien, rapporte-moi ma robe.

A quatre pattes, Madeleine s'élança vers la salle de bain. Le sourire du juge s'élargit encore autant par la grâce de la servilité toujours plus grande de l'aînée des filles Bonnet qu'à la pensée de la journée du lendemain où il enverrait Sarah prendre sa première douche.

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2 Commentaires
misterbonemisterboneil y a plus de 14 ans
Digne d'un Roman

Encore Bravo. La principale qualité de cette série repose sur l'attention porté aux détails qui rendent l'histoire aussi crédible que lugubre. J'espère que vous avez encore beaucoup d'idées en tête parce qu'on en veut encore.

Merci pour le synopsis de départ qui aide à replacer les différents personnages qui reviennent dans l'histoire. Votre texte gagnerais cependant à avoir des séparateurs entre les différentes parties du texte. Ce fait un peu bizarre de passer d'une scène à l'autre sans avoir d'indicateurs.

Merci de votre travail

AnonymousAnonymeil y a plus de 14 ans
excellent

quel bonne idée ces 2 soeurs

elles sont particulierment existantes...

felicitations

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