Le Locataire

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Le mari trouve un amant pour sa femme.
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Traduction d'un texte de Tony King.

*****

C'est juste après le départ de nos filles adolescentes que j'ai pu mettre mon plan à exécution. Pendant des années j'ai nourri l'idée de regarder ma femme sexy se faire baiser par un jeune étalon. Et aujourd'hui il est temps que mon fantasme devienne réalité. Bien que cette idée soit venue comme ça alors que nous faisions l'amour, elle m'a toujours répondu que ce n'était qu'un fantasme et que ça resterait un fantasme, ça n'arriverait jamais.

Caroline a la quarantaine, mais conserve une silhouette jeune avec une belle paire de nichons fantastique, du 100DD, de longs cheveux blonds, et, à ma demande, une chatte rasée en permanence. Avec ses jambes galbées et sa grosse poitrine, elle fait tourner les têtes et a beaucoup d'admirateurs.

C'est lorsque j'ai reçu un rappel d'impôts que j'ai eu la chance de mettre mon plan à exécution.

- Tu sais chérie, maintenant que les filles ont quitté la maison, je crois que la façon la plus simple de payer ce rappel d'impôts est de louer une chambre.

- Pas question, je ne veux pas d'étrangers dans ma maison. Répond-elle avec colère.

- D'accord, mais alors on oublie nos voyages pour les deux ans à venir.

Je sais qu'elle ne peut se passer d'une semaine par an au soleil tropical. Je crois que ça devrait la faire réfléchir.

- C'est vraiment si grave ? Demande-t-elle sur un ton plus adouci.

Nous devons 1 000, mais je lui dis qu'il s'agit d'une dette de 4 000.

- Pour combien de temps ? Questionne-t-elle.

- Eh bien, je pense que l'on peut compter sur un loyer de 150 par semaine donc d'après mes calculs il suffit de 6 ou 7 mois de location. Ce n'est pas terrible non ?

A contrecœur elle accepte.

Je passe alors des annonces sur divers sites échangistes en décrivant l'offre : « 6 mois de loyer réduit et la chance de séduire ma femme ». Comme nous vivons près d'une grande université, j'ai été inondé de réponses. Le problème était que la plupart d'entre elle étaient vulgaires, dans le genre « J'ai vu votre annonce et j'adorerai baiser cette salope ». ce n'est pas vraiment ce que je cherchais. Puis, après quelques semaines, une réponse attire mon attention.

Je voulais que ce soit un jeune qui la baise. Mais la réponse venait d'un professeur d'université à la recherche d'un logement pour une courte période dans notre région pendant qu'il faisait construire une maison. Il avait 50 ans, était marié avec des enfants, et n'avait apparemment rien fait de tel auparavant. Je me suis dit qu'il n'y aurait pas de soucis de MST. Dans son message il m'indiquait que ce serait un défi de séduire ma femme et que sinon il aurait un endroit où vivre en attendant sa maison. Nous avons alors prévu de nous rencontrer.

Ray a un an de plus que moi, il est un peu plus petit et plus mince. Il reste en forme en faisant du jogging et il a le corps et l'endurance d'un homme de la moitié de son âge. Il s'avère qu'il s'installe par ici après plusieurs années de boulot à l'étranger. Sa femme et ses enfants sont toujours à Hong-Kong et le rejoindront quand sa maison sera prête. Je lui montre quelques photos de Caroline dans diverses tenues et poses sexy. La vue de ma charmante épouse vêtue seulement de bas, porte-jarretelles et talons fait qu'il se tortille sur sa chaise. Je le vois plusieurs fois porter la main à son renflement dans son pantalon.

- Woaw, J'aimerais que ma femme s'exhibe comme ça. Tu veux vraiment que j'essaie de la séduire ? Dit-il en regardant une photo où elle est jambes écartées, sa chatte rasée bien visible.

- Bien sûr, je pense qu'elle va adorer.

- D'accord alors, si c'est ce que tu veux, je n'ai rien à perdre.

J'emmène alors Ray à la maison pour lui présenter Caroline. Et après que celle-ci ait donné son accord, nous nous mettons d'accord pour qu'il emménage la semaine suivante.

Semaine 1 -- Ray emménage.

