Le Mauvais Chemin 02

BÊTA PUBLIQUE

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Plusieurs d'entre eux s'étaient dirigés vers le fond de la pièce, ils avaient entrepris de déplacer une lourde armoire métallique. Malgré qu'ils s'y emploient à plusieurs, qu'ils s'aident avec une barre de fer, genre pied de biche, ils avaient beaucoup de mal à déplacer le meuble.

Ils y étaient arrivés, ils avaient réussi à décoller le meuble du mur, à laisser un passage entre le meuble et le mur.

- Ça suffit comme ça, on passa à coté! avait déclaré Igor

Les jeunes étaient revenus, toute la bande s'était à nouveau emparés de Nathalie et de Stéphanie, en les tirant par les bras, par les épaules, mais aussi en les poussant dans le dos, mais surtout tout en continuant à les tripoter. Ils les avaient entraînées au fond de la pièce, les avaient forcées a passer derrière le meuble.

Il y avait un discret passage, quelques parpaings manquaient, mais il fallait se baisser pour passer, mais aussi enjamber les parpaings restants.

En poussant ou en tirant les deux femmes, en leur faisant baisser la tête et se courber presque en deux , en leurs faisant enjamber les parpaings restant, ils avaient réussi à faire passer les deux femmes de l'autre coté du mur.

Je laisse aux lecteurs imaginer le passage et la tenue des vêtements quand elles étaient arrivées de l'autre coté de la pièce.

Igor lui suivait tranquillement en souriant.

Une fois le passage passé, ils avaient pris un dédale de couloir, un véritable labyrinthe, pour ensuite descendre un tas de marches, comme un sous-sol. Pour enfin arriver dans une immense pièce qui était encombrée, elle aussi, de divers objets et de meubles.

Cette pièce avait du être soit un réfectoire, soit une cantine pour les ouvriers de l'époque, car il y avait encore de nombreuses tables, des bancs, des chaises...

Mais cela avait du aussi servir d'autre chose, car il y avait aussi du mobilier de bureau, des tables, des armoires, etc, etc...

Il y avait également, dans cette pièces une pile de matelas contre un mur, mais aussi des matelas crasseux sur le sol.

Pas besoins de se demander à quoi ils pouvaient servir...

On voyait également des anneaux scellés dans les murs, des chaînes et des cordes qui étaient accrochés aux poutres métalliques du plafond, par des poulies, et qui pendaient pratiquement jusque au sol.

Il y avait aussi des vieux canapés, des vieux fauteuils, un véritable bric-à-brac de tout et de rien.

Igor s'était planté devant les deux femmes toujours solidement et fermement maintenues par les mecs,il leur avaient dit en riant

- Bienvenu dans votre nouveau chez vous, dans vos nouveaux appartements mesdames!!!!

Puis Igor s'adressa à Stéphanie

- Allez toi la plus jeune met toi à poil!!! allez vite!!!!

Comme Stéphanie tremblante ne réagissait pas car elle était figée et terrorisée, Igor fit semblant de lever la main sur elle en disant

- Tu veux encore des baffes dans ta gueule de salope??? Tu veux que je te casse encore un doigt???

Alors, totalement tremblante, terrifiée et terrorisée, la jeune fille s'exécuta, elle commença à se déshabiller.

Comme tout à l'heure, en tremblant, en ayant du mal à rester debout, Stéphanie avait commencée à se dévêtir.

Elle avait fait descendre la bretelle restante de sa robe. Comme précédemment la robe était tombée à terre, dévoilant son magnifique corps aux regards des voyous.

Puis elle enleva ensuite son string. Les vêtements de la malheureuse restant agglutinés à ses pieds. Morte de terreur, la jeunette n'avait pas la force de faire un pas de coté. Igor se chargea de l'aider. L'ayant saisie par les chevilles, Igor lui avait fait soulevé les jambes l'une après l'autre, il lui avait ôté la robe et le string, les avaient jeté plus loin, sur le sol de la pièce. Stéphanie était totalement nue, hormis ses chaussures devant l'assistance.

