Le jeu de l'amour et du plumard

BÊTA PUBLIQUE

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babaorum
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Je sais pas pourquoi je lui dis ça, mais je lui dis quand même : son ancienne copine, Ben qu'elle s'appelle, elle baise super bien, mais c'est pas que j'ai couru après. Mon père me dit de ne surtout pas répéter ça à Sophie. Je devrais me réconcilier avec elle dès aujourd'hui : pourquoi pas l'appeler, là, tout de suite, pour fixer un rendez-vous?

Ben

Midi. Je sonne chez le nouveau copain de Sophie. Chez le « trou-du-cul », oui! Un petit crotté avec une barbe de nouvel ex-imberbe! J'espère qu'elle y est, et pas lui, sinon cette fois-ci, je ne me retiens plus, je le bute. La baise avec lui, c'était comme avec tous les hommes : pas à la hauteur. Mais je ne pouvais pas manquer l'occasion : au besoin, je pourrais balancer à Sophie que son copain, il baise mal, histoire de la faire vraiment chier.

Personne ne répond. Merde! Je frappe, je tambourine la porte. Je commence à me pomper. Je suis décidée maintenant : je lui déballe mon histoire avec son mec, version complète et non censurée.

Finalement, un homme ouvre la porte. Vêtements froissés, mais de bonne coupe, armoire à glace, âge moyen.

« Désolée, Monsieur, je crois bien que j'ai interrompu votre sieste. » Il me répond qu'en effet, il avait des heures à rattraper. Je lui lance que je cherche Sophie. Oui, je suis une amie. Oui, oui, en effet, c'est bien moi, Ben. Je vois qu'elle vous a parlé de moi.

Il dit que Sophie lui a fait l'honneur de quelques confidences et il ajoute que son fils a fait de même... à propos de la nuit dernière. Il me dit qu'il ne veut pas vraiment se mêler des affaires de cœur des autres, mais qu'il comprend la position délicate où Sophie se trouve, c'est-à-dire entre deux histoires d'amour. Il sait que nous nous sommes retrouvées secrètement, dans le dos de son fils. Mais elle et lui font maintenant la paix : ils sont au parc cet après-midi, pour parler de tout ça. Je sens que mon plan est en train de foirer. J'en ai les jambes molles. Ça tombe bien, il m'invite à m'asseoir.

Cet homme se montre charmant. Nous allons jusqu'à échanger quelques confidences. Je lui parle de mes années de water-polo, puis je l'interroge sur ses folles années de jeunesse. Il a même essayé une fois avec un gars, mais ce n'était finalement pas sa tasse de thé. Il me demande si, pour ma part, j'avais définitivement choisi « mon camp ». Je lui réponds que je suis comme ça, jusqu'à preuve du contraire, et je lui balance : « Vous vous portez volontaire pour me tester? » Sourire en coin, j'attends qu'il se mette à me bredouiller quelque excuse bidon. Mais, du tac au tac, il se dit disposé à mettre à l'épreuve ma détermination sur-le-champ. J'ai pas le temps de virer de bord qu'il m'indique déjà le chemin de sa chambre.

Albert

Bénédicte et Albert se dévêtirent lentement, se fixant du regard, tels des lutteurs se défiant avant le combat. Sans plus de préambule, les yeux toujours vrillés aux siens, il la plaqua sur le mur et lui caressa le buisson ardent. Pour sa part, elle ferma le poing sur son manche de hache, sans réussir à en faire le tour. Avec la main maintenant bien mouillée du sérum d'amour, il lui souleva la jambe et la prit avec la détermination de Moïse fendant la mer Rouge. Elle feula.

Il se souvint alors de son arrivée et de l'impression qu'elle lui avait faite : les pieds ancrés au sol, respirant la confiance en soi, la voix grave. Il l'avait désirée, il la prenait.

Étienne

Sophie me paraît de plus en plus cool. Au parc, nous bavardons pendant des heures au soleil tandis que les gens la zieutent. Il y a de quoi, elle est pas mal mignonne. Je suggère de trouver un endroit plus zen. On s'étend à l'abri sous les buissons. Je trifouille sous sa jupe, elle me demande d'arrêter. Sans l'écouter, je me dézippe et la ramone sans attendre, le cul au vent. Elle se met tout de même à gazouiller de plaisir.

Je m'interromps quand une petite voix dit dans mon dos : « Madame, vous avez mal? Qu'est-ce que le monsieur fait avec sa queue? » Une fillette aux cheveux bouclés nous regarde avec des yeux ronds. Elle crie : « Maman! Maman! Viens voir! » On fiche le camp.