Ray arrive à la maison avec un gros bouquet de fleurs et une bouteille de vin. Je l'avais déjà informé des points faibles de mon épouse et de la meilleure façon de la séduire. Caroline est flattée de l'attention que lui porte Ray, et au bout de trois jours, elle parle avec lui comme s'il s'agissait d'un ami de longue date. Il gagne sa confiance en lui montrant des photos de sa femme et de ses enfants. Puis le samedi nous l'accompagnons pour voir l'avancement des travaux de sa maison. Le dimanche, on peut penser que Caroline et Ray forment un couple tellement ils s'entendent bien.

Semaine 2 -- Caroline se fait baiser.

Point de vue professionnel, j'ai de nombreux délais à respecter, donc je reste tard au bureau. Cela donne à Ray plus de temps pour être avec elle pour la séduire. De plus, j'ai délibérément privé ma femme de sexe depuis deux semaines en argumentant que je suis trop fatigué. D'ailleurs elle confie à Ray qu'elle pense que j'ai une liaison. Bien sûr Ray ne fait rien pour la rassurer.

Une crise apparaît lorsque je lui dis que je dois me rendre à Milan pour une réunion le lundi suivant. Ce qui veut dire que je prends l'avion le dimanche après-midi. Et ce dimanche c'est notre anniversaire de mariage. Nous l'avons toujours célébré en sortant au restaurant. C'est là qu'elle se fâche et s'énerve :

- Tu ne peux pas faire ça ! C'est notre foutu anniversaire de mariage et tu pars pour Milan. Et pourquoi je ne peux pas venir avec toi ?

- Écoute, tu connais notre situation. Nous ne pouvons pas nous permettre que tu viennes avec moi. Pourquoi tu ne demandes pas à Ray de te sortir ? Tu sais à quel point j'ai travaillé dur sur ce projet, je ne peux pas me permettre de tout foutre en l'air maintenant.

Dimanche après-midi, je prépare mon sac de voyage et je pars à l'aéroport. Mon épouse ne me dit même pas au revoir. Ma réunion ne consiste simplement à signer le contrat officiel avant le retour à l'hôtel. Je passe une nuit blanche à me demander s'il se passe quelque chose chez moi. Avez-vous déjà essayé de vous endormir avec une érection qui fait rage ? Chaque fois que je ferme les yeux, je m'imagine ma femme Caroline sur notre lit, les jambes écartées, en train de se faire baiser par Ray. Ou alors, elle est à genoux, le chemisier ouvert pour exposer ses gros seins, la mini-jupe troussée à la taille, ses lèvres enroulées sur la bite de notre locataire. Je suis vraiment pressé de revenir chez moi.

Le lendemain, quand j'entre dans le salon, je vois Ray assis sur le canapé. Il me fait un clin d'œil et lève son pouce. Mon cœur bondit. Caroline est à l'étage, dans la chambre principale, en train de ranger des vêtements.

- Bonjour ! Contente de me revoir ? Demandé-je en jetant mon sac sur lit.

Elle me répond sur un ton sarcastique :

- Alors ? Tu as signé ton contrat ?

Je sais qu'elle se demande si c'était vrai. Il faut voir son expression quand j'ouvre mon sac et que je lui montre le dossier.

- Oui bien sûr ! Dis-je en l'embrasant sur la joue.

Puis je demande innocemment :

- Et toi ? As-tu passé un bon moment avec Ray ?

Elle devient rouge pivoine.

- Qu'est-ce... Qu'est-ce que tu veux dire ?

- le dîner... Tu sais... Dimanche soir.

- Ah oui le repas... Oui, c'était sympa.

Elle se détourne de moi pour essayer de cacher ses rougeurs.

- Je vais juste faire un tour au pub, tu veux venir ?

Je sais qu'elle ne peut me faire face.

- Non, non, merci, j'ai encore beaucoup de choses à ranger.

- Ok, je vais voir si Ray veut m'accompagner.

Avant qu'elle ne puisse répondre, je quitte rapidement la chambre. J'appelle Ray et nous nous dirigeons vers le pub.

Bien caché dans un coin, je lui demande :

- Alors ?

Il sourit d'un air satisfait et me répond :

- Mon Dieu, je ne sais pas trop par où commencer. Après ton départ dimanche, elle était de très mauvaise humeur et elle a passé des heures dans un bain. Puis elle est descendue dans le salon. Je ne pouvais en croire mes yeux. Elle avait noué ses cheveux, elle était joliment maquillée et elle portait une courte robe de soirée boutonnée sur le devant. Oh oui aussi, elle avait la plus grande paire de talons hauts que j'aie jamais vue. Quoi qu'il en soit, nous avons dîné et j'ai fait en sorte que le vin coule à flots. Lentement, mais sûrement elle devenait de plus en plus ivre. Elle a passé tout son temps à se plaindre de toi et de ton travail ainsi que du peu d'attention que tu lui accordais ces derniers temps. Elle était convaincue que tu avais une relation. Nous sommes rentrés à la maison vers 22h30 et elle s'est assise à côté de moi sur le canapé et elle s'est mise à pleurer.

A ce stade, je me sens un peu coupable et je me dis que je suis peut-être allé un peu loin. Ray continue :

- J'ai mis mon bras autour de ses épaules pour la réconforter et je lui ai dit à quel point elle était belle et quel idiot tu étais de la laisser avec un autre homme. Ensuite ses lèvres se sont verrouillées sur les miennes et sa langue explorait ma bouche. Je me suis dit que c'était le moment ou jamais et j'ai posé mes mains sur ses seins pour doucement les serrer. Elle continuait de m'embrasser. J'ai commencé alors à défaire les boutons de sa robe et j'ai caressé ses seins à travers son soutien-gorge. Elle m'embrassait encore, mais sa main s'est déplacé sur ma bite. Tu m'avais montré sa poitrine en photo, mais je n'arrivais pas à croire à quel point ses seins étaient gros et doux.

- Est-ce qu'elle t'a laissé déboutonner sa robe complètement ?

- Hein ? Bien sûr ! Elle était même si impatiente qu'elle a défait le dernier bouton pour moi avant d'ouvrir sa robe en grand.

- Qu'est-ce qu'elle portait en dessous ?

- Des bas noirs, une petite culotte transparente,un porte-jarretelles, et un soutien-gorge soyeux.

Je souris intérieurement. C'est l'ensemble que je lui avais offert à Noël. En plaisantant nous l'avions appelé son uniforme de pute.

- Continue !

- J'ai embrassé son cou et ses épaules, puis j'ai sorti ses seins du soutien-gorge et j'ai commencé à sucer ses mamelons. Elle tenait ma tête entre ses mains en poussant de petits gémissements. Quand j'ai mis ma main sur sa jambe et que j'ai commencé à remonter le long de sa cuisse, elle a juste ouvert les jambes en grand. Elle m'a demandé si j'aimais sa chatte lisse. Je n'arrêtais pas de la caresser à travers sa culotte et je me suis souvenu de ce que tu m'avais dit à propos de son clitoris sensible. Elle gémissait à mon oreille et je sentais qu'elle mouillait. Alors j'ai simplement glissé mon doigt sous sa culotte, dans sa petite fente et j'ai cherché et trouvé son clito.

Je ferme les yeux une seconde et j'imagine la scène. Ma charmante femme guindée, assise sur le canapé, jambes écartées, en sous-vêtements sexy, se faisant doigter la chatte par un autre homme en même temps qu'il lui suce les seins.

- Tu l'as faite jouir ?

- Jouir ? C'est comme si quelqu'un avait allumé une mèche. Elle a eu un orgasme à la seconde où j'ai touché son clitoris. J'ai dû la tenir tellement elle tremblait. Puis elle m'a dit : « maintenant c'est à ton tour : ». Elle m'a repoussé sur le canapé, jeté sa robe par terre et s'est agenouillée devant moi. Elle a ouvert ma braguette et a sorti ma bite. Tu sais quoi ? Elle m'a regardé droit dans les yeux en baissant sa bouche sur ma bite. C'était incroyable. Ma femme ne veut pas faire ça, elle dit que c'est dégoûtant. C'est la première pipe que j'ai eue depuis plus de vingt ans.

- Est-ce qu'elle t'a fait jouir? Demandé-je.

Je bande et il m'est difficile de rester assis ;

- Tu crois quoi ? Je lui ai dit que j'allais jouir, mais elle a continué de me sucer. A un moment elle a fait quelque chose avec sa langue et je n'ai pu me retenir tellement la sensation était incroyable. J'ai éjaculé encore et encore. Et tu sais quoi ? Elle a tout avalé jusqu'à la dernière goutte. Et quand j'ai fini elle s'est même appliquée à bien lécher ma bite.

- Est-ce que tu l'as baisée ?

Ray me regarde :

- Je l'ai baisée toute la nuit et je pense qu'aujourd'hui je serai incapable de bander encore. Elle est insatiable.