Igor s'était planté devant Nathalie en lui disant

- Toi je crois que tu a plus de caractère que ta fille. Ça me plaît bien. Tu va résister mais je vais te mater, te dresser tu vas voir!!!!!

Il avait sorti un couteau genre rasoir et il s'était approché d'elle.

Nathalie avait tentée de se reculer mais avec les mecs qui la tenait, il lui était impossible de faire le moindre mouvement.

Il lui avait passé la lame tranchante sur le visage et sur le cou, en prenant un réel plaisir à la terroriser, à lui faire comprendre qu'elle était totalement à sa merci....

Puis il avait dit aux mecs de lui tirer puis de lui maintenir les bras en arrière.

Ce qui avait été rapidement fait, ce qui avait eu pour effet de lui faire ressortir son opulente poitrine bien en avant.

Igor avait bien tâté les seins de la femme, par dessus son tailleur, en faisant des commentaires qui faisaient beaucoup rire les jeunes.

Avec le lame tranchante de son couteau, il avait découpé les deux boutons qui tenaient la veste du tailleur de Nathalie fermée.

Elle leur était apparue nue sous sa veste, avec le soutien gorge à balconnet qui mettait en valeur sa belle et grosse poitrine.

- Putain, la salope ne se couvre pas beaucoup.

Il y avait eut dans l'assistance un grand silence. Les jeunes étaient comme hypnotisés, voir fascinés, par la vue que leur offrait cette femme d'âge mur.

- Regardez les mecs comme cette salope, s'est faite belle pour aller vois ses petits copains racistes, regardez elle est presque à poil la salope!!!!!!!!

Puis avec sa lame il avait continué à soigneusement découper la veste du tailleur de Nathalie en la mettant en lambeaux, en pièces. Le devant de la veste d'abord, puis le dos et ensuite les manches.

Il prenait bien son temps en humiliant Nathalie, en prenant plaisir à le faire...

La veste avait fini en lambeaux, en bandes de chiffons sur le sol.

Nathalie se retrouvait en soutien-gorge devant l'assistance.

Puis ce fut au tour des balconnets de subir le même sort que la veste.

Igor avait passé la lame entre les bonnets du soutien gorge, il avait tranché la fine dentelle noire qui tenait les bonnets.

Les gros seins de Nathalie s'étaient libérés, ils pendaient à la vue de tous.

Igor avait ensuite, découpé les fines bretelles du soutiff, puis ensuite le dos du sous-vêtement. Le soutien-gorge était tombé au sol, il avait rejoint ce qui restait de la veste.

Igor allait découper la jupe quand il se ravisa. Il hésita un peu, puis il eut une idée pour humilier encore plus la femme, pour exciter encore plus les mecs.

Il rangea son arme blanche dans sa poche, mais au lieu de découper la jupe de Nathalie, il la lui retroussa sur ses hanches, sur son ventre, faisant comme si elle avait une large ceinture de tissu.

Il le ressentait, les jeunes semblaient de plus en plus excités, énervés. Il savait que le point de non retour allait être vite atteint, voir même dépassé.

L'excitation semblait être à son comble.

Il avait fait subir à la petite culotte en dentelle noire le même sort qu'à la veste et qu'au soutien gorge.

La petite culotte brésilienne avait été découpée plusieurs fois, elle avait fini elle aussi sur le sol.

Nathalie était en escarpins, presque nue, avec seulement sa jupe roulée sur son ventre..

Igor avait vu depuis longtemps, le joli collier en perles sur trois rangs que Nathalie porte autour du cou. Il allait l'enlever mais la femme avait refusé.

Igor lui avait demandé si le collier était un vrai ou un faux.