Sophie

Ce que je lui en voulais de m'avoir fait vivre cette honte! À ce moment, c'est stupide, j'ai voulu ma petite vengeance mesquine, alors je lui ai avoué, en reprenant mon souffle, que j'avais couché avec son père. Il m'a engueulée et m'a laissée là. J'ai tout saboté, bêtement. C'est à des moments comme ceux-là que je m'ennuie le plus de Ben : elle sait toujours comment me remonter le moral.

Acte 3

Étienne

J'entre en coup de vent dans la maison. Albert est au téléphone, avec la vieille. Elle me fait dire bonjour, qu'il dit, la main sur le micro. « Papa, raccroche, il faut qu'on cause. » Il m'écoute, et je commence à l'engueuler comme du poisson pourri. Et là, il me fait : « Stop! Mon fils, laisse-moi te conter une histoire. »

« Il était une fois un père qui s'inquiétait pour son fils unique. Ce dernier, déjà un homme, évitait la compagnie des femmes, non pas par indifférence, mais, au contraire, parce qu'il souffrait d'une timidité maladive. Le vieux sage dit au jeune homme : "Mon garçon, allons de ce pas parler à la bergère". Cette dernière faisait paître ses moutons dans le pré, à l'ombre d'un grand chêne. Le paternel demanda à la bergère : "Le bélier que je vois là-bas, craint-il la brebis? La fuit-il?" Elle rit : "Bien sûr que non! L'un et l'autre sont faits pour bien s'entendre. Le bélier sait quel est son devoir et la brebis ne s'en plaint pas, bien au contraire. Il suffit de les mettre ensemble dans le clos". Le père dit que c'était bon et il laissa les deux jeunes personnes en tête-à-tête. »

Pour conclure son histoire, papa me rappelle qu'il y a un an jour pour jour, histoire de me déniaiser, il m'a fait rencontrer une pute. Et que, depuis cette date, grâce à son intervention, j'ai fait beaucoup de progrès.

Je m'énerve : quand même, il a couché avec ma copine!

Il ajoute que lorsque j'étais avec la prostituée, en fait, il ne s'était d'abord rien passé. Albert est devenu alors très impatient. Il est entré dans la chambre et il a fallu que je lui cède la place. Il m'a montré comment on fait avec une dame. Il l'a baisée « en frappant à toutes les portes », comme il a dit. Et la dame a semblé avoir beaucoup apprécié. J'ai réessayé et, finalement, j'ai adoré.

Papa me dit qu'il chérit ce souvenir, il croit que ça nous a beaucoup rapprochés, lui et moi, d'avoir partagé cette femme. Et que ça m'a inculqué de bonnes valeurs. Il conclut qu'avec Sophie, il a agi avec le même objectif : la faire progresser. Il s'est sacrifié pour la cause, voilà tout. Sophie, elle en vaut la peine. Elle filait un mauvais coton; comme moi, elle a eu besoin d'un petit coup de pouce. J'allais assurément l'en remercier un jour.

Sophie

J'étais au parc et je pleurais comme une fontaine. J'ai reçu deux textos, coup sur coup. D'abord Ben : elle voyait les choses différemment dorénavant, elle voulait faire la paix. Rendez-vous ce soir à l'appartement. Je me suis rendu compte à quel point elle me manquait

Ensuite, au tour d'Étienne : il m'implorait de lui pardonner et de le retrouver tout de suite. J'ai couru chez lui. Il m'a dit qu'il avait discuté avec son père qui lui avait fait voir ses torts : Étienne m'a demandé pardon de m'avoir si mal traitée. Nous sommes tombés dans les bras l'un de l'autre et nous nous sommes couverts de baisers, ce qui nous a allumés immédiatement. Alors nous « avons frappé à toutes les portes », comme Étienne m'a dit si joliment. Je crois bien que j'ai battu mon record établi avec monsieur Albert : quatre orgasmes d'affilée.

Tout à coup, son père a fait irruption dans la chambre. Il nous a vus étendus nus comme des vers et a souri tendrement : « Vous voulez que je vous montre un nouveau truc? »

Étienne

Sophie dit qu'elle a été déconcertée de se retrouver prise en sandwich entre mon père et moi. Mais elle a adoré la double pénétration, surtout quand c'était le tour de papa de l'enculer. Elle était insatiable. Elle m'a suggéré d'un jour de remettre ça, elle et moi, mais avec une autre fille. Elle a aussi parlé d'un nouveau record, mais je n'ai pas très bien compris ce qu'elle disait, parce qu'elle parlait la bouche pleine : elle suçait le paternel, pendant que je la prenais par-derrière et qu'elle me massait les couilles. Pas idéal pour faire la conversation.

Quand les batteries de tous ont été à plat, Sophie s'est couchée sur le ventre et a exigé un massage à quatre mains. Elle a encore eu quelques sensations fortes, je crois, pendant que papa nous entretenait des bienfaits de l'entraide et de la solidarité sous toutes ses formes.

