Le Locataire

BÊTA PUBLIQUE

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Je me précipite aussi dans les escaliers en prétextant une envie urgente de pisser. Je sais qu'elle a dû s'enfermer dans la salle de bain, mais je ne veux pas lui laisser le temps de se changer ou de s'habiller.

- Caroline, vite ouvre la porte ou je vais me pisser dessus.

Elle me laisse entrer et reste là, son peignoir serré autour d'elle. Ses talons sont jetés sur le sol, mais elle n'a pas eu le temps d'enlever ses bas. Je la fais attendre jusqu'à ce que j'ai fini de me soulager, puis j'ouvre son peignoir.

- Mon Dieu, qu'est-ce que c'est que tout ça ?

- Je... Euhh... J'ai... J'ai pensé que ça pourrait te plaire. Je me préparais pour ton retour à la maison. Ment-elle.

- Hein ? Tu allais mettre ton costume de pute avec Ray assis dans le salon ?

- Je voulais t'attendre dans la chambre, je savais que tu allais bientôt rentrer.

Je fais glisser le peignoir sur ses épaules pour le laisser tomber par terre. Puis je commence à tripoter ses seins. Quand je descends une main sur sa chatte, elle recule et s'éloigne vers la chambre en disant :

- Viens me baiser, ça fait si longtemps. s'il te plaît !

Elle ne veut pas que mes doigts sentent le sperme de Ray qui coule presque le long de sa jambe. Alors je lui réponds :

- Pas avant d'avoir joué avec ma chatte préférée.

Je prends son monticule lisse et collant dans ma main. Elle s'allonge sur le lit, réticente à ouvrir les jambes. Alors je les écarte. Puis je fais courir mes doigts de haut en bas sur ses lèvres gonflées. Je ne touche pas son clitoris, mais pénètre sa chatte avec un doigt.

- Hummmm, chaude et mouillée ! Tu as des pensées cochonnes ou tu t'amuses seule quand je ne suis pas là ?

Elle rougit de nouveau :

- C'est à l'idée que tu rentres à la maison et que tu me fasses ça. Ment-elle une nouvelle fois.

Je me déshabille rapidement et je grimpe entre ses jambes. J'ai l'impression de mettre ma bite dans un pot de mélasse chaude. Je me relève sur les bars et je la regarde.

- Eh bien, soit tu es sacrément excitée, soit tu as passé les dernières heures à baiser avec Ray.

Honnêtement j'ai l'impression qu'elle va faire une crise cardiaque. Elle tousse et s'étouffe presque.

- Hé je plaisante ! Je sais que tu ne ferais pas ça !

Son regard effrayé devient un regard de soulagement alors qu'elle m'assure qu'elle est mouillée simplement parce que j'ai joué avec sa chatte et que je la baise. Elle ajoute que bien sûr elle n'aime pas Ray, qu'il est trop vieux et moche.

Semaine -- Ray devient dominateur.

Comme nous l'avions prévu, Ray commence à prétendre qu'il s'ennuie pendant leurs séances de sexe. Il parle de sa femme et de la façon dont elle aime que deux hommes la prennent en même temps. C'est un mensonge, mais Caroline ne le sait pas.

- Peut-être que l'on devrait essayer ça pour pimenter un peu les choses ! Dit-il un jour en lui doigtant paresseusement la chatte.

Bien sûr, Caroline lui dit non. Alors Ray sort de la maison en lui disant qu'il va au pub. Je quitte ma cachette et je le rejoins, laissant ma femme habillée comme une pute sur le canapé. Deux heures plus tard nous revenons, Ray dans le salon et moi au garage. Caroline a toujours sa tenue sexy, mais elle a enfilé un peignoir. Elle est très en colère :

- Où diable étais-tu ? Je suis restée ici habillée comme une pute bon marché pendant qu tu vas picoler dans un pub ?

Ray la saisit alors par les cheveux et lui crache :

- Écoute salope ! En ce qui me concerne, toute femme mariée qui se laisse baiser par un autre homme est une pute bon marché. Maintenant tu peux enlever ce putain de peignoir et me sucer la bite !

Ray défait sa braguette, sort sa bite et s'assoit sur le canapé. Au début, Caroline semble complètement choquée, mais elle laisse tomber son peignoir sur le sol. Je regarde son cul couvert de sa petite culotte sexy se dandiner alors qu'elle se dirige vers la queue offerte de Ray.