A la mine qu'avait fait Nathalie il avait eu sa réponse. Cette bourgeoise bcbg n'était pas le genre à porter du faux.

En promenant sa lame sur ses seins, il lui avait demandé de choisir, ou il coupait les deux perles de ses seins, donc ses deux mamelons ou il prenait son collier...

Malgré le fait qu'elle tenait énormément à son bijou par le prix, mais aussi par sa valeur sentimentale, elle avait répondue "prenez mon collier"

Ce qu'avait fait Igor, sachant que ce bijou allait lui rapporter pas mal d'agent liquide.

Ensuite Igor avait longuement passé la lame sur les seins de Nathalie, sur son ventre, sur ses cuisses sur son entre-jambe...

Il prenait plaisir à l'humilier, à lui faire peur, à lui faire comprendre qu'elle était à sa merci, que s'il voulait, il pouvait la découper en morceaux.

Nathalie sentait la lame froide passer sur son corps, elle était complètement terrorisée.

Stéphanie pour sa part, regardait tout cela, terrifiée elle aussi. Igor s'était éloigné de Nathalie, pour se rapprocher de l'autre fille.

Il avait fait un signe à ceux qui tenaient Stéphanie, ils l'avaient lâchée.

Délicatement, Igor avait pris Stéphanie par la main, l'avait faite asseoir sur l'un des canapés, il s'était assis à coté d'elle, en la prenant par les épaules, en lui disant :

- Maintenant regarde bien ce qui va t'arriver si tu me résiste, installe toi confortablement, tu vas être aux premières loges pour la suite du spectacle.

Puis il avait crié aux mecs " Allez assez rigolé, violez moi cette pute et surtout n'oubliez pas qu'elle est raciste!!!!!"

Aussitôt dit, aussitôt fait.

La totalité de la bande, tous les mecs, s'étaient emparés de Nathalie, ils l'avaient littéralement jetée sur un matelas. Ils l'avaient carrément, brutalement, sauvagement balancés dessus, certains même l'accompagnant dans sa chute.

Il s'en était suivie une véritable mêlée, sauvage et désordonnée où tous la pelote, la tripote avidement.

Véritable mêlée brutale, sauvage, confuse et désordonnée. Pas le moindre morceau de son corps n'était épargné.

Elle essayait de se défendre, de résister, de lutter, d'éviter leurs attouchements brutaux et vicieux.

Elle gigotait, remuait dans tous les sens. Elle se tortillait, elle s'agitait, pour éviter leurs mains. Mais c'était sans aucun succès. A force de lutter, de se défendre elle commençait à se fatiguer, ses forces commençaient à lui manquer.

Elle était triturée, palpée, pelotée, malaxée avidement et sauvagement par un nombre incalculables de mains brutales. Ses cuisses, son ventre, ses fesses, sa poitrine, tout y passe.

Ses seins étaient malaxés, triturés, maltraités, écrasés, broyés, sucés, mordus, griffés. On tirait sur ses mamelons comme si on voulait les arracher.

On lui introduisait, on lui enfonçait des doigts qui la fouillait, qui lui explorait son vagin, son anus, sa bouche, mais aussi allez savoir pourquoi, ses narines et ses oreilles. Tous ses trous étaient farfouillés, trifouillés, tripotés, pénétrés.

Il y avait des rires, des cris, des commentaires, des moqueries, toutes plus obscènes, sordides et ordurières les unes que les autres. Toutes plus avilissantes et humiliantes.

Igor regardaient le spectacle en riant.

Stéphanie elle ne disait rien mais elle était mortifiée. Igor sentait que le point de non retour allait vite arriver. Le déchaînement de violence, l'excitation des mecs était telle, que la situation deviendrait vite incontrôlable. Que des débordements allaient vite arriver, que le viol allait commencer.

Certains des mecs, beaucoup d'ailleurs avaient commencés à sortit leurs sexes

- Stop!!!!!! avait il crié. C'est Moussa qui nous a trouvé cette pute, c'est donc Moussa qui passe le premier!!!!!!

Mais personne n'avait entendu, les pelotages continuaient de plus belle.

Très en colère qu'on ne lui obéisse pas, Igor s'était rapidement levé du canapé, il avait foncé dans le tas.

Il avait tiré des mecs, les avait littéralement arrachés du tas qu'il y avait sur la femelle. Il avait donné des baffes, des gifles et même des coups de poings, mais aussi des coups de pieds pour rétablir le calme et l'ordre.

Il y était arrivé non sans mal, avec beaucoup de difficultés.

Puis le calme étant enfin un peu revenu, il avait répété à voix haute :

- C'est Moussa qui nous a trouvé cette pute c'est Moussa qui passe le premier!!!!!! Compris!!!! Après elle sera à vous!!!! Allez à toi l'honneur de défoncer cette pute!!!! Et surtout n'oublie pas qu'elle est raciste alors éclate la bien, démonte la bien cette bourgeoise de merde!!!!!!

Igor savait employer les mots qu'il fallait pour exciter encore plus les mecs, pour que toute la haine, la frustration, qu'ils avaient en eux ressortent. Pour que la femme soit encore plus terrorisée, terrifiée.

En plus Igor savait récompenser ses hommes les plus méritant. Moussa allait être récompensé.

Il savait aussi que Moussa le black était bien membré, qu'il allait faire mal à cette chienne.

- Allez Moussa montre nous ce que tu sais faire!!!!!!

Igor était retourné s'asseoir sur le canapé à coté de Stéphanie

Moussa avait sorti son sexe, l'avait exhibé, montré à Nathalie.

- Tu va voir je vais t'éclater et te démolir salope.

Il avait un sexe très impressionnant, un bon 20 cm, avec un gros gland, grosse bite circoncise et veineuse.

Nathalie était horrifiée. Elle savait qu'elle allait beaucoup souffrir. Comme elle bougeait et gigotait dans tous les sens en essayant d'éviter la brutale pénétration, Moussa avait crié à ses potes

- Allez les mecs tenez moi cette salope que je me plante dans sa chatte de chienne. Après elle est à vous.

Là encore, aussitôt dit, aussitôt fait.

Plusieurs mecs s'étaient à nouveau emparée de Nathalie. Ils l'avaient saisie par les bras, par les jambes, ils l'avaient brutalement et fermement maintenue sur le matelas.

Elle était littéralement crucifiée sur son matelas, martyrisée, les bras en croix et les jambes écartelées au maximum, maintenue par les chevilles. Le grand black s'était couché sur elle.

Alors Moussa l'avait prise d'un seul coup, lui enfonçant dans le vagin, son long et gros sexe, jusqu'à la garde, entièrement, profondément, mais surtout brutalement.

Nathalie avait criée, elle hurlait de douleur tellement la pénétration avait été brutale, sauvage, atroce. Elle beuglait, elle criait, elle hurlait, elle gueulait.

La femme remuait sa tête dans tous les sens, c'était la seule partie de son corps qu'elle pouvait bouger.

Mais cela faisait beaucoup rire les mecs. Ils s'en moquaient, ils débitaient des commentaires grossiers, avilissant envers le sale pute blonde, la sale française, la chienne de bourge. Comme tout à l'heure, ils lui tripotaient, lui pelotaient les seins, les cuisses, le ventre mais pas trop.

Ils semblaient se retenir de trop la malaxer afin de ne pas gêner Moussa. Surtout pour qu'Igor n'intervienne pas une nouvelle fois.

Mais ce n'était qu'un peu de répit. Qu'une petite pause.

Moussa avait commencé à la défoncer par des puissants va et vient. Il ressortait presque entièrement, pour replonger encore plus profond. Il la limait comme un malade. Il la besognait avec ardeur, avec violence, toujours plus profondément. Pour la première fois de sa vie, le jeune homme venait de violer la loi. Mais pas que la loi d'ailleurs.

Le corps de Nathalie tressautait sous la violence des coups de boutoirs du jeune.

Elle sanglotait, elle pleurait, elle hurlait, de douleur mais aussi de honte, d'humiliation.

Cela faisait beaucoup rire les mecs qui se moquaient d'elle. En plus ses cris, ses pleurs, avaient pour effet d'exciter encore plus les mâles.

D'exciter aussi, encore plus Moussa qui la défonçait, qui la plantait de son pieu comme un malade. Il devenait de plus en plus fou, de plus en plus violent. Il était de plus en plus déchaîné, enragé, sadique. Il la défonçait comme un forcené, comme un fou furieux.

Il lui dévastait, lui ravageait le vagin.

En plus comme il était le premier à passer, que tous les autres le regardait, sa réputation était en jeu. Il ne voulait pas décevoir Igor qui lui avait fait l'honneur de passer le premier.

Il l'éclatait, il la fendait en deux. Il la défonçait violemment, brutalement, férocement, en prenant plaisir à lui faire mal. Le black la viole puissamment, avec violence, avec vigueur mais surtout bien profondément.

Le viol brutal et déchaîné dura dix bonnes minutes. Moussa se retenait de ne pas exploser, ne pas jouir trop vite. C'était sa première fois avec une femme, son premier vagin.

Dans un sursaut de lucidité, le peu de chose qui lui restait, à la dureté soudaine de la verge du mec, Nathalie avait compris qu'il n'allait pas tarder à éjaculer, à se vider en elle.

Elle suppliait, elle implorait:

- "Qu'il se retire... Qu'il ne se vide pas en moi... Qu'il mette une capote"

- NON!! NON!!! s'il vous plaît pas ça!!!

Mais les jeunes riaient , se moquant encore plus d'elle.

Même Igor lui même avait dit à Stéphanie

- Elle est complètement conne ta daronne, une capote ils en ont pas les mecs, en plus pour une fois qu'ils peuvent se baiser une bonne bourgeoise bien propre, ils vont pas se gêner pour la remplir!!!!!!

Moussa se planta une dernière fois en elle le plus profondément qu'il pouvait et il commença à se vider.

Terrorisée et terrifiée, traumatisée, de douleur, de honte, elle avait repris conscience, était redevenue plus lucide.

Elle sentait le gros gland tressauter, vibrer au fond de son vagin et les puissants jets de sperme lui inonder la matrice, lui remplir l'utérus

Elle suppliait, elle implorait, elle pleurait, mais le jeune n'en finissait plus de se vider. Il était en train de l'inonder de son sperme gras et abondant.

Il y en avait tant qu'on aurait dit qu'il pissait.

Elle avait l'impression qu'on lui vidait un tube entier de mayonnaise dans le vagin tellement il y en avait. Le sperme était gras, épais et abondant.

Moussa était resté un bon moment dans la bourgeoise, en prenant soin de bien se vider, jusqu'à la dernière goutte.

IL lui disait

- Salope de raciste, je suis en train de te remplir avec du bon sperme de noir!!!!!!!!

Les autres riaient aux éclats en se moquant.

Puis ils avaient vite manifestés le désir de se faire la salope, comme ils disaient.

Et Moussa s'était enfin retiré.

Si Nathalie avait pu le voir, elle aurait vu que son vagin était béant et grand ouvert, qu'il débordait de sperme. Mais la seule chose qu'elle vit, ce fut la horde qui se rapproche d'elle, le sexe sortit. Dur et droit, prêt à l'honorer.

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Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 1 an

que devient c'est femme la fille cera depuceler est envoyer a l¡etranger

AnonymousAnonymeil y a plus de 7 ans

Bon récit bon fantasme vivement la suite

karlamakarlamail y a plus de 7 ans
le mauvais chemin

Excellent récit vraiment bandant

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