Tard dans la nuit, je me suis réveillé. J'étais seul. Épuisé, je me suis vite rendormi.

Albert

Isabelle téléphona durant la soirée pour faire rapport à son mari de ses dernières activités. Elle avait hésité à retourner voir le même masseur, et s'était finalement branchée. Elle ne le regrettait pas, car, vers la fin, ç'avait été à nouveau pour elle un genre de voyage astral. Quel gars talentueux!

Albert n'eut pas le temps de lui relater tous ses exploits : il avait entendu quelqu'un se faufiler par la porte d'en arrière et se sauver par la rue. « Il faut que j'y aille, chérie. Bise. À demain! » Il sortit en coup de vent et retrouva la silhouette qui marchait à grands pas. Il reconnut Sophie à l'ondulation de ses fesses et la fila discrètement. Où allait-elle donc?

Ben

Sophie et moi, ce n'est pas évident. Elle est arrivée à l'appart et elle m'a sauté dans les bras. Ça n'a pas tardé : on s'est bécotées comme si on vivait un nouveau coup de foudre. Puis ça a mal viré quand je lui ai annoncé que j'avais quand même des aveux désagréables à lui faire. La tension a monté d'un cran quand elle m'a répliqué qu'elle aussi, elle voulait m'annoncer quelque chose, et que ça allait me faire du mal. Et comme chacune attendait que l'autre commence, coup de théâtre : on était trois dans la chambre!

Qu'est-ce que monsieur Albert avait à entrer chez nous sans sonner aux petites heures de la nuit?

Il a dit : « Stop! Par la fenêtre ouverte, Mesdames, j'ai tout vu, tout entendu, et je vous conseille de mieux réfléchir avant commettre l'irréparable. Des paroles de conséquence comme celles que vous allez proférer doivent l'être dans les meilleures conditions : faites d'abord la paix. Et pour ce faire, quoi de mieux que de poursuivre un peu votre gentille activité de tout à l'heure? »

Je l'ai trouvé pas mal diplomate, et je le lui ai dit. Sophie a été d'accord et l'a même invité à s'asseoir confortablement et à regarder. Monsieur Albert a paru satisfait.

J'ai montré le lit à Sophie et lui ai dit : « Installe-toi et ouvre bien les yeux. » Je lui ai fait un strip-tease langoureux comme elle les aime. Elle frétillait tellement qu'elle a finalement arraché tous ses vêtements. On a baisé comme si c'était la fin du monde. Elle m'a fait le coup du godemichet et elle a eu droit au grand jeu avec le vibrateur.

On s'est finalement rappelé la présence de monsieur Albert, qui avait un sourire fendu jusqu'aux oreilles. Il nous a dit de ne pas nous interrompre et de continuer nos petits jeux, mais Sophie et moi, comme on a du savoir-vivre, on l'a invité à se joindre à nous. Pas besoin de le lui dire deux fois : il a ôté sa cravate en un rien de temps! Sophie m'a glissé qu'elle s'était déjà envoyé monsieur Albert. On s'est roulées à terre quand j'ai ajouté que j'avais fait pareil. Puis elle m'a fait une offre surprenante : peut-être que nous pourrions essayer une baise à trois, Étienne, elle et moi? J'en ai profité pour lui avouer ce que je m'étais déjà tapé son mec. Elle a pris la nouvelle avec philosophie. Nous voilà réconciliées.

Monsieur Albert nous attendait patiemment, avec un porte-drapeau prêt à l'action : la partie de jambes en l'air a pu reprendre. Monsieur était vraiment inspiré. Ç'a décollé vraiment au moment où Sophie lui a dit des mots cochons dans le creux de l'oreille. Il était estomaqué : « Mais qui donc t'a dit que j'adorais ça? » Par la suite, j'ai cru qu'il allait m'arracher l'anus avec son va-et-vient d'enfer. Il a joui au moment où Sophie a réussi son pari : elle allait prendre ses couilles au complet dans la bouche.

Il est vraiment sympa, pour un mec.

Étienne

Je me réveille tard. Tout en m'étirant, je mets la cafetière en marche. Je retrouve Sophie endormie sur le sofa. Je ne peux pas m'empêcher de la mater. Je crois que je l'aime bien, finalement. Ou plutôt, je sais que je l'aime, tout court.

Je me glisse à ses côtés. Je bande comme un malade. En douceur, je la pénètre par-derrière. Elle se réveille même pas quand, en l'éclaboussant par en dedans, je lui empoigne vigoureusement les seins. C'est à regret que je la laisse roupiller pour me rendre au boulot.

Sophie

Je me suis réveillée, seule dans la maison.

Quel étrange rêve j'avais fait : je courais le marathon, mais un marathon bien spécial. À chaque kilomètre, un homme était étendu sur le sol, le sexe dressé. Je devais m'y empaler avant de poursuivre ma course. Après quelques kilomètres, j'avais des traînées de sperme le long des jambes.