- Suce salope ! Montre-moi quelle petite pute tu peux être !

Ma femme lui obéit et s'agenouille devant lui. Ray la laisse le sucer pendant environ cinq bonnes minutes avant de la faire asseoir dans un fauteuil.

- Enlève ta culotte, écarte les jambes et prépare ta chatte pour moi !

C'est une chose qu'elle n'a jamais faite pour moi. Elle m'a toujours dit que ça la gênait et qu'elle ne pouvait se résoudre à le faire. Elle enlève sa culotte et s'assoit sur le fauteuil, les jambes fermées.

- Ok ! Si c'est comme ça, je m'en vais ! Dit Ray en se levant comme s'il allait partir.

- NON ! S'il te plaît Ray ! C'est juste que... eh bien, que j'ai du mal à le faire.

Ray se tient à côté d'elle, sa bite près de son visage.

- Si tu en veux plus, fais-le !

Vraiment à contrecœur, elle place ses jambes sur les accoudoirs du fauteuil puis elle écarte les lèvres de sa chatte. En regardant la grosse bite de Ray, elle commence à caresser son clitoris puis à le frotter en petits cercles.

- Mets tes doigts dans ta chatte ! Ordonne Ray.

- S'il te plaît Ray, je ne peux pas faire ça !

- Doigte ta chatte de salope ! Dit-il d'une voix autoritaire.

Il se masturbe en la regardant jouer avec elle-même. Manifestement il apprécie son nouveau rôle de Maître. Caroline met un doigt dans sa grotte humide et le déplace lentement dans et hors de sa chatte.

- Maintenant les autres doigts ! Dit Ray en se penchant sur elle pour sortir ses gros seins de son soutien-gorge.

Tandis qu'elle se met au travail avec trois doigts, Ray passe d'un mamelon à l'autre pour les tirer et les tordre, sa bite à quelques centimètres du visage de mon épouse.

Caroline ne quitte pas une seconde des yeux la grosse queue devant elle. Maintenant elle est occupée à jouer avec sa chatte à deux mains. l'une fourre trois doigts dans son trou humide alors que l'autre frotte énergiquement son clitoris. Des frissons révélateurs commencent à parcourir son corps à mesure que l'orgasme approche, Ray se branle de plus en plus vite. Alors qu'elle a des spasmes de plaisir, Ray lui attrape la tête en disant :

- Ouvre ta putain de bouche, salope !

Les premières giclées couvrent son visage et ses cheveux. Deux autres suivent et couvrent ses yeux et sa lèvre supérieur avant qu'elle ne prenne le gland dans sa bouche. Ses propres mains sont maintenant inactives, mais je peux la voir déglutir donc je comprends que Ray éjacule encore. Quand enfin il recule, je peux voir le visage rouge vif de ma femme à cause de son orgasme, du sperme blanc et collant contrastant joliment. Des gouttes tombent de sa lèvre supérieure et je ne suis pas loin de jouir moi aussi quand elle sort sa langue pour les laper. Je continue de les regarder pendant deux heures où Ray assure son emprise. Quand ils terminent enfin, il lâche une bombe :

- Caroline, tu m'as dit une fois que je pouvais te faire tout ce que tu voulais, tu le penses toujours ?

Elle est blottie contre lui, se sentant visiblement bien après cette baise marathon qu'il vient de lui offrir.

- Hmmmmm, n'importe quoi.

Elle joue doucement avec la bite molle, qui même ainsi, est plus longue que la mienne.

- Bien, alors je veux te voir te faire baiser !

Elle se redresse d'un coup :

- Quoi ?

- Tu as bien entendu, je veux regarder un autre homme te baiser !

- Qui ? Où ? Je veux dire non plutôt. Ray, je ne veux que toi. S'il te plaît ne me force pas à faire ça !

- Juste une fois ! Je veux voir à quoi tu ressembles avec la bite d'un autre homme.

Caroline réfléchit très vite.

- Et si je laisse la porte de la chambre ouverte quand Tony me baise. Tu pourrais jeter un coup d'œil.

- Non, je veux regarder un vrai homme te baiser. Quelqu'un avec une grosse bite comme la mienne. Je veux t'entendre crier de plaisir comme tu le fais pour moi.

Ma femme est déboussolée. Elle ne veut pas perdre Ray. Ils se disputent pendant près d'une heure avant que Ray ne lui lance un ultimatum. Soit elle faisait ce qu'il veut, soit il déménageait. A contrecœur elle cède.

Semaine 5 -- Caroline la pute.

Après avoir passé une autre annonce sur le web, Ray et moi examinons les réponses. Finalement nous choisissons un jeune de 23 ans s'appelant David. Ce gars chanceux avait une bite de 27 centimètres encore plus épaisse que celle de Ray. Il nous affirme qu'il peut baiser plusieurs fois par nuit et qu'il est un gros éjaculateur. Ce jeune homme est dans l'armée, il a donc passé récemment un examen médical complet avec des tests sanguins. Donc nous pouvions le laisser baiser sans capotes.

Au cours des deux-trois semaines qu'il faut pour mettre notre plan en place, Ray, à contrecœur, passe moins de temps à baiser ma femme, lui disant qu'il est fatigué et qu'il doit travailler tard. Caroline devient de plus en plus frustrée par ce désintérêt, alors elle se console en baisant avec moi plus souvent. Elle ne m'a jamais laissé entendre que Ray la baisait et elle réussissait même à mentir sans rougir. Mais j'ai commencé à réaliser que Ray avait fait éclore un côté d'elle que je ne connaissais pas. Elle est une vraie salope avide de grosses bites.

Je lui dis un jour que le mercredi soir je serai en voyage d'affaires. Ray lui dit alors qu'elle recevra ce soir -là deux hommes, lui et David. Elle lui répond qu'elle n'est pas très chaude à cette idée, mais lorsqu'il lui promet de passer plus de temps avec elle si elle le fait, elle accepte facilement. Ray m'a ensuite raconté comment elle a passé la journée à se pomponner et comment elle est devenue plus excitée quand il lui a dit à quel point la bite de David est grosse. En début de soirée, je suis à ma place habituelle dans le garage, juste à temps pour entendre Ray expliquer à Caroline comment il veut qu'elle se comporte.

Elle est vêtue de noir de la tête aux pieds, chaussures compensées noires à talons hauts menant à des bas à coutures et un porte-jarretelles assorti. Ray lui a acheté quelques culottes ouvertes à l'entrejambe. Je peux clairement voir sa chatte rasée dans l'ouverture du tissu. Il lui a également acheté un soutien-gorge sexy qui laisse ses mamelons exposés et fait paraître ses seins deux fois plus gros. Ses cheveux blonds sont attachés à l'aide d'un nœud rouge assorti à son rouge à lèvres et à son vernis à ongles. Elle ressemble à une prostituée grand luxe.

- S'il te plaît Ray, laisse-moi au moins mettre mon peignoir ? Je vais avoir l'impression d'être une vraie salope en l'accueillant à la porte comme ça !

Ray rigole :

- Chérie, tu es une salope. Et puis souviens-toi, ce soir tu dois avoir l'air et agir comme une vraie putain. Je veux te voir jouer avec tes seins et ta chatte en suppliant ce mec de te baiser. Je veux que tu utilises des mots vulgaires comme bite, chatte, nichons, pute... En fait je veux t'entendre utiliser tous les mots vicieux auxquels tu peux penser. J'ai dit à David que tu es une vraie pute qui adore

les grosses bites et qui ferait tout pour se faire baiser, donc ne me déçois pas.

Je vois qu'elle n'est pas très heureuse. Elle boit de grands verres de vin avant l'arrivée de David. Son langage corporel me montre qu'elle commence à s'énerver. Lorsque finalement la sonnette retentit, elle essaie de s'enfuir dans l'autre sens. Ray lui bloque le chemin et dit :

- Tu sais ce qui est en jeu. Tout dépend de toi.

Prenant une profonde inspiration, elle se dirige vers la porte d'entrée. Ray et moi retenons notre souffle alors qu'elle lui obéit finalement et ouvre la porte en grand. David se tient sous notre porche et admire la vue qui se présente à lui.

Notre maison n'est qu'à quelques mètres d'une rue principale très fréquentée. Avec la lumière allumée sous le porche, toute personne passant pas là peut voir ma femme. David reste immobile pendant cinq bonnes minutes. A un moment donné, une voiture ralentit et donne un coup de klaxon. Ma femme retourne à l'intérieur et David la suit, une main déjà sur son cul par-dessus la culotte.

- Oh putain, c'est vraiment ce que tu as dit Ray, une vraie salope !

Caroline se contente de fixer le jeune gars. Peut-être que Ray aurait dû lui dire que David était noir. Caroline reste debout au milieu de la pièce pendant que les deux hommes font des commentaires salaces, comme si elle n'était qu'un morceau de viande.

- Tu veux vois à quel point cette chatte mouille une fois qu'elle est bien excitée ? Dit Ray en ouvrant les lèvres de la chatte de mon épouse.

David se penche pour regarder de plus près.

- Et ses mamelons ! Il suffit de les pincer légèrement pour qu'ils deviennent bien durs.

- Est-ce qu'elle sait sucer des bites ? Demande David en passant ses mains sur tout son corps.

- Bien sûr ! Dit Ray en forçant Caroline à s'agenouiller devant lui.

Comme hypnotisée et sans qu'on lui demande, ma femme ouvre la braguette de David et sort sa bite. Le jeune homme bande à moitié alors qu'elle déplace lentement ses deux mains le long de la tige épaisse. Il commence vraiment à bander dur quand elle le prend entre ses lèvres peintes en rouge.

- C'est bon ? Demande Ray.

- Ouais, cette garce semble savoir sucer. Mais arrive-t-elle à prendre une bite entière ? Dit David en lui tenant la tête serrée alors qu'il pousse en avant.

Ma femme n'a jamais fait de gorge profonde. David force sa bite plus loin dans sa bouche et elle commence à étouffer. Alors elle essaie de le repousser. Mais David la tient fermement et pousse encore plus sa queue en elle.

- Urmmphhhhh !

C'est le seul bruit qu'elle peut émettre alors qu'il continue à envahir sa gorge. Elle étouffe vraiment et a l'air de vouloir vomir, mais elle n'a pas le choix. Finalement, David se retire légèrement et elle lutte pour reprendre son souffle. Le jeune homme attend un peu avant de pousser sa bite en avant.

Caroline commence à prendre le rythme et prend une profonde inspiration avant chaque poussée. Sa gorge commence à s'habituer à la taille de la bite de David, et lentement, mais sûrement, il fait entrer son membre en entier. J'ai deux superbes photos tirées de la vidéo : l'une montrant ma femme avec juste le gland dans la bouche, la seconde avec le nez enfoncé dans le pubis de David, un gros renflement dans sa gorge et les yeux grands ouverts.

Tenant sa tête entre ses deux mains, David continue de baiser son visage.

- Oh oui, je vais jouir ! Continue salope, tu vas tout prendre ! OUIIII !

Sa première giclée de foutre descend directement dans la gorge, mais David se retire pour tenir sa bite à quelques centimètres de sa bouche. Une autre puissante giclée de sperme remplit sa bouche, éclaboussant ses lèvres et coulant le long de son menton. Plusieurs giclées suivent encore et couvrent ses yeux et ses joues, du foutre atterrissant même sur ses seins. David continue de branler sa grosse bite noire jusqu'à ce que chaque goutte soit expulsée. Puis il lui fait lécher les derniers restes sur sa bite encore dure. Quand il s'éloigne je fais des gros plans superbes sur mon épouse, le visage couvert de foutre. On peut le voir couler le long de son menton et dégouliner sur ses seins.

Ray dit alors qu'il veut faire la même chose et essayer la gorge profonde. Tandis que David s'assoit sur le canapé, Ray baise le visage de mon épouse. Alors que lui aussi se vide dans sa bouche, je ne peux me retenir d'éjaculer contre le mur du garage.

- Tu veux voir cette salope se faire plaisir ? Demande Ray à David.

- Bien sûr, il n'y a rien de meilleur comme spectacle que de voir une belle salope blanche de la classe moyenne préparer sa chatte pour une grosse bite de nègre.

Le jeune homme fixe Caroline avec convoitise en parlant. Les deux hommes assoient ma femme dans le fauteuil avec les jambes écartées et posées sur les accoudoirs. Puis ils lui donnent un gros vibromasseur rose.

- Ok salope, c'est l'heure du show et n'oublie pas de commenter !

Caroline regarde les deux hommes avant d'allumer le vibromasseur et de commencer à le frotter lentement sur les lèvres de sa chatte rasée.

- C'est ça que vous voulez ? Demande-t-elle en ouvrant ses lèvres visiblement humides et en glissant les premiers centimètres de l'objet rose à l'intérieur de sa chatte.

- Ou peut-être ça ?

Elle sort le vibromasseur et commence à le lécher pour le nettoyer. Ensuite elle l'utilise pour récupérer le sperme qui couvre son visage et le lèche à nouveau pour le nettoyer. Ray et David sont assis sur le canapé, caressant lentement leurs bites déjà raides.

Caroline est entièrement dans le spectacle qu'elle donne. Tout en fixant les deux queues dressées à quelques mètres d'elle, elle s'applique à faire le show. Le vibromasseur réglé à pleine puissance, elle l'insère dans sa chatte jusqu'à ce que seul le bouton d'arrêt soit visible. Puis elle s'amuse avec son clitoris et ses mamelons jusqu'à ce qu'ils soient bien durs.

- Je veux ces belles bites dans ma chatte et dans ma bouche en même temps. Oh oui, je veux qu'elles étirent ma chatte et me remplissent de foutre chaud et juteux.

Elle se tortille sur le fauteuil et son jus intime coule sur le coussin, formant une petite flaque. Quand elle a un orgasme elle les supplie de la baiser.

David est le premier. Il amène son cul au bord du fauteuil et il remplace le vibromasseur par sa bite. Il glisse profondément au fond de la chatte humide, ses couilles venant battre les fesses de Caroline. Il lui enfonce le gode dans la bouche pour lui faire lécher et nettoyer. Ray est agenouillé à côté pour jouer avec ses seins et faisant de son mieux pour ne pas cacher la vue à la caméra.

David s'accroche aux hanches de mon épouse alors qu'il commence son assaut sur sa chatte. On peut entendre à chaque fois ses couilles frapper son cul. Puis Ray suggère :

- Mettons cette garce à quatre pattes pour que je puisse en profiter.

Dans cette position au milieu de notre salon, caroline voit son souhait réalisé, deux bites en même temps, une grosse noire et brillante dans sa chatte et une longue et grosse blanche dans sa bouche. De temps en temps, les deux hommes changent de position et lui font lécher son jus sur leurs outils.

David est le premier à éjaculer dans sa chatte. La tenant fermement par les hanches, il cambre son dos et pousse en avant, enterrant sa bite au plus profond pour inonder son ventre. Ray dit qu'il veut faire pareil. Alors, à la seconde où David se retire, il saisit les hanches de ma femme et la baise violemment avant de tirer sa charge lui aussi dans son ventre pendant qu'elle nettoie avec sa langue la bite de David.

Quand il se retire, Caroline s'affale sur le sol, épuisée. Mais la fête n'est pas finie. Quand ils ne la baisent pas ou ne la doigtent pas, ils lui font utiliser le vibromasseur. Les trois protagonistes passent les heures suivantes d'orgasme en orgasme. A la fin de la soirée, les deux hommes ne peuvent plus bander et Caroline se plaint d'avoir mal à la chatte. Pour ma part j'ai éjaculé trois fois et j'ai dû laver le garage le lendemain.

A mon tour.

Il ne reste que trois semaines avant que la famille de Ray ne le rejoigne dans sa nouvelle maison. Il est vraiment devenu le Maître de Caroline. Elle est au stade où elle fera tout ce que lui demandera l'homme. Sa seule réticence est la sodomie. Elle refuse toujours catégoriquement que Ray ou David l'enculent en prétextant que leurs bites sont trop grosses.

- Qu'en dirais-tu de la sodomiser ? Me demande Ray un jour.

- Mais elle ne sait pas que je sais qu'elle me trompe. Est-ce qu'elle ne va pas le découvrir ? Dis-je.

- Pas si elle a les yeux bandés. Mieux encore, je vais lui dire que je veux la voir se faire baiser par deux inconnus. Tu sais bien qu'elle fera tout ce que je veux.

Apparemment Caroline n'est pas trop contente à cette idée, mais comme Ray insiste, elle accepte à contrecœur.

Le jour venu, elle est vêtue de son costume de pute et elle a les yeux bandés. Ray s'est assuré qu'elle soit excitée. Ses instructions sont d'attendre dans le salon jusqu'à ce que les hommes arrivent, puis de les laisser faire ce qu'ils veulent d'elle. Ray lui assure qu'il sera présent et que peut-être il participera. En tout cas, elle ne doit jamais retirer son bandeau.