Nous prenons une autre bière et Ray continue :

- Donc, après qu'elle m'a sucé, elle s'est assise sur le canapé et elle a ouvert ses jambes en grand en m'invitant à lui lécher la chatte. Au moment où je l'ai faite jouir une nouvelle fois, j'étais vraiment prêt à la baiser. Je l'ai tirée sur le bord du canapé et j'ai glissé ma bite dans sa chatte. Elle donnait l'impression d'être au paradis et elle n'arrêtait pas de pousser ses hanches sur moi.

Ray a l'air un peu embarrassé alors je l'incite à continuer.

- Je ne suis pas sûr que tu vas aimer. Mais elle a dit que c'est la plus grosse bite qu'elle n'ait jamais eu.

Je réalise soudain que c'est la seule question que je n'aie jamais posée à Ray, la taille de sa bite.

- Dis-moi alors quelle taille elle fait ? Demandé-je.

- Eh bien, ma femme l'a mesuré une fois et elle m'a dit qu'elle faisait 27 centimètres.

- Putain de merde, pas étonnant qu'elle soit contente.

Maintenant, mon imagination se met en route alors que je m'imagine cette grosse et longue bite entrant et sortant de la chatte humide de Caroline. Le maximum que je pouvais lui donner était de quinze centimètres alors qu'elle m'avait parlé d'un de ses anciens petits amis qui avait une queue de vingt centimètres.

- Alors, que s'est-il passé ensuite ?

- Je crois que je l'ai baisée dans cette position pendant environ vingt minutes avant de jouir. Pour sa part elle a eu plusieurs orgasmes en essayant de m'attirer plus profondément en elle. Finalement nous avons attrapé nos vêtements et nous sommes allés nous coucher.

- Mais tu m'as dit que tu l'avais baisée toute la nuit ?

- Ouais, mais bon, pas toute la nuit. Au début nous nous sommes juste blottis l'un contre l'autre en nous embrassant. Elle a recommencé à jouer avec ma bite pendant que je lui doigtais la chatte. Puis elle m'a sucé une nouvelle fois avant de me chevaucher. Je crois que c'était le meilleur moment. La voir installée sur ma bite avec ses gros seins se balançant était génial. Elle a encore joui de nombreuses fois avant de descendre. Puis elle s'est mise à quatre pattes et elle m'a demandé de la prendre ainsi. Ce que j'ai fait. Après que j'ai éjaculé, nous nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre.

- Quoi ? Elle a gardé ses bas toute la nuit ?

- Ouais. Elle m'a réveillé en me suçant et j'ai vu qu'elle les avait encore. Je l'ai tellement baisée le matin que j'en ai mal à la queue. Et ça nous a pris si longtemps que nous avons pris une journée de congé et nous sommes restés au lit. Je l'ai encore baisée au déjeuner et en fait, je viens encore de la faire juste avant que tu ne rentres.

Je dis alors à Ray ce que je veux qu'il fasse. Nous finissons nos verres et nous rentrons à la maison.

Semaine 3 -- Le film avec Caroline.

La caméra vidéo est discrètement cachée dans une étagère, les fils passant par la fenêtre vers un téléviseur situé dans le garage. Je peux zoomer et dézoomer à ma guise, faire des panoramiques de haut en bas ou de droite à gauche. J'ai dit à Caroline que je travaillais tard, donc ce n'est pas long avant que le spectacle commence.

Ray baise souvent ma femme, et selon lui, elle n'en a jamais assez. La scène débute avec Ray assis sur le canapé vêtu seulement d'une robe de chambre. Caroline apparaît dans l'embrasure de la porte vêtue seulement de ses sous-vêtements noirs sexy et de ses chaussures à talons de quinze centimètres. Elle défile dans la pièce pour Ray en lui demandant s'il aime ce qu'il voit. Pour toute réponse mon locataire ouvre sa robe de chambre pour révéler la plus grosse bite que je n'ai jamais vue. Elle est bien dressée comme un mât.

- Hummm, je vois quelque chose de prêt ! Dit Caroline en se léchant les lèvres et en s'agenouillant devant lui.

Je fais un zoom avec la caméra et je vois son rouge à lèvres se refermer sur le gland de Ray. Les lèvres glissent lentement vers le bas. Ray ferme les yeux et gémit.

Elle réussit à mettre douze à treize centimètres dans sa bouche avant de revenir sur son gland et de recommencer. Je peux voir ses joues se creuser pendant qu'elle le suce. De temps à autre elle sort complètement le membre pour lécher le gland et le manche de haut en bas. Lorsque Ray lui dit qu'il est sur le point de jouir, elle plonge sa bouche sur le membre et elle accélère sa fellation. Il en faut peu pour que j'éjacule moi-même dans mon pantalon quand Ray explose dans sa bouche. Comme il me l'a dit, cette garce avale chaque goutte avant de bien nettoyer sa bite avec sa langue.

Se léchant toujours les lèvres, elle se met debout devant lui. Il lui enlève sa culotte et elle ouvre les jambes en grand pour que sa langue trouve sa chatte. Ses gros seins sont magnifiquement enfermés dans son soutien-gorge et Ray pose ses mains sur les cuisses gainées de bas pendant qu'il la lèche.

Je m'aperçois du moment où elle est sur le point de jouir. Son corps se met à trembler et elle plis légèrement les genoux. Ray tient son cul serré en poussant sa chatte vers sa bouche.

- Oh Ray, ne t'arrête pas... Oooohhh OUIIIIIIII !

Elle s'effondre sur le canapé et ils s'embrassent passionnément, mélangeant dans leur bouche le sperme et le jus de chatte. Pour un homme de cinquante ans, Ray se rétablit rapidement et bande de nouveau. En peu de temps sa bite est de nouveau dure comme de la pierre et se dresse pour recommencer. Cette fois, pour mon bénéfice, Ray demande à Caroline de le chevaucher dos à lui, c'est-à-dire face à la caméra.

Quand sa chatte plane au-dessus de lui, Ray frotte son membre le long de la fente avant de lui permettre de descendre. Je fais un zoom et je vois les lèvres de sa chatte s'ouvrir puis presque disparaître en elle, entraînées par sa grosse bite. La queue de Ray n'est pas seulement longue, elle est aussi très grosse. Une fois qu'elle est entièrement empalée sur le membre je fais un zoom arrière. Caroline à la tête appuyée sur son épaule, les yeux fermés avec un grand sourire sur le visage. Ray a les deux mains sur ses seins et titillent ses tétons alors qu'il fait pivoter ses hanches sous elle. Puis il descend une main vers son clitoris et commence à le pincer entre le pouce et l'index. Caroline entre en transes. Elle commence à chevaucher sa grosse bite, se levant jusqu'à ce que seul le gland reste à l'intérieur, puis se laissant tomber vers le bas, prenant le sexe jusqu'à la garde. Ray serre sa poitrine et pince son clitoris en l'accompagnant.

- Oui c'est ça salope, baise ma grosse bite.

Caroline avait toujours détesté les propos vulgaires et elle m'avait toujours dit que ça la bloquait. Je voulais voir comment elle réagirait si c'était Ray qui l'insultait.

- Mon Dieu, tu ferais une bonne pute. Allez salope, plus vite !

Caroline gémit bruyamment alors qu'un autre orgasme la traverse. Elle se repose, la bite totalement enfouie en elle en attendant que les tremblements de son corps cessent. Elle tourne la tête sur le côté et embrasse Ray.

- Alors, tu aimes être ma salope. Demande Ray.

Elle murmure d'un air endormi en s'appuyant fort sur sa queue :

- Hummm, j'aime la sensation de cette bite en moi.

- Donc je peux faire ce que je veux avec toi ?

- N'importe quoi, je suis tout à toi !

- Et tu seras ma salope, ma pute ?

- Hmmm, si c'est ce que tu veux.

A ce moment j'éjacule sur tout le mur du garage. Ma douce épouse innocente vient de dire à un autre homme qu'elle serait sa salope. Je continue à regarder et à me branler pendant que Ray l'achève en remplissant sa chatte de foutre. Puis il lui fait ouvrir grand les jambes afin que je puisse bien voir quand il sort de sa chatte.

Je décide alors de faire peur à ma femme. Alors qu'elle est toujours assise sur la bite de mon locataire, je sors du garage et je mets ma clé avec bruit dans la porte d'entrée. Plus tard, je vois sur la vidéo qu'un air de pure panique s'est affichée sur son visage et qu'elle a sauté du canapé pour se précipiter dans les escaliers juste au moment où j'ouvrais la porte. Ray bien sûr, reste assis sans bouger, un sourire sur le visage.

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