J'ai trouvé un petit mot d'amour de la part d'Étienne dans la cuisine. Pourquoi ne m'avait-il pas réveillée? J'aurais tant voulu lui faire l'amour avant son départ. Pour me consoler, je me suis caressée en pensant à lui.

Sur la table, une autre note, de monsieur Albert cette fois : il nous invitait à dîner, Ben et moi, avec Étienne. Rendez-vous à dix-neuf heures à la maison.

Pour passer le temps, j'ai écouté quelques films au sous-sol. Un documentaire qui m'a vraiment allumée, « Échangisme en famille », mais j'ai préféré encore: « Papa a raison [version XXX] »

Albert

Ah! un repas comme Albert les aimait : ils avaient cuisiné tous ensemble, le repas avait été gai et copieux autour de la petite table ronde mise avec l'argenterie des grandes occasions. Il fut étonné du nombre d'histoires salaces que connaissait son fils. Ben leur raconta sa « première fois » : nous riions aux larmes. Sophie parla peu : elle était trop occupée à faire promener ses mains sous la table. Elle s'arrêta lorsque Ben piqua une petite crise : pourquoi les hommes avaient-ils le droit de se faire caresser, et pas elle? Albert l'embrassa alors goulument pour la faire taire, tandis qu'Étienne cherchait des poux dans son soutien-gorge.

Vint le temps du pousse-café. Albert exhiba son meilleur scotch et fit la tournée : tous et toutes devaient boire cul sec. Il réclama le silence et proposa cette histoire à son auditoire :

« Vous connaissez l'adage "Il faut un village pour élever un enfant", n'est-ce pas? Maintenant, écoutez bien ceci :

"Il y a fort longtemps, dans un village reculé, une femme pleurait sur son malheur : elle disait, tout en frappant du poing sa poitrine généreuse, qu'elle avait passé l'âge d'enfanter et que, jamais mariée, elle voyait son avenir peuplé de solitude et d'ennui. Très jolie en son temps, elle regrettait maintenant d'avoir rejeté tous ses prétendants, parce qu'elle n'avait pas su trouver parmi eux son prince charmant. Rebutés par sa réputation de mégère, les hommes la délaissèrent. Le sort lui réservait donc de mourir vierge et aigrie.

'Un jour, touché par ces pleurs, le chef du village réunit la communauté pour présenter un plan. Il avait besoin de volontaires. Le lendemain, le chef et vingt-trois hommes vigoureux et aguerris se présentèrent chez cette dame. Ils lui offrirent leurs services pour les vingt-quatre prochaines heures, soit une heure chacun. Le chef allait se charger du dépucelage.

'C'est ce qui fut fait. Durant les pauses, les femmes se relayaient pour la nourrir, la masser ou la baigner. Ses soupirs de contentement se firent entendre à des kilomètres.

'On dit que, dès lors, elle s'affranchit de toute contrainte et vécut dans la sérénité jusqu'à la fin de ses jours.' »

Albert commenta son récit en soulignant que tous, pas seulement les enfants, ont besoin d'un village. Les gens autour de nous peuvent nous apprendre à vivre pleinement et à nous épanouir dans un esprit de liberté naturelle. C'est ce qu'il avait lui-même tenté avec Étienne, Sophie et Bénédicte ces deux derniers jours.

Sur ce, il suggéra une partie de cartes. On opta pour le poker. 'Le strip-poker!' exigea Ben. Personne ne s'y opposa.

Pas longtemps après, Albert ne portait plus que sa cravate et une chaussure et Sophie, de la lingerie rouge bordé de dentelle noire. Étienne devait se contenter de sa montre et de sa ceinture, tandis que Ben n'avait plus rien à perdre. Dans une joyeuse cacophonie, on se passait un joint bien serré et on en était à finir la deuxième bouteille de vodka.

On peut comprendre pourquoi personne ne fut conscient de l'arrivée d'Isabelle avant qu'elle ne crie 'Coucou! '. Obtenant un silence instantané, elle se plaignit haut et fort qu'on ne lui ait pas présenté ces gentes demoiselles et, surtout, qu'on ne l'avait pas attendue pour commencer la partie. Pour faire bonne mesure, elle fit tomber son chemisier, découvrant des seins triomphants qu'Albert voulut cajoler sur-le-champ.

Les festivités redoublèrent d'intensité pour se poursuivre tard dans la nuit.

Isabelle

«Décidément, ce n'est pas mon jour de chance : c'était relâche pour mon masseur et voilà Albert déjà endormi! Pauvre homme, mon absence semble l'avoir littéralement vidé. Dommage... » Sur ce, elle s'assoupit. Dans son sommeil, sa main glissa sur le bas-ventre de son mari